Ma secrétaire et sa famille (1)
Récit érotique écrit par Maître Rémi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma secrétaire et sa famille (1)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je m'appelle Gabriel Roland, et j'ai 28 ans. Je suis à la tête de l'entreprise de mes parents (mort il y a 2 ans d'un accident). Etant fils unique, je n'ai pas eu a effectué de partage. Ainsi je possède de nombreux domaines (dont un château en plein milieu de la forêt près d'Angers. L'entreprise que je possède réalise de nombreux matériels pour la médecine. J'ai ainsi sous mes ordres des ingénieurs, des médecins, des techniciens, … Une autre entreprise me faisait concurrence : celle dirigée par Pierre De Fadon. Grâce à mon argent, j'ai racheté toute son entreprise (j'ai achetait toutes ses parts), et l'ai mis à la rue (Pierre était très hautain, me regardait de haut et ne me croyait pas capable de le virer, ce que j'ai fait). Il parait qu'il avait une famille nombreuse mais cela m'était bien égale.
En ayant une augmentation de capital avec la nouvelle entreprise que j'ai acheté, il me fallait une secrétaire de plus pour s'occuper de mon agenda de manière plus droite et précise. Je (à travers une de mes secrétaires : Emilie) lance donc une offre d'emploi. Je vois arriver de nombreux CV. Je demande à Emilie de faire le tri des CV. 3 retiennent son attention. Je les convoque et commence par Louise Fadon (femme ayant 40 ans, bien habillé, avec une belle paire de seins : 95 E, chatain clair). Sans la particule noble, je n'avais pas compris de suite à qui j'avais affaire. Mais je ne tardais pas à le savoir. En effet, cette femme avait toute les formations que je demandais (ce qui, en vérifiant, était complètement faux). C'est en disant que son mari étant au chômage et avec beaucoup d'enfant à nourrir que j'ai compris qui elle était. Elle avait besoin de ce poste. Sachant qu'elle me mentait sur ces formations et son nom, je l'ai engagé, et ainsi je l'aurai sous mon pouvoir pour la faire chanter plus tard. Je lui demande de revenir demain bien habillé car je l'accepte avec un beau salaire : celui de 3 000€ net. Elle en fut toute contente, et me dit qu'elle viendra demain de bonne heure.
Le lendemain, je la vois arriver à 8H. Ce qui est tard. Je lui fais remarquer :
- Vous êtes en retard. On commence à 7H30 ici. Et vous en tant que secrétaire vous devez venir avant pour préparer mes RDV.
- Je vous prie de m'excuser. Je ne le savais pas. Ça ne se reproduira plus.
- Il y a intérêt sinon c'est la porte. Pour aujourd'hui faudra ouvrir le courrier, le trier, répondre aux téléphones, me prendre les RDV, et me prévenir lorsqu'un client arrive. Et pas d'erreur !!
Elle acquiesça de la tête et se mit à son travail. La première journée se passa, et je lui demandais un compte rendu. Elle m'en fit un, et cela à l'air plutôt correct.
- C'est bien. Un bon début. Demain vous utiliserez le logiciel PRdV pour noter mes RDV. Vous avez fait une formation dessus, je pense que ça va aller. C'est bon ?
- Oui, oui c'est bon, dit-elle en rougissant et bégayant. J'ai aussi une demande à vous faire svp.
- Faîtes !!
- Pouvez-vous me donner le premier chèque ce soir car nous n'avons plus d'argent s'il vous plait ? Elle était mal à l'aise, et je le comprends.
- Oui, ça marche.
Je sors mon chéquier et j'aligne 3000€. Elle était heureuse.
Le lendemain je la vois arriver à 7H30.
- Je vous ai dit d'arriver avant pour que vous prépariez ma journée. Qu'est-ce que je fais ce matin ? Avec qui ?
- Je suis confuse, veuillez m'excuser. Je vous fais cela de suite.
- Ce n'est pas possible ça dis-je en partant.
Mon but étant de la mettre mal à l'aise car je veux qu'avant ce soir, elle devienne ma pute. A midi, je lui demande ce qui en était du logiciel. Elle me regarde et dit :
- Je suis désolé, mais je ne m'en souviens plus !! Je galère un peu.
- Ce n'est pas possible m'écriais-je devant tout le monde au réfectoire !! Une incapable. Dans mon bureau tout à l'heure.
Je réfléchissais comment la coincer et j'ai eu une idée. Elle toque.
- Entrez dis-je - Je vous prie encore de m'excuser.
- S'il n'y avait que ça, pourquoi pas. Mais là, ce n'est plus possible.
- Pourquoi ? Elle était inquiète - D'abord je ne vous trouve pas sur votre commune. Votre nom est faux ??
