Ma vie 14

- Par l'auteur HDS Conteur -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Ma vie 14 Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma vie 14
-Oui et j’ai besoin d’équiper ce bâtard mais il faut avoir un salon pour prendre les mesures de tout !

-Ok je vois, viens par là il a ouvert un rideau devant nous le refermant derrière.

-Bon tu le dresses ou déjà dressé ?

-Je pense que tu vas vite comprendre. Fous toi à poil la chienne.

Intimidé mais j’assumais j’ai tout ôté.

-Ok je vois, épilé donc déjà en main mais pas par toi. Penche-toi que je voie aussi ton cul.

Je me suis penché montrant mon trou épilé.

-Ok alors tu veux quoi pour ta chienne ?

-D’abord qu’elle se sente tout le temps sous dressage même quand elle baise un autre mec. J’ai pensé à un slip clouté entre les cuisses et devant avec un trou pour passer les couilles ou là queue ou le total. Et un zip derrière pour mes envies sexuelles urgentes.

-On a ça oui je prends la mesure au repos et tu le feras bander après. Là, ok fais bander le bâtard.

-Pas dur ça. J’ai des consignes et une vraie bonne fessée devrais suffire.

A ma grande honte j’ai bandé dès la première claque et bavé à la deuxième.

-Jolie bite mais qui ne te sers pas, juste faites pour les autres. Pas mal 20x4. Besoin d’autre chose ?

-Prends les mesures aux hanches et à la ceinture. Tu me feras un pantalon cuir très fin et moulant à sa taille.

-Ok voilà, c’est bon. Et quoi encore ?

-Rien qui nécessite le salon mais il faut qu’il porte le slip de suite. Tu as ça à sa mesure ?

-Oui sans difficulté. Garde le nu je reviens.

Il est passé de l’autre côté du rideau sans le refermer complètement je voyais des clients passer et jeter un coup d’œil sur moi. J’ai vite débandé de me sentir si vulnérable. Il n’a pas été trop long et m’a tendu LE slip. Entre mes doigts je sentais le côté très souple mais dès qu’enfilé de fines pointes sur mes fesses m’ont irrité.

-Sors tes couilles par l’anneau, force s’il faut.

J’ai tiré la peau de mes couilles par l’anneau les faisant sortir une à une. Ma queue bandait sur le devant équipé aussi de fines pointes. Bien visible.

-Habille toi je garde ton slip pour te faire sniffer tes humeurs. Dépêche-toi il faut aller voir l’entrepôt.

Je me suis senti mieux un fois vêtu. Il est passé à la caisse et on est revenu à la voiture. A chaque pas les pointes frottaient sur ma queue. Le regard de Franz sur mes fesses, je le sentais derrière moi. Enfin une fois assis ce furent mes fesses qui m’ont brûlées avec les pointes. Le trajet n’a pas été long si ce n’est les embouteillages et une fois arrivé il a klaxonné devant le portail. Un mec est venu voir, en bleu de travail. Et ce n’est qu’à ma vue qu’il a réalisé et a ouvert en grand.

-Je n’étais pas averti patron désolé.

Ce n’est pas grave on fait juste une visite des lieux. Franz a demandé si plus personne ne travaillait.

-Non à cette heure ils sont partis vous voulez que je vous fasse visiter ?

Non, ce n’est pas la peine. Donnez-moi un double des clés on visite et on referme on klaxonnera au départ.

-Comme vous voulez monsieur je referme derrière vous.

Franz a engagé la voiture dans un vaste espace libre ou évolueraient les camions de livraison le reste venant par la Seine et un ponton. Dès qu’on a été derrière le bâtiment et hors de vue du gardien Il m’a fait descendre et ôter mes fringues sauf le slip et ce sont les couilles à l’air que j’ai marché jusque-là où il s’est arrêté. Une petite porte inclue dans le portail permettait d’entrer. Le temps qu’il trouve la clé il m’a fait remonter le zip entre mes fesses, dégageant ma fente et mon trou.
A l’intérieur il faisait frais et je frissonnais. Il a refermé à clé derrière nous.

-Immense comme endroit non ? Et vide le son doit résonner. On va inaugurer ce hangar à ma façon. Déboucle et ôte ma ceinture. Tu baisseras mon pantalon après. De voir ta tronche dans la boutique m’a excité tu devines bien. Et ton jus qui va sortir sans aide sera le champagne.

-Ici je dois vous dire maître ?

-Pour le moment tu ne dis rien. Tu baisses mon froc et le slip tu le feras avec les dents. Penche-toi en écartant les cuisses pour le faire.

Je me sentais vraiment à sa merci et je bandais contre les pointes fines en m’activant. Le pantalon est tombé seul et son sexe raide faisait bâiller le slip ce qui m’a permis de le baisser en l’attrapant avec les dents. Une goutte a filé de son sexe et m’a atteint quand il a soulevé les pieds pour être nu du bas. Il était vraiment excité.

