Ma vie 4
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma vie 4
Il a fait coulisser le mur avec les gadgets sexuels et s’est attardé sur les plugs, hésitant entre deux.
-Celui-là va tenir compagnie pour dormir.
Il était noir, énorme et l’espace entre le plug et la poignée était d’un diamètre correspondant à une bite normale. Il l’a graissé devant mes yeux avant de le placer sur ma rondelle encore un peu ouverte par le black et a poussé. J’ai gueulé mais rien n’y a fait et il est venu remplir mon trou, se bloquant sur la base.
-Et maintenant dodo, tu dois être fatigué. Et sans fenêtre tu ne peux savoir qu’elle heure il est. Allonge-toi, je vais remettre la sangle autour de ton ventre tes mains restent attachées au collier, tu peux gigoter des jambes j’ai enlevé la barre. Dors bien.
Il est sorti, éteignant les spots me laissant dans le noir. J’ai quand même pu me tourner pour m’endormir en chien de fusil et fatigué des émotions de la journée, je me suis endormi malgré le plug.
Sans repère visuel de lumière j’ai été réveillé par la lumière et Éric qui entrait. Il a défait la sangle.
-Mets-toi sur le ventre que je t’enlève le plug.
Je n’ai même pas eu le temps de me détendre qu’il tenait la poignée et tirait fort pour faire sortir l’énorme gode que j’ai fini par éjecter.
-Tu pues lopette même sans bouffer tu secrètes de l’humeur. Lèche ce gode et tu pourras aller pisser, chier si besoin est et surtout te laver le cul et te doucher. Là c’est bien. Après tout ce sont tes humeurs. Tu as un quart d’heure et je reviens.
Je n’avais rien à chier mais sur l’embout, les pieds bien posés au bon endroit j’ai senti le truc se poser exactement au bon endroit et les jets d’eau envahir mon conduit, retombant dans la cuvette autour de mes pieds. La douche prise, je suis revenu les mains toujours attachées au collier. Je sentais bien mon anus bâiller entre mes fesses.
Éric est revenu et a retiré doucement les sparadraps de mes tétons. J’ai pu les voir avec un anneau perçant chacun, tout petit.
-N’y touche pas tu risquerais de faire saigner. Encore un jour et je te mettrais les bons. Je t’enlève aussi le collier tu vas faire connaissance des autres lopettes qui sont déjà plus avancé que toi.
Nu j’ai suivi Éric dans un couloir puis dans un ascenseur ouvert avec seulement deux boutons, un pour monter et l’autre pour descendre. Seul le « monter « était allumé et il a appuyé. Assez vite il s’est élancé et j’ai été ébloui par le soleil qui se reflétait dans une piscine. Clignant des yeux j’ai vu d’autres mecs sans poils allongés autour. Certains avec une cage qui les maintenait dans un état de repos forcé, d’autres sur le côté avaient une queue de renard en poil qui sortait de leurs fesses. Pas si nombreux avec moi on devait être six. Deux avaient du poids aux couilles dont un avec le double du mien.
-Je te laisse faire connaissance. Remarque en haut derrière une vitre se trouvent des clients. Profite de la piscine.
Je n’ai pas hésité une seconde pour me mettre à l’eau, vite rejoins par un mec au grand sourire.
-Tu es tout nouveau toi !
Je ne sais même plus depuis quand, je ne voyais pas le jour.
-Je te disais ça car les nouveaux font ça de suite en arrivant. Regarde le fond.
Ho c’est une vitre ? Elle doit être solide. Et les mecs nous voient aussi par-dessous ?
-Evidemment. Il y a toujours des mecs qui te matent. Des vieux qui ne sont là que pour voir et des jeunes qui font leur choix. Qui t’as amené ici ?
Je ne sais pas si tu le connais, Paul.
Il a éclaté de rire.
-Je crois que la moitié des mecs ici connaissent Paul. Je suis passé chez lui et je suis ici depuis à me faire mettre par qui veux.
C’est dingue je ne l’imaginais pas comme ça. Moi je ne veux pas de vieux, enfin pas au-delà de trente ans.
-Tu as tort il y a de beaux mecs à quarante et plus. Mais tu les découvriras bien par toi-même. J’ai vu tes anneaux aux tétons. Ils te mettent les définitifs quand ?
