Ma technique de masturbation habituelle
Récit érotique écrit par Romantic Punisher [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2007 dans la catégorie En solitaire
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Ma technique de masturbation habituelle
Ce soir, il fait un peu frais alors que je suis sur le net comme à
mon habitude. Ca fait déjà deux bonnes heures ou plus même que je lis des
histoires érotiques les enchainant les unes après les autres. Je ne
vois pas le temps passer ! Par la force des choses, entre mes jambes,
c'ést certes encore mou mais déjà bien lubrifié. Je sens mon sexe
suinter sa rosée.
Je vais au lit et tente de dormir. Demain, je dois me lever tôt pour
un jeu vidéo (:nerd:). Ne trouvant pas le sommeil, l'idée de
satisfaire mes envie me trotte dans la tête.
Pour commencer en douceur, je me mets à l'aise jusqu'à être sous le
plus simple appareil (je n'ai qu'un calbut à enlever). Me voilà nu
comme un ver sous mes draps (j'ai viré la couette temporairement) !
Savoir qu'on est nu augmente la tension et les sensations.
Afin de me faire languir histoire d'être bien excité, de la dernière
phalange de mes doigts je joue avec mes tétons. Je les pose légèrement
dessus, les frôle, fais tourner la "pointe" et les tire délicatement
en les pressant. La sensation rappelle un courant électrique voire un
mini mini orgasme. Ma tige ne tarde pas à entrer en érection. Je
décide de toujours faire languir mon corps. Pendant 5 minutes, je me
suis adonné à cette mise en appétit.
Sans me vanter, je pense être assez bien membré ce qui facilite la
prise en main ou en doigts devrai-je dire. Aux dernières mesures, elle
faisait entre 18 et 19 en longueur et pour la circonférence je ne me
suis jamais pris la peine de mesurer, mais en largeur ça fait bien
presque 5cm. Ma technique est assez spéciale, je la prends du bout des
doigts (3 en dessous et le pouce dessus) en évitant si possible le
gland. J'entame le mouvement tout en douceur pour ne pas changer. Mes
jambes sont légèrement écartées et en V (en papillon si tu ne
comprends pas). L'érection se confirme et l'envie d'être plus coquin
également... Je repose ma main en bougeant de haut en bas mon bassin
afin de simuler l'acte de manière à ce que le plaisir soit plus diffus
dans cette partie. Je ne pense à aucune femme, à aucune fille, aucune
image érotique, je me concentre uniquement sur le plaisir que je me
procure. Au fur et à mesure, je sens le plaisir monter, comme un ras
de marée qui approche, mais au loin encore. Changer de position permet
de varier un peu et donc je relève mon buste en m'appuyant avec le
coude (tu vois là ?). Je me glisse entièrement sous la couverture,
tête comprise. De cette manière je peux sentir les éffluves de mon
sexe. Il sent bon. Après déjà 20 minutes, des gouttes de plaisir
s'échappent de mon gland turgescent. J'en porte un peu à ma bouche
pour m'exciter davantage. Mon corps me réclame d'accélérer la cadence, car il me
réclame la jouissance, l'aboutissement suprême, mais je voulais tenir
(j'ai déjà tenu près de 2h30). Alors, le mouvement est toujours très lent, je monte et
descends le long de ma verge. Là, je frôle presque l'orgasme (s'il
devait venir, il serait trop faible). Je marque une pause le temps de
changer de position et me voilà dès à présent assis en tailleur
toujours sous les draps. Dans cette position, le plaisir se concentre
plus dans la queue ce qui amplifie le plaisir. Mon bassin se repose
aussi un peu. Délicatement, je coulisse la peau de mon sexe et rien
que de l'imaginer (il fait sombre) m'envoute encore plus. De plus, mon
gland est inondé de rosée d'amour et son odeur se mêle à celle de la
transpiration. Ca sent le mâle en rut ! C'est dingue, mais j'aime
sentir ce qu'on pourrait qualifier de crade en temps normal. De temps
à autre, je pose mon autre main sur la base de mon pieu ce qui, avec
le contact entre mes doigts et mes bourses, crée un petit je ne sais
quoi. Le plaisir a l'air moins bon, je continue d'une main. Je décide
de bouger mon bassin ce qui a pour effet de tendre mes cuisses ce qui
crée une petite tension très
agréable, même trop ! Ca va venir ! Je me calme en arrêtant
temporairement même si j'y arrive difficilement et en restant toujours
assis, mais variante cette fois : les
jambes allongées, l'une contre l'autre. Après quelques minutes à
gigoter ainsi, je suis sur le point de jouir. Depuis longtemps, j'ai
appris à me contrôler en frôlant le point de non-retour. Le plaisir
est quasiment à son paroxysme ! Parfois, mon sexe me fait un peu mal.