-Suce ma bite comme un vrai PD qui aime la queue. Prends ton temps, caresse mes couilles mais ne touches pas aux tiennes. Montre que tu aimes la queue.

Je ne sais pas ce que j’ai mal fait mais sa ceinture tenue en main a sifflé en s’abattant sur mes fesses.

-Va doucement on a le temps.

J’ai ralenti la cadence sa bite allait loin dans ma bouche et là il m’a caressé le crâne comme on félicite un chien.

-Tu es vraiment une bonne salope. Il s’est servi après m’avoir relevé de sa ceinture pour lier mes poignets dans le dos et m’a guidé contre un mur. Après ta bouche ton cul sera servi.

Il a juste eu à écarter mes fesses et pointer son engin pour le planter entre mes reins. Même s’il m’avait déjà ouvert le cul je n’ai pu étouffer un cri de plaisir mêlé à la douleur. Me tenant par les épaules il s’est enfoncé loin en moi.

-Je vais me retenir jusqu’à ce soit toi qui jouisses de la queue par le plaisir que je te donne. Il a labouré mon trou sans pitié. J’avais la queue qui frottait dans le slip et c’est uniquement quand il m’a senti près à exploser qu’il a baissé mon slip pour dégager le gland. En trois coups de queues j’ai joui comme rarement sur le mur du hangar. Littéralement épuisé de l’effort je n’étais soutenu que par son pieux. Il s’est dégagé et m’a tourné vers lui.

-Nettoie ma queue. Ce soir, une fois tes amis au lit, tu descends en jogging jusqu’au parking. J’ai mis un lien sur ton portable. Il te suffit d’appuyer dessus et je serais là. Aller nettoie bien, ce ne sont que tes humeurs corporelles. Il a remonté le slip sur ma bite et fermé le zip.

Je le garde même devant eux ?

-Bien sûr et si ça leur plaît tu sais ou t’adresser. Si tu as à te plaindre fais-le à Bruno.

Non, il me connait et vous suivez surement ses instructions.

-Tout à fait et que les autres sachent que tu as aussi un côté soumis va beaucoup l’amuser. N’oublie pas, ce soir ! Va à la voiture t’habiller. J’arrive après avoir refermé.

J’ai couru en slip cuir noir avec les couilles qui dépassaient jusqu’à la voiture. J’ai dû attendre à côté l’ouverture à distance pour pouvoir m’habiller. Une fois à la voiture il a pris le volant pour rentrer. Je sentais les petites pointes frôler mon anus encore entrouvert et on est rentré. Will et Kurt attendaient pour aller manger et la voiture garée je les ai rejoint.

-Alors cet entrepôt ?

Vaste et bien desservi. On va se trouver un resto j’ai une faim de loup. Le temps de prendre une douche et on y va.

-Besoin de nous pour la douche ?

Non merci ce sera rapide et je suis un peu fatigué de tout ce qui m’arrive. J’ai ôté une fois seul le slip et surtout mes couilles de la bague inclues dans le cuir avant de me laver entièrement jusqu’à l’intérieur de mon trou à la canule. Une fois sec je n’ai pas remis de slip, le nettoyant comme j’avais été averti, simplement une chemise rose et un pantalon noir. J’ai rejoint Will et Kurt et on est sorti trouver un restaurant à notre goût. Je me sentais crispé me demandant ce qui m’attendrais derrière le mur et un peu inattentif. Comme souvent je me suis laissé guider et le restaurant choisi avait pas mal de monde mais le serveur était jeune mignon et attentif. En plus, jute en face sur le mur une affiche avec ma tronche était collée.

Je vous reconnais, vous en avez donc de belles et bien pleines ?

Tout à fait je te ferais parvenir quelques-unes que tu pourras goûter. Mais ce sera des bières et pas ce que tu penses.

-Je vous installe en terrasse ça nous fera aussi de la pub.

On a commandé et demandé à être servi assez vite. Le temps de la préparation il a amené trois Spritz offert de son initiative et je lui ai laissé la carte de notre brasserie. Il a tenu à prendre une photo avec moi et c’est serré contre lui qu’il a pris le selfie. Ma main posée sur ses fesses, il n’a pas bronché.
Le repas n’était pas terrible, malgré sa bonne volonté mais il m’a reconstitué. Après le café on est rentré à l’appartement.

Ce soir Will tu te vides dans Kurt et tu le fait se vider. Je préfère dormir un peu. Mais soyez en forme demain.

-Ok patron je me charge de son cul et de sa queue. Il sera plus calme après.

-Ne durez pas trop et évite de le faire crier. Bâillonne-le, réveille-moi vers dix heures on changera plus tard mais cette fois j’ai besoin d’un vrai sommeil. Une fois la porte communicante fermée à clé je me suis reposé un moment puis j’ai enfilé un jogging et après avoir bipé le numéro de Franz je suis descendu au garage. Il attendait à côté d’une porte en fer qu’il a ouvert pour me faire pénétrer dans un petit local genre vestiaire.

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