- Elle se mit à rougir. Oui, en fait c'est De Fadon. Excusez-moi.
- Et ces 3 formations, votre nom n'est inscrit nulle part. Vous les avez faites ?
- Elle baissa la tête et rougit encore plus : Non - Je suis obligé de vous virez, vous êtes incompétentes et une menteuse. Je vous demande même de me rendre mon chèque.
- Elle releva la tête et commença à pleurer. Non je vous en prie pas ça.
- Si je suis obligé car vous avez trahi ma confiance.
- Elle se mit à pleurer. J'ouvre la porte S'il vous plait je ferai ce que vous voulez, mais ne me mettez pas dehors. Je suis prêt à tout, mais je dois garder la paye.
- Vraiment tout ?
- Oui oui tout ce que vous voulez.
- Je refermais la porte. Déshabille-toi.
- Elle fut surprise par l'ordre et l'objet de l'ordre.
- Tu ne veux pas ? Dehors alors.
Et je commençai à ouvrir la porte. Je la vis alors enlever le pull. Je refermais la porte et m'assis sur mon fauteuil. Elle avait les yeux humides, et n'oser pas me regarder. Son pull tomba, sa chemise de dessous aussi et laissa apparaitre un soutien-gorge affreux en coton. Elle ne prenait pas soin de ses sous-vêtements. Le pantalon descendit aussi, et vit de même que le soutif une culotte blanche immonde et épaisse. Puis elle resta là avec la tête baissée.
- Je veux te voir nu. Dépêche-toi car sinon je te fais sortir.
- Non, svp, ne faîtes pas ça !!
- Dehors alors !!
Alors elle passa les mains dans son dos et dégrafa son soutif. Je vis apparaître deux beaux seins fermes, blancs, avec de jolis téton. Puis elle baissa doucement sa culotte et se cacha le minou avec ses mains.
- Lève les bras, ferme les yeux et tire la langue, lui dis-je.
Ce qu'elle fit. J'en profitais pour tirer une photo. Avec le bruit elle ouvrit les yeux et dit paniquée :
- Que faîtes-vous ?
- J'ai tiré une photo. Si jamais tu me désobéis, j'envoie cette photo à toute la ville. C'est clair ?
- Oui. Dit-elle en sanglotant.
- Voici les consignes pour l'instant : Interdiction de faire l'amour avec ton mari et qu'il te touche, tu ne mettras plus de culotte, et tu viendras en jupe demain. C'est clair ?
- Oui oui.
- Ok rhabille toi et part !! Laisse ta culotte ici.
Elle se rhabilla rapidement et parti chez elle. Le lendemain, je la vois arriver en jupe qui arrive après le genou. Je l'appelle :
- Ton mari t'a-t'il touché ?
- Non, j'ai refusé. J'ai dit que j'étais fatiguée à cause du boulot.
- Bien approche. Elle s'approche de moi. Je remonte sa jupe, je passe ma main et je sens une culotte. Que t'ai-je dit hier soir ?
- Elle baisse la tête et recommence à pleurer De ne pas mettre de culotte.
- Et alors tu m'as désobéi !! J'envoie la photo à tout le monde.
- Non s'écria-t'elle !! Tout mais pas ça. S'il vous plait… Elle était tombée à genoux à mes pieds.
- Déshabille-toi maintenant et vite. Elle le fit bien plus vite que hier. Son minou est poilu. Faudra raser ça, mais pas pour l'instant. Viens sous mon bureau et suce-moi. Elle vient sous mon bureau à genoux, me retire mon pantalon et me suce. Ne fait pas de bruit je vais appeler Emilie ma secrétaire. Elle prit peur. Tu es sous le bureau elle ne te voit pas, mais si tu fais du bruit elle comprendra et je lui montrerai la photo. Alors fait attention.
Emilie entre.
- Ce soir je ne serai pas là. Et Louise aussi. Donc déportez mes rendez-vous svp.
- Bien M.Roland.
Elle partit. Louise continue de me sucer. Je lui demande d'accélérer mais ne le fait pas. Je prends sa tête entre mes mains, et lui imprime le mouvement. Je lui baise la bouche. Elle manque de s'étouffer plusieurs fois mais je continue. Elle pleure. Puis j'accélère, je sens que ça vient et je m'enfonce bien au fond de sa bouche lors de l'éjaculation pour être bien sûr qu'elle avale tout.
- Tu avales tout et essuie ta bave par terre avec tes habits. Puis rhabille-toi sans ta culotte.
Elle avait son mascara qui a coulé, ses cheveux tout emmêlés, ses habits froissés, et sa jupe avec une belle tache de bave.
- Je t'amène.
- Où ça ? Me dit-elle inquiète - Chez toi. Et tu devras m'obéir. Sinon j'enverrai la photo à tout le monde.
