Ma vie 9

- Par l'auteur HDS Conteur -
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma vie 9 Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma vie 9
J'ai mis les épisodes dans d'autres liens non homos.
-Il fait quatre centimètres au moins !
-Et alors, ce n’est pas pour toi encore.
Il m’a montré l’objet, en effet, de cuir noir avec des anneaux, une fois attachés il ne devait rester qu’un tube. Il l’a écarté et passé autour de la peau reliant mon sexe à mes couilles et tranquillement a lacé les anneaux en serrant chacun. Au bout un anneau était attaché au cuir solidement. Une fois fini il a cadenassé les derniers anneaux avant de détacher la corde qui tirait sur mon sac, cette fois retenu par le tube en cuir.
-Tu as moins mal comme ça ?
Oui mais je vais garder ça jusqu’à quand ?
-Je déciderais mais je n’ai pas fini.
Il a mis un collier de cuir assez large avec l’anneau derrière et a passé une chaînette de la boucle du truc de mes couilles, la faisant passer entre mes fesses il a tiré pour la fixer au collier. Il a cadenassé le collier. J’avais les couilles coincées entre mes cuisses et ma queue raide pointait vers le bas. Je sentais un anneau assez large juste placé entre mes fesses qui gardait mon anus visible si je me penchais.
-Pour le moment tu vas supporter ça. Je vais te détacher les mains et les pieds. Tu pourras bouger dans le pavillon autant que Justin.
Pour pisser ça ne sera pas pratique.
-Mais si, réfléchis, si tu bandes ta queue est dirigée vers le bas et tu iras dehors te soulager en écartant les cuisses et si tu ne bandes pas tu peux pisser comme une fille en t’asseyant.
Au fait je me dois de présenter Éric à mes anciens amis et j’ai envoyé un sms à tous ceux que je connais, ils sont invités ce soir mais uniquement avec un certificat de non contaminé VIH tout récent.
Hé ! Et je serais nu ?
-Non bien sûr mais toi et Justin allez porter un short de jogging en maille fine sans slip intérieur. Vous ne cacherez pas trop et laisserez deviner tout. Vous verrez il y a des potes amusants, très cuir et d’autres assez folles et même quelques filles avant que je me déclare gay. Lavez tout ce que vous pouvez, ce soir ce sera la fête.
Je me suis trouvé con, des filles allaient me voir et savoir que je supportais le traitement de Bruno. J’avais la honte par anticipation. L’après-midi s’est passé bien trop vite à mon goût. Au mois de juillet il fait jour tard et les lumières n’étaient pas allumées quand les premiers sont arrivés.
On avait eu le temps d’enfiler nos shorts, rouge éclatant pour moi et blanc pour Justin. Bruno lui était sapé avec un jean en cuir et un polo marqué « master » dans le dos.
Heureusement c’était un couple de mecs et changés en arrivant on voyait très bien leurs rapports entre eux. Très berlinois un en jean noir taille basse moulé sur lui avec un gilet de cuir noir et l’autre, collier de clebs au cou, gilet ouvert sur son torse avec les seins très long. Dessous, un simple string noir assez gros sur le devant.
-Toi ! Va dire bonjour à maître Bruno !
Le mec en string s’est agenouillé et penché sur la braguette de Bruno.
-Comment va, Jean ? Tu t’es trouvé une chienne si je comprends bien.
-Oui ça va, comme tu ne savais pas ce que tu voulais et moi si, j’ai trouvé celui-là assez obéissant. Et toi tu as deux lopes ?
-Non la seule que j’aime et qui aime ce que je lui fais subir est celui avec le short rouge échancré sur les bords, le black sert d’aide et pour le service. Tiens voilà les frangines.
Deux nanas jolies comme des cœurs mais habillées comme des Catwoman entraient grand sourire aux lèvres.
-Alors tu as fini par faire ton choix ?
-Désolée les filles j’ai trouvé ce que je voulais. Approche Éric. Voilà deux copines qui visiblement sont heureuses en couple comme de petites cochonnes
Tout le monde a ri. Les autres arrivaient par un ou deux, parfois en groupe. Un ou deux étaient mignons et m’auraient fait bander mais ils étaient déjà en couple. C’est une des nanas qui en passant la main a piqué un fou rire.
