Ma soeur Hanane et moi
Récit érotique écrit par Jackjick1111 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma soeur Hanane et moi
L'histoire que je vais vous raconter débute lors de mes années au lycée, plus précisément lorsque j'étais en première.
Je m'appelle Rayan, issu d'une famille composée de mes parents et ma sœur Hanane, mon aînée âgée d'un an de plus que moi.
Mes parents ont immigré du Maroc dans les années 70, ma sœur et moi avons grandi dans une famille avec des valeurs très traditionnelles. Le genre de famille où il y a beaucoup de pudeur et certains sujets tabous. Si par exemple une scène un peu olé olé passait à la télé, chacun faisait semblant de ne pas regarder et changeait vite de chaîne pour atténuer le malaise.
Ma sœur et moi avons une relation des plus basiques, les seuls moments de véritable partage que l'on vivait ensemble, c'était lors de notre voyage une fois par an pour aller au bled, 13h de route, il fallait bien se trouver des passe-temps.
Cependant, en ce jour ensoleillé du mois d'avril, tout a changé nous concernant.
17h, la sonnerie retentit dans la salle de classe comme une libération après une journée de cours fatigante. Je me presse de ranger mes affaires, le mardi, il y a entraînement de foot, je n'ai pas trop de temps à perdre pour ne pas arriver en retard.
Pour gagner du temps, je décide de couper par les ruelles afin de gagner du temps, je dois récupérer mes affaires d'entraînement à la maison avant d'y aller.
A l'approche d'un square, j'entends un éclat de rire provenant d'une voix qui m'est familière, celle de ma sœur Hanane. Cela me surprend, car je sais qu'elle finit à 16h aujourd'hui et elle n'a pas pour habitude de traîner après les cours, enfin c'est ce que je croyais.
Pour rentrer chez moi, je dois passer par le square, cependant il faut longer celui-ci sur 50 mètres avant d'y pénétrer, de plus le square est en contre-haut par rapport à la rue d'à peu près 1m20, et des arbustes sont plantés tout le long, ce qui fait que je ne vois pas qui est dans le square et on ne peut pas me voir arriver.
C'est à ce moment-là que je l'entends parler à une autre personne en lui disant :
— Je dois vraiment y aller, je dois rentrer chez moi, il est 17h passé.
— Attends, viens par là.
Cette phrase m'arrête net dans mon élan, c'est une voix d'homme, j'essaie d'apercevoir ma sœur à travers les buissons pour ne pas me faire remarquer.
Je suis totalement abasourdi par ce que j'aperçois, les bras autour du cou d'un garçon en train de l'embrasser langoureusement, ce garçon qui a les mains qui palpent le cul de ma sœur par-dessus son jean pendant qu'elle passe ses mains dans sa chevelure.
Un baiser qui n'en finit pas, je suis complètement estomaqué par ce que je suis en train de voir. J'ai le cœur qui se met à battre rapidement, le souffle court comme si je venais de courir, j'ai l'impression d'avoir les genoux en guimauve, un frisson parcourt mon corps, je n'aurai jamais imaginé ça de ma sœur, je suis tout simplement KO debout, ne sachant pas comment réagir.
Je décide tout de même de passer par le square pour rentrer à la maison, tête baissée, je marche le plus vite possible pour pas qu'elle ne me voit pas.
En marchant, j'ai cette scène qui revient sans cesse dans mon esprit, je n'arrive toujours pas à y croire, est-ce vraiment elle ? Plein de questions se bousculent dans ma tête, j'arrive dans notre rue sans trop me souvenir du trajet entre le square et la maison tellement que je suis perdu dans mes pensées quand soudain mon téléphone sonne. C'est Hanane:
— Salem Rayan, t'es arrivé à la maison ? me dit-elle d'une voix tremblante.
— Non, mais je suis pas loin, lui répondis-je en essayant de rester le plus naturel possible.
— Est-ce que tu peux m'attendre, faut qu'on parle. Je pouvais sentir l'angoisse qu'elle ressent à travers ses paroles.
— Oui pas de soucis, on se retrouve au lavoir.
