Ma vie a changé (6)

- Par l'auteur HDS Daniellerhun -
Auteur femme.
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Récit libertin : Ma vie a changé (6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2014 dans la catégorie Plus on est
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Ma vie a changé (6)
Les semaines suivantes furent plus tranquilles. Le samedi, je me rendais chez Guy et Carole. Nous apprenions à mieux nous connaître tout en explorant l’ensemble des possibilités de l’amour à trois. Guy, très directif, se comportait souvent en pacha de harem et nous en ses humbles servantes vêtues d’ensembles plus vaporeux les uns que les autres. Le sexe n’était pas tout dans notre relation. Nous aimions nous promener, fréquenter les restaurants, les musées et les expositions. Guy était très fier de se promener avec nous, de montrer ses « jolies femmes ». Le soir j’aimais me retrouver entre eux, sentir la belle queue de Guy entre mes fesses et la bouche de Carole butinant mes seins tandis qu’une main caressait mon sexe et mon clitoris. J’aimais aussi les regarder faire l’amour. Leur entente était parfaite et leur bonheur faisait plaisir à voir. J’avais par moments l’impression d’être en trop mais ils me rassuraient. Ils avaient besoin de moi, de notre groupe d’amis pour s’épanouir complètement. Guy adorait la sodomie et nous n’avions aucune raison de le priver de ce plaisir. Carole m’avait offert un plug. Je le portais régulièrement pour assouplir mon conduit anal. Elle aimait aussi me prendre avec son gode ceinture. Alors que j’étais empalée sur Guy, elle me travaillait le cul. Une giclée de lubrifiant et je me trouvais très vite prise en sandwich. Carole me fis essayer son gode ceinture mais ce n’étais pas ma tasse de thé. Le tableau était excitant mais je n’éprouvais aucun plaisir à les posséder.

Deux mois après, je rencontrais mon mari lors de la première audience de conciliation.
Le contraste était frappant entre nous, moi qui respirait le bonheur et lui qui trainait en permanence un air de chien battu. Il était visiblement malheureux et je m’en fichais. Il avait osé porter la main sur moi. Je poussais le vice jusqu’à le remercier pour m’avoir présenté Guy et Carole avec lesquels j’étais heureuse. Il n’existait plus pour moi.

Frédéric me téléphonait de plus en plus souvent, attentif à ce que je faisais. Il souhaitait me rencontrer en tête à tête. Après m’être assuré que cela ne froissait pas les autres, je l’invitais à passer chez moi fort des encouragements de nos amis. Je me retrouvais très vite nue dans ses bras. Ce fût à nouveau la redécouverte de son corps.
Pas un centimètre carré n’échappa à ma bouche. Très excité, il me retourna et me baisa avec l’ardeur et la vigueur de sa jeunesse. Je sentais son sexe palpiter en moi. Comme il était très long, il butait sur ma matrice, déclenchant des orgasmes successifs.
C’était un vigoureux et superbe amant. Il appréciait beaucoup mes fesses qui attiraient comme un aimant ses doigts. Décidemment mon cul avait un succès fou.

Il pris l’habitude de passer régulièrement chez moi. J’appréciais de ne plus dormir seule. Je le fis passer auprès de mes voisins pour un cousin éloigné que je devais héberger.

De temps en temps je revoyais Michel et Marie chez Guy et Carole. Les moments passés étaient toujours agréables.

Comme j’avais quelques jours de vacances à prendre, Marie me proposa de les prendre avec elle dans leur maison de Narbonne, Michel ne pouvant pas nous accompagner. Guy, Carole et Frédéric étant occupés, j’acceptais volontiers.

Elle vint me prendre et nous partîmes dans sa voiture. Nous portions toutes les deux des petites robes légères. A sa demande nos petites culottes furent vite enlevées. Le voyage se passa très bien. Nous discutions la main sur la cuisse l’une de l’autre.
J’étais émerveillé par ses formes. Une vraie Junon. Elle me parla de sa vie de sa rencontre avec Michel, de Frédéric, de sa famille. Sa vie sexuelle avait très mal démarré. Son oncle avait abusé d’elle alors qu’elle était très jeune. N’osant rien dire et surtout ayant honte, elle se laissait faire. C’était des rapports rapides, bestiaux, qui ne lui donnaient aucun plaisir. Six mois après il se tuait dans un accident de la route, la libérant de cette relation malsaine qui lui avait fait perdre sa virginité. Elle tenta d’en parler à sa mère en vain. Ce fût un échec. Pas question de salir sa réputation.