Je ne sais plus trop quel jour on est. Demain ou après je ne sais plus.
-Ton mec aura le choix de ce que tu porteras.
Éric ?
-Non lui il te forme et après tu auras ton maître. Le vrai et si tu ne lui conviens pas il a le droit de te vendre.
Oh merde. Je suis un futur esclave ?
-Mais oui. Ne fais pas la gueule si tu tombes sur un bon tu auras la belle vie.
Moi j’attends encore Il m’a montré ses petits anneaux et celui au-dessous des couilles.
La vache ! Et tu n’as pas mal ?
-Non ça va bien. Vas-y il y a Éric qui t’appelles.
Je suis sorti de l’eau. Il m’a tout de suite remis le collier et emmené à l’ascenseur. De retour dans la pièce du début il m’a mis cette fois un bandeau de cuir qui m’aveuglait. Et a réuni mes mains dans le dos attachées.
-Entrez, Voyez s’il vous convient. Du balcon vous ne l’avez pas vu d’aussi près. Je vous laisse un moment pour apprécier.
Une main a introduit des doigts dans ma bouche, assez loin j’ai dû me retenir quand il a touché la luette. Mais j’ai serré les lèvres et passé la langue dessus. Je sentais une main passer sur mes fesses et mes couilles bien tombantes. Ils devaient être deux. Les doigts devaient être ceux d’un manuel dans ma bouche mais sur mes fesses elles étaient douces.
-Tu es ouverte du cul je suppose ?
Oui monsieur ais je articulé maladroitement les doigts me gênant pour parler.
-Bien éduqué ta réponse.
Deux mains m’ont écarté les fesses je sentais ma rondelle palpiter sans pouvoir me retenir. J’ai entendu un petit rire.
-Regarde on dirait qu’il appelle un truc dans son cul.
La voix était jeune et mâle et celui qui a répondu avait la voix plus grave mais jeune aussi.
-Montre nous tes talents avec ta bouche.
J’ai sucé le doigt puis assez vite une bite assez épaisse avec le prépuce Jusqu’à la faire jouir aussitôt remplacée par une autre avec laquelle j’ai agi de même.
-Déjà léché un cul esclave ?
Non je ne crois pas. J’ai senti l’odeur de fesses se rapprocher et tendant la langue j’ai léché.
-Bien je crois que tu nous conviendras.
Il a appelé Éric.
-Tu as ses fringues ?
-Toutes découpées mais je peux vous donner un vieux jogging un peu large et un marcel.
-Ok on le prend, on va l’embarquer. Il a tiré sur le masque et j’ai découvert deux mecs ressemblants, dans les vingt-cinq ans je pense, en jean. Toi tu restes là avec Luc. Je reviens.
Je suppose qu’il est allé régler la transaction avec Éric. Ils ont discuté un moment.
-Tu as de la chance voici tes nouveaux maîtres. Ils t’emmènent tout de suite. Il a laissé tomber le jogging et le marcel. Vous pouvez l’emmener tout et bon pour moi.
C’était la première fois que j’enfilais des vêtements depuis que je m’étais retrouvé piégé. Et ça faisait drôle. Éric m’a tendu mon sac.
-Tes papiers sont dedans.
On est sorti et par un autre ascenseur on est cette fois descendu jusqu’au parking. Pieds nus je devais faire bizarre d’autant que je retenais le jogging trop grand et sans cordon pour le serrer. Dirigé vers une grosse voiture noire j’ai remarqué l’immatriculation D.
On est en Allemagne ?
-Ne parle que quand on t’interroge ! Oui, juste à la frontière avec la Belgique.
Merde ! Ils m’avaient emmené jusque-là pendant que je dormais !
-Toi tu t’installes au milieu derrière et tu mets ta ceinture.
On est sorti du parking et la voiture est sortie de la ville. Je ne pouvais que regarder le décor devenir montagneux et on montait par l’autoroute. Après une sortie que je n’ai pas pu déchiffrer on a roulé encore un moment avant de s’engager dans une allée bordée d’arbres. Il y a eu un arrêt ou j’ai dû ôter le peu de fringues que je possédais sur moi avant de repartir vers le bout de l’allée. Là une ancienne forteresse se dressait sur un piton. Une fois le mur passé la porte s’est refermé et la voiture s‘est arrêtée au bas d’un escalier. Un jeune en habit du moyen âge, chausse moulante et justaucorps a ouvert les portes des deux de devant.