Un désir trop fort et mon pieu qui en veut plus sans doute. Je respire
en haletant, une intense chaleur envahit la région de mon sexe. Dieu
que c'est bon ! Je me dis qu'il n'existe rien de mieux pour se
détendre. Je dois encore tenir ! Je dois être vers 30 ou 40 minutes
parce que regarder l'heure dans mon état est peu évident. Le plaisir
se faisant trop intense, je sens ma queue se raidir d'un coup, signe
qu'il faille s'arrêter sinon l'orgasme est inéluctable. Je reprends
mes esprits un instant en reprenat appui sur le coude. J'ai tellement
mouillé à ce stade que régulièrement je savoure mon jus. A la fois
insipide et un goût prononcé (mon imagination?), je le trouve
délicieux. Le miel parait moins bon, mais là c'est l'excitation qui me
fait délirer. Je suis drogué. Un peu blasé par les techniques
précédentes et voulant continuer, il me fallait du nouveau. Seulement,
je ne savais pas quoi tenter. Je me souviens avoir lu sur le net, que
les filles peuvent accroître l'orgasme en serrant leurs talons l'un
contre l'autre juste avant d'y parvenir. En restant assis, les jambes
en papillon, je serre très fort les talons. L'effet est le même
qu'assis en tailleur additionné à celui des les jambes allongées et
serrées ! La tension au niveau de l'entrejambe est forte ce qui
décuple le plaisir. A ce moment, je suis comme déchainé, j'oublie tout
et je me laisse aller. Même mon rythme s'accélère ! Je me freine tant
bien que mal. Je pousse même des petits soupirs tellement c'est divin.
Je suis là, transpirant de partout, mon sexe gluant et ce quasi
orgasme permanent qui brûle mon bas ventre. Si quelqu'un venait à
pousser la porte ma chambre, je serais mal. Pourtant, je veux encore
prolonger mes ébats solitaires. Il s'en suit une très courte pause
parce que j'ai envie de jouir, d'avoir ce plaisir intense qui plonge
mon esprit dans le vague. Il est tout proche attendant que je daigne
le laisser venir. Ca bouillonne, je sens le sperme chaud se
presser, mes bourses sont remontées (depuis un moment) et bien serrées
contre la verge. Je suis dans l'incapacité d'arrêter, même si on me
suprenait, je crois que j'aurais continué ou joui sous l'effet de la
surprise. Le rythme allant plus vite, j'ai tout de même réussi à le
ralentir un peu. Je sens que je vais laisser venir. Je me penche en
avant faisant un dos rond afin de serrer encore plus au niveau de
l'aine. J'y suis presque, plus que quelques secondes. Le soulagement
arrive enfin ! Un tsunami déferle en moi, mon corps tremble
entièrement, les muscles se relâchent alors qu'une forte chaleur
douce, agréable et violente à la fois m'envahit. L'émotion si forte me
fais pousser un gémissement étouffé. Etonnament, l'orgasme dure déjà
depuis près de 3 secondes, je sens des petits picotements un peu
partout et mon foutre n'est expulsé qu'après à grands coups, par
saccades. Le sperme qui sort de ma verge procure une sensation
comparable à un tissu qu'on sortirait de mon urètre. Mon corps est
raide pendant que j'éjacule sur ma main et sur le lit car je ne
contrôle rien. Je lèche vite un peu de ma sauce avant que la
jouissance ne soit totalement finie. Me voilà, soulagé et heureux (les
endorphines?) ! Cet orgasme de près de 7 secondes je crois fût un réel
bonheur. J'essuie ma semance, réenfile mon calbut, regarde l'heure
(j'ai tenu un peu plus d'une heure, pas mal mais l'orgasme était le
plus intense de ma vie en solo) et tente de dormir. Je n'ai toujours
pas sommeil et cette nouvelle technique me redonne envie. Ca s'annonce
difficile parce que mon sexe était
encore sous le choc de ce violent orgasme qu'il a subi. Je laisse
glisser la culotte sur mes chevilles et c'est reparti ! La tension est
bien là, mais ça brûle un peu... La sensation est excellente même si
inférieure à l'instant d'avant. Histoire de me satisfaire une seconde
fois et de vite dormir (il est 5h20 !), j'entreprends de m'astiquer le
gland tout en me caressant. L'odeur de sperme aidant et imaginant
cette fois des scènes érotiques (pour y arriver plus facilement), je
laisse mon index se balader sur mon gland, jouer avec mon frein, ne
négligeant aucune zone de mon bourgeon. Je m'imagine faisant l'amour à
une ancienne prof de sport ce qui m'excite terriblement. Très vite, je
suis à nouveau tétanisé pendant 4 secondes avec un peu de foutre qui
s'écoule. L'orgasme est bon pour une seconde fois qui aura duré 11
minutes. Parfois mon unique orgasme lors d'une séance est beaucoup
moins fort. Je suis reposé, j'ai chaud, joyeux et je peux dormir,
enfin...
mon habitude. Ca fait déjà deux bonnes heures ou plus même que je lis des
histoires érotiques les enchainant les unes après les autres. Je ne
vois pas le temps passer ! Par la force des choses, entre mes jambes,
c'ést certes encore mou mais déjà bien lubrifié. Je sens mon sexe
suinter sa rosée.
