Ma vie professionnelle
Récit érotique écrit par Libertanus [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma vie professionnelle
Sorti d'étude depuis quelques mois, je galère à trouver du travail. L'été n'est pas propice au recrutement dans ma branche, et les rares retours que je recois tourne autour de mon manque d'expérience professionnel. La mort dans l'âme, je commence à chercher des boulots alimentaires en attendant. Une boutique de vente de vetement me dit rapidement "oui", pour un contrat de 15h/semaine. Ce n'est pas la panacé, mais cela me laissera le temps de continuer à chercher autre chose de mieux.
Les premiers jours se passent bien, je fais connaissance avec l'équipe : David, le patron, la cinquantaine, 1m80 pour au moins 80 kilos, au look plutôt viril mais dont l'age commence à se faire sentir. Et Christine, dans une situation similaire à la mienne, magnifique dans ses tenues "sage mais pas trop". Dès le premier regard, j'ai su qu'elle m'accompagnerait dans beaucoup de mes plaisirs nocturnes. Mais, trop timide, je n'osais pas faire le premier pas, me contantant de rigoler avec elle et déconner autour de beaucoup de sujets. Et autant le courant passait de mieux en mieux avec elle, autant avec David cela devenait de plus en plus compliqué. Je subissais ses remarques et blagues, sans trop m'autoriser de répartie du fait de ma situation.
Un jours, vers 16h, je demande à David de pouvoir prendre une pause pour aller au toilette. Ce n'est pas tant l'envie de pisser qui m'animait, mais celle de m'astiquer. Ce matin, involontairement, alors que j'étais dans la réserve avec Christine, j'avais entraperçue son string alors qu'elle se baisait pour soulever des cartons. Autant dire que depuis, je n'avais que cela en tête.
Apres son autorisation, qui me fait comprendre qu'il me fait une fleur, je vais dans l'arrière-boutique ou se situe le petit cagibi qui servait de coin toilette. Je fermais la porte, tant bien que mal, me contorsionnant pour essayer de me mettre à l'aise, puis baissait directement mon pantalon pour libérer mon sexe durci. Tout à mes pensées, je n'ai pas entendu David qui s'approchait
" - Bordel, tu fais qu… Ah, d'accord. Alors monsieur s'astique dans mes toilettes plutôt que de travailler. Je pensais que t'étais un branleur, je me doutais pas d'etre aussi proche que ca de la vérité
- Non, pardon, j'étais en train de m'essuyer, j'allais revenir, promis
- Ta gueule. Vu comme tu bandes, c'est pas possible de faire autre chose. Tu ajoutes le mensonges à la paresse. Tu mérites même pas le poste que je t'offre. Prends tes affaires et casse toi.
- Non, s'il vous plait, me virez pas, j'ai besoin de ce boulot. Je serais irréprochable, je vous le jure. Je ferais ce que vous demandez
- Vraiment ? Meme venir bosser le dimanche ?
- Oui, vraiment.
- D'accord. Alors pour vérifier si tu es serieux, viens par ici"
Penaud, je sortais des toilettes, essayant de me rhabiller tant bien que mal
" - Pas la peine, mets toi à genoux
- Quoi ? Pourquoi ?
- Tu as dit que tu ferais tout ce que je veux. Alors ferme la, et vient me sucer
- Mais ca va pas la tete ?
- Tu crois vraiment que tu as le choix ?" fit il en appuyant sur mes épaule, pour me forcer à me mettre à genoux devant lui et plaquer ma tete contre son pantalon, dont je sentais la forme indécise de son sexe.
" - Suce moi, et vite. J'ai pas que ca à faire, surtout si je dois faire les papiers pour ton renvoi"
Comme un pantin, je le laisser faire tomber son pantalon, dévoilant son ventre légèrement bedonnant et un caleçon qui ne devait pas dater que de ce matin. J'approchais ma main de son boxer, le caressant timidement à travers le tissus. Je sens cette colonne de chair, chaude, commencer à s'agrandir et tressauter. Mais cela ne durera pas longtemps. D'un geste, il écarta l'elastique de son sous vetement, faisant sortir son sexe à moitié durci, pointant directement vers mes levres. Et sans plus attendre, il poussa a travers mes levres.
" - Voila, ouvre la bouche mieux que ca. Et applique toi. Ton poste en dépends"
Il s'engouffre dans ma bouche, les deux mains me tenant, se servant de moi comme d'un trou. Et sa bite continuait de grossir, encore et encore, à me distendre les levres. Sans préparation, ma premiere pipe fut une gorge profonde. J'en eructais, limite à vomir. Cela ne l'empecha pas de continuer, pendant un temps qui me sembla interminable, jusqu'à jouir d'un sperme épais qui descendit dans mon œsophage, continuant de m'étouffer encore
" - Tu as des progrès à faire, mais ca viendra ma salope. Et puis il faut dire que je n'avais pas juté depuis 2 jours, devait y avoir de la matière" dit il en rigolant.
