Ma vie 16
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma vie 16
Oui et alors. Une lope reste une lope. Je voyais son short se soulever sur un côté et une fois baissé il bandait.
Mets-toi au travail. Je mets une cam en face de toi. Je te verrais. J’ai une visite d’une villa à faire je ne serais peut-être pas de retour pour l’heure de fin de travail je t’appellerais. Préviens aussi Will que je ne suis pas là.
Au garage j’allais m’assoir sur le siège passager mais Franz a ouvert la porte arrière.
-Monte là les vitres arrière sont fumées, tu te dessapes et dans le vide poche de ton côté tu trouveras ta minijupe.
Euh ici dans le sous-sol ?
-Oui je n’ai pas envie de prendre une prune si tu n’es pas attaché et pour mon réseau de cam privé j’aime te voir nue comme une fille de joie
Evidemment avec les mots qu’il a employés j’ai bandé, soulevant l’avant de la jupette.
-Bien comme ça tu sais ce qui t’attends à l’arrivée.
Oui monsieur.
-Dis-moi maitre, lopette.
Oui pardon maître.
Il m’a fait asseoir coté droit à l’arrière je voyais à peine son visage mais lui devait me surveiller en roulant. En fait j’étais à la place occupée par Kurt et lui à ma place. J’ai hésité puis avancé la main vers m queue bandée à en avoir mal.
-Ne te touches pas. Tu seras touchée partout salope.
Le partout m’a encore plus fait de l’effet et j’ai vu une goutte de bave couler sur ma bite.
Pendant tout le trajet je voyais à travers la vitre et j’avais l’impression que tout le monde me voyait. Pas mal de gens lors des arrêtes pour un feu ou un stop fixaient la vitre sombre et je flippais un max. Franz m’observait dans le rétro intérieur et voyais bien la bave suivre ma queue.
-Sur la route à quatre voies j’ouvrirais la fenêtre arrière de ton côté, les camions et camionnettes te verront et tu auras de l’air. Il ne restera plus que la traversé des petits villages de la vallée.
Jusque-là à part dans Paris ou on roulait doucement j’étais protégé par le vitrage sombre mais maintenant je voyais les camions et leurs conducteurs. Franz ralentissait à leur hauteur et j’ai eu droit à quelques coups de klaxons. Une fois sorti de la grande voie la route était plus agréable, sinuant le plus souvent entre de hauts murs et traversant de petits villages. J’avais posé la main sur le bas de la vitre ouverte cachant un peu la vue de mon sexe toujours raide à m’en faire mal. Enfin il s’est arrêté devant un portail et a appuyé sur un bouton. Le portail s’est ouvert doucement et après la voiture entrée s’est refermé.
- Aller sort, pour le moment tu es chez toi jusqu’à l’arrivée de Bruno.
Il faisait frais sous les arbres et l’allée gravillonnée était douloureuse sous mes pieds. Sur la droite, un immense garage ou il a enté la voiture. Il est sorti de voiture un collier à la main.
-Courbe la tête que je te passe l’objet de ta condition.
Il me l’a montré avant. Il portait une inscription. « Bâtard de Bruno ». Il l’a posé le cadenassant par derrière et fixant une laisse.
-Avance un peu et pose le torse sur la pelouse, bras et cuisses écartées.
Un pied sur mon dos il a sorti une longue cravache télescopique de sa poche avec un bout de cuir à l’extrémité. Tranquillement il a donné de petits coups sur mes couilles offertes me faisant couiner à chaque fois. Ce n’était pas la force mais la douleur du premier coup s’ajoutait aux suivants.
Pardon Franz mais je ne débanderais pas comme ça.
-Je sais bien salope et en plus tu aimes la douleur sans le savoir. C’est un petit châtiment pour la prochaine fois. Relève-toi. On va voir ce que j’ai dégotté pour toi et ton patron. Marche sur les gravillons, j’aime te voir sautiller.
