Ma vie 18
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma vie 18
Alors Alain comme ça tu n’as jamais été pris par ton petit trou ?
-Non, j’avais peur et c’est votre affiche qui m’a décidé. Après tout J’en ai et même très envie.
Tu as dû remarquer à notre look que l’on est assez cuir et sans être sadique on aime faire mal sexuellement, ça ne te fait pas peur ?
-Plus maintenant que je vous connais non. C’est vrai qu’une fessée dans le feu de l’action peut être excitante.
Il n’y a pas que la fessée.
-On verra bien. Je pourrais dire stop ?
Pas la bouche pleine.
Je bandais et le cuir était si fin que ça se voyait bien. Lui aussi mais c’était beau à voir.
Tu as un fantasme spécial si tu te sens vraiment gai ?
-Je n’ai jamais essayé mais être plus féminin si possible. Vous avez vu avec le tablier les fesses à l’air les effets sur mon sexe. Eh bien je voudrais porter des jupes sans rien dessous ou un string.
Et tu pourrais malgré ça prendre un mec ?
J’ai vu ses yeux briller et une goutte poindre de son sexe.
-Oh oui, bien plus facilement et surement en étant plus vache qu’un mec. Je crois que ça va dans votre sens non ?
Ce n’est pas conventionnel mais curieux et à essayer. Je suis sans préjugé sexuel et si c’est ton idée pourquoi pas. On verra demain si le sexe masculin t’attire autant, seul avec moi puis avec mes amis. Tu devras non seulement aimer la sodomie mais aussi aimer prendre un mec et durer. Entre ces moments et ton travail plus les courses tu n’auras plus beaucoup de temps libre.
-Je comprends tout ça mais être en fille avec ma queue prête à servir à tout moment, avec vous ou Will et Kurt pour d’autres moments je suis partant.
Bien, on verra demain, là j’ai ma dose de sexe et tu vas dormir avec Kurt. Il te fera de la place sur la terrasse, Will dormira à côté et moi j’ai ma chambre. Tu as accès à la sortie pour les croissants du matin vers huit heures. Salut la compagnie je vais me coucher.
Le plus difficile a été d’ôter le pantalon qui me faisait comme une seconde peau. Mais une fois nu et allongé je me suis endormi sans rêver.
Je n’avais pas la sensation d’avoir dormi quand l’odeur du café et du croissant m’ont tiré du sommeil profond où je me trouvais. Alain était devant moi, nu, un plateau posé sur le bord du lit. Il ne bandait pas et je lui ai demandé pourquoi, surpris.
-Comprends moi je n’ai toujours offert que mes lèvres et jamais de sexe entre mes fesses et même en en ayant envie j’ai un peu peur.
J’ai écarté le drap qui me couvrait. Queue raide. Il faut quand même que j’aille faire une toilette avant.
-Ne t’inquiètes pas j’ai l’habitude et certains sexes n’était pas d’une fraîcheur exemplaire.
Il était passé naturellement du vouvoiement au tutoiement et sa bouche s’est refermée sur ma queue. Délicieuse sensation d’une langue encore inconnue qui caresse le gland. Aucun reproche à lui faire il savait s’y prendre et aimait ça. J’avais un bout de bois entre les jambes quand il s’est redressé.
-Pour la première fois tu peux me prendre par devant que je te voie et que je ressente un peu de ce dont tu as envie en plus de mes fesses.
J’ai eu un sourire. Allonge-toi sur le dos, je vais mettre un coussin sous tes fesses. Là, écarte bien les cuisses. Oui comme ça. Je me suis reculé et j’ai passé la langue sur son anus ce qui l’a fait frissonner pour bien saliver ce petit espace qui allait accueillir ma queue. Il commençait à se branler quand je l’ai arrêté.
Non pas maintenant. Puis je me suis calé contre lui, le gland contre le petit trou que j’avais entrouvert de la langue et tenant les mains le long de son corps j’ai poussé doucement. La résistance n’a pas durée et lentement mon gland s’est trouvé dans le début du trou mais pas totalement.
Habitue-toi à la sensation d’être remplie et bien ouverte. Caresse-toi doucement. Oui comme ça, doucement je vais aller au plus loin en toi maintenant. Tu aimes ?
-Oui tu es doux et j’aime, plus tard tu me pendras comme une chienne mais là je vois tes yeux et je sens que tu aimes être là où tu es.
J’ai commencé de lents va et vient sans sortir le gland et il a lentement gémi, montant dans les octaves. Il se branlait ajoutant son plaisir au mien et au moment ou je l’ai senti près je me suis retiré pour jouir en même temps que lui sur son ventre.
