Ma vie 13

- Par l'auteur HDS Conteur -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Ma vie 13 Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma vie 13
Je suis descendu vite fait pour voir le panneau publicitaire monter sur la façade avec ma tronche dessus bien reconnaissable et le slogan « pour ceux qui en ont » à coté sous le nom de la marque.
Le Public relation avait fait du bon travail et quelques micros de radios amies se tendaient. J’ai expliqué rapidement que cette bière était différente et que la gouter c’était déjà l’aimer par des arômes subtils et dosés. Remerciant également tout le travail fait en amont à Munich et les gens qui travaillaient ici et aller y travailler là et dans les entrepôts.

Tout le monde du marais éveillé était là et il y a eu quelques applaudissements.
Je suis remonté. Devant la porte de ma chambre Will interdisait à un mec de pénétrer. J’ai compris que ce serait lui l’assistant personnel choisi par Bruno et entre sourires, j’ai écarté Will.

Entre mec. Will, il a le droit c’est l’assistant personnel choisi par Bruno. Tu te tais sur ce que tu vois bien sûr. Et tu emmènes Kurt. Détache cette larve qui bande dès qu’elle voit un mâle, et fait là se vider.

Une fois seul le mec m’a dit d’une voix grave :

-Bruno m’a chargé aussi d’entretenir votre cul en attendant ses passages.

Ah. Là je n’étais pas au courant.

-Personne n’a besoin de l’être. Juste de l’entretient.

Ce n’est pas plus rassurant sans voir l’objet de l’entretient.

Il était un peu plus grand que moi mais plus mince je pense. Une fois la pièce vide il m’a donné les consignes reçues de Bruno.

-Je ne suis ici que pour des relations sexuelles, aucun geste d’amour. Seul l’amour de ma queue doit compter pour toi. Si je suis seul avec toi pour un bon moment, ta seule tenue sera une mini-jupe très courte. Je devrais voir le bout de ta queue dépasser et jamais soulever le tissu. Sinon ce serait une correction appliquée à la cravache sur tes fesses. Qu’attends-tu pour te mettre nu ?

Oui pardon. Tout en me déshabillant j’ai demandé son prénom pour les moments où je ne serais pas seul.

-Franz. Et ne perds pas de temps. Sors ma queue.

Il était maigre mais quel sexe. Même au repos il remplissait bien le boxer et à genoux devant lui, j’en étais à me demander si je n’allais pas couiner comme une truie. Dès que je l’ai eu en main elle a commencé à grossir mais de la base, restant en pointe qui sortait du capuchon.

-Au travail petite chienne Bruno m’a averti que je n’avais pas à te pousser et que t’étais du genre saute au paf. Alors suce pour commencer, montre bien que tu aimes la bite, je sais que plus elle sera raide et grosse et plus tu aimeras. Je sais aussi que tu aimes être appelée chienne ou salope ou pute à bites.

Rien à dire Bruno l’avait bien briffé sur moi. Et j’ai attaqué sa queue comme un affamé. Trop vite d’ailleurs car elle a buté sur ma luette et j’ai cru vomir. Je me suis retenu dans un hoquet. Il a pris mes cheveux pour imposer sa cadence.

-Ne t’affoles pas, tu l’auras tout entière dans ton cul. Je l’assouplirais régulièrement. Et je ne m’arrêterais pas au premier jus.
Il m’a tiré vers le lit et s’est assis me tenant bien entre ses cuisses et palpant mon trou sans manière il m’a dit que j’avais un cul à grosses bites.

-Rien que de te mettre un doigt tu baves alors tu vas lécher mes doigts comme une bite et je t’enfilerais après.
J’étais affolé de désir et j’ai léché ses doigts. Il me fixait souriant.

-Tourne toi et mets la tête par terre, écarte tes fesses à deux mains.

Je me sentais obscène mais j’ai pris la pose et j’ai vite senti le gland qui entrait.

-Recule de toi même sur ma queue. Force s’il faut mais je veux que tu sentes mes couilles contre les tiennes.

Pour forcer j’ai forcé à croire qu’il me déchirait le cul quand enfin j’ai senti ses boules. Je n’avais jamais été autant ouvert.

-Tu vois quand tu veux. Maintenant petit enculé je vais te baiser comme une lopette.

Il a pris un peu de recul avec sa bite pour aller taper au fond de moi. Il avait prévu et m’a mis un bâillon boule sorti de sa poche pour éviter mes cris de gorets. Il a ramoné longuement comme le piston d’une locomotive ne s’arrêtant que le temps de sursauts de sa queue avant de reprendre ses coups de pistons mécaniquement.

-Tu as un bon cul de pute. Au pire, tu pourras faire le tapin si Bruno te vire. Je serais ton maquereau. Aller je vais me vider pour la deuxième dose. Je prendrais une photo de ton cul pour Bruno et de ta tronche. Tu pourras le remercier. J’enverrais ça plus tard.