Je la retrouve au lavoir, elle est tremblante et a les larmes aux yeux.
— S'il te plaît Rayan, ne dis rien aux parents, je vais me faire tuer sinon.
— Arrête de dire n'importe quoi, je lui réponds mécaniquement.
— Je sais pas ce qu'il m'a pris de faire ça, tu me connais, je suis pas comme ça, mais avec mes copines....... Elle entre dans une longue plaidoirie pour défendre son cas que je n'écoute qu'à demi-mot, tellement aspiré par cette vision.
Je n'aurai jamais imaginé ça de Hanane qui est une fille plutôt discrète, bonne élève à l'école et très sage, qui s'habille de façon convenable en rapport avec les moeurs que nos parents nous ont inculquées.
Nos parents ont toujours été très stricts avec nous concernant les études, et donc pour tout ce qui est des sorties, des activités... c'est très cadré, il y a certains moments et certaines heures pour sortir et rentrer. Et je ne l'ai jamais soupçonnée d'outrepasser ces règles, d'où mon étonnement.
...... - Tu en dis quoi alors ? me dit-elle, d'un air désespéré.
N'ayant rien écouté à son plaidoyer, perdu dans mes pensées, je ne lui réponds seulement d'un ton monotone:
— Je ne sais pas.
— OK je comprends que c'est bizarre comme situation, mais s'il te plaît ne dis rien pour le moment, on en rediscute quand tu veux, je compte sur toi, on se rejoint à la maison, me dit-elle navrée.
Je reste un moment assis pour reprendre mes esprits et me remettre de toutes ces émotions, je la sens navrée et sincère, je ne veux pas qu'elle ait des problèmes.
Mais en même temps, un sentiment de jalousie, de colère s'empare de moi.
Qu'allaient en penser les autres ? Et si ce n'était pas moi qui l'avais vue, mais un ami de la famille ? Depuis combien de temps est-ce qu'elle a un copain ? Est-ce le premier ?
J'ai le cerveau qui bouillonne, mais ça tombe bien, c'est bientôt l'heure de l'entraînement, ça va me faire du bien.
La suite au prochain chapitre
Je m'appelle Rayan, issu d'une famille composée de mes parents et ma sœur Hanane, mon aînée âgée d'un an de plus que moi.
Mes parents ont immigré du Maroc dans les années 70, ma sœur et moi avons grandi dans une famille avec des valeurs très traditionnelles. Le genre de famille où il y a beaucoup de pudeur et certains sujets tabous. Si par exemple une scène un peu olé olé passait à la télé, chacun faisait semblant de ne pas regarder et changeait vite de chaîne pour atténuer le malaise.
Ma sœur et moi avons une relation des plus basiques, les seuls moments de véritable partage que l'on vivait ensemble, c'était lors de notre voyage une fois par an pour aller au bled, 13h de route, il fallait bien se trouver des passe-temps.
Cependant, en ce jour ensoleillé du mois d'avril, tout a changé nous concernant.
17h, la sonnerie retentit dans la salle de classe comme une libération après une journée de cours fatigante. Je me presse de ranger mes affaires, le mardi, il y a entraînement de foot, je n'ai pas trop de temps à perdre pour ne pas arriver en retard.
Pour gagner du temps, je décide de couper par les ruelles afin de gagner du temps, je dois récupérer mes affaires d'entraînement à la maison avant d'y aller.
A l'approche d'un square, j'entends un éclat de rire provenant d'une voix qui m'est familière, celle de ma sœur Hanane. Cela me surprend, car je sais qu'elle finit à 16h aujourd'hui et elle n'a pas pour habitude de traîner après les cours, enfin c'est ce que je croyais.
Pour rentrer chez moi, je dois passer par le square, cependant il faut longer celui-ci sur 50 mètres avant d'y pénétrer, de plus le square est en contre-haut par rapport à la rue d'à peu près 1m20, et des arbustes sont plantés tout le long, ce qui fait que je ne vois pas qui est dans le square et on ne peut pas me voir arriver.
C'est à ce moment-là que je l'entends parler à une autre personne en lui disant :
— Je dois vraiment y aller, je dois rentrer chez moi, il est 17h passé.
