Ma rencontre avec une inconnue
Récit érotique écrit par Axpal [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma rencontre avec une inconnue
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Voici un texte que j'avais écrit il y a quelques temps pour une femme et dont j'aimerais vous faire part. Bonne lecture =)
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Mon cœur bat désormais fort dans ma poitrine. Ça y est, je vais enfin te rencontrer, Christine. En arrivant devant ta porte, je suis tiraillé entre deux envies: celle d'entrer pour enfin pouvoir contempler ton délicieux visage, et celle de partir en courant tellement la peur m'envahit. Je prends mon courage à deux mains et toque à la porte. Trois coups. Toc Toc Toc.
- J'arrive! Cris-tu.
Ta voie, jusqu'alors inconnue, m'apparaît soudain. Mon sang bout. Tes pas s'approchent, j’entends tes talons marteler le sol au rythme de tes pas. La serrure tourne avec un bruit métallique. La porte s'ouvre. Tu m'apparais. Un instant, je crois que je viens de faire une crise cardiaque et que tu es un ange venu m'accueillir au paradis. Mais je me ressaisis, un ange ne peut pas être aussi sexy, c'est ridicule. Malgré mon stress, j'arrive à articuler un bonjour. Tu me souris, me rend mes salutations. Puis tu m'invites à entrer. En passant à côté de toi, je sens ton parfum. Celui-ci enivre mes sens et l'atmosphère chaude régnant ici commence à m'exciter avant l'heure.
- Tu veux boire quelque chose ? Me proposes-tu
- Un simple verre d'eau merci.
Tu m’invites à m’asseoir sur le canapé, ce que je fais sans attendre. Tu nous sers deux verres et vient t’asseoir en face de moi. Tu brises le silence. Nous parlons de choses et d’autres, nous parlons et parlons encore. Je suis littéralement hypnotisé par tes lèvres, si finement maquillées, si pulpeuses, si belles. Le silence retombe. Nous nous regardons dans les yeux en buvant. Je crois que c’est au final eux qui me troublent le plus, leur intensité, leur profondeur. La tension est palpable, mais le silence règne... Un peu comme le calme avant la tempête. Nous nous fixons toujours.
Assis dans mon fauteuil, j’essaie de camoufler mon excitation. Est-ce car tu l’as remarqué ? Je ne sais pas, mais tu te lèves. Tu te dirige vers moi d’un pas décidé, pose ton verre sur la table basse en passant et t'assois finalement sur mes cuisses, jambes écartées, face à moi. Je ne sais plus quoi faire, je veux articuler un mot. Tu me souris, passe tes bras sur mes épaules, approche ton visage et m'embrasse. C'est d’abord un baiser timide, je sens le contact de tes lèvres, cette douce caresse me rend plus entreprenant. Je glisse mes mains sur ta taille, puis sous ton t-shirt. Je caresse ton dos pendant que je tente de caresser ta langue avec la mienne. Je glisse dans ta bouche. Je ne sais pas combien de temps dure ce baiser si sensuel, mais il me semble ne jamais finir, et j'espère secrètement qu'il ne finisse jamais. Tout en poursuivant notre baiser, tu déboutonnes ma chemise. Nous nous séparons un court instant pendant lequel j'ôte ton haut. Tu défaits totalement mon haut et le jette par terre. Nous reprenons notre baiser. Mes mains montent peu à peu vers tes seins. Je les effleure, les frôles, puis les caresses, d’abord le gauche, puis le droit, puis les deux en même temps. Ton soutien-gorge me gène, je le détache donc délicatement et le laisse tomber. Ca y est, je peux y aller franchement. Je glisse mes mains vers ceux-ci, les caresses d'abord dans leur globalité. Je remarque leur chaleur brûlante, puis je m'attarde sur tes tétons durcis par l'excitation. Je les caresses, les titilles, joue avec. Tu te détaches de notre baiser et rigole. Cela te chatouille. Je te souris. Ma bouche maintenant libre, je me dirige vers tes beaux melons. Tout en les caressant, je les agaces de ma langue, les suçotes. Tu rigoles mais tu as l'air d'apprécier, alors je continue. Je suis plus insistant, je les malaxe avec énergie et délicatesse. Cette caresse dure un bon moment et, à vrai dire, cela m’excite moi-même beaucoup de léchouiller et de palper tes seins durcis. Je te regarde, tu es rouge. Je pense d'abord que tu as trop chaud, puis je comprends que c'est l'excitation. Il est temps de passer aux choses sérieuses. Nous nous levons et tu enlèves le reste de tes habits. Tu ne gardes que ta culotte. J'en fais de même mais, étant un peu plus long, tu en profites pour aller tamiser les lumières en mettant bougies. Tu ajoutes de l'encens au parfum de fruits.
