Ma vie 3

- Par l'auteur HDS Conteur -
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma vie 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma vie 3
Un mec est entré, petit, râblé l’air satisfait de celui qui va baiser sans problème. J’ai senti le bas du lit reculer jusqu’à sous mes fesses et il a sorti son sexe, invisible pour moi si je n’avais pas entendu le zip. Tranquillement il a posé chaque cheville sur ses épaules et m’a enculé. Pas énorme mais bon sans voir je l’ai senti quand même. La porte s’est ouverte sur un autre, inconnu encore qui lui a défait sa braguette et sorti un sexe bandé a demi recouvert par le prépuce.
Dirigé sur mes lèvres, j’ai senti une odeur de bouc avant qu’il décalotte. Il ne devait pas se laver souvent car ce qu’il approchait de ma bouche était recouvert d’une sorte de peau blanche. J’ai senti le sperme séché avant qu’il pousse on truc entre mes lèvres.
-Passe la langue et suce !
Je ne pouvais pas parler alors j’ai fait ce qu’il voulait. Un peu écœuré. Les deux ont joui assez vite sans un mot de plus. Ils sont sortis et Éric est entré.
-Bien, ton premier test s’est bien passé. Tu as surement des besoins naturels à satisfaire.
Il m’a attaché une laisse au collier et a tiré dessus.
-Lève-toi, regarde dans ce coin tu peux pousser la cloison, il n’y a pas de verrou ni d’un côté ni de l’autre. Dans ce coin, quand tu t’accroupis les pieds aux bons endroits une lampe led allume par-dessous pour filmer automatiquement tes fesses. Dans ce coin ci, si tu mets les pieds aux bons endroits, un gode va chercher ton anus et t’envoyer un jet d’eau pour le laver. Enfin ici au centre tu es sous une douche qui se déclenche quand tu es seul dessous. Nul robinet à actionner. Dans deux jours j’enlèverais les pansements de tes tétons et passerais les anneaux que tu porteras en toutes occasions.
-Paul a réglé tout cela et maintenant toi tu vas payer pour rembourser l’aménagement de cette chambre de pute. Je choisirais pour toi les mecs qui te sailliront. Enfin pour te changer les idées je te ferais sortir avec moi dans différents lieux que je choisirais. En attendant, à genoux et suce moi. Tes deux premiers jours tu seras nourri au sperme, uniquement. Au travail !
Coincé comme j’étais, nu et lié je ne pouvais qu’obéir et puis avec lui ce n’était pas désagréable. Il maniait ma tête sur sa queue. Et il a été long. J’avais mal à la mâchoire quand il a joui.
-Allonge le torse sur la table comme hier et tend les bras.
J’avais toujours les attaches aux poignets et aux chevilles et en un tour de main mon trou s’est trouvé exposé. Il a fait coulisser la cloison aux gadgets et sorti un gode comme j’en avais vu sur catalogue. Avec des morceaux de plus en plus larges sur la longueur. Il a craché sur ma rondelle et a poussé l’engin dans mon trou. Au début c’était agréable mais assez vite mon trou coinçait et n’acceptait pas plus. Il m’a foutu une claque sur la fesse, violente en poussant, le gode est entré un peu plus.
-Pousse comme si tu chiais et tout entrera.
Facile à dire mais pousser j’ai cru que tout ressortait mais au contraire le dernier gros morceau est entré.
-Pour un mec de ton âge c’est normal et tu accepteras plus sous peu.
Un black ?
Il a eu un sourire.
-Plus que ça.
Je ne pourrais jamais !
-Oh si. D’ailleurs j’ai un mec pour toi. Il veut un nouveau encore serré.
Il est allé ouvrir la porte à un beur, un de ceux que j’avais vu sortir de chez Paul.
-Je te le laisse. Sans coups mais tous les trous.
Le regard du beur sur mes fesses était vicieux et il a baissé devant moi son pantalon de jogging. J’ai poussé un petit cri, le gland dépassait du bas du caleçon, pas encore gonflé.
-Oui lopette, tu vas devoir me satisfaire et d’abord lubrifier ma bite et la faire bander en léchant et suçant. Il a continué en baissant son caleçon.
La queue s’est approchée de mon visage je n’ai pu qu’ouvrir la bouche. Au moins il était propre et de la langue je l’ai ait enfler et se raidir. Il me prenait toute la bouche.
-C’est bon. Je passe à ton petit cul de femelle.