Elle baissa la tête et accepta. Elle était vaincue.
Je m'appelle Gabriel Roland, et j'ai 28 ans. Je suis à la tête de l'entreprise de mes parents (mort il y a 2 ans d'un accident). Etant fils unique, je n'ai pas eu a effectué de partage. Ainsi je possède de nombreux domaines (dont un château en plein milieu de la forêt près d'Angers. L'entreprise que je possède réalise de nombreux matériels pour la médecine. J'ai ainsi sous mes ordres des ingénieurs, des médecins, des techniciens, … Une autre entreprise me faisait concurrence : celle dirigée par Pierre De Fadon. Grâce à mon argent, j'ai racheté toute son entreprise (j'ai achetait toutes ses parts), et l'ai mis à la rue (Pierre était très hautain, me regardait de haut et ne me croyait pas capable de le virer, ce que j'ai fait). Il parait qu'il avait une famille nombreuse mais cela m'était bien égale.
En ayant une augmentation de capital avec la nouvelle entreprise que j'ai acheté, il me fallait une secrétaire de plus pour s'occuper de mon agenda de manière plus droite et précise. Je (à travers une de mes secrétaires : Emilie) lance donc une offre d'emploi. Je vois arriver de nombreux CV. Je demande à Emilie de faire le tri des CV. 3 retiennent son attention. Je les convoque et commence par Louise Fadon (femme ayant 40 ans, bien habillé, avec une belle paire de seins : 95 E, chatain clair). Sans la particule noble, je n'avais pas compris de suite à qui j'avais affaire. Mais je ne tardais pas à le savoir. En effet, cette femme avait toute les formations que je demandais (ce qui, en vérifiant, était complètement faux). C'est en disant que son mari étant au chômage et avec beaucoup d'enfant à nourrir que j'ai compris qui elle était. Elle avait besoin de ce poste. Sachant qu'elle me mentait sur ces formations et son nom, je l'ai engagé, et ainsi je l'aurai sous mon pouvoir pour la faire chanter plus tard. Je lui demande de revenir demain bien habillé car je l'accepte avec un beau salaire : celui de 3 000€ net. Elle en fut toute contente, et me dit qu'elle viendra demain de bonne heure.
Le lendemain, je la vois arriver à 8H. Ce qui est tard. Je lui fais remarquer :
- Vous êtes en retard. On commence à 7H30 ici. Et vous en tant que secrétaire vous devez venir avant pour préparer mes RDV.
- Je vous prie de m'excuser. Je ne le savais pas. Ça ne se reproduira plus.
- Il y a intérêt sinon c'est la porte. Pour aujourd'hui faudra ouvrir le courrier, le trier, répondre aux téléphones, me prendre les RDV, et me prévenir lorsqu'un client arrive. Et pas d'erreur !!
Elle acquiesça de la tête et se mit à son travail. La première journée se passa, et je lui demandais un compte rendu. Elle m'en fit un, et cela à l'air plutôt correct.
- C'est bien. Un bon début. Demain vous utiliserez le logiciel PRdV pour noter mes RDV. Vous avez fait une formation dessus, je pense que ça va aller. C'est bon ?
- Oui, oui c'est bon, dit-elle en rougissant et bégayant. J'ai aussi une demande à vous faire svp.
- Faîtes !!
- Pouvez-vous me donner le premier chèque ce soir car nous n'avons plus d'argent s'il vous plait ? Elle était mal à l'aise, et je le comprends.
- Oui, ça marche.
Je sors mon chéquier et j'aligne 3000€. Elle était heureuse.
Le lendemain je la vois arriver à 7H30.
- Je vous ai dit d'arriver avant pour que vous prépariez ma journée. Qu'est-ce que je fais ce matin ? Avec qui ?
- Je suis confuse, veuillez m'excuser. Je vous fais cela de suite.
- Ce n'est pas possible ça dis-je en partant.
Mon but étant de la mettre mal à l'aise car je veux qu'avant ce soir, elle devienne ma pute. A midi, je lui demande ce qui en était du logiciel. Elle me regarde et dit :
- Je suis désolé, mais je ne m'en souviens plus !! Je galère un peu.
- Ce n'est pas possible m'écriais-je devant tout le monde au réfectoire !! Une incapable. Dans mon bureau tout à l'heure.
Je réfléchissais comment la coincer et j'ai eu une idée. Elle toque.
- Entrez dis-je - Je vous prie encore de m'excuser.
- S'il n'y avait que ça, pourquoi pas. Mais là, ce n'est plus possible.
- Pourquoi ? Elle était inquiète - D'abord je ne vous trouve pas sur votre commune. Votre nom est faux ??
- Elle se mit à rougir. Oui, en fait c'est De Fadon. Excusez-moi.