De mon coté, j'étais à genoux, essayant de reprendre mon souffle après ce traitement. De ma bouche sortait un mélange de salive et de sperme, se mélangeant avec les larmes de douleur et de honte coulant de mes yeux.
" - Va t'essuyer, t'a un poste à tenir" me fit il en remontant son pantalon et se dirigeant vers la boutique
Les premiers jours se passent bien, je fais connaissance avec l'équipe : David, le patron, la cinquantaine, 1m80 pour au moins 80 kilos, au look plutôt viril mais dont l'age commence à se faire sentir. Et Christine, dans une situation similaire à la mienne, magnifique dans ses tenues "sage mais pas trop". Dès le premier regard, j'ai su qu'elle m'accompagnerait dans beaucoup de mes plaisirs nocturnes. Mais, trop timide, je n'osais pas faire le premier pas, me contantant de rigoler avec elle et déconner autour de beaucoup de sujets. Et autant le courant passait de mieux en mieux avec elle, autant avec David cela devenait de plus en plus compliqué. Je subissais ses remarques et blagues, sans trop m'autoriser de répartie du fait de ma situation.
Un jours, vers 16h, je demande à David de pouvoir prendre une pause pour aller au toilette. Ce n'est pas tant l'envie de pisser qui m'animait, mais celle de m'astiquer. Ce matin, involontairement, alors que j'étais dans la réserve avec Christine, j'avais entraperçue son string alors qu'elle se baisait pour soulever des cartons. Autant dire que depuis, je n'avais que cela en tête.
Apres son autorisation, qui me fait comprendre qu'il me fait une fleur, je vais dans l'arrière-boutique ou se situe le petit cagibi qui servait de coin toilette. Je fermais la porte, tant bien que mal, me contorsionnant pour essayer de me mettre à l'aise, puis baissait directement mon pantalon pour libérer mon sexe durci. Tout à mes pensées, je n'ai pas entendu David qui s'approchait
" - Bordel, tu fais qu… Ah, d'accord. Alors monsieur s'astique dans mes toilettes plutôt que de travailler. Je pensais que t'étais un branleur, je me doutais pas d'etre aussi proche que ca de la vérité
- Non, pardon, j'étais en train de m'essuyer, j'allais revenir, promis
- Ta gueule. Vu comme tu bandes, c'est pas possible de faire autre chose. Tu ajoutes le mensonges à la paresse. Tu mérites même pas le poste que je t'offre. Prends tes affaires et casse toi.
- Non, s'il vous plait, me virez pas, j'ai besoin de ce boulot. Je serais irréprochable, je vous le jure. Je ferais ce que vous demandez
- Vraiment ? Meme venir bosser le dimanche ?
- Oui, vraiment.
- D'accord. Alors pour vérifier si tu es serieux, viens par ici"
Penaud, je sortais des toilettes, essayant de me rhabiller tant bien que mal
" - Pas la peine, mets toi à genoux
- Quoi ? Pourquoi ?
- Tu as dit que tu ferais tout ce que je veux. Alors ferme la, et vient me sucer
- Mais ca va pas la tete ?
- Tu crois vraiment que tu as le choix ?" fit il en appuyant sur mes épaule, pour me forcer à me mettre à genoux devant lui et plaquer ma tete contre son pantalon, dont je sentais la forme indécise de son sexe.
" - Suce moi, et vite. J'ai pas que ca à faire, surtout si je dois faire les papiers pour ton renvoi"
Comme un pantin, je le laisser faire tomber son pantalon, dévoilant son ventre légèrement bedonnant et un caleçon qui ne devait pas dater que de ce matin. J'approchais ma main de son boxer, le caressant timidement à travers le tissus. Je sens cette colonne de chair, chaude, commencer à s'agrandir et tressauter. Mais cela ne durera pas longtemps. D'un geste, il écarta l'elastique de son sous vetement, faisant sortir son sexe à moitié durci, pointant directement vers mes levres. Et sans plus attendre, il poussa a travers mes levres.
" - Voila, ouvre la bouche mieux que ca. Et applique toi. Ton poste en dépends"
Il s'engouffre dans ma bouche, les deux mains me tenant, se servant de moi comme d'un trou. Et sa bite continuait de grossir, encore et encore, à me distendre les levres. Sans préparation, ma premiere pipe fut une gorge profonde. J'en eructais, limite à vomir. Cela ne l'empecha pas de continuer, pendant un temps qui me sembla interminable, jusqu'à jouir d'un sperme épais qui descendit dans mon œsophage, continuant de m'étouffer encore
" - Tu as des progrès à faire, mais ca viendra ma salope. Et puis il faut dire que je n'avais pas juté depuis 2 jours, devait y avoir de la matière" dit il en rigolant.
De mon coté, j'étais à genoux, essayant de reprendre mon souffle après ce traitement. De ma bouche sortait un mélange de salive et de sperme, se mélