Ma vie 17

- Par l'auteur HDS Conteur -
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Récit libertin : Ma vie 17 Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma vie 17
-Je vous attendais Il y a des réponses pour le poste de cuisinier et j’ai des photos, Reste à voir si ce sont des récentes et leurs talents.

-Recule un peu que je vois bien en face. Et Éric aussi.

-Fais défiler leur tronche doucement. Il y en a qui font vraiment leur âge mais des superbes minets aussi. Libres de toute attache ?

-Tous ceux-là oui. Lui le blond va se trouver à la rue sous peu s’il ne trouve pas de boulot et accepte en plus d’un peu de fric des relations qu’il espère sauvages. Les autres bossent dans le coin. Et connaissent notre bière.

Bon tu as un moyen de contacter ton blondinet ?

-Depuis qu’il a lu l’annonce il attend en face sur le trottoir.

Va le voir, file lui cinquante Euros qu’il trouve ce qu’il faut pour cinq affamés, du frais et il revient. Je le verrais à son arrivée. Tu restes Franz ?

-Non on m’attend mais je verrais plus tard s’il est bon.

Par la fenêtre j’ai vu Kurt discuter, le mec a levé la tête vers nous a eu un sourire éclatant avec le geste théâtral d’un salut avant de disparaitre.

Bon si on le revoie et que c’est bon il se montre, me donne ses pratiques et ses envies. Je l’embauche ou pas.

-Au fait Will est allé à la boutique et a ramené un paquet pour vous.

Ok laisse tomber ce que tu fais on va voir et attendre ton cuisinier.

A l’appartement Will était transformé. Chemise noire en latex moulant et jean en latex qui ne cachait aucunes formes. Un collier en chaîne avec un cadenas sous la chemise ouverte. Tu me surprendras toujours, et quelles formes ! C’est un appel au peuple ?
-Bah puisque tu m’avais dit d’aller dans le magasin de Franz J’ai trouvé le même slip que toi et ça.

Joli ensemble. J’ai réalisé que sous mon jean je portais encore le slip cuir, couilles sorties.

-Toi aussi le spectacle est agréable, je te fais bander ?

Tu le vois bien pourquoi demander.

-Autant en profiter alors, il s’est mis à genoux devant moi et palpant mon jean a fait sauter le bouton et descendu le zip. Merde, y a que les boules sorties mais bon je vais le baisser sur ta queue et tu ne vas pas refuser une pipe.
Il parlait et agissait en même temps, j’ai eu ma queue dans sa bouche en un rien de temps, une main caressait mes couilles. Kurt matait le spectacle fasciné se frottant la bite dans le short large du midi. De l’autre main il descendait le zip entre mes fesses et caressait mon trou bien dilaté.
C’est le moment ou le cuisinier blond je pense a frappé à La porte.

-Vas lui ouvrir Kurt autant qu’il sache les usages ici.

Le mec en entrant a poussé un « ho » de surprise.

-Euh, bonjour.

Salut tu as de quoi nous retaper, toi compris ?

-Oui évidemment mais je ne m’attendais pas à vous déranger.

Tu vois l’un de nous dérangé ? J’étais le seul à pouvoir parler. Kurt était comme statufié et Will la bouche pleine suçait. Tu as déjà vu des mecs baiser je crois.

-Oui mais en arrivant cette fois j’ai été surpris.

Pas au point de perdre tous tes moyens. Je désignais son futal pas très propre gonflé.

Kurt, débarrasse-le et montre-lui la douche. C’est comment ton prénom ?

-Alain monsieur.

Bon on fera le reste des présentations après si mon pote insiste un peu je ne vais pas me retenir. Filez. Si t’as besoin d’aide ne te gêne pas Kurt est là pour ça. Sers-toi de la canule si besoin. Il te montrera la cuisine après. Mets-toi à l’aise pour travailler, il y a des tabliers derrière la porte.

L’interruption bienvenue m’a retenu un moment mais Will à quatre pattes m’a invité à le pénétrer ce que j’ai volontiers fait et cette fois j’ai lâché la sauce.