Les hommes lui faisaient horreur et elle avait du mal à supporter leurs mains sur elle. A dix neuf ans à l’université, elle se lia d’amitié avec une fille qui affichait ses goûts lesbiens. A force de tendresse et de marques d’affection, son amie réussit à la séduire et à la réconcilier avec le sexe. Elle sentait cependant que ce n’était pas sa voie mais son amie était si affectueuse qu’elle ne voulait pas la décevoir. Leur relation dura quatre ans. Ayant obtenu son diplôme de psychologue, elle eut l’opportunité de trouver un poste à Paris. Son amie ne pouvant pas la suivre, leur relation se distendit et elles arrivèrent à la conclusion que c’était fini. Au cours d’un colloque, elle rencontra Michel qui sut la séduire et l’amener progressivement à avoir des rapports sexuels avec un homme. Ils se marièrent. Michel fréquentait déjà Guy et participait aux soirées entre amis. Marie devenant de plus accro au sexe, peut-être parce qu’elle en avait été privée, Michel lui proposa d’essayer avec Guy qu’elle trouvait charmant et c’est ainsi qu’elle fût reçue dans le groupe. Carole se joignit à eux après son mariage avec Guy.

Frédéric était au départ une vengeance familiale. Marie s’était donnée comme objectif de séduire son neveu et de le faire savoir. C’était une façon pour elle de dire que la famille n’existait plus. Très elle oublia cet aspect tant le jeune homme était sympathique, tendre, délicat et très bon amant.

Nous arrivâmes chez elle. C’était un vieux mas qui avait été superbement retapé avec une belle terrasse donnant sur une piscine. La personne chargée de l’entretien nous attendait. Tout était prêt.

Après le départ de la gardienne, nous nous sommes mises nues et nous avons plongé dans la piscine. Après quelques longueurs nous sommes sorties sur la terrasse. Des perles d’eau coulaient de son corps. Elle était superbe. Je l’ai enlacée et embrassée. Ma bouche s’est emparée de ses seins. Ma langue jouait avec ses tétons, ma bouche les étirait. Ses soupirs montraient qu’elle appréciait. Mes mains caressaient ses superbes fesses et titillait son anus. Je l’allongeais par terre et me plaçais tête bêche. Nos langues entamèrent une sarabande. Je pris son clitoris dans la bouche et le suçais intensément. Sous cette caresse son corps se tendit et elle explosa et exprima sa jouissance dans un cri de bête. Anéantie par la jouissance, elle avait abandonnée mon sexe. Après un long moment de récupération, elle repris son ouvrage et m’amena au plaisir même s’il n’était pas de même intensité. Les vacances commençaient bien.

Après une nuit dans les bras l’une de l’autre, elle me proposa de me faire connaître la plage naturiste de l’Oustallet à Fleury d’Aude où elle avait ses habitudes. Quel plaisir de se promener nues avec ce petit vent chaud sur notre peau. Nous ne passions pas inaperçues. Marie s’amusait à allumer les hommes en accentuant sa démarche qui mettait en valeur ses belles fesses. Elle me tenait par la main ou par la taille.
J’étais bien.

Nous trouvâmes un coin tranquille. L’attitude de Marie avait porté ses fruits. Nous nous aperçûmes que deux hommes nous avaient suivi et tentaient de se dissimuler pour nous espionner. Nous savions qu’ils étaient là. Marie me demanda de l’embrasser et de la caresser ce que je fis volontiers. Je pensais à ces deux hommes qui devaient se masturber en nous regardant. Marie plaça son sexe sur ma bouche. Elle était trempée par l’excitation. Ses mains me caressaient le sexe, ses doigts me pénétraient, je ruisselais. Nous avons joui ensemble. La pensée de nos deux voyeurs s’escrimant sur leurs sexes était très excitante. Un bon bain nous permis de nettoyer les traces de nos ébats. Nos voyeurs étaient toujours là. Marie leur fît signe que c’était fini et ils repartirent « la queue entre les jambes ». Visiblement, Marie appréciait beaucoup d’exciter les voyeurs tout en se méfiant quand même car il y avait des tordus parmi eux. C’était plus facile quand elle pouvait bénéficier de la présence rassurante de Michel. Elle n’avait pas l’intention d’aller plus loin que l’exhibitionnisme et la provocation.

Deux jours passèrent rythmées par nos sorties à la plage, Nous avions nos habitués qui se tenaient à distance et se branlaient ouvertement. Nous n’étions jamais rassasiées par nos caresses.