- Et ces 3 formations, votre nom n'est inscrit nulle part. Vous les avez faites ?
- Elle baissa la tête et rougit encore plus : Non - Je suis obligé de vous virez, vous êtes incompétentes et une menteuse. Je vous demande même de me rendre mon chèque.
- Elle releva la tête et commença à pleurer. Non je vous en prie pas ça.
- Si je suis obligé car vous avez trahi ma confiance.
- Elle se mit à pleurer. J'ouvre la porte S'il vous plait je ferai ce que vous voulez, mais ne me mettez pas dehors. Je suis prêt à tout, mais je dois garder la paye.
- Vraiment tout ?
- Oui oui tout ce que vous voulez.
- Je refermais la porte. Déshabille-toi.
- Elle fut surprise par l'ordre et l'objet de l'ordre.
- Tu ne veux pas ? Dehors alors.
Et je commençai à ouvrir la porte. Je la vis alors enlever le pull. Je refermais la porte et m'assis sur mon fauteuil. Elle avait les yeux humides, et n'oser pas me regarder. Son pull tomba, sa chemise de dessous aussi et laissa apparaitre un soutien-gorge affreux en coton. Elle ne prenait pas soin de ses sous-vêtements. Le pantalon descendit aussi, et vit de même que le soutif une culotte blanche immonde et épaisse. Puis elle resta là avec la tête baissée.
- Je veux te voir nu. Dépêche-toi car sinon je te fais sortir.
- Non, svp, ne faîtes pas ça !!
- Dehors alors !!
Alors elle passa les mains dans son dos et dégrafa son soutif. Je vis apparaître deux beaux seins fermes, blancs, avec de jolis téton. Puis elle baissa doucement sa culotte et se cacha le minou avec ses mains.
- Lève les bras, ferme les yeux et tire la langue, lui dis-je.
Ce qu'elle fit. J'en profitais pour tirer une photo. Avec le bruit elle ouvrit les yeux et dit paniquée :
- Que faîtes-vous ?
- J'ai tiré une photo. Si jamais tu me désobéis, j'envoie cette photo à toute la ville. C'est clair ?
- Oui. Dit-elle en sanglotant.
- Voici les consignes pour l'instant : Interdiction de faire l'amour avec ton mari et qu'il te touche, tu ne mettras plus de culotte, et tu viendras en jupe demain. C'est clair ?
- Oui oui.
- Ok rhabille toi et part !! Laisse ta culotte ici.
Elle se rhabilla rapidement et parti chez elle. Le lendemain, je la vois arriver en jupe qui arrive après le genou. Je l'appelle :
- Ton mari t'a-t'il touché ?
- Non, j'ai refusé. J'ai dit que j'étais fatiguée à cause du boulot.
- Bien approche. Elle s'approche de moi. Je remonte sa jupe, je passe ma main et je sens une culotte. Que t'ai-je dit hier soir ?
- Elle baisse la tête et recommence à pleurer De ne pas mettre de culotte.
- Et alors tu m'as désobéi !! J'envoie la photo à tout le monde.
- Non s'écria-t'elle !! Tout mais pas ça. S'il vous plait… Elle était tombée à genoux à mes pieds.
- Déshabille-toi maintenant et vite. Elle le fit bien plus vite que hier. Son minou est poilu. Faudra raser ça, mais pas pour l'instant. Viens sous mon bureau et suce-moi. Elle vient sous mon bureau à genoux, me retire mon pantalon et me suce. Ne fait pas de bruit je vais appeler Emilie ma secrétaire. Elle prit peur. Tu es sous le bureau elle ne te voit pas, mais si tu fais du bruit elle comprendra et je lui montrerai la photo. Alors fait attention.
Emilie entre.
- Ce soir je ne serai pas là. Et Louise aussi. Donc déportez mes rendez-vous svp.
- Bien M.Roland.
Elle partit. Louise continue de me sucer. Je lui demande d'accélérer mais ne le fait pas. Je prends sa tête entre mes mains, et lui imprime le mouvement. Je lui baise la bouche. Elle manque de s'étouffer plusieurs fois mais je continue. Elle pleure. Puis j'accélère, je sens que ça vient et je m'enfonce bien au fond de sa bouche lors de l'éjaculation pour être bien sûr qu'elle avale tout.
- Tu avales tout et essuie ta bave par terre avec tes habits. Puis rhabille-toi sans ta culotte.
Elle avait son mascara qui a coulé, ses cheveux tout emmêlés, ses habits froissés, et sa jupe avec une belle tache de bave.
- Je t'amène.
- Où ça ? Me dit-elle inquiète - Chez toi. Et tu devras m'obéir. Sinon j'enverrai la photo à tout le monde.
Elle baissa la tête et accepta. Elle était vaincue.
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