-Il n’a pas de couilles ?
Bruno lui, a ri également mais a baissé mon short aux chevilles.
-Cherche mieux Sophie.
D’un coup l’impossible pour moi est arrivé et j’ai bandé à mort sous leurs regards. Surtout que la main de Sophie est passée sous ma queue et a palpé le cylindre de cuir jusqu’aux boules.
-Ah oui il est couillu. Il peut les montrer ?
-Montre leur Éric.
J’ai dû prendre une position bizarre car si je me penchais, ça tirait sur mes couilles, alors je me suis cambré en même temps, et songeant que j’exposais ainsi mon trou m’a fait baver un peu.
-Superbe ce que tu lui fais Bruno !
C’était la voix du mec en cuir qui est venu palper lui aussi mes couilles et mon trou.
-Oui, il aime ça et moi aussi. On le voit bien non ?
-Pour le voir on le voit il a joli bout de bois entre les cuisses.
-Si vous le prenez, mettez une capote mais pour sucer pas besoin, il faut que je cause avec Sophie, je vous laisse un instant entre vous.
Je l’ai perdu de vue mais pas la bite qu’on m’a présenté à la bouche. J’ai sucé en même temps que j’entendais le bruit d’une déchirure de plastique. Peu après on a appuyé sur mes reins me faisant creuser encore plus les reins et j’ai senti le gland me pénétrer. Une dans la bouche l’autre au derrière j’étais embroché mais du coin de l’œil je voyais que je n’étais pas le seul à subir des assauts. Régulièrement la queue changeait dans ma bouche et j’ai presque sucé tous les mecs mais tous ne m’ont pas pris. La plus grosse, je l’ai vue après était celle d’un black. Il m’avait bien ramoné. Enfin il y a eu un moment de calme et Justin et moi avons servis des boissons. Bruno est revenu.
-Relève-toi un peu, Justin va t’aider. Tu as fait fureur dis-moi.
J’avais mal un peu partout, surtout aux couilles étirées à chaque coup de reins dans les fesses. J’ai bien senti la fureur.
Il a éclaté de rire et m’a embrassé.
-Bah, tu adores non ?
Un peu oui mais là tu t’es surpassé ils étaient combien tes amis ?
-Ce n’est pas le nombre qui compte je vois surtout que tu as pris ton pied.
Au début j’ai eu la honte de ma vie.
-Tu auras d’autres occasions d’avoir honte mais tu adores ça j’en suis sûr.
Après oui. Mais sur le moment j’ai eu les jetons.
-Profite de Justin, je te mets une capote. Il va s’enfiler lui-même. Aller Justin enfile toi sur Éric.
Lui aussi avait eu son lot de sexe et il était bien ouvert, juste en m’avançant sur lui je l’ai pénétré. Evidemment je n’étais pas monté comme lui et après toutes les sodomies, j’ai joui d’un coup au fond de lui dans la capote.
-Retire toi je vais te détacher. Il se fait tard et on va dormir. Pas de folie pendant deux jours sans capotes ! J’ai des choses à régler. Vous dormez dans la chambre face à la mienne, porte ouverte et que je ne vous entende pas ! J’ai besoin de sommeil.
Depuis longtemps je n’avais plus aucunes contraintes sur le corps et mes boules étaient libres mais pendaient bien plus. On a pris une douche et endormi aussitôt.
Epuisé de la veille j’ai dormi comme un bébé jusqu’au matin. Justin par habitude sans doute était déjà descendu en cuisine je suppose et Bruno m’a appelé.
-Viens me voir deux minutes.
Il avait pris un air grave et je me suis hâté.
-Tu m’as demandé hier de quoi je parlais avec Sophie. Je vais te donner la réponse. C’est une bonne copine que j’ai fréquenté plus jeune et comme il faudra bien un jour que j’ai un descendant à qui laisser la brasserie, je lui ai demandé de voir avec sa copine puisqu’elle, elle a viré lesbienne si faire un bébé qu’elle élèverait mais qui porterais mon nom la gênerais. J’aurais la réponse quand elles auront parlé entre elles. Tu restes le seul avec qui je suis bien et qui accepte mes défauts et les transforme en avantages. Sur ce suce moi.
Il avait tiré le drap révélant un sexe en excellent état de marche que j’ai pompé avec plaisir. Je l’ai pompé jusqu’au jus.
Si ce n’est que ça avec Sophie je comprends.
-Oui mais je veux que tu sois participant ce jour-là.
Euh, comment ?
-Simple, je te mets en forme, Sophie se prépare avec sa copine et tu me prendras au moment où je lui ferais l’amour.
Mais !! Je suis plutôt passif.
-Allons ne me dis pas que tu n’aimes pas lécher un cul et sucer ma queue ?
Je vais me sentir bizarre devant deux femmes !
-Il n’y a rien de fait et après la crème tu n’as pas envie d’un café ?
Il a éclaté de rire. J’ai souri.
Oui c’est chaud et noir ça change un peu du lait chaud.
On est descendu et Justin avait mis la table pour nous deux, restant à côté comme un maître d’hôtel mais nu.
-Ce matin je vais d’abord t’emmener dans une boutique pour que tu aies des fringues normales pour ton futur travail.
Je peux savoir mon futur travail ?
-Sur la fiche que tu avais rempli à ton arrivée au château tu fais des maths et ça marchait pas mal. En accord avec mon père à qui j’ai parlé on va t’orienter vers la logistique. Plus tard on a envie d’aller s’implanter en France et tu dirigerais cela entre nous et là-bas.
Et on se verrais quand ?
-Mais quand je le déciderais. Pratiquement tous les jours au travail et le soir ou je jugerais.
Et je vais apprendre ça où ?
-A la brasserie. On a un logisticien mais le pauvre s’occupe plus de l’est de l’Europe et si on investit à l’ouest on a besoin d’un bon, solide et efficace. Va passer un jean et une chemisette. J’ai des mocassins qui devraient t’aller. Justin va s’occuper de ranger les dégâts d’hier et nous préparer un repas rapide en restant nu. S’il s’occupe il n’aura pas froid. Je suppose que la voiture a été entretenue et qu’elle va démarrer au quart de tour. On devrait être de retour vers 12,13heures. File t’habiller.
Il y avait un moment que je ne m’étais pas vêtu mais heureusement Bruno avait la même taille et même les chaussures allaient. En descendant il avait sorti un coupé Mercédès et le faisait ronfler.
Je suppose que tu ne voulais pas que je mette de slip ?
-Tu as bien supposé. Et quand tu es dans la voiture laisse ta braguette largement ouverte. On va dans une boutique de prêt à porter ou j’ai mes habitudes.
Je trouvais curieux d’avoir pratiquement le sexe à l’air mais c’est lui qui décidait ces choses-là. Il a trouvé à se garer en sous-sol et m’a peloté la queue avant, une fois raide de me faire refermer le zip. Sans slip on devinait bien que je bandais. A l’extérieur on était en plein centre du vieux Munich et il m’a dirigé vers une boutique que j’ai jugée à la fois intime et luxueuse. Un vendeur s’est précipité.
-Bonjour monsieur que puis-je pour vous ?

-Je désire que ce jeune homme qui m’accompagne ai l’air d’un employé de l’entreprise comme cadre supérieur. Trouvez ce qu’il lui faut mais il faut un salon car il a besoin de tout.
Aucuns problèmes, suivez-moi je vous prie.
La pièce où on est entré par un ascenseur était éclairée par une fenêtre donnant sur la place et j’ai regardé Bruno d’un air inquiet.
-Déshabille-toi il faut qu’il prenne tes mesures.
Il devait savoir ce qu’il faisait et je me suis trouvé totalement nu devant cet inconnu.
-Bien, je vois évidemment que monsieur porte à droite. Il a pris les mesures, épaules, longueur de bras, tour de hanche et la mesure de l’entrejambe ou je l’ai senti soulever mes boules. Je pense que je vais trouver tout à fait ce qui conviendra. Quel ton préférez-vous ?
-Il est brun donc un ton bleu pas trop clair. Pour le costume, pantalon taille basse évidemment.