Je vais à la douche et au travail. Tu as réveillé les autres ?
-Oui avant de venir te rejoindre.
Tu prendras la tienne après je suis déjà en retard.
Une fois vêtu je suis descendu au bureau où Kurt était déjà au travail, triant le courrier du matin.
J’avais de mon côté sur l’ordi des projets de tenue pour les livreurs, établi par les designers de la maison mère et un mot de Bruno me demandant de réfléchir à mon choix et qu’on en parlerait quand il arriverait. On était vendredi et si tout allait bien il serait là dans la nuit.
J’ai mis une réponse disant que je l’attendais avec impatience. J’ai consulté ensuite les rapports de vente et ça démarrait en flèche. Tout en restant loin des concurrents on grignotait la place dans le marais et ça s’étendait dans les grandes villes. J’ai rectifié l’approvisionnement du hangar et prévu des wagons vers les différentes villes. Toulouse, Lyon étaient les plus consommatrices. Le centre restait en retrait des ventes mais Nantes et Brest ainsi que Rennes démarraient bien. Paris battant tous les records de nos ventes. J’ai signé quelques lettres préparées par Kurt et fait venir Will.
Je suppose que tu fais le même constat, il faut trouver un autre entrepôt dans l’ouest.
-Oui j’en suis arrivé au même résultat mais on peut se servir d’espaces existants pour y acheminer des stocks. Rennes me semble bien placé. Centre de la Bretagne et en passant un accord on pourrait aussi utiliser Bordeaux comme centre sud-ouest.
Je te suis mais je pense que Toulouse avec son aéroport serait mieux encore. Tu ne le sais pas encore mais Bruno nous rend visite ce soir. Prépare un bilan chiffré et lave bien tes fesses tu feras connaissance d’Alain, le régisseur actuel. Tu iras préparer la villa après le repas avec Alain et ses achats. Il se changera en route. Tu ne le sais pas mais il sera accepté ce midi si c’est aussi bon qu’hier soir et il accepte le travail en se vêtant en fille.
-En nana ?
Oui et j’accepte je n’ai pas de préjugés. Pense à sa queue et à ses fesses.
-Bien ok ça changera un peu. Tu emmènes Kurt ?
Non un peu de temps libre et avec son collier il fera des expériences utiles je pense. Je vous rejoindrai dans la soirée.
On s’est retrouvé ensemble vers douze heures pour l’apéritif. Alain avait fait des petites bouchées soufflées avec différents goûts. Il les a déposées sur la table. Une jupe ample mais courte avec un chemisier le transformait.
-Je vais me laisser pousser encore un peu les cheveux et j’imagine que pour le service une robe noire avec un tablier ne vous déplaira pas plus tard. Les talons ne sont pas encore très haut mais je ne me suis pas habitué à en porter avant de me mettre à votre service. J’ai entendu parler d’un déplacement et j’aurais des courses à faire avant et ce midi je n’ai fait que des choses légères en prévision de ce soir. J’aurais aussi besoin d’argent car j’épuise le mien en ce moment.
Pas de problèmes si tout est bon et je te donnerais une CB avec un montant limité pour tes frais par la suite.
Une fois à table je n’ai pu résister à soulever sa jupe, dévoilant ses fesses juste séparées par une raie de tissus.
Je ne vais pas faire le détail de ce qu’il avait préparé mais c’était et léger et bon.
-Bon on va faire comme tu dis et j’emmène Alain avec moi. Kurt s’occupera de la vaisselle et je prends une des voitures de la société.
Ok Will je t’ai mis sur un papier l’adresse de la villa. Il suffira de te présenter à Jim l’intendant. Moi je bosse encore un moment. Je donne un peu de travail à Kurt et il aura quartier libre ce soir.
-Vous me laissez seul ?
Oui et alors t’es un grand garçon et tu trouveras surement un ou des compagnons avec ton beau collier.
Il a rougi.
-Je ne vais pas oser sortir.
Mais si, il faudra bien manger donc tu iras te promener. Aller vous autres en route, Kurt je t’attends une fois la vaisselle faite. J’avais trois ou quatre lettres à écrire à des grossistes qui faisaient la liaison avec les clients et il est toujours bon de faire ces lettres manuscrites. D’autres lettres venaient, elles de bars et de clients et j’avais des lettres types que je n’avais qu’à signer, Kurt mettrait l’en tête. Après un tour rapide des bureaux je suis descendu au garage et suis parti vers La vallée de Chevreuse. J’avais emporté de quoi me changer et le slip cuir était dans une petite valise. Le vendredi vers ce coin là il y avait du monde sur la route et ce n’est que dans la vallée, la route souvent presque toujours longeait des murs garantissant la vie privée de chacun.
Devant le portail fermé j’ai klaxonné et Jim m’a ouvert, rigolard. Entre et je referme. Gare-toi à côté des autres voitures et fait comme eux. A poil. Lui-même était en short de jogging noir en résille, j’apercevais son sexe à travers.
Tout le monde est arrivé ?
-Le seul qui manque c’est le grand patron, le big boss. Arrête de mater mon short et accélère pour te changer. Ils sont à la rivière.
Une fois nu, il a passé la main sur mes fesses un doigt dans la raie. Je n’ai pu que me cambrer par réflexe.
-Tu as bien changé Éric. Une vraie salope.
Pas salope non mais totalement gay comme toi d’ailleurs. J’aime la queue et toi le cul des mecs mais quelle différence ? Tu aimais aussi la bite avant. Aller à plus je vais les rejoindre.
Will était étalé sur le sable et Alain se baignait faisant des mines pour attirer le regard de Will. Quand je suis arrivé il est sorti de l’eau pour se coller à moi tout humide.
-Will tu ne salues pas ton chef ?
-Ici c’est zone neutre et à poil on est tous pareil. Voilà Jim qui arrive.
-Re-salut les chiennes J’ai amené vos colliers pour recevoir le patron il a téléphoné pour que vous les portiez.
Le mien portait une médaille, bâtard de Bruno. Will avait lui, chienne docile et Alain, poulette tendre.
-Il ne devrait pas tarder et il vient avec une surprise. Séchez-vous et la poule, va à la cuisine. Les autres on rentre à la villa et on attend à genoux. Il est dans la vallée. Restez comme ça je retourne au portail.
Peu après il y a eu un coup de klaxon et une Mercédès est venue se garer devant la porte ouverte. A peine arrêtée Bruno est sorti. Avec un grand sourire il est venu me relever.
-Que penses-tu de ma mise en scène ? Inutile de répondre je vois que ça t’a plu. Il m’a roulé une pelle. Une main caressant ma queue raide et mes couilles je sentais la chaleur de son sexe contre moi.
C’est pendant qu’il saluait Will et Jim que j’ai vu sortir son co-pilote. En short assez long de baroudeur avec de poches partout. Il nous a maté lentement de bas en haut, regard intimidant quand on se trouve nu devant un inconnu habillé.
-Non, j’avais peur et c’est votre affiche qui m’a décidé. Après tout J’en ai et même très envie.
Tu as dû remarquer à notre look que l’on est assez cuir et sans être sadique on aime faire mal sexuellement, ça ne te fait pas peur ?
-Plus maintenant que je vous connais non. C’est vrai qu’une fessée dans le feu de l’action peut être excitante.
Il n’y a pas que la fessée.
-On verra bien. Je pourrais dire stop ?
Pas la bouche pleine.
Je bandais et le cuir était si fin que ça se voyait bien. Lui aussi mais c’était beau à voir.
Tu as un fantasme spécial si tu te sens vraiment gai ?
-Je n’ai jamais essayé mais être plus féminin si possible. Vous avez vu avec le tablier les fesses à l’air les effets sur mon sexe. Eh bien je voudrais porter des jupes sans rien dessous ou un string.
Et tu pourrais malgré ça prendre un mec ?
J’ai vu ses yeux briller et une goutte poindre de son sexe.
-Oh oui, bien plus facilement et surement en étant plus vache qu’un mec. Je crois que ça va dans votre sens non ?
Ce n’est pas conventionnel mais curieux et à essayer. Je suis sans préjugé sexuel et si c’est ton idée pourquoi pas. On verra demain si le sexe masculin t’attire autant, seul avec moi puis avec mes amis. Tu devras non seulement aimer la sodomie mais aussi aimer prendre un mec et durer. Entre ces moments et ton travail plus les courses tu n’auras plus beaucoup de temps libre.
-Je comprends tout ça mais être en fille avec ma queue prête à servir à tout moment, avec vous ou Will et Kurt pour d’autres moments je suis partant.
Bien, on verra demain, là j’ai ma dose de sexe et tu vas dormir avec Kurt. Il te fera de la place sur la terrasse, Will dormira à côté et moi j’ai ma chambre. Tu as accès à la sortie pour les croissants du matin vers huit heures. Salut la compagnie je vais me coucher.
Le plus difficile a été d’ôter le pantalon qui me faisait comme une seconde peau. Mais une fois nu et allongé je me suis endormi sans rêver.