-A toi puisque tu es aussi une lopette de tendre tes fesses tu dois transpirer du cul et ça va rentrer facile après Franz.

Cette fois ce n’a pas été Franz mais un ancien camarade de bahut mais bien monté aussi.

Je me fiche de ce qu’il est je vais te bourrer le cul et tasser mon jus au fond.

J’avais cette fois révélé tous les aspects de ma sexualité et il en profitait à grands coups de pine. Après l’enculade par mon pote de bahut j’avais le cul en feu et couinait, gémissant de douleur autant que de plaisir. Il a joui mais a continué ses va et vient. Il me claquait les fesses en me baisant, ajoutant à mes sentiments l’humiliation.

-Finalement on est aussi chienne l’un que l’autre Il s’est retiré laissant couler son jus de mon cul.


On devrait aller voir le cuisto, je l’ai à peine vu.

Dans la cuisine après une douche il était bien plus présentable et ne portait qu’un des tabliers blancs, laissant les fesses à l’air. Bombée et cambré sur la plaque de cuisson, on ne voyait que les deux lobes parfaits dépasser sous le nœud.

-J’ai pensé m’adapter au style de la maison. Mes fesses vous plaisent ? Devant ce n’est que de la décoration mais ça plait aussi. J’ai pensé vous faire une timbale de fruits de mer suivi d’un soufflé au je mettrais au dernier moment. J’ai des principes. Et nourrir sans grossir en fait partie. J’ai ramené aussi un tas de fruits divers et deux bouteilles de bordeaux rosé pour accompagner le tout, ça vous plaira je suis sûr.

Pas de viande rouge ?

-Non, pas le soir mais demain midi oui si je suis toujours là.

Pour le moment je ne vois que des avantages. Tu montres ta « décoration » ?

-Oui, pardon, il a écarté le tablier sur le côté montrant une jolie bite tendue sans frein et gland à l’air pointé.

Je l’ai prise en main, serrée mais elle était bien tendue et raide. Je suis descendu sur les couilles qui quoique petite pendaient bien. Will de son côté avait passé la main sur son torse, pinçant un téton qui ne demandait que ça.

Tu n’as vraiment aucune pudeur ! En chaleur ?

-J’ai simplement envie de me faire dépuceler de façon vicieuse. J’ai sucé mais mon anus est vierge.

Montre-moi ta carte d’identité !

Il a décroché son pantalon de la patère et a sorti un petit portefeuille dont il a extrait la carte. J’ai vérifié et était tout étonné. Il avait vingt-deux ans.

T’as attendu tout ce temps pour apprendre à aimer une bite dans le cul ?

-Oui j’avais peur mais votre annonce et le nom de votre bière m’ont décidé. Je pense avoir une énorme envie et donc en avoir comme vous dites sur la pub.

T’es intéressant si tu cuisines bien. Des attaches à Paris ?

-Non je vis dans une chambre au mois et fait des remplacements quand il y en a.

Pour le moment on mange des sandwichs et c’est Kurt qui assure l’intendance. Après manger si tu n’habites pas loin va chercher l’essentiel de tes fringues et reviens. Tu sais servir correctement aussi ?

Je l’ai fait mais faut tout connaitre et savoir où se trouve chaque chose.

Tu apprendras. Je pense Will d’accord et sans faire des merveilles ce soir tu es en sursis jusqu’à demain. Pour ton cul il faudra attendre un peu qu’on soit en pleine forme mais il est beau et très tentant. Un pucelage se perd en douceur. Après ce sera diffèrent. Surement plus rapide et disons plus sec. Tu as déjà pris un mec ?

-Enculé vous voulez dire ? Non mais je pense que c’est possible quand je vois un mec dans le genre de Kurt.

Excellent c’est celui avec qui tu dormiras ce soir.

Bon, on te laisse travailler on va prendre une douche et préviens-nous disons un quart d’heure avant.

-Ok pour moi. Kurt reste ici si j’ai besoin de quelque chose ?

