Ma vie d'avant Cris, la découverte de Cris et ma vie avec Cris (1)

- Par l'auteur HDS CrisGuill -
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Récit libertin : Ma vie d'avant Cris, la découverte de Cris et ma vie avec Cris (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma vie d'avant Cris, la découverte de Cris et ma vie avec Cris (1)
Bonjour les assoiffés de testostérone !

Je m'appelle Guillaume, mais depuis des années mes amis m'appellent Guill.
Je ne me rappelle pas vraiment, à part pour les documents officiels, qu'on m'ait appelé Guillaume.

Bref, je vais me décrire :

Guillaume S., 33 ans depuis quelques jours, 1m82, 73 kg, cheveux bruns foncés, yeux gris bleus, torse peu poilu et totalement addict au sexe entre hommes, jeunes !


Je suis très sportif : tennis, natation, surf, kitesurf, VTT, etc ...


Je suis gay, 100 gay devrais je préciser, et je me considère comme un male alpha ayant besoin de baiser chaque jour, chaque nuit ... et les week ends, c'est pire .... ou plus que pire, c'est, quand je peux, la baise continuelle car mes couilles fabriquent des tonnes de sperme qu'il faut que j'évacue constamment !!!


J'ai ce qu'on appelle un petit cul de ouf, c'est à dire que je suis un peu plus cambré que la moyenne des garçons, que je muscle mes fessiers régulièrement et par conséquence, j'ai deux petits lobes bien charnus et bien ronds.

Je le sais en j'en joue vraiment, mais personne n'a le droit de le toucher, de le palper ou de le caresser (sauf bien sûr quand je défonce un petit mec), personne ne me met un doigt dans la raie ou plus profond encore car, lorsque je baise, je choisis mes "proies", je les baise et je les remplis à chaque fois ... et bien entendu, jamais je ne me fais mettre !!!


Donc, pour avoir la chance et le bonheur de goûter à ma queue, il faut avoir une petite gueule d'ange ... ou de démon, pas un poil de graisse, un petit cul bien rond et rebondi et très profond, un charme à damner un saint et à me mettre le feu sous la ceinture, être d'une gourmandise incroyable à propos de mon dard et d'une endurance exceptionnelle lors de mon (mes) ramonage(s) intensif(s).

J'apprécie qu'on gémisse, qu'on crie, qu'on halète, qu'on se tortille, qu'on saute de bonheur quand je suis dans un petit cul profond et très accueillant qui demande sa dose de viande brûlante (la mienne) et qui atteint le 7ème ciel, voire bien plus haut, quand ma jute explose en eux.

Je suis addict aux culs des jeunes mecs et j'ai besoin de juter 1 à 2 fois (parfois plus ...) par 24 heures.

Je déteste me branler et il me faut une bouche gourmande pour dresser mon dard et ensuite, n'importe quelle position me convient pourvu que m'introduise dans un vagin de mec, que je fasse crier un jeune gay et que je jute en lui.

Ah oui, je m'aperçois que je ne vous ai pas décrit mon objet de tortures divines que beaucoup de très gentils garçons ont eu le plaisir de goûter sur la langue et au fond d'eux et que, malheureusement pour certains (mais c'est toujours moi qui choisit mes amants et jamais le contraire), beaucoup ont rêvé et bavé en fantasmant sur ma bosse généreuse qui déforme mes jeans quand je suis en chasse sans pouvoir y toucher, ne serait ce que du bout des doigts.

Bon, je ne vous fais plus attendre les mecs ...

18,5 cm et parfois 19 cm en cas d'excitation maximale, légèrement courbée à gauche, qui se dresse souvent presque à la verticale, toujours dans les moments extrêmes de baises intenses et répétées, un très gros gland de près de 5 cm de large qui émerge de ma colonne de chair de 4,5 cm de large, elle.

Autrement dit, quand je dresse mon dard, on ne voit que le gland d'un rose violacé ...

Il est sûr que j'ai eu de nombreux refus de jeunes mecs qui ont pris peur de ne pas pouvoir s'ouvrir assez grand pour s'empaler et faire passer mon gland et ma tige complète en eux ...

