Ma vie 13

- Par l'auteur HDS Conteur -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Ma vie 13 Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma vie 13
Il a regardé encore la canule et s’est mis sur trois pattes dans la baignoire, la quatrième ajustant la canule et forçant.

Il a dû vraiment forcer et c’était beau à voir, d’un coup le plus épais est entré lui faisant pousser un petit cri. La suite étant chromée l’a pénétré sans peine.

Je vais ouvrir l’eau qui va remplir tes boyaux et faire ressortir par le coté tes matières qui restent dans l’intestin. Inutile de te crisper tu ne sentiras pas grand-chose. L’eau lui remplissait le colon et sortait par les côtés avec de petits bouts de matières qui passaient entre ses cuisses pour aller à la bonde. Comme ça tu seras propre et pourras me sucer après avoir eu ma bite dans ton cul.

-De suite monsieur ?

Oui tu as de belles fesses comme un appel à la queue. Douche-toi. Je me suis déshabillé et lui ai demandé de me laver aussi. Il a vu ma queue raide. Pas énorme mais imposante pour un puceau. Il n’a pas de tout de suite osé la laver mais une fois lui-même couvert de mousse il a touché mon pubis lisse. Elle est propre de ce matin alors nettoie là avec la bouche et ta langue.

-Elle sent un peu le pipi.

Et alors, l’urine sort aussi de ma queue, habitue-toi au goût. Je l’ai tiré sur mon gland et il l’a pris en bouche. Accroupi je jouais avec un pied sur ses boules en me faisant pomper. Ce petit mec avait des envies à combler.
Je ne t’ai pas dit de sucer mais de laver. Je me suis retourné. Lave aussi mes fesses de ta langue. Il a eu un petit recul mais vu que j’étais épilé il a léché.
C’est bien tu es un bon petit bâtard maintenant on se rince.

Une fois sorti je l’ai fait m’essuyer, laissant la place à Will. Pendant qu’il m’essuyait je lui ai mis au cou un collier de cuir noir avec de petites boursouflures à l’intérieur.
Essuie-toi et rejoins-moi pour t’habiller et aller manger.

Dans la penderie J’avais mis deux costumes pour le travail et des jeans pour Will et Kurt. Dès son arrivé nu je lui ai tendu un string ficelle rouge et un jean taille basse. Une fois enfilé je lui ai passé des tennis. Pour les mettre il a dû se pencher et j’ai souri en voyant la ceinture et la ficelle disparaître dans le jean. Pour finir j’ai choisi un tee-shirt assez serré qui mettait en valeur ses petits tétons. Will est arrivé, nu aussi pour s’habiller et lui aussi a eu un jeans taille basse mais sans slip ce qui ne m’a pas surpris mais je le savais sensibles des seins et il a dû enfiler un pull léger mais qui le gratterait. Moi j’avais enfilé un pantalon en jean avec une chemisette et des mocassins. Un pull sur les épaules et on est descendus voir le mec de l’accueil.

Bonjour, un bar à nous conseiller avant de manger ?

-Dans le quartier il y en a plusieurs qui devraient vous intéresser vu les tenues de vos jeunes j’ai prévu une liste avec des restaurants. Les plus « chauds » en premier et certains font restaurant. J’ai aussi quelques cartes à distribuer avec le nom de notre bière et votre logo sur le côté. Faites-vous reconnaître et voyez le patron. Dès que nous aurons reçu des échantillons en quantité on en donnera aux intéressés.

Vous restez ici toute la nuit ?

-Non, je suis remplacé mais voici un badge qui passé devant le lecteur de la porte vous ouvrira.

Bien bonne nuit nous allons voir quelques adresses.
Les noms étaient explicites, Boy, boy, boy. Toutou bar. Mec à mecs et ainsi de suite. Le plus proche était le mec à mecs avec une petite vitrine, un bar minuscule et un escalier descendait. Je suis entré suivi de mes deux amis de sexe, vite reconnus par le serveur à leurs tenues.

-Descendez, il y a plus de monde en bas et c‘est plus sympa. Ce soir on a une fête mais vous serez bien accueillis. En disant ça il a eu un sourire et matait le jean de Kurt. Un peu descendu sur les hanches on voyait la ficelle du string.
En bas régnait une ambiance d’enfer autour et sur le bar. La musique assez forte tonnait l’amour et des mecs s’embrassaient à bouche que veux-tu.
Pour rigoler j’ai demandé une de mes bières au barman.

-Ha on n’a pas celle-là, désolé.

Pas grave pour le moment on prendra une bouteille de champagne s’il y a un coin quelque part où se caser.

-Allez par là-bas je ferais de la place.