Je te regarde t'approcher. Nous nous prenons dans les bras, nous embrassons, puis tombons peu à peu à genou. Je caresse tes fesses à travers ton sous-vêtement tout en me frottant à toi. Nos sexes se touchent presque, je sens le tient chaud et humide à travers le mince tissu. Nous continuons nos embrassades, mais tu bascules peu en peu en arrière...si bien que je me retrouve allongé sur toi. Nos corps se frottent tels deux flammes tentant de fusionner. Je me détache de ta bouche, t'embrasse sur la lèvre inférieure, sur le menton, puis sur la poitrine, m'attarde un court instant sur tes seins. Je continue ma descente au plaisir et embrasse ton ventre, ton nombril puis ton pubis et enfin, pose un baiser sur ton sexe à travers la fine dentelle. J'enlève délicatement le dernier rempart me séparant de ton sexe et tu lèves la jambe pour m'aider. Je reviens vers toi, embrasse l'intérieur de ta cuisse droite, puis de la gauche. Je me rapproche peu à peu de ton intimité et enfin, je pose mes lèvres sur celles de ton sexe. Je m'attarde ensuite sur ton bouton d'amour, le titille, le lèche, le suce. Je le sens durcir et chauffer sous mes coups de langues. Ton sexe commence à couler. Je rapproche mon index, caresse tes lèvres et enfonce celui-ci dans ta vulve. Je t’entends gémir. Ta cyprine coule. Je rentre et sors mon doigt de ton sexe alors que je continue de lécher ton clitoris. J'inverse subitement les rôles, mon doigt vient jouer avec ton bouton d'amour. Ma langue quand à elle, lèche le jus coulant de ton vagin. Je remonte ce filet de mouille jusqu'à celui-ci et y enfonce lentement ma langue. C'est si doux...si sucré et salé en même temps...si chaud... ce traitement a raison de toi et, dans un long râle que tu tentes d'abord de maîtriser, je te sens gémir. N'y tenant plus, tu te lâche totalement et pousse de petits cris. Ma langue continue son travail alors que je te sens vibrer sous moi. Je ralentis progressivement, puis m'arrête afin de caresser et masser ton corps en attendant que tu te remettes de ton orgasme. J'approche mon visage du tien et tu ouvres les yeux. Leur beauté me saisis une fois de plus. Tu poses ta main sur mon torse, je t'embrasse, puis j'enlève mon caleçon. Nous voilà maintenant tous les deux nus comme des vers. Nous nous frottons l'un contre l'autre, nos extrémités se touches et s'excitent. J'appuie mon pénis déjà dur contre ta fente, le promène de haut en bas pendant un instant. Tu me susurres à l'oreille, d'une voie très faible un mince :
- Prends-moi...
Je ne me fais pas prier et enfonce lentement et délicatement mon sexe bandé dans ton gouffre. Je sens tes parois chaudes et mouillées serrer mon sexe. Je fais des vas et viens en t'embrassant dans le cou, toujours plus loin, toujours plus vite. Je te fais l'amour comme je ne l'ai jamais fais à personne, en te caressant de partout. A chaque aller, je sens mon sexe s'enfoncer dans ton intimité si profonde et mon gland écarter tes parois serrées et trempées, puis mon pubis appuyer contre le tien. A chaque retour, je sens tes muscles se contracter et appuyer sur ma verge. La sensation est intense, le plaisir inouï, et je sens la sauce monter. Je te prends de plus en plus fort, de plus en plus vite. Mes bourses tapent contre ton sexe et nos râles se font de plus en plus bruyants.
-Hummm...murmures-tu
-Christine c'est...
Nous nous regardons, tu souris. Ce timide sourire disparaît alors brutalement, tu es comme poignardée. Tu t’agrippes à mon dos et pousse des cris de jouissance. Tu trembles. Tes ongles griffent mon dos mais je suis incapable de ressentir la moindre souffrance, on aurait pu m'assassiner, je n'aurais sentis que l'étroitesse et la chaleur de ton vagin se resserrant sur mon membre. Je ne peux plus résister, et je me répands en toi en de longues giclées. Ma jouissance est exceptionnelle et me procure des sensations impensables et inattendues. Je t’embrasse, te couvres de baisers comme pour te remercier pour ce moment magique et m'allonge à côté de toi. Tu es rouge, encore plus rouge que tout à l'heure, et tes tétons pointent vers le ciel. Tu fermes les yeux, on dirait que cet orgasme a volé le reste de ton d'énergie. Mon sperme ruisselle entre tes cuisses et c'est sur cette image que je ferme les yeux et m'endort, après t'avoir posé un mince baiser sur ta joue si douce...