A travers les arbres j’ai deviné les marches d’entrée et le bâtiment lui-même. Du style et élégant. Un étage avec un balcon vers l’allée. Sur le côté j’ai entrevu un petit pont. Plus je m’avançais et plus cette maison semblait faire corps avec moi. J’avais monté les quelques marches qui m’amenaient au perron quand la porte s’est ouverte. Je me suis arrêté tout de suite. Un mec se trouvait devant moi, sa tête ne m’était pas inconnue.
-Salut Éric, je vois que tu ne te rappelles plus de moi et pourtant on s’est bien connu.
Ma mémoire a fait un bond en arrière.
Jim ? C’est ça ?
-Oui, j’ai changé, muri aussi et je suis resté gay. Tu aurais pu venir te refugier chez moi, mes parents n’ont pas compris la réaction de ton père, mais tu étais déjà parti. J’étais plus jeune que toi de peu et pas mon mot à dire que de te regretter. Toi et ta queue. Tu ne le sais pas mais c’est toi qui m’as fait découvrir ton monde et qui m’a ouvert l’esprit et les fesses.
Il s’est approché, je ne bandais plus de surprise et il a passé la main sous ma jupe.
-Tu n’avais pas beaucoup de poils mais cette fois plus rien et tu es passé côté soumis ? Entre avec ton ami
Pour être franc Franz n’est pas mon ami, mon vrai ami est Bruno. Franz assure l’entretien de mon anus et de mon mental.
-Alors bonjour, Franz. Content de lui ? Il est souple ? Utilisable à tout moment ?
Franz a eu un petit rire.
-T’en fait ce que tu veux, obéissant, bouche, cul, tétons. Et il aime être appelé lope, chienne, salope. Choisi.
-Marrant quand même de te retrouver comme ça. Je suis le régisseur de l’ancien proprio et la place me plaît. Un coup de bite devrait te pousser à dire à ton maître que je vais être sans emploi mais que je peux garder le domaine. En plus te prendre le cul, ça va être le pied.
Tranquillement il a dégagé son sexe du pantalon et du boxer.
-Fous toi à genoux devant un de tes dieux. Un sexe de mec bien raide et suce.
Curieux quand même de sucer et de me soumettre à un de mes anciens potes mais sa bite était belle avec le gland pointé qui sortait du prépuce, la bouche en cul de poule j’ai aspirée la queue pelotant les boules bien pendantes.
-C’est vrai que tu es affamé de bites toi.
Franz à coté rigolait doucement.
-Les jours où son mec n’est pas là tu pourras profiter, je lui ai cassé le cul en profondeur et en largeur.
L’idée de me faire baiser par un mec que j’avais sauté il y a un bon moment à le faire couiner m’excitait et je ne pouvais pas le cacher. Il était moins long que Franz mais une bonne grosse bite. Il a pris la laisse et tout en se faisant sucer m’a entrainé sous une véranda donnant sur le jardin.
-Arrête et redresse toi un peu. Tends tes fesses de petite chienne, à la queue qui va te prendre. J’ai obéi il tirait sur la laisse me faisant me cambrer et offrant mon trou. Sa technique était différente et il a profité que j’étais bien souple pour entrer dans mon cul et en ressortir. Chaque coup de rein accompagné par une claque sur les fesses. Petite lopette si tu savais le pied que je prends à te baiser. Tu as déjà une vraie chatte de mec. Bien ouverte par Franz et c’est le bonheur. Il est sorti pour me retourner et me gicler sur la gueule. J’ai juste eu le temps de fermer les yeux quand j’ai vu le sperme jaillir. Tu vois dehors à côté du pont la petite plage de sable ? Enlève ta jupe et va te laver la gueule et le cul l’eau n’est pas profonde et l’autre côté fait partie de la villa. Tu découvriras le reste après.
Curieusement sans la jupe j’étais plus moi et me sentais mieux. Je me suis débarrassé du sperme sur le visage et fouillé mon cul pour le nettoyer du mieux possible. Je voyais le haut du corps de Franz et
Jusqu’à présent oui. Tout et il approuve. Moi ça m’excite qu’il voie. Et il veut vraiment que mon cul soit très souple pour lui.