Je n’avais pas la sensation d’avoir dormi quand l’odeur du café et du croissant m’ont tiré du sommeil profond où je me trouvais. Alain était devant moi, nu, un plateau posé sur le bord du lit. Il ne bandait pas et je lui ai demandé pourquoi, surpris.
-Comprends moi je n’ai toujours offert que mes lèvres et jamais de sexe entre mes fesses et même en en ayant envie j’ai un peu peur.
J’ai écarté le drap qui me couvrait. Queue raide. Il faut quand même que j’aille faire une toilette avant.
-Ne t’inquiètes pas j’ai l’habitude et certains sexes n’était pas d’une fraîcheur exemplaire.
Il était passé naturellement du vouvoiement au tutoiement et sa bouche s’est refermée sur ma queue. Délicieuse sensation d’une langue encore inconnue qui caresse le gland. Aucun reproche à lui faire il savait s’y prendre et aimait ça. J’avais un bout de bois entre les jambes quand il s’est redressé.
-Pour la première fois tu peux me prendre par devant que je te voie et que je ressente un peu de ce dont tu as envie en plus de mes fesses.
J’ai eu un sourire. Allonge-toi sur le dos, je vais mettre un coussin sous tes fesses. Là, écarte bien les cuisses. Oui comme ça. Je me suis reculé et j’ai passé la langue sur son anus ce qui l’a fait frissonner pour bien saliver ce petit espace qui allait accueillir ma queue. Il commençait à se branler quand je l’ai arrêté.
Non pas maintenant. Puis je me suis calé contre lui, le gland contre le petit trou que j’avais entrouvert de la langue et tenant les mains le long de son corps j’ai poussé doucement. La résistance n’a pas durée et lentement mon gland s’est trouvé dans le début du trou mais pas totalement.
Habitue-toi à la sensation d’être remplie et bien ouverte. Caresse-toi doucement. Oui comme ça, doucement je vais aller au plus loin en toi maintenant. Tu aimes ?
-Oui tu es doux et j’aime, plus tard tu me pendras comme une chienne mais là je vois tes yeux et je sens que tu aimes être là où tu es.
J’ai commencé de lents va et vient sans sortir le gland et il a lentement gémi, montant dans les octaves. Il se branlait ajoutant son plaisir au mien et au moment ou je l’ai senti près je me suis retiré pour jouir en même temps que lui sur son ventre.
Je vais à la douche et au travail. Tu as réveillé les autres ?
-Oui avant de venir te rejoindre.
Tu prendras la tienne après je suis déjà en retard.
Une fois vêtu je suis descendu au bureau où Kurt était déjà au travail, triant le courrier du matin.
J’avais de mon côté sur l’ordi des projets de tenue pour les livreurs, établi par les designers de la maison mère et un mot de Bruno me demandant de réfléchir à mon choix et qu’on en parlerait quand il arriverait. On était vendredi et si tout allait bien il serait là dans la nuit.
J’ai mis une réponse disant que je l’attendais avec impatience. J’ai consulté ensuite les rapports de vente et ça démarrait en flèche. Tout en restant loin des concurrents on grignotait la place dans le marais et ça s’étendait dans les grandes villes. J’ai rectifié l’approvisionnement du hangar et prévu des wagons vers les différentes villes. Toulouse, Lyon étaient les plus consommatrices. Le centre restait en retrait des ventes mais Nantes et Brest ainsi que Rennes démarraient bien. Paris battant tous les records de nos ventes. J’ai signé quelques lettres préparées par Kurt et fait venir Will.
Je suppose que tu fais le même constat, il faut trouver un autre entrepôt dans l’ouest.
-Oui j’en suis arrivé au même résultat mais on peut se servir d’espaces existants pour y acheminer des stocks. Rennes me semble bien placé. Centre de la Bretagne et en passant un accord on pourrait aussi utiliser Bordeaux comme centre sud-ouest.
Je te suis mais je pense que Toulouse avec son aéroport serait mieux encore. Tu ne le sais pas encore mais Bruno nous rend visite ce soir. Prépare un bilan chiffré et lave bien tes fesses tu feras connaissance d’Alain, le régisseur actuel. Tu iras préparer la villa après le repas avec Alain et ses achats. Il se changera en route. Tu ne le sais pas mais il sera accepté ce midi si c’est aussi bon qu’hier soir et il accepte le travail en se vêtant en fille.
-En nana ?
Oui et j’accepte je n’ai pas de préjugés. Pense à sa queue et à ses fesses.
-Bien ok ça changera un peu. Tu emmènes Kurt ?
Non un peu de temps libre et avec son collier il fera des expériences utiles je pense. Je vous rejoindrai dans la soirée.