Marie me proposa de sortir et de me faire découvrir quelque chose de différent. On était samedi. Après nous être préparées, elle me proposa d’aller en boîte de nuit.
Elle avait donné rendez vous à une copine. Nous portions toutes les deux une petite robe noire très sexy qui mettait en valeur nos formes. Le parking était bien rempli.
Nous sommes entrées dans la boite. Beaucoup d’hommes seuls, quelques couples. A une table dans un coin plutôt sombre nous attendait une superbe brune, très grande, campée sur des hauts talons et plutôt sexy. Elle s’appelait Danielle et avait la voix plutôt grave pour une fille. Elle m’intriguait beaucoup. Elle s’adressait plutôt à Marie et j’avais le temps de l’observer. C’est alors que je me suis rendu compte qu’elle avait une pomme d’Adam et qu’en fait j’avais affaire à un travesti. Elles se mirent à rire en voyant ma tête. C’était la première fois que j’en rencontrais un. Très féminine avec une petite poitrine et des tétons qui pointaient sous son chemisier, elle était très mignonne. Son maquillage soulignait ses beaux yeux. Sa bouche pulpeuse était marquée par un rouge à lèvres carmin. Si elle n’avait pas eu cette voix grave et cette pomme d’Adam, je n’aurais pas pu deviner que c’était un homme. Elle était en phase de traitement hormonal pour développer ses seins et les résultats étaient très encourageants. Elle envisageait d’aller jusqu’au changement de sexe.

Marie et Michel avaient fait sa connaissance par internet. Intrigués par son annonce, ils avaient découverts ses photos, son aspect androgyne et ce sexe qui n’avait rien de ridicule. Décidés à aller plus loin, ils lui avaient donné rendez vous. Il était arrivé en homme. Ils découvrirent quelqu’un de perdu, qui doutait, qui voulait que l‘on reconnaisse sa singularité et sa féminité et que l’on s’intéresse à autre chose que son cul. Les partenaires qu’il rencontrait, étaient décevants. Des étreintes rapides et fugaces ponctuaient ses rendez-vous. Une fois s’être répandus dans son cul ou dans sa bouche, ils s’en allaient sans tenir compte de lui. Il voulait rencontrer un couple qui pensait-il aurait peut-être une attitude différente vis à vis de lui.

Ils lui proposèrent de les accompagner chez eux. Pour faire un état des lieux, ils lui demandèrent de se déshabiller. Il se tenait nu devant eux Ses cheveux étaient mi longs et ses traits délicats. Ses seins étaient à peine formés avec des tétons plutôt longs.
La taille était fine et les fesses bien formées. Son sexe était respectable. Bien préparé, il pourrait se transformer en très jolie fille. Marie commença à le caresser provoquant une réaction qui montrait qu’il était sensible aux femmes. Elle lui massa ses petits seins en étirant les tétons. Elle lui demanda de se mettre à quatre pattes.
Elle lui écarta les fesses. Ses doigts commencèrent à le pénétrer. Il poussait des petits cris au fur et à mesure qu’elle ouvrait son fondement. Il avait été visiblement souvent utilisé. Après avoir bien sucé Michel, Marie lui mis un préservatif et présenta sa verge sur la rondelle de Daniel (en fait s’était vrai son prénom) avant de s’occuper de sa queue qu’elle pris en bouche. Michel d’un coup sec, s’enfonça dans son cul. Daniel se mit à pousser des gémissements de plus en plus forts. Visiblement il appréciait le traitement qui lui était infligé. Marie eu raison de lui la première.
Sentant qu’il allait jouir, elle arrêta de le sucer et il se répandit sur sa figure.
Michel lui, l’enculait de plus en plus fort. Daniel gémissait, criait son plaisir.
Michel dans un dernier élan se répandit en lui. Enlevant très vite son préservatif il présenta sa queue à sa femme qui l’engloutit. Le tableau que présentait Marie était saisissant avec le sperme de Daniel dans ses cheveux et sur son visage, la verge de Michel en bouche et du sperme sur ses lèvres. Ils s’allongèrent sur le lit et Ils discutèrent beaucoup tout en caressant Daniel tendrement.

Le challenge était intéressant. Marie allait s’occuper de lui. Il n’était pas très poilu. Il allait devoir s’épiler. Elle se proposait aussi lui apprendre à se maquiller, à choisir ses vêtements et sa lingerie. Même s’il avait des cheveux mi- longs il allait devoir les couper et porter une perruque.

Les travaux pratiques commencèrent. Marie commença à le rendre lisse. L’épilation à la cire fût plutôt douloureuse mais le résultat était à la hauteur. Ils commandèrent sur internet de la lingerie et des vêtements qui arrivèrent la semaine suivante. Marie lui apprit à porter des talons hauts. Une réelle complicité s’établissait au fur et à mesure entre eux. Daniel devenait progressivement Danielle. Pour le maquillage il apprenait très vite. Michel profitait pleinement de son cul et Marie le récompensait de son assiduité par des fellations et des caresses.