Après des séries de refus dus à la taille de mon mandrin et dans les lieux où je viens faire mon "marché" régulièrement (bars et saunas pour le principal), je les "essaie" d'abord dans des lieux sombres (cabines de saunas, arrière-cour d'immeubles, toilettes, etc...) et s'ils supportent en moins de 2 mn que la largeur du gland passe et que tout rentre dans leurs arrière-trains en feu, je remballe mon matériel et je les invite à passer la soirée et la nuit chez eux, à l'hôtel mais jamais chez moi la première fois.


D'autres, de plus courageux et/ou de plus gourmands, ont crié, râlé, parfois j'en ai vu pleurer de douleur au moment de ma progression, mais c'est là qu'on voit ceux qui ont le plus besoin de bites et les plus obsédés par le sexe et par mon sexe.

Ceux qui ont réussi l'examen de "passage" et donc à s'empaler et rentrer au plus profond d'eaux mes 18,5 cm jusqu'à la garde jusqu'à ce qu'ils soient totalement ouvert, et haletants et gémissants, me supplier de les ramoner et de les féconder, ceux là, je les récompense avec ma vigueur et mon endurance et au bout d'au moins 15 à 20 mn de ramonages intensifs, je les remplis par un véritable tsunami de foutre qui les inonde dans des cris de jouissance à faire trembler les murs d'une forteresse.

Après des nuits de folie où je les baise 2 ou 3 fois, j'écris sur un petit carnet la note que je leur donne sur ces critères déterminants et essentiels pour moi :

- vitesse d'ouverture et profondeur de leur vagin,
- niveau sonore en gémissements, cris, parfois pleurs, supplications, etc ... de leur orgasme anal,
- qualité du serrage de leur vagin gardant en prison ma bite,
- nombre de fois que leur vagin accepte mon ramonage,
- et bien entendu, la capacité de garder en eux un max de mon jus bienfaisant et pour ça, après le déculage, je met mon majeur dans le vagin du passif défoncé et épuisé de bonheur et j'exige qu'ils referment leur antre sur mon doigt le plus hermétiquement possible.

Mon carnet d'adresses est bien rempli et je suis fier d'eux et de moi et les meilleurs d'entre eux ont mon mail personnel, mon tél et mon adresse.

Enfin, certains d'ente eux, je les invite régulièrement dans mon appartement parisien pour des orgies sexuelles à 5, 8 ou 10 gays.


Tout ça, c'était avant Juin 2022, avant de connaître celui qui allait devenir essentiel à ma vie de tous les jours, celui qui m'a volé mon cœur, mon âme et mon esprit et à qui je donnerai ma vie, mon amour éternel !

C'est mon ange venu sur terre pour me faire goûter à toutes les joies, tous les bonheurs, et celui qui m'a donné les plus grands et incroyables orgasmes de ma vie ... enfin, celui qui est devenu mon homme et ma femme en même temps, que je possède sexuellement et je remplis jours et nuits, celui qui est toujours en manque de bisous de caresses, de mes bras et de mon sexe et qui est addict à mon sperme, celui qui est, à mes yeux, le plus beau et le plus tendre ... et le plus chaud et le plus profond de tous les garçons du monde et que j'ai possédé dès la première nuit, une vraie nuit de folie et pour qui je suis tombé follement amoureux, ce dont je m'étais toujours refusé, accordant la première place à ma bite et mes orgasmes et pas à mon cœur.

Cet Ange là, c'est mon mari depuis Décembre 2022, il s'appelle Cris et je suis son mari attentionné, affectueux, protecteur et ... et ... je n'ai plus de mot pour le décrire tellement je suis en amour qui grandit chaque jour et qui m'habite totalement, un amour permanent pour lui.

C'est Cris qui a insisté lourdement pour que j'écrive sur un site gay ma vie d'avant lui, ma rencontre (prochain épisode), notre mariage et notre voyage de noces (épisode(e)s suivant(s).

La suite au prochain épisode mes amis.

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Histoire sexe : Une rose rouge
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