-Il te reste à visiter la villa. Mets nu Franz va filmer avec le portable. Ici c’est donc la véranda avec accès au jardin et à la rivière. Tu rentres et ici c’était la salle à manger qui communique avec un petit boudoir avance qu’il puisse tout voir. Devant de chaque côté du couloir un bureau et une pièce pour faire ce qu’il veut. L’escalier monte aux chambres. Celle de maître d’un côté avec salle d’eau complète et de l’autre deux chambres avec une salle d’eau commune et toilettes. Au-dessus des combles aménageables.
Sous l’escalier on descend à la cave isolée phonétiquement qui servait de studio l’ancien propriétaire est un musicien. Nul doute que tu gueuleras comme d’autres ici. Enfin tu vois par la fenêtre avant, le studio qui me servait en tant que régisseur. Je l’occuperais jusqu’à la décision de l’acheteur. Je te laisse entre les mains de Franz.
-Attends, reste là il va mettre non pas sa jupe mais le slip fait pour lui, je l’ai mis dans le coffre. Enfile le devant ton pote et fait passer tes couilles.
J’ai eu un peu de mal n’ayant pas joui pour faire passer ma bourse mais je sentais les petites pointes contre ma bite gonflée.
-Mignon comme ça. On voit son côté plus maso que seulement passif. Donne-moi des nouvelles très vite. J’espère que ton patron sera ok.
-Bah je suis sûr que oui il a du tout voir en direct. Voilà me truc qui sonne et je l’ai en ligne.
Bonjour monsieur. Oui j’ai mis le haut-parleur.
-Ok bonjour à Jim. Je suis ok pour acheter et te garder tu feras un bon compagnon pour Éric et je pense que reprendre vos relations ensemble te tente aussi bien du côté mâle que femelle.
-Oui en effet c’est dans ce sens-là que j’aimerais aller. Vous devinez bien et juste.
-Alors parfait. Vendredi soir il viendra avec ses amis, sans Franz. Avec le GPS et l’adresse. La boîte tournera sans eux la fin de semaine. Garni les frigos et en produits frais. Un peu de laitage mais sans plus ils auront tous leur dose toi compris. Arrange-toi pour prendre un RDV avec le notaire samedi matin ni trop tôt ni trop tard.
-Oui je ferais ça.
-Tu as du réseau puisque je t’ai en Visio. Fait des achats sur un site pour les meubles principaux mais en payant comptant tu peux te faire livrer et assembler pour vendredi dans les grandes enseignes. Pour moi un grand lit avec colonnes ou barreaux ira très bien. Ne lésine pas pour le prix. Mets ta carte ou un chèque face à l’écran je verserais tout de suite une avance sur ton compte. Va dans la boutique que connais Franz et demande le même slip que mon bâtard. Je vous laisse j’ai plein de boulot pour être disponible.
Franz a repris l’appareil.
Bon je pense que tu as du boulot. Ta voiture est où ?
-A côté du studio, je note l’adresse à rentrer dans le GPS quand il reviendra sans vous.
-Dommage que je n’aie plus beaucoup de temps je t’aurais bien défoncé le cul à toi aussi mais j’apprécie que tu m’ais vouvoyé maintenant que tu vas être un enculé aussi. Et toi la chienne enfile cette longue chemise jusqu’au bureau. Ne cherche pas de poche mais assieds-toi à côté de moi tu verras la route. Salut Jim et rappelle-toi que le patron compte sur toi.
-Je fais mon possible, enfin mieux que possible.
Pendant que le portail s’ouvrait j’ai vu un break sortir de derrière le studio et profiter du portail ouvert.
-Il est pas mal ton pote, ma belle vous n’allez pas vous ennuyer. Je fonce limite de vitesse des radars, 2 à 5 km au-dessus. Il commence à se faire tard, le soleil se couche de plus en plus tard. Avec l’automatique il avait une main souvent libre et ne se gênait pas pour écraser mon paquet ou ma queue raide contre les pointes. A l’approche du bureau il a cessé et dans le garage m’a fait mettre un jean taille basse et un tee-shirt. Des tennis pieds nus et on est monté au bureau où Kurt était seul.