Fin
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Voici un texte que j'avais écrit il y a quelques temps pour une femme et dont j'aimerais vous faire part. Bonne lecture =)
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Mon cœur bat désormais fort dans ma poitrine. Ça y est, je vais enfin te rencontrer, Christine. En arrivant devant ta porte, je suis tiraillé entre deux envies: celle d'entrer pour enfin pouvoir contempler ton délicieux visage, et celle de partir en courant tellement la peur m'envahit. Je prends mon courage à deux mains et toque à la porte. Trois coups. Toc Toc Toc.
- J'arrive! Cris-tu.
Ta voie, jusqu'alors inconnue, m'apparaît soudain. Mon sang bout. Tes pas s'approchent, j’entends tes talons marteler le sol au rythme de tes pas. La serrure tourne avec un bruit métallique. La porte s'ouvre. Tu m'apparais. Un instant, je crois que je viens de faire une crise cardiaque et que tu es un ange venu m'accueillir au paradis. Mais je me ressaisis, un ange ne peut pas être aussi sexy, c'est ridicule. Malgré mon stress, j'arrive à articuler un bonjour. Tu me souris, me rend mes salutations. Puis tu m'invites à entrer. En passant à côté de toi, je sens ton parfum. Celui-ci enivre mes sens et l'atmosphère chaude régnant ici commence à m'exciter avant l'heure.
- Tu veux boire quelque chose ? Me proposes-tu
- Un simple verre d'eau merci.
Tu m’invites à m’asseoir sur le canapé, ce que je fais sans attendre. Tu nous sers deux verres et vient t’asseoir en face de moi. Tu brises le silence. Nous parlons de choses et d’autres, nous parlons et parlons encore. Je suis littéralement hypnotisé par tes lèvres, si finement maquillées, si pulpeuses, si belles. Le silence retombe. Nous nous regardons dans les yeux en buvant. Je crois que c’est au final eux qui me troublent le plus, leur intensité, leur profondeur. La tension est palpable, mais le silence règne... Un peu comme le calme avant la tempête. Nous nous fixons toujours.
Assis dans mon fauteuil, j’essaie de camoufler mon excitation. Est-ce car tu l’as remarqué ? Je ne sais pas, mais tu te lèves. Tu te dirige vers moi d’un pas décidé, pose ton verre sur la table basse en passant et t'assois finalement sur mes cuisses, jambes écartées, face à moi. Je ne sais plus quoi faire, je veux articuler un mot. Tu me souris, passe tes bras sur mes épaules, approche ton visage et m'embrasse. C'est d’abord un baiser timide, je sens le contact de tes lèvres, cette douce caresse me rend plus entreprenant. Je glisse mes mains sur ta taille, puis sous ton t-shirt. Je caresse ton dos pendant que je tente de caresser ta langue avec la mienne. Je glisse dans ta bouche. Je ne sais pas combien de temps dure ce baiser si sensuel, mais il me semble ne jamais finir, et j'espère secrètement qu'il ne finisse jamais. Tout en poursuivant notre baiser, tu déboutonnes ma chemise. Nous nous séparons un court instant pendant lequel j'ôte ton haut. Tu défaits totalement mon haut et le jette par terre. Nous reprenons notre baiser. Mes mains montent peu à peu vers tes seins. Je les effleure, les frôles, puis les caresses, d’abord le gauche, puis le droit, puis les deux en même temps. Ton soutien-gorge me gène, je le détache donc délicatement et le laisse tomber. Ca y est, je peux y aller franchement. Je glisse mes mains vers ceux-ci, les caresses d'abord dans leur globalité. Je remarque leur chaleur brûlante, puis je m'attarde sur tes tétons durcis par l'excitation. Je les caresses, les titilles, joue avec. Tu te détaches de notre baiser et rigole. Cela te chatouille. Je te souris. Ma bouche maintenant libre, je me dirige vers tes beaux melons. Tout en les caressant, je les agaces de ma langue, les suçotes. Tu rigoles mais tu as l'air d'apprécier, alors je continue. Je suis plus insistant, je les malaxe avec énergie et délicatesse. Cette caresse dure un bon moment et, à vrai dire, cela m’excite moi-même beaucoup de léchouiller et de palper tes seins durcis. Je te regarde, tu es rouge. Je pense d'abord que tu as trop chaud, puis je comprends que c'est l'excitation. Il est temps de passer aux choses sérieuses. Nous nous levons et tu enlèves le reste de tes habits. Tu ne gardes que ta culotte. J'en fais de même mais, étant un peu plus long, tu en profites pour aller tamiser les lumières en mettant bougies. Tu ajoutes de l'encens au parfum de fruits.