On s’est retrouvé ensemble vers douze heures pour l’apéritif. Alain avait fait des petites bouchées soufflées avec différents goûts. Il les a déposées sur la table. Une jupe ample mais courte avec un chemisier le transformait.
-Je vais me laisser pousser encore un peu les cheveux et j’imagine que pour le service une robe noire avec un tablier ne vous déplaira pas plus tard. Les talons ne sont pas encore très haut mais je ne me suis pas habitué à en porter avant de me mettre à votre service. J’ai entendu parler d’un déplacement et j’aurais des courses à faire avant et ce midi je n’ai fait que des choses légères en prévision de ce soir. J’aurais aussi besoin d’argent car j’épuise le mien en ce moment.
Pas de problèmes si tout est bon et je te donnerais une CB avec un montant limité pour tes frais par la suite.
Une fois à table je n’ai pu résister à soulever sa jupe, dévoilant ses fesses juste séparées par une raie de tissus.
Je ne vais pas faire le détail de ce qu’il avait préparé mais c’était et léger et bon.
-Bon on va faire comme tu dis et j’emmène Alain avec moi. Kurt s’occupera de la vaisselle et je prends une des voitures de la société.
Ok Will je t’ai mis sur un papier l’adresse de la villa. Il suffira de te présenter à Jim l’intendant. Moi je bosse encore un moment. Je donne un peu de travail à Kurt et il aura quartier libre ce soir.
-Vous me laissez seul ?
Oui et alors t’es un grand garçon et tu trouveras surement un ou des compagnons avec ton beau collier.
Il a rougi.
-Je ne vais pas oser sortir.
Mais si, il faudra bien manger donc tu iras te promener. Aller vous autres en route, Kurt je t’attends une fois la vaisselle faite. J’avais trois ou quatre lettres à écrire à des grossistes qui faisaient la liaison avec les clients et il est toujours bon de faire ces lettres manuscrites. D’autres lettres venaient, elles de bars et de clients et j’avais des lettres types que je n’avais qu’à signer, Kurt mettrait l’en tête. Après un tour rapide des bureaux je suis descendu au garage et suis parti vers La vallée de Chevreuse. J’avais emporté de quoi me changer et le slip cuir était dans une petite valise. Le vendredi vers ce coin là il y avait du monde sur la route et ce n’est que dans la vallée, la route souvent presque toujours longeait des murs garantissant la vie privée de chacun.
Devant le portail fermé j’ai klaxonné et Jim m’a ouvert, rigolard. Entre et je referme. Gare-toi à côté des autres voitures et fait comme eux. A poil. Lui-même était en short de jogging noir en résille, j’apercevais son sexe à travers.
Tout le monde est arrivé ?
-Le seul qui manque c’est le grand patron, le big boss. Arrête de mater mon short et accélère pour te changer. Ils sont à la rivière.
Une fois nu, il a passé la main sur mes fesses un doigt dans la raie. Je n’ai pu que me cambrer par réflexe.
-Tu as bien changé Éric. Une vraie salope.
Pas salope non mais totalement gay comme toi d’ailleurs. J’aime la queue et toi le cul des mecs mais quelle différence ? Tu aimais aussi la bite avant. Aller à plus je vais les rejoindre.
Will était étalé sur le sable et Alain se baignait faisant des mines pour attirer le regard de Will. Quand je suis arrivé il est sorti de l’eau pour se coller à moi tout humide.
-Will tu ne salues pas ton chef ?
-Ici c’est zone neutre et à poil on est tous pareil. Voilà Jim qui arrive.
-Re-salut les chiennes J’ai amené vos colliers pour recevoir le patron il a téléphoné pour que vous les portiez.
Le mien portait une médaille, bâtard de Bruno. Will avait lui, chienne docile et Alain, poulette tendre.
-Il ne devrait pas tarder et il vient avec une surprise. Séchez-vous et la poule, va à la cuisine. Les autres on rentre à la villa et on attend à genoux. Il est dans la vallée. Restez comme ça je retourne au portail.
Peu après il y a eu un coup de klaxon et une Mercédès est venue se garer devant la porte ouverte. A peine arrêtée Bruno est sorti. Avec un grand sourire il est venu me relever.
-Que penses-tu de ma mise en scène ? Inutile de répondre je vois que ça t’a plu. Il m’a roulé une pelle. Une main caressant ma queue raide et mes couilles je sentais la chaleur de son sexe contre moi.
C’est pendant qu’il saluait Will et Jim que j’ai vu sortir son co-pilote. En short assez long de baroudeur avec de poches partout. Il nous a maté lentement de bas en haut, regard intimidant quand on se trouve nu devant un inconnu habillé.
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