Mets-toi au travail. Je mets une cam en face de toi. Je te verrais. J’ai une visite d’une villa à faire je ne serais peut-être pas de retour pour l’heure de fin de travail je t’appellerais. Préviens aussi Will que je ne suis pas là.
Au garage j’allais m’assoir sur le siège passager mais Franz a ouvert la porte arrière.
-Monte là les vitres arrière sont fumées, tu te dessapes et dans le vide poche de ton côté tu trouveras ta minijupe.
Euh ici dans le sous-sol ?
-Oui je n’ai pas envie de prendre une prune si tu n’es pas attaché et pour mon réseau de cam privé j’aime te voir nue comme une fille de joie
Evidemment avec les mots qu’il a employés j’ai bandé, soulevant l’avant de la jupette.
-Bien comme ça tu sais ce qui t’attends à l’arrivée.
Oui monsieur.
-Dis-moi maitre, lopette.
Oui pardon maître.
Il m’a fait asseoir coté droit à l’arrière je voyais à peine son visage mais lui devait me surveiller en roulant. En fait j’étais à la place occupée par Kurt et lui à ma place. J’ai hésité puis avancé la main vers m queue bandée à en avoir mal.
-Ne te touches pas. Tu seras touchée partout salope.
Le partout m’a encore plus fait de l’effet et j’ai vu une goutte de bave couler sur ma bite.
Pendant tout le trajet je voyais à travers la vitre et j’avais l’impression que tout le monde me voyait. Pas mal de gens lors des arrêtes pour un feu ou un stop fixaient la vitre sombre et je flippais un max. Franz m’observait dans le rétro intérieur et voyais bien la bave suivre ma queue.
-Sur la route à quatre voies j’ouvrirais la fenêtre arrière de ton côté, les camions et camionnettes te verront et tu auras de l’air. Il ne restera plus que la traversé des petits villages de la vallée.
Jusque-là à part dans Paris ou on roulait doucement j’étais protégé par le vitrage sombre mais maintenant je voyais les camions et leurs conducteurs. Franz ralentissait à leur hauteur et j’ai eu droit à quelques coups de klaxons. Une fois sorti de la grande voie la route était plus agréable, sinuant le plus souvent entre de hauts murs et traversant de petits villages. J’avais posé la main sur le bas de la vitre ouverte cachant un peu la vue de mon sexe toujours raide à m’en faire mal. Enfin il s’est arrêté devant un portail et a appuyé sur un bouton. Le portail s’est ouvert doucement et après la voiture entrée s’est refermé.
- Aller sort, pour le moment tu es chez toi jusqu’à l’arrivée de Bruno.
Il faisait frais sous les arbres et l’allée gravillonnée était douloureuse sous mes pieds. Sur la droite, un immense garage ou il a enté la voiture. Il est sorti de voiture un collier à la main.
-Courbe la tête que je te passe l’objet de ta condition.
Il me l’a montré avant. Il portait une inscription. « Bâtard de Bruno ». Il l’a posé le cadenassant par derrière et fixant une laisse.
-Avance un peu et pose le torse sur la pelouse, bras et cuisses écartées.
Un pied sur mon dos il a sorti une longue cravache télescopique de sa poche avec un bout de cuir à l’extrémité. Tranquillement il a donné de petits coups sur mes couilles offertes me faisant couiner à chaque fois. Ce n’était pas la force mais la douleur du premier coup s’ajoutait aux suivants.
Pardon Franz mais je ne débanderais pas comme ça.
-Je sais bien salope et en plus tu aimes la douleur sans le savoir. C’est un petit châtiment pour la prochaine fois. Relève-toi. On va voir ce que j’ai dégotté pour toi et ton patron. Marche sur les gravillons, j’aime te voir sautiller.
A travers les arbres j’ai deviné les marches d’entrée et le bâtiment lui-même. Du style et élégant. Un étage avec un balcon vers l’allée. Sur le côté j’ai entrevu un petit pont. Plus je m’avançais et plus cette maison semblait faire corps avec moi. J’avais monté les quelques marches qui m’amenaient au perron quand la porte s’est ouverte. Je me suis arrêté tout de suite. Un mec se trouvait devant moi, sa tête ne m’était pas inconnue.