De tout ce dont tu as besoin, il est fait pour. On a ri sauf lui et Kurt. On est sorti prendre la douche ensemble. Pas mal cet Alain.

-Oui je pense qu’une fois bien élevé, il pourrait rester. Tu lui payes le smic en déduisant la bouffe et le pieu il ne coûtera pas cher.

On verra bien ce qu’il sait faire au travail et en sexe.

-Ton collier n’est pas mal et l’inscription ne laisse pas de doute. Tu es en même temps le patron et le bâtard du fils du patron suprême.

Oui J’aime Bruno et je suis ton patron sexuel aussi. J’ai pris en main ses couilles et serré le paquet.

-Ok ça va j’ai compris ne serre pas plus s’il te plaît.

Je l’ai relâché. Ce soir je dors après manger. Alain attendra et ne le baise pas je le veux intact ce ptit mec. Sèche-moi et on passe à table. J’ai mis pour la première fois le jean offert par Franz. Tellement moulant que j’ai dû tirer partout pour l’enfiler, une vraie seconde peau, ce qui m’a valu un sifflet admiratif de Will en se relevant. Il a tourné autour de moi.

-Ben s’il y en a à qui ça ne plait pas dans le quartier, il n’est pas du coin. T’es un appel au peuple.

Je me suis vu dans le miroir de pied et c’est vrai que le jean ne cachait rien de mon anatomie, devant autant que de dos.

-Si tu sors en boîte comme ça, tu seras violé.

Pour le moment on va prendre l’apéritif. Doucement mes goûts avaient évolué vers le whisky puis le pur malt. Et c’est un verre à la main sur un fauteuil de la terrasse qu’on a attendu. Will matait mon entrejambe et je le voyais bander dans son jean.

T’as envie Will mais j’ai eu ma dose aujourd’hui Alors il faudra attendre.
-Le repas est servi. Kurt va arriver il nettoie le sol de la cuisine. Mangez, c’est bon quand c’est chaud.

Il guettait nos réactions tout en servant le vin après l’avoir humé.

Kurt est arrivé, tout rouge et s’est attablé. Tu as encore sucé Kurt ? tu as un peu de mousse au coin des lèvres.

-Hé bien vous me connaissez et je n’ai pas pu résister au beau boudin d’Alain.

Tout à l’heure Will s’occupera de tes fesses et pas en bien. Cela dit pour un repas rapide c’est très bon.

Merci je vous laisse un moment pour enfourner le soufflé. Vous sentirez, du velours au palais.

Pour le moment c’est parfait et le vin est bon et frais, je ne connaissais que de nom.

Il est revenu finir sa timbale avant de repartir surveiller en cuisine. On l’a suivi des yeux, il avait une silhouette agréable, le sexe même mou pendit sur une belle paire et les fesses, petites, remuaient avec un ensemble qui appelaient la queue. Will ce soir tu va dormir sur la terrasse. Je ne veux pas que tu y touche. Demain il sera temps pour moi de m’en occuper.

-On pourrais faire ça à deux, je ne pense pas qu’il soit contre.

Pourquoi pas, on verra je sais que tu seras prêt.

-Attention, chaud !

Il a déposé le soufflé au ventre, sur un repos- plat, ôté les manicles et une fois admiré l’a découpé en quatre parts le laissant retomber. Le parfum dégagé par ce dessert était merveilleux.

-Ne vous brûlez pas mais mangez chaud.

C’était une merveille de velouté. Il fondait sur la langue.

Pour ce soir tu t’es très bien débrouillé. Tu dormiras ce soir avec Kurt qui ne te fera pas de mal aux fesses mais ne le laisse pas trop téter. Il a des tendances à s’accrocher comme un morpion. Tu peux ôter le tablier que l’on t’admire nu ?
Il a rougi mais défaisant le nœud arrière il l’a fait passer par-dessus la tête. Une fois nu il a souri doucement.

Un ange qui allait demain devenir un enculé comme je pense nous trois.
Laisse Kurt nettoyer la cuisine, reste un moment à bavarder avec nous. Kurt, débarrasse et nettoie.

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