D’un coup sec il est allé encore plus loin pour se vider et m’a laissé en place cul ouvert le temps de la photo et de face pour remercier Bruno.

-Je passerais de temps en temps te faire la chatte. J’ai un bureau pas loin du tien mais j’ai aussi une clé d’accès aux anciennes carrières de Paris ou je t’emmènerais pour te baiser sans bâillon. Quand tu me verras tu sauras ce que j’attends de toi. Il a remonté son froc et il est sorti par l’entrée. Me laissant nu, non pas honteux ni même endolori. Plutôt satisfait de ce qui venait de se passer. J’ai enfilé une robe de chambre pour rejoindre Will et Kurt.

-Alors il est comment l’assistant ?

On devrait s’entendre. Kurt a vidé son cul ?

-J’ai été forcé d’utiliser du déodorisant.

Bien. Tu sais taper à la machine Kurt ?

-Oui comme tous ceux qui ont un ordinateur.

Je vais t’affecter au courrier. Il va y en avoir de partout je pense. Tu es trilingue ?

-Français et allemand sur, oui. Anglais je me débrouille.

Bon tu dormiras à côté de la terrasse il y a un recoin aménagé. Pour ta tenue, des shorts, courts évidemment et des tee-shirts de la marque. Will va te trouver une pièce pour bosser. Tu n’ouvres aucuns des courriers adressés directement à moi venant de Bruno. Aller filez, je prends une douche et prends ma tenue de directeur.

Peu après à mon bureau le téléphone a sonné, c’était Bruno.

-J’ai vu la photo de ton cul, superbe et j’ai apprécié ton remerciement. J’avais vu sur le net la queue de Franz et j’ai tout de suite pensé à toi. Il baise bien ?

Un vrai bourrin ! Une machine à baiser et une queue énorme.

Bien je suppose que tu en es content.

J’aime quand c’est toi. Toi tu me fais l’amour, lui il baise. Pour tout dire j’aurais couiné sans le bâillon boule.

-On envoie les premiers emballages, les premiers pour les patrons intéressés et les faire goûter à leurs clients. J’ai trouvé un entrepôt sur le port de St Denis. Tu iras le visiter. Je pense l’endroit idéal. Mon père a retrouvé la forme et un mec donc tout va bien ici. Je passerais surement mais je suis un peu débordé en ce moment.

Pas de problèmes trouve toi des assistants compétents pour te remplacer un peu et viens vite tu sais que je t’aime.

-Bien sûr, si moi je ne t’aimais pas aussi, tu n’aurais pas ce poste aussi important et les retrouvailles n’en seront que meilleures. Chaque fois sera la première.

Mais, tu es au courant des désirs de Franz ?

-L’idée d’aller dans les souterrains en mini-jupe ample ? Oui on en a parlé et je suis que tu vas en être affolé.

Je t’aime mais c’est salaud, j’en bande malgré qu’il m’ait fait jouir deux fois quand il était là.

-Résiste mon amour, fais comme moi. Bises sur ta queue et je vais faire mon possible pour venir vite.

Bises et il a raccroché.

Je me suis habillé et avec un pantalon ample sur un slip on ne devinait pas que je bandais encore. A mon bureau, juste en dessous des tas de papiers à signer, surtout des lettres aux commerçants du quartier et déjà quelques factures m’attendaient. J’ai vérifié par le net mais le compte de la société avait été approvisionné Et j’ai informé le comptable de régler ces factures mais de toujours m’avertir avant. J’avais aussi le mail de Bruno me donnant l’adresse de l’entrepôt.
Impatient de tout connaître je suis passé voir Franz au bureau d’à côté.
Tu connais le port de Saint Denis et ses entrepôts ?

-Comme ma poche oui. Vous y allez ?

Je veux tout savoir sur ce qui appartient à la société.

-Je vous accompagne, je conduirais et il y a certaines choses à mettre au point entre nous.

-Ne mettez pas de veste il fait bien assez chaud. Il faut aussi que je vous fasse découvrir une boutique avant que vous soyez trop connu.

J’étais en chemise ouverte sans cravate et on est descendu au garage après avoir prévenu Will.
Son aisance au volant pour sortir la voiture m’a surpris. On n’a pas eu beaucoup de chemin à faire avant de s’arrêter.

-Premier point. Tu ne me tutoies plus. On va dans un magasin spécialisé pour les chiennes comme toi. Moi je n’ai besoin de rien ma queue justifie mon statut, mais toi il faut t’équiper. Aller vient. Je suis sorti me demandant ce qu’il allait imposer.

Les mecs qui tournaient autour de la boutique étaient plutôt vêtus en cuir et dès l’entrée un vendeur a salué Franz.

-Salut. De retour à Paris ?

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