Passé derrière moi il a pointé son gland et a poussé. J’ai gueulé il avait la taille du plus gros des bourrelets du gode. Heureusement après le gland la taille diminuait mais une fois m’avoir pénétré il est sorti pour s’enfiler à nouveau. Mon trou n’avait pas eu le temps de se refermer et s’est mieux passé. Il m’a labouré le cul comme un baiseur chevronné malgré mes cris qui ont faibli quand c’est mieux passé.
Il s’est retiré pour se placer devant moi, juste contre mes lèvres.
-Passe la langue dessus, je vais jouir et avale ce que tu peux c’est nourrissant le jus d’homme.
En effet il a envoyé des jets de sperme. Je n’ai pas pu avaler tout du premier mais après j’ai réussi à avaler les suivant en approchant la bouche. Ce mec était une fabrique à sperme. Enfin il a arrêté.
Il a donné un petit coup sur mon sac de couilles en souriant.
-Bonne pute et il est sorti. Éric est entré.
-Tu t’améliores vite tu as juste un peu gueulé mais après j’ai surtout entendu des râles. Va laver ton cul et reviens.
Je ne sais pas comment fonctionnait la machine mais le petit asperseur a trouvé mon trou dès que j’étais accroupi et s’est inséré en projetant des petits jets d’eau, ce n’était pas désagréable. De retour dans la pièce il avait fait descendre une chaîne du plafond qu’il a accroché à un des anneaux du collier et l’a remonté j’étais sur la pointe des pieds quand il a commencé à frapper doucement sur mes couilles avec le poids me faisant me recroqueviller en levant les pieds, accroché par le cou. Il a eu un sourire.
-Je vais t’éviter de gigoter.
Il a fixé une barre entre mes chevilles puis a repris les petites frappes régulières. Cette fois je ne pouvais protéger mes boules même en me hissant.
-Tu vas voir, dans peu de jours je pourrais ajouter du poids. Il te reste un client qui attend à côté. Tu vas apprécier.
Il est sorti tenant la porte à un superbe black dont je devinais la forme de la matraque dans le jogging. Un vrai taureau le mec ! Il a eu un sourire.
-Ma queue t’inquiète ? Je trouve rarement des femmes qui l’acceptent mais les petits PD dans ton genre adorent se faire défoncer avec.
Tout en parlant il se mettait nu et sans déconner elle devait faire au moins vingt, vingt-deux centimètres et encore molle.
Il a défait un peu la chaîne me mettant à hauteur de son sexe.
-Penche-toi, prends ton temps mais lèche, suce tu verras mon serpent se dresser. Je ne jouis que dans la bouche mais après avoir bien éclaté un petit trou comme le tien.
Il a poussé ma tête contre son membre, il était chaud et à petits coups de langues sur ses couilles le gland est venu se poser sur ma joue. Un peu plus gros j’ai changé et donné des coups de langue sur le frein ce qui l’a fait gémir, je me redressais en suivant le gland qui se raidissait tel un champignon. Il a tiré sur la chaîne et m’a fait tourner présentant cette fois mes fesses à sa queue. J’essayais de me décontracter mais facile à dire !
Mon anus avait déjà accepté une grosse mais pas si longue. J’ai eu un gémissement quand il a enfoncé le gland, tout doucement mais il a continué à s’enfoncer de plus en plus je le sentais buter dans mon intestin mais il a trouvé l’endroit où aller bien au fond et j’ai enfin senti ses couilles contre le poids des miennes. J’ai dû gueuler sans me rendre compte que j’étais empalé bien à fond. Le pire est venu quand il m’a ramoné lentement. Je sentais tous les nerfs de mon trou à fleur de peau vibrer et sans me retenir j’ai surement chialé comme un gosse. Il continuait, insensible à mes émotions à ramoner mon cul. A force le temps a pris le pas sur la douleur et j’ai même dû râler de plaisir tout en chialant.
Il a fini par se retirer et c’est sexe tendu vers ma bouche qu’il a joui. Arrosant mon visage et envoyant du foutre dans ma bouche grande ouverte.
-Brave pute ! Je reviendrais avec mon frère pour te prendre en broche.
J’ai léché jusqu’à la dernière goutte et quand il a remis son caleçon sexe encore à demi tendu et a fini de se vêtir. Il est parti sourire aux lèvres. Éric est entré.
-Tu es encore pire que ce que m’avait dit Paul. Tu veux t’écouter ?
Non merci j’ai compris que je suis un trou à bites, pour toutes les bites et que je finis par prendre mon pied même avec les grosses.
-Oh non, pas encore Pas autant que je veux que ton trou s’ouvre.

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