Je vais au lit et tente de dormir. Demain, je dois me lever tôt pour
un jeu vidéo (:nerd:). Ne trouvant pas le sommeil, l'idée de
satisfaire mes envie me trotte dans la tête.
Pour commencer en douceur, je me mets à l'aise jusqu'à être sous le
plus simple appareil (je n'ai qu'un calbut à enlever). Me voilà nu
comme un ver sous mes draps (j'ai viré la couette temporairement) !
Savoir qu'on est nu augmente la tension et les sensations.
Afin de me faire languir histoire d'être bien excité, de la dernière
phalange de mes doigts je joue avec mes tétons. Je les pose légèrement
dessus, les frôle, fais tourner la "pointe" et les tire délicatement
en les pressant. La sensation rappelle un courant électrique voire un
mini mini orgasme. Ma tige ne tarde pas à entrer en érection. Je
décide de toujours faire languir mon corps. Pendant 5 minutes, je me
suis adonné à cette mise en appétit.
Sans me vanter, je pense être assez bien membré ce qui facilite la
prise en main ou en doigts devrai-je dire. Aux dernières mesures, elle
faisait entre 18 et 19 en longueur et pour la circonférence je ne me
suis jamais pris la peine de mesurer, mais en largeur ça fait bien
presque 5cm. Ma technique est assez spéciale, je la prends du bout des
doigts (3 en dessous et le pouce dessus) en évitant si possible le
gland. J'entame le mouvement tout en douceur pour ne pas changer. Mes
jambes sont légèrement écartées et en V (en papillon si tu ne
comprends pas). L'érection se confirme et l'envie d'être plus coquin
également... Je repose ma main en bougeant de haut en bas mon bassin
afin de simuler l'acte de manière à ce que le plaisir soit plus diffus
dans cette partie. Je ne pense à aucune femme, à aucune fille, aucune
image érotique, je me concentre uniquement sur le plaisir que je me
procure. Au fur et à mesure, je sens le plaisir monter, comme un ras
de marée qui approche, mais au loin encore. Changer de position permet
de varier un peu et donc je relève mon buste en m'appuyant avec le
coude (tu vois là ?). Je me glisse entièrement sous la couverture,
tête comprise. De cette manière je peux sentir les éffluves de mon
sexe. Il sent bon. Après déjà 20 minutes, des gouttes de plaisir
s'échappent de mon gland turgescent. J'en porte un peu à ma bouche
pour m'exciter davantage. Mon corps me réclame d'accélérer la cadence, car il me
réclame la jouissance, l'aboutissement suprême, mais je voulais tenir
(j'ai déjà tenu près de 2h30). Alors, le mouvement est toujours très lent, je monte et
descends le long de ma verge. Là, je frôle presque l'orgasme (s'il
devait venir, il serait trop faible). Je marque une pause le temps de
changer de position et me voilà dès à présent assis en tailleur
toujours sous les draps. Dans cette position, le plaisir se concentre
plus dans la queue ce qui amplifie le plaisir. Mon bassin se repose
aussi un peu. Délicatement, je coulisse la peau de mon sexe et rien
que de l'imaginer (il fait sombre) m'envoute encore plus. De plus, mon
gland est inondé de rosée d'amour et son odeur se mêle à celle de la
transpiration. Ca sent le mâle en rut ! C'est dingue, mais j'aime
sentir ce qu'on pourrait qualifier de crade en temps normal. De temps
à autre, je pose mon autre main sur la base de mon pieu ce qui, avec
le contact entre mes doigts et mes bourses, crée un petit je ne sais
quoi. Le plaisir a l'air moins bon, je continue d'une main. Je décide
de bouger mon bassin ce qui a pour effet de tendre mes cuisses ce qui
crée une petite tension très
agréable, même trop ! Ca va venir ! Je me calme en arrêtant
temporairement même si j'y arrive difficilement et en restant toujours
assis, mais variante cette fois : les
jambes allongées, l'une contre l'autre. Après quelques minutes à
gigoter ainsi, je suis sur le point de jouir. Depuis longtemps, j'ai
appris à me contrôler en frôlant le point de non-retour. Le plaisir
est quasiment à son paroxysme ! Parfois, mon sexe me fait un peu mal.
Un désir trop fort et mon pieu qui en veut plus sans doute. Je respire
en haletant, une intense chaleur envahit la région de mon sexe. Dieu
que c'est bon ! Je me dis qu'il n'existe rien de mieux pour se
détendre. Je dois encore tenir ! Je dois être vers 30 ou 40 minutes
parce que regarder l'heure dans mon état est peu évident. Le plaisir
se faisant trop intense, je sens ma queue se raidir d'un coup, signe
qu'il faille s'arrêter sinon l'orgasme est inéluctable. Je reprends
mes esprits un instant en reprenat appui sur le coude. J'ai tellement
mouillé à ce stade que régulièrement je savoure mon jus. A la fois
insipide et un goût prononcé (mon imagination?), je le trouve
délicieux. Le miel parait moins bon, mais là c'est l'excitation qui me
fait délirer. Je suis drogué. Un peu blasé par les techniques
précédentes et voulant continuer, il me fallait du nouveau. Seulement,
je ne savais pas quoi tenter. Je me souviens avoir lu sur le net, que
les filles peuvent accroître l'orgasme en serrant leurs talons l'un
contre l'autre juste avant d'y parvenir. En restant assis, les jambes
en papillon, je serre très fort les talons. L'effet est le même
qu'assis en tailleur additionné à celui des les jambes allongées et
serrées ! La tension au niveau de l'entrejambe est forte ce qui
décuple le plaisir. A ce moment, je suis comme déchainé, j'oublie tout
et je me laisse aller. Même mon rythme s'accélère ! Je me freine tant
bien que mal. Je pousse même des petits soupirs tellement c'est divin.
Je suis là, transpirant de partout, mon sexe gluant et ce quasi
orgasme permanent qui brûle mon bas ventre. Si quelqu'un venait à
pousser la porte ma chambre, je serais mal. Pourtant, je veux encore
prolonger mes ébats solitaires. Il s'en suit une très courte pause
parce que j'ai envie de jouir, d'avoir ce plaisir intense qui plonge
mon esprit dans le vague. Il est tout proche attendant que je daigne
le laisser venir. Ca bouillonne, je sens le sperme chaud se
presser, mes bourses sont remontées (depuis un moment) et bien serrées
contre la verge. Je suis dans l'incapacité d'arrêter, même si on me
suprenait, je crois que j'aurais continué ou joui sous l'effet de la
surprise. Le rythme allant plus vite, j'ai tout de même réussi à le
ralentir un peu. Je sens que je vais laisser venir. Je me penche en
avant faisant un dos rond afin de serrer encore plus au niveau de
l'aine. J'y suis presque, plus que quelques secondes. Le soulagement
arrive enfin ! Un tsunami déferle en moi, mon corps tremble
entièrement, les muscles se relâchent alors qu'une forte chaleur
douce, agréable et violente à la fois m'envahit. L'émotion si forte me
fais pousser un gémissement étouffé. Etonnament, l'orgasme dure déjà
depuis près de 3 secondes, je sens des petits picotements un peu
partout et mon foutre n'est expulsé qu'après à grands coups, par
saccades. Le sperme qui sort de ma verge procure une sensation
comparable à un tissu qu'on sortirait de mon urètre. Mon corps est
raide pendant que j'éjacule sur ma main et sur le lit car je ne
contrôle rien. Je lèche vite un peu de ma sauce avant que la
jouissance ne soit totalement finie. Me voilà, soulagé et heureux (les
endorphines?) ! Cet orgasme de près de 7 secondes je crois fût un réel
bonheur. J'essuie ma semance, réenfile mon calbut, regarde l'heure
(j'ai tenu un peu plus d'une heure, pas mal mais l'orgasme était le
plus intense de ma vie en solo) et tente de dormir. Je n'ai toujours
pas sommeil et cette nouvelle technique me redonne envie. Ca s'annonce
difficile parce que mon sexe était
encore sous le choc de ce violent orgasme qu'il a subi. Je laisse
glisser la culotte sur mes chevilles et c'est reparti ! La tension est
bien là, mais ça brûle un peu... La sensation est excellente même si
inférieure à l'instant d'avant. Histoire de me satisfaire une seconde
fois et de vite dormir (il est 5h20 !), j'entreprends de m'astiquer le
gland tout en me caressant. L'odeur de sperme aidant et imaginant
cette fois des scènes érotiques (pour y arriver plus facilement), je
laisse mon index se balader sur mon gland, jouer avec mon frein, ne
négligeant aucune zone de mon bourgeon. Je m'imagine faisant l'amour à
une ancienne prof de sport ce qui m'excite terriblement. Très vite, je
suis à nouveau tétanisé pendant 4 secondes avec un peu de foutre qui
s'écoule. L'orgasme est bon pour une seconde fois qui aura duré 11
minutes. Parfois mon unique orgasme lors d'une séance est beaucoup
moins fort. Je suis reposé, j'ai chaud, joyeux et je peux dormir,
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