-Celui-là va tenir compagnie pour dormir.
Il était noir, énorme et l’espace entre le plug et la poignée était d’un diamètre correspondant à une bite normale. Il l’a graissé devant mes yeux avant de le placer sur ma rondelle encore un peu ouverte par le black et a poussé. J’ai gueulé mais rien n’y a fait et il est venu remplir mon trou, se bloquant sur la base.
-Et maintenant dodo, tu dois être fatigué. Et sans fenêtre tu ne peux savoir qu’elle heure il est. Allonge-toi, je vais remettre la sangle autour de ton ventre tes mains restent attachées au collier, tu peux gigoter des jambes j’ai enlevé la barre. Dors bien.
Il est sorti, éteignant les spots me laissant dans le noir. J’ai quand même pu me tourner pour m’endormir en chien de fusil et fatigué des émotions de la journée, je me suis endormi malgré le plug.
Sans repère visuel de lumière j’ai été réveillé par la lumière et Éric qui entrait. Il a défait la sangle.
-Mets-toi sur le ventre que je t’enlève le plug.
Je n’ai même pas eu le temps de me détendre qu’il tenait la poignée et tirait fort pour faire sortir l’énorme gode que j’ai fini par éjecter.
-Tu pues lopette même sans bouffer tu secrètes de l’humeur. Lèche ce gode et tu pourras aller pisser, chier si besoin est et surtout te laver le cul et te doucher. Là c’est bien. Après tout ce sont tes humeurs. Tu as un quart d’heure et je reviens.
Je n’avais rien à chier mais sur l’embout, les pieds bien posés au bon endroit j’ai senti le truc se poser exactement au bon endroit et les jets d’eau envahir mon conduit, retombant dans la cuvette autour de mes pieds. La douche prise, je suis revenu les mains toujours attachées au collier. Je sentais bien mon anus bâiller entre mes fesses.
Éric est revenu et a retiré doucement les sparadraps de mes tétons. J’ai pu les voir avec un anneau perçant chacun, tout petit.
-N’y touche pas tu risquerais de faire saigner. Encore un jour et je te mettrais les bons. Je t’enlève aussi le collier tu vas faire connaissance des autres lopettes qui sont déjà plus avancé que toi.
Nu j’ai suivi Éric dans un couloir puis dans un ascenseur ouvert avec seulement deux boutons, un pour monter et l’autre pour descendre. Seul le « monter « était allumé et il a appuyé. Assez vite il s’est élancé et j’ai été ébloui par le soleil qui se reflétait dans une piscine. Clignant des yeux j’ai vu d’autres mecs sans poils allongés autour. Certains avec une cage qui les maintenait dans un état de repos forcé, d’autres sur le côté avaient une queue de renard en poil qui sortait de leurs fesses. Pas si nombreux avec moi on devait être six. Deux avaient du poids aux couilles dont un avec le double du mien.
-Je te laisse faire connaissance. Remarque en haut derrière une vitre se trouvent des clients. Profite de la piscine.
Je n’ai pas hésité une seconde pour me mettre à l’eau, vite rejoins par un mec au grand sourire.
-Tu es tout nouveau toi !
Je ne sais même plus depuis quand, je ne voyais pas le jour.
-Je te disais ça car les nouveaux font ça de suite en arrivant. Regarde le fond.
Ho c’est une vitre ? Elle doit être solide. Et les mecs nous voient aussi par-dessous ?
-Evidemment. Il y a toujours des mecs qui te matent. Des vieux qui ne sont là que pour voir et des jeunes qui font leur choix. Qui t’as amené ici ?
Je ne sais pas si tu le connais, Paul.
Il a éclaté de rire.
-Je crois que la moitié des mecs ici connaissent Paul. Je suis passé chez lui et je suis ici depuis à me faire mettre par qui veux.
C’est dingue je ne l’imaginais pas comme ça. Moi je ne veux pas de vieux, enfin pas au-delà de trente ans.
-Tu as tort il y a de beaux mecs à quarante et plus. Mais tu les découvriras bien par toi-même. J’ai vu tes anneaux aux tétons. Ils te mettent les définitifs quand ?
Je ne sais plus trop quel jour on est. Demain ou après je ne sais plus.
-Ton mec aura le choix de ce que tu porteras.