-Salut Éric, je vois que tu ne te rappelles plus de moi et pourtant on s’est bien connu.
Ma mémoire a fait un bond en arrière.
Jim ? C’est ça ?
-Oui, j’ai changé, muri aussi et je suis resté gay. Tu aurais pu venir te refugier chez moi, mes parents n’ont pas compris la réaction de ton père, mais tu étais déjà parti. J’étais plus jeune que toi de peu et pas mon mot à dire que de te regretter. Toi et ta queue. Tu ne le sais pas mais c’est toi qui m’as fait découvrir ton monde et qui m’a ouvert l’esprit et les fesses.
Il s’est approché, je ne bandais plus de surprise et il a passé la main sous ma jupe.
-Tu n’avais pas beaucoup de poils mais cette fois plus rien et tu es passé côté soumis ? Entre avec ton ami
Pour être franc Franz n’est pas mon ami, mon vrai ami est Bruno. Franz assure l’entretien de mon anus et de mon mental.
-Alors bonjour, Franz. Content de lui ? Il est souple ? Utilisable à tout moment ?
Franz a eu un petit rire.
-T’en fait ce que tu veux, obéissant, bouche, cul, tétons. Et il aime être appelé lope, chienne, salope. Choisi.
-Marrant quand même de te retrouver comme ça. Je suis le régisseur de l’ancien proprio et la place me plaît. Un coup de bite devrait te pousser à dire à ton maître que je vais être sans emploi mais que je peux garder le domaine. En plus te prendre le cul, ça va être le pied.
Tranquillement il a dégagé son sexe du pantalon et du boxer.
-Fous toi à genoux devant un de tes dieux. Un sexe de mec bien raide et suce.
Curieux quand même de sucer et de me soumettre à un de mes anciens potes mais sa bite était belle avec le gland pointé qui sortait du prépuce, la bouche en cul de poule j’ai aspirée la queue pelotant les boules bien pendantes.
-C’est vrai que tu es affamé de bites toi.
Franz à coté rigolait doucement.
-Les jours où son mec n’est pas là tu pourras profiter, je lui ai cassé le cul en profondeur et en largeur.
L’idée de me faire baiser par un mec que j’avais sauté il y a un bon moment à le faire couiner m’excitait et je ne pouvais pas le cacher. Il était moins long que Franz mais une bonne grosse bite. Il a pris la laisse et tout en se faisant sucer m’a entrainé sous une véranda donnant sur le jardin.
-Arrête et redresse toi un peu. Tends tes fesses de petite chienne, à la queue qui va te prendre. J’ai obéi il tirait sur la laisse me faisant me cambrer et offrant mon trou. Sa technique était différente et il a profité que j’étais bien souple pour entrer dans mon cul et en ressortir. Chaque coup de rein accompagné par une claque sur les fesses. Petite lopette si tu savais le pied que je prends à te baiser. Tu as déjà une vraie chatte de mec. Bien ouverte par Franz et c’est le bonheur. Il est sorti pour me retourner et me gicler sur la gueule. J’ai juste eu le temps de fermer les yeux quand j’ai vu le sperme jaillir. Tu vois dehors à côté du pont la petite plage de sable ? Enlève ta jupe et va te laver la gueule et le cul l’eau n’est pas profonde et l’autre côté fait partie de la villa. Tu découvriras le reste après.
Curieusement sans la jupe j’étais plus moi et me sentais mieux. Je me suis débarrassé du sperme sur le visage et fouillé mon cul pour le nettoyer du mieux possible. Je voyais le haut du corps de Franz et
Jusqu’à présent oui. Tout et il approuve. Moi ça m’excite qu’il voie. Et il veut vraiment que mon cul soit très souple pour lui.