— Attends, viens par là.
Cette phrase m'arrête net dans mon élan, c'est une voix d'homme, j'essaie d'apercevoir ma sœur à travers les buissons pour ne pas me faire remarquer.
Je suis totalement abasourdi par ce que j'aperçois, les bras autour du cou d'un garçon en train de l'embrasser langoureusement, ce garçon qui a les mains qui palpent le cul de ma sœur par-dessus son jean pendant qu'elle passe ses mains dans sa chevelure.
Un baiser qui n'en finit pas, je suis complètement estomaqué par ce que je suis en train de voir. J'ai le cœur qui se met à battre rapidement, le souffle court comme si je venais de courir, j'ai l'impression d'avoir les genoux en guimauve, un frisson parcourt mon corps, je n'aurai jamais imaginé ça de ma sœur, je suis tout simplement KO debout, ne sachant pas comment réagir.
Je décide tout de même de passer par le square pour rentrer à la maison, tête baissée, je marche le plus vite possible pour pas qu'elle ne me voit pas.
En marchant, j'ai cette scène qui revient sans cesse dans mon esprit, je n'arrive toujours pas à y croire, est-ce vraiment elle ? Plein de questions se bousculent dans ma tête, j'arrive dans notre rue sans trop me souvenir du trajet entre le square et la maison tellement que je suis perdu dans mes pensées quand soudain mon téléphone sonne. C'est Hanane:
— Salem Rayan, t'es arrivé à la maison ? me dit-elle d'une voix tremblante.
— Non, mais je suis pas loin, lui répondis-je en essayant de rester le plus naturel possible.
— Est-ce que tu peux m'attendre, faut qu'on parle. Je pouvais sentir l'angoisse qu'elle ressent à travers ses paroles.
— Oui pas de soucis, on se retrouve au lavoir.
Je la retrouve au lavoir, elle est tremblante et a les larmes aux yeux.
— S'il te plaît Rayan, ne dis rien aux parents, je vais me faire tuer sinon.
— Arrête de dire n'importe quoi, je lui réponds mécaniquement.
— Je sais pas ce qu'il m'a pris de faire ça, tu me connais, je suis pas comme ça, mais avec mes copines....... Elle entre dans une longue plaidoirie pour défendre son cas que je n'écoute qu'à demi-mot, tellement aspiré par cette vision.
Je n'aurai jamais imaginé ça de Hanane qui est une fille plutôt discrète, bonne élève à l'école et très sage, qui s'habille de façon convenable en rapport avec les moeurs que nos parents nous ont inculquées.
Nos parents ont toujours été très stricts avec nous concernant les études, et donc pour tout ce qui est des sorties, des activités... c'est très cadré, il y a certains moments et certaines heures pour sortir et rentrer. Et je ne l'ai jamais soupçonnée d'outrepasser ces règles, d'où mon étonnement.
...... - Tu en dis quoi alors ? me dit-elle, d'un air désespéré.
N'ayant rien écouté à son plaidoyer, perdu dans mes pensées, je ne lui réponds seulement d'un ton monotone:
— Je ne sais pas.
— OK je comprends que c'est bizarre comme situation, mais s'il te plaît ne dis rien pour le moment, on en rediscute quand tu veux, je compte sur toi, on se rejoint à la maison, me dit-elle navrée.
Je reste un moment assis pour reprendre mes esprits et me remettre de toutes ces émotions, je la sens navrée et sincère, je ne veux pas qu'elle ait des problèmes.
Mais en même temps, un sentiment de jalousie, de colère s'empare de moi.
Qu'allaient en penser les autres ? Et si ce n'était pas moi qui l'avais vue, mais un ami de la famille ? Depuis combien de temps est-ce qu'elle a un copain ? Est-ce le premier ?
J'ai le cerveau qui bouillonne, mais ça tombe bien, c'est bientôt l'heure de l'entraînement, ça va me faire du bien.
La suite au prochain chapitre
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pardonnez-moi ma franchise, cette histoire est complètement fade et sans intérêt.