Éric ?
-Non lui il te forme et après tu auras ton maître. Le vrai et si tu ne lui conviens pas il a le droit de te vendre.
Oh merde. Je suis un futur esclave ?
-Mais oui. Ne fais pas la gueule si tu tombes sur un bon tu auras la belle vie.
Moi j’attends encore Il m’a montré ses petits anneaux et celui au-dessous des couilles.
La vache ! Et tu n’as pas mal ?
-Non ça va bien. Vas-y il y a Éric qui t’appelles.
Je suis sorti de l’eau. Il m’a tout de suite remis le collier et emmené à l’ascenseur. De retour dans la pièce du début il m’a mis cette fois un bandeau de cuir qui m’aveuglait. Et a réuni mes mains dans le dos attachées.
-Entrez, Voyez s’il vous convient. Du balcon vous ne l’avez pas vu d’aussi près. Je vous laisse un moment pour apprécier.
Une main a introduit des doigts dans ma bouche, assez loin j’ai dû me retenir quand il a touché la luette. Mais j’ai serré les lèvres et passé la langue dessus. Je sentais une main passer sur mes fesses et mes couilles bien tombantes. Ils devaient être deux. Les doigts devaient être ceux d’un manuel dans ma bouche mais sur mes fesses elles étaient douces.
-Tu es ouverte du cul je suppose ?
Oui monsieur ais je articulé maladroitement les doigts me gênant pour parler.
-Bien éduqué ta réponse.
Deux mains m’ont écarté les fesses je sentais ma rondelle palpiter sans pouvoir me retenir. J’ai entendu un petit rire.
-Regarde on dirait qu’il appelle un truc dans son cul.
La voix était jeune et mâle et celui qui a répondu avait la voix plus grave mais jeune aussi.
-Montre nous tes talents avec ta bouche.
J’ai sucé le doigt puis assez vite une bite assez épaisse avec le prépuce Jusqu’à la faire jouir aussitôt remplacée par une autre avec laquelle j’ai agi de même.
-Déjà léché un cul esclave ?
Non je ne crois pas. J’ai senti l’odeur de fesses se rapprocher et tendant la langue j’ai léché.
-Bien je crois que tu nous conviendras.
Il a appelé Éric.
-Tu as ses fringues ?
-Toutes découpées mais je peux vous donner un vieux jogging un peu large et un marcel.
-Ok on le prend, on va l’embarquer. Il a tiré sur le masque et j’ai découvert deux mecs ressemblants, dans les vingt-cinq ans je pense, en jean. Toi tu restes là avec Luc. Je reviens.
Je suppose qu’il est allé régler la transaction avec Éric. Ils ont discuté un moment.
-Tu as de la chance voici tes nouveaux maîtres. Ils t’emmènent tout de suite. Il a laissé tomber le jogging et le marcel. Vous pouvez l’emmener tout et bon pour moi.
C’était la première fois que j’enfilais des vêtements depuis que je m’étais retrouvé piégé. Et ça faisait drôle. Éric m’a tendu mon sac.
-Tes papiers sont dedans.
On est sorti et par un autre ascenseur on est cette fois descendu jusqu’au parking. Pieds nus je devais faire bizarre d’autant que je retenais le jogging trop grand et sans cordon pour le serrer. Dirigé vers une grosse voiture noire j’ai remarqué l’immatriculation D.
On est en Allemagne ?
-Ne parle que quand on t’interroge ! Oui, juste à la frontière avec la Belgique.
Merde ! Ils m’avaient emmené jusque-là pendant que je dormais !
-Toi tu t’installes au milieu derrière et tu mets ta ceinture.
On est sorti du parking et la voiture est sortie de la ville. Je ne pouvais que regarder le décor devenir montagneux et on montait par l’autoroute. Après une sortie que je n’ai pas pu déchiffrer on a roulé encore un moment avant de s’engager dans une allée bordée d’arbres. Il y a eu un arrêt ou j’ai dû ôter le peu de fringues que je possédais sur moi avant de repartir vers le bout de l’allée. Là une ancienne forteresse se dressait sur un piton. Une fois le mur passé la porte s’est refermé et la voiture s‘est arrêtée au bas d’un escalier. Un jeune en habit du moyen âge, chausse moulante et justaucorps a ouvert les portes des deux de devant.
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