-Il te reste à visiter la villa. Mets nu Franz va filmer avec le portable. Ici c’est donc la véranda avec accès au jardin et à la rivière. Tu rentres et ici c’était la salle à manger qui communique avec un petit boudoir avance qu’il puisse tout voir. Devant de chaque côté du couloir un bureau et une pièce pour faire ce qu’il veut. L’escalier monte aux chambres. Celle de maître d’un côté avec salle d’eau complète et de l’autre deux chambres avec une salle d’eau commune et toilettes. Au-dessus des combles aménageables.
Sous l’escalier on descend à la cave isolée phonétiquement qui servait de studio l’ancien propriétaire est un musicien. Nul doute que tu gueuleras comme d’autres ici. Enfin tu vois par la fenêtre avant, le studio qui me servait en tant que régisseur. Je l’occuperais jusqu’à la décision de l’acheteur. Je te laisse entre les mains de Franz.
-Attends, reste là il va mettre non pas sa jupe mais le slip fait pour lui, je l’ai mis dans le coffre. Enfile le devant ton pote et fait passer tes couilles.
J’ai eu un peu de mal n’ayant pas joui pour faire passer ma bourse mais je sentais les petites pointes contre ma bite gonflée.
-Mignon comme ça. On voit son côté plus maso que seulement passif. Donne-moi des nouvelles très vite. J’espère que ton patron sera ok.
-Bah je suis sûr que oui il a du tout voir en direct. Voilà me truc qui sonne et je l’ai en ligne.
Bonjour monsieur. Oui j’ai mis le haut-parleur.
-Ok bonjour à Jim. Je suis ok pour acheter et te garder tu feras un bon compagnon pour Éric et je pense que reprendre vos relations ensemble te tente aussi bien du côté mâle que femelle.
-Oui en effet c’est dans ce sens-là que j’aimerais aller. Vous devinez bien et juste.
-Alors parfait. Vendredi soir il viendra avec ses amis, sans Franz. Avec le GPS et l’adresse. La boîte tournera sans eux la fin de semaine. Garni les frigos et en produits frais. Un peu de laitage mais sans plus ils auront tous leur dose toi compris. Arrange-toi pour prendre un RDV avec le notaire samedi matin ni trop tôt ni trop tard.
-Oui je ferais ça.
-Tu as du réseau puisque je t’ai en Visio. Fait des achats sur un site pour les meubles principaux mais en payant comptant tu peux te faire livrer et assembler pour vendredi dans les grandes enseignes. Pour moi un grand lit avec colonnes ou barreaux ira très bien. Ne lésine pas pour le prix. Mets ta carte ou un chèque face à l’écran je verserais tout de suite une avance sur ton compte. Va dans la boutique que connais Franz et demande le même slip que mon bâtard. Je vous laisse j’ai plein de boulot pour être disponible.
Franz a repris l’appareil.
Bon je pense que tu as du boulot. Ta voiture est où ?
-A côté du studio, je note l’adresse à rentrer dans le GPS quand il reviendra sans vous.
-Dommage que je n’aie plus beaucoup de temps je t’aurais bien défoncé le cul à toi aussi mais j’apprécie que tu m’ais vouvoyé maintenant que tu vas être un enculé aussi. Et toi la chienne enfile cette longue chemise jusqu’au bureau. Ne cherche pas de poche mais assieds-toi à côté de moi tu verras la route. Salut Jim et rappelle-toi que le patron compte sur toi.
-Je fais mon possible, enfin mieux que possible.
Pendant que le portail s’ouvrait j’ai vu un break sortir de derrière le studio et profiter du portail ouvert.
-Il est pas mal ton pote, ma belle vous n’allez pas vous ennuyer. Je fonce limite de vitesse des radars, 2 à 5 km au-dessus. Il commence à se faire tard, le soleil se couche de plus en plus tard. Avec l’automatique il avait une main souvent libre et ne se gênait pas pour écraser mon paquet ou ma queue raide contre les pointes. A l’approche du bureau il a cessé et dans le garage m’a fait mettre un jean taille basse et un tee-shirt. Des tennis pieds nus et on est monté au bureau où Kurt était seul.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une cave bien isolée pour qu'aucun bruit ne passe extérieurement
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cave isolée phonétiquement !..???....