Ma soirée d'hier
Récit érotique écrit par Alan Pietro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma soirée d'hier
Je tiens à vous faire part de ma soirée d’hier. J’ai encore la honte de ce qui m’est arrivé, mais le fait d’en parler ne peut que me faire du bien. Hier soir donc, j'avais quartier libre (je suis militaire, pompier de paris) et j'avais envie de sortir prendre un verre. En civil, je me suis retrouvé dans un bar sympa et j'ai commencé à discuter avec un mec plus jeune que moi. Il m'a ensuite proposé de prendre un dernier verre chez lui. J'ai accepté et je dois vous dire que tous les deux nous étions un peu éméché. Il a commencé petit à petit à me toucher. Il ne me déplaisait pas et je me suis dis qu’après tout pourquoi pas. Mon physique de mec costaud pouvait lui faire penser que j'étais bien membré et je lui ai donc dit que la nature ne m'avait pas gâté de ce côté là et que j'avais une bite minuscule. Je croyais calmer ses ardeurs, mais pas du tout. On s'est désapé et il m'a demandé de le sucer. Il avait une très grosse queue longue et bien épaisse, et j'ai commencé à la prendre dans ma bouche. Je l'ai sucé un long moment tout en touchant ma petite queue. Je pensais qu'il allait jouir et qu’on allait en terminer là. Il me dit qu'il voulait maintenant m'enculer. Je lui dis qu'on pouvait en rester là. Il ne voulait rien savoir et que je n'avais rien à dire. Je n'étais qu'une lope, un sous-homme avec cette bite ridicule. J'étais humilié et je compris que j'étais à sa merci, complètement soumis à lui. Je le suppliais de ne pas me faire mal et de me prendre doucement. Il voulu que je sois à quatre pattes et j'ai senti son énorme bite s'enfonçait lentement en moi. A moitié rentré dans mon cul, il rentra le reste de son membre brusquement, ce qui me fit hurler de douleur. Je lui dis que j'avais très mal et je le suppliais d'arrêter de m'enculer. Il refusa net et continuait à me défoncer, en me mettant de gros coups de butoir, et en me traitant de lopette. Je gueulais, je chialais tout en le suppliant d'arrêter de me baiser. Tout cela le faisait rire et il était de plus en plus excité. A un moment, il retira sa queue et je sentie une délivrance. Je restais un court moment le cul en l'air comme pour apprécier le soulagement. Cela fut de courte durée car il me mit sur le dos, me leva les jambes et me remis sa grosse queue sans ménagement dans mon cul. Il faut dire qu'avec ce qu'il venait de me mettre, mon trou était bien écarté. Dans cette position, il voyait ma toute petite bite et me dit que je ne risquais pas de la lui mettre dans son cul. Que pour un sapeur-pompier, ça la foutait mal de me retrouver la bite au cul et d’être monté comme un môme de cinq ans. J’étais baraqué, le crâne rasé, un look de mec super viril mais en réalité je n’étais qu’une lope complètement passive avec mes quelques petits centimètres entre les jambes. Si mes potes me voyaient en ce moment me faire enculer les jambes en l’air et de voir ainsi le trou de mon cul assailli par une énorme bite de mec en rut, ils n’en reviendraient pas. Pendant encore un très long moment, il me défonça encore le cul, et je continuais à grimacer de douleur. Il n’avait même pas mis de préservatif et je lui dis de ne pas décharger son foutre dans mon cul, de ne pas jouer au con et que cela pouvait être dangereux. A force de me limer, il libéra toute sa copieuse semence, et je sentais son foutre qui m’inondait l’intérieur de mon cul défoncé. Je me sentais maintenant vraiment comme une pauvre lope, et, il avait raison, je n’étais qu’un sous-homme. Pour encore plus me prouver que c’était vrai, alors que sa grosse queue commençait à débander, il prit sa bite et se mit à pisser sur ma gueule et sur ma petite queue. Il m’ordonna que je me branle car il voulait me voir éjaculer. J’ai fini par lâcher mon sperme et me demanda de déguerpir sur le champ. Je suis rentré à la caserne en espérant de passer inaperçu, ce qui fut le cas. Dans ma chambre, je me sentais souillé, violé et sali. J’ai pris une douche et me suis mis au lit en chialant comme môme un long moment dégoûté par ce que je venais de vivre.
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