Je te regarde t'approcher. Nous nous prenons dans les bras, nous embrassons, puis tombons peu à peu à genou. Je caresse tes fesses à travers ton sous-vêtement tout en me frottant à toi. Nos sexes se touchent presque, je sens le tient chaud et humide à travers le mince tissu. Nous continuons nos embrassades, mais tu bascules peu en peu en arrière...si bien que je me retrouve allongé sur toi. Nos corps se frottent tels deux flammes tentant de fusionner. Je me détache de ta bouche, t'embrasse sur la lèvre inférieure, sur le menton, puis sur la poitrine, m'attarde un court instant sur tes seins. Je continue ma descente au plaisir et embrasse ton ventre, ton nombril puis ton pubis et enfin, pose un baiser sur ton sexe à travers la fine dentelle. J'enlève délicatement le dernier rempart me séparant de ton sexe et tu lèves la jambe pour m'aider. Je reviens vers toi, embrasse l'intérieur de ta cuisse droite, puis de la gauche. Je me rapproche peu à peu de ton intimité et enfin, je pose mes lèvres sur celles de ton sexe. Je m'attarde ensuite sur ton bouton d'amour, le titille, le lèche, le suce. Je le sens durcir et chauffer sous mes coups de langues. Ton sexe commence à couler. Je rapproche mon index, caresse tes lèvres et enfonce celui-ci dans ta vulve. Je t’entends gémir. Ta cyprine coule. Je rentre et sors mon doigt de ton sexe alors que je continue de lécher ton clitoris. J'inverse subitement les rôles, mon doigt vient jouer avec ton bouton d'amour. Ma langue quand à elle, lèche le jus coulant de ton vagin. Je remonte ce filet de mouille jusqu'à celui-ci et y enfonce lentement ma langue. C'est si doux...si sucré et salé en même temps...si chaud... ce traitement a raison de toi et, dans un long râle que tu tentes d'abord de maîtriser, je te sens gémir. N'y tenant plus, tu te lâche totalement et pousse de petits cris. Ma langue continue son travail alors que je te sens vibrer sous moi. Je ralentis progressivement, puis m'arrête afin de caresser et masser ton corps en attendant que tu te remettes de ton orgasme. J'approche mon visage du tien et tu ouvres les yeux. Leur beauté me saisis une fois de plus. Tu poses ta main sur mon torse, je t'embrasse, puis j'enlève mon caleçon. Nous voilà maintenant tous les deux nus comme des vers. Nous nous frottons l'un contre l'autre, nos extrémités se touches et s'excitent. J'appuie mon pénis déjà dur contre ta fente, le promène de haut en bas pendant un instant. Tu me susurres à l'oreille, d'une voie très faible un mince :
- Prends-moi...
Je ne me fais pas prier et enfonce lentement et délicatement mon sexe bandé dans ton gouffre. Je sens tes parois chaudes et mouillées serrer mon sexe. Je fais des vas et viens en t'embrassant dans le cou, toujours plus loin, toujours plus vite. Je te fais l'amour comme je ne l'ai jamais fais à personne, en te caressant de partout. A chaque aller, je sens mon sexe s'enfoncer dans ton intimité si profonde et mon gland écarter tes parois serrées et trempées, puis mon pubis appuyer contre le tien. A chaque retour, je sens tes muscles se contracter et appuyer sur ma verge. La sensation est intense, le plaisir inouï, et je sens la sauce monter. Je te prends de plus en plus fort, de plus en plus vite. Mes bourses tapent contre ton sexe et nos râles se font de plus en plus bruyants.
-Hummm...murmures-tu
-Christine c'est...
Nous nous regardons, tu souris. Ce timide sourire disparaît alors brutalement, tu es comme poignardée. Tu t’agrippes à mon dos et pousse des cris de jouissance. Tu trembles. Tes ongles griffent mon dos mais je suis incapable de ressentir la moindre souffrance, on aurait pu m'assassiner, je n'aurais sentis que l'étroitesse et la chaleur de ton vagin se resserrant sur mon membre. Je ne peux plus résister, et je me répands en toi en de longues giclées. Ma jouissance est exceptionnelle et me procure des sensations impensables et inattendues. Je t’embrasse, te couvres de baisers comme pour te remercier pour ce moment magique et m'allonge à côté de toi. Tu es rouge, encore plus rouge que tout à l'heure, et tes tétons pointent vers le ciel. Tu fermes les yeux, on dirait que cet orgasme a volé le reste de ton d'énergie. Mon sperme ruisselle entre tes cuisses et c'est sur cette image que je ferme les yeux et m'endort, après t'avoir posé un mince baiser sur ta joue si douce...
Fin
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