Il a pris mon encolure.
-Chemise blanche ?
-Non, je pense à un bleu ciel avec une cravate à rayure mêlant les deux tons.
-Il lui faut impérativement par propreté un boxer ou un slip pour essayer les pantalons.
-Trouvez en un, on ira ailleurs après. Il le gardera, vous le mettrez sur ma note.
Il est allé chercher quelques pantalons et vestes avec un caleçon pour que je sois à l’aise. Bruno a trouvé un ensemble veste pantalon dans les tons et j’ai dû enfiler le caleçon avant d’essayer le pantalon.
-Pas mal j’aime qu’il se sente un peu serré. La chemise correspond à son encolure ? Le ton me semble bon. Otez les épingles il va la passer pour juger l’effet. Oui ça semble bien. Passe la veste que je juge l’ensemble. Ok pas mal du tout. Le pantalon est un peu long mais une retouche et ça devrait aller. Vous en prévoyez deux. Cet ensemble et un gris plus léger pour l’été. On vous laisse le tout pour les retouches et toi Éric remets tes frusques on a encore des courses à faire.
On est sorti pour aller dans une boutique de sous-vêtements plus spéciaux un jeune a pris ma taille. Pantalon et caleçon baissé dans la boutique je n’étais pas le seul et une fois relevé Bruno a choisi pour moi des slips sans fond et des strings qui s’ouvraient sur le devant, certains avec un anneau pour le pénis ou bien plus. Il a également pris un maillot de bain à bretelle, cachant mon sexe mais pas mes fesses.
-Garde le rouge avec les fesses nues on va voir pour les chaussures. J’ai vu au passage que la boutique était plutôt sado maso. Avant de sortir, il m’a fait attendre un moment dans la rue, sortant avec un paquet. On est allé chez un chausseur. En passant il a acheté des chaussettes en fil d’Ecosse et après deux paires de type Derby. Juste à ma taille elles étaient presque une seconde peau.
Tu fais des folies Bruno !
-Bah pas des folies, j’aime ton corps et ton esprit très ouvert et ça me convient. Je t’aime plus que tu croies. Même si je te maltraite je sais que tu aimes ça. Cependant tu as intérêt à bosser et si ça ne rentre pas dans le crâne je le ferais rentrer par ailleurs.
J’espère avoir les deux !
-Salope ! On va récupérer les costumes et je vais avoir un retour sur investissement. Monte dans la voiture.
On était au sous-sol et il a ouvert sa braguette.
-Vas chercher ton os sans les mains !
Pas si facile que ça. J’ai un bon moment léché et mordillé le tissu avant de pouvoir dégager son sexe qui bavait dans le slip et le prendre en bouche. J’entendais des gens passer, les pneus crisser sur la peinture mais il me tenait la tête d’une main, l’autre passant sous la ceinture et frottant mon trou à nu.
-Petit clebs tout à l’heure tu resteras à quatre pattes avec le collier pour bouffer par terre. Une queue de chien qui dépassera de ton cul. Il m’imaginait déjà et a joui au fond de ma gorge.
-Bon essuie toi avec un des slips et on va juger les costumes. Au moins le pantalon. Prends des socquettes et tes derbys.
On est remonté sur la place voir le magasin de fringues Le même vendeur était là et nous a dirigé vers l’ascenseur et le petit salon où j’ai tombé le jean pour essayer le nouveau pantalon. Léger comme une plume il allait parfaitement. J’ai vu dans le miroir le vendeur mater mes fesses nues.
Tout vous va la retouche a été très légère. Bruno m’a fait tourner sur moi-même.
-Ok c’est parfait. Notez ses mesures il n’aura pas besoin de repasser.
Ce sont les bras encombrés que l’on est sorti du magasin. Je savais le prix à payer mais l’acceptait d’avance. Cette fois on a tout mis dans le coffre. J’ai remarqué à ce moment la lourdeur de ce qu’avait acheté Bruno dans la boutique SM.
Une fois arrivé au pavillon, j’ai ôté tous mes habits. Justin nous attendait. Nu lui aussi. Je suis monté ranger mes affaires et celles achetées. En redescendant ils m’attendaient.

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