Quinze jours après leur première rencontre eut lieu la naissance de Danielle. Marie voulait en faire la surprise à Michel. En arrivant dans le salon, une superbe blonde les attendait. Perchée sur des hauts talons qui mettaient en valeur ses longues jambes, ses beaux yeux verts étaient soulignés par un fard à paupière prune, un trait de crayon noir et un mascara noir. Un rouge à lèvres rouge carmin recouvrait ses lèvres. Elle était habillée d’un chemisier blanc transparent laissant apparaître son soutien gorge. Marie avait mis en place des petits bourrelets sous ses petits seins leur donnant du volume. Une jupe moulait ses fesses. Des bas couleur chair donnaient la touche glamour. Un string en dentelle séparait ses deux globes fessiers. Des lanières maintenaient son sexe serré contre son ventre. Elle se déplaçait avec élégance et grâce. Le résultat était époustouflant. Michel se mit à genoux devant elle. Il lui enleva sa jupe, son string, défit ses lanières libérant sa queue. Elle lui présenta son sexe qui se mit à grossir dans sa bouche. Marie elle, lui forçait l’anus. Elle s’équipa rapidement d’un gode ceinture. Elle demanda à Michel de s’asseoir et de continuer à la sucer. Lui écartant les jambes, elle appuya son gode sur son anneau qui céda sous sa poussée. Elle entama un mouvement de va et vient de plus en plus rapide. Danielle répondait à ces mouvements en allant à la rencontre du gode. Elle gémissait de plaisir. Michel sentit la montée de sève du jeune travesti. Il eut le temps de le sortir de sa bouche et de lui faire cracher son sperme sur son visage. Marie continuait de le sodomiser. Sous les coups de boutoir, il s’effondra criant son plaisir.

Les vacances s’arrêtant la semaine suivante, ils continuèrent leur travail de féminisation. Danielle était bien dans sa peau. Deux jours avant leur départ ils allèrent ensemble dans une boite fréquentées par les homos et travestis. Danielle eut un succès fou car personne ne la reconnaissait. Elle était prête à suivre sa voie.

Ils se revirent régulièrement. Danielle rencontra un homme qui sût l’apprivoiser.
Chaque fois qu’ils venaient à Narbonne elle passait seule les voir. C’était plus par amitié que pour le sexe. Ils étaient heureux de voir sa transformation.

Marie sachant que c’était une nouvelle expérience pour moi lui avait demandé ce rendez vous. Danielle me troublait et Marie s’en amusait. Elle m’invita à danser. Elle se collait, se frottait à moi. Ma tête sur son épaule je sentais son sexe contre mon ventre. Marie donna le signal du départ. En arrivant au mas elle s’assit. Danielle me pris dans ses bras, m’embrassa et me déshabilla. Elle enleva ses vêtements ne gardant que ses bas. C’était extraordinaire ce corps féminin, ces petits seins et cette queue qui se dressait en mon honneur. Elle m’allongea sur le sol, mit un préservatif et me pénétra. C’était une sensation nouvelle. Poitrine contre poitrine, elle m’embrassait.
Je la sentais aller et venir en moi. C’était fabuleux. Marie nous regardait en se caressant. Je sentais le plaisir monter. Elle réussit à me faire jouir deux fois avant de se répandre sur mes seins. Marie était aux anges. Sa surprise était réussie. La soirée se poursuivit, faite de caresses et de plaisir. Danielle en nous quittant, promis de revenir les voir lors de leur prochain séjour. Ce fût une nouvelle expérience pour moi. Je comprenais enfin le sens de troisième sexe.

Malheureusement le séjour touchait à sa fin. Nous rentrâmes à la maison. Avant de la quitter, je la remerciais chaleureusement Pour toute réponse, elle m’embrassa longuement en disant qu’elle m’aimait.

Il fallait que je fasse le point car cela avait été trop vite. De femme modèle et fidèle j’étais passée aux amours de groupe. Hétérosexuelle, j’étais devenue bisexuelle et j’aimais cela. J’avais un amant qui aurait pu être mon fils. Une trans m’avait fait l’amour et j’étais passée de la position du missionnaire à toutes sortes de pratiques.
La sodomie était devenue banale. J’avais utilisée des sex toys divers et variés. Je m’étais exhibée à Narbonne etc. J’étais toujours à la recherche de nouveaux plaisirs.
La jouissance était devenue une drogue et je n’en étais pas saturée. Il fallait que je rencontre quelqu’un pour en parler, pour savoir si j’étais normale. Le professeur Janvier sexologue de renom nous avait donné des cours à l’université. Nous avions beaucoup sympathisé. Je résolu de lui demander un rendez-vous pour une consultation.
(à suivre)

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