J’ai guidé Kurt la main sur ses fesses vers le coin désigné. Il n’a même pas pensé à se dégager, l’ambiance était folle. Dans des recoins des mecs se suçaient appuyés contre le mur. Sur une table un mec appuyé sur le torse fesses nues se faisait ramoner. Le serveur est arrivé et tout naturellement leur a demandé de se déplacer et a posé le plateau avec le seau, les verres et a débouché la bouteille.

Le patron est là ?

-Il est occupé lui aussi dans un coin je lui ferais signe. Un grand brun.

On a bu nos coupes, Kurt fasciné par tout ce qu’il voyait a vidé son verre rapidement et pendant qu’il matait j’avais passé le bras autour de son cou et titillait un de ses tétons qui a durci. Il a pris ma main et la relevant y a déposé un bisou.
Avec son accent à couper au couteau il a dit découvrir qu’il aimait tout de moi et voulait aller bien plus loin avant de poser la tête sur mon épaule.

Le patron est arrivé et je lui ai dit qui j’étais et ce que j’allais présenter sous peu disant que j’allais lui fournir une caisse en échantillon.

-J’aime bien la bière allemande mais le problème avec c’est la teneur en alcool.

Tu goûteras et je ne pense pas que tu seras déçu. Je lui ai laissé ma carte et là d’un coup il a réalisé.

-C’est toi sur les affiches de pub qui inondent le coin. Je te reconnais. Passe quand tu veux avec ou sans tes potes.

Je m’en rappellerais.

Il a soulevé la bouteille, constaté qu’elle était presque vide et a fait un signe au serveur en la finissant dans nos verres.

Le mec est revenu avec une autre bouteille et un verre.

-Celle-là c’est pour moi. Et toi Jean rappelle-toi de ce mec ! Il en a ! Il a éclaté de rire. Belle pub en tout cas mais ce sera dur de sortir sans être reconnu.

C’est fait pour. On a tous trinqué il a bu son verre et nous a laissé sur un salut tonitruant.

Une fois la bouteille finie il a fallu sortir et trouver un restaurant assez vite car l’estomac vide de Kurt le faisait vaciller. Heureusement le coin n’en manquait pas et c’est à une terrasse que l’on s’est installé. J’ai commandé d’office du consistant pour Kurt et pour Moi et Will un plateau de fruit de mer. Visiblement la clientèle était gay, lesbiennes et homos mêlés formaient la majeure partie, l’autre était plus des curieux et des touristes voyeurs. Kurt se retapait et reprenait de l’allant. J’ai senti son pied contre mon mollet assorti d’un clin d’œil.
Quelques clients dans son dos mataient la ficelle du string en souriant. Sans nappe ils voyaient son manège et son collier ne trompait personne.

Will a pouffé. Dans le plateau quelques moules baillaient. C’est la première fois que je vois une moule de si près et baveuse qui plus est.
Il avait parlé un peu fort et certains ont souris.

Je suis allé au bar et demandé le patron me présentant et lui donnant ma carte.

-Ah oui ! J’ai vu les affiches vous lancez une nouvelle bière ?

Tout à fait avec un petit goût qui devrait plaire aux mecs.

-Ceux qui en ont. Oui c’est explicite.

Je recevrais sous peu des échantillons et vous en ferais livrer une caisse vous pourrez l’apprécier et la faire goûter.

-Sans problème et ici les mecs qui en ont, ils sont nombreux.

J’ai payé les repas et refusé le petit verre offert, prétextant l’état de Kurt. De retour à la table j’ai laissé ma carte et un pourboire pour le serveur plutôt mignon d‘ailleurs.

Pour ce soir ça suffit. Un peu de repos fera du bien. Will tu as une chambre en face, laisse la porte ouverte si j’ai besoin de ton aide et toi Kurt vient dans la mienne.
Le décorateur avait bien fait les choses et il y avait de nombreux miroirs aux murs et plafond.

Kurt, je sais par Bruno que tu as des goûts de soumissions avancés et j’irais dans ce sens. Mets-toi nu.

Il a obéi sans un mot.

Maintenant occupe-toi de me déshabiller. Je me suis assis, levant une jambe. Commence par cette chaussure et cette chaussette que tu retireras avec les dents. Nu, je ne pouvais pas rater sa queue qui se tendait. Et il a reniflé un moment la chaussette. J’ai passé les orteils sur sa bouche qu’il a ouvert pour lécher.
Passe à l’autre.
Cette fois avec mon pied nu je frottais son sexe, des couilles au gland qui pointait.

Une fois les deux pieds nus et léchés je lui ai fait ôter ma chemise bouton par bouton et je me suis levé, le laissant défaire la ceinture et le zip. Le pantalon est tombé à mes pieds. Je me suis trouvé en jockstrap. J’ai bien vu à son regard qu’il était surpris mais Je bandais et ça tirait le tissu sur le devant. Debout devant lui à genoux, je l’ai relevé en tirant les bouts de seins. Il grimaçait mais tardait volontairement à se relever exprimant son désir de souffrance. J’ai pincé un peu plus fort amenant sa bouche à hauteur de la mienne.

Mets tes mains dans le dos ! Une fois menotté je l’ai renversé ventre sur le lit. J’ai écarté ses cuisses grandes ouverte et j’ai frotté mon gland dans sa raie.

-Oui, prenez-moi.

C’est mon intention. A sec évidemment. Tu vas crier mais ça je m’en fiche. Mon plaisir c’est ta souffrance. Après quelques claques sur les cuisses son anus palpitait et je l’ai pointé du gland qui avait toujours l’anneau juste derrière et j’ai poussé. Il a crié, se voyant dans les glaces. J’ai vraiment dû forcer mais ma queue a pu quand même ouvrir son cul vierge de bites d’hommes. J’ai vu ses yeux s’agrandir quand le gland est passé et sa tige perler un peu de bave. Bien au fond, collé à son trou, je lui ai fait lécher mes doigts pour l’apaiser. Il était fait pour se sentir rabaissé, humilié.
Je me suis dégagé, ses humeurs facilitant la sortie.
Aller tourne toi que je vois ta tronche quand je t’encule comme la chienne que tu es.
De face ses fesses étaient belles, fermes, bien dessinées avec une fente qui remontait presque jusqu’au reins. Ma queue graissée par ses humeurs n’a eu aucun mal pour s’y installer. J’ai pris sur la table de nuit la laisse en maillon de métal que j’ai accroché au collier. Appuyant sur ses reins je lui ai fait creuser le dos. Cette fois je l’ai labouré comme un champ, retournant les bords de son anus à chaque coup de reins. Il couinait comme une bonne chienne. J’ai tiré sur la laisse pour qu’il voie sa tronche quand il se faisait baiser. Des larmes sur les bords des yeux.
Tu as mal ou c’est du plaisir bâtard ?

-Les deux, monsieur.

Quand tu es ici ou quand je te veux chienne, tu m’appelles maître. Compris ?

-Oui maître.

Je n’ai pas joui mais suis sorti de son cul pour aller chercher une badine qui lui a fait briller les yeux. J’ai commencé par de petits coups réguliers sur la plante des pieds avant de frapper par surprise les fesses offertes à moi. Cette fois c’était par à coup pas du tout réguliers accompagnés par ses petits cris. J’ai lâché la badine pour saisir sa queue ferme et raide, collée au ventre pour tirer un maximum le gland en arrière et le branler avec de petits coups de la paume sur les couilles. Au moment où je l’ai senti près de jouir J’ai délaissé son sexe pour m’introduire d’un coup au fond de ses fesses. J’ai donné de grands coups de reins à la limite de sortir du cul pour m’y renfoncer et j’ai explosé au fond de lui.

Je ne sais pas ce qui l’avait excité le plus mais ce con avait giclé sur lui sans se toucher, les mains toujours dans le dos.
Je me suis tourné pour me mettre devant lui.
Lèche ma queue salope !

Il a tout de suite obéi après m’avoir remercié.

Bruno avait raison ce mec était un vrai maso et bien salope. Dans un coin une table basse m’a donné une idée et j’ai détaché ses mains.

Va t‘allonger le ventre sur la table. J’ai saucissonné ses poignets aux deux pieds et le tirant en arrière et j’ai fait de même avec les cuisses. Enfin j’ai glissé un coussin sous son ventre pour relever ses fesses et les ouvrir. Le dos tourné vers la porte il ne verrais pas qui entrerait.

Tu vas dormir comme ça ce soir moi le voyage et la conduite m’ont crevé et le grand lit va me convenir.

-Maître ! Je sens votre jus qui sort et coule sur mes couilles.

Et alors, tu es un enculé maso tu te laveras demain. Je me suis allongé dans le grand lit et peu après je me suis endormi.
Le téléphone m’a réveillé.

-Bonjour patron, je me permets de vous réveiller il est dix heures et on est en train d’installer le panneau d’identification de notre bière.
Ho merde. Pardon je me réveille, en effet je n’ai pas vu l’heure. Je m’habille et je descends.
Je me suis vêtu rapidement, jetant un œil sur Kurt réveillé lui aussi, les fesses avec des races de sperme séchés. Je reviens ou je t’envoie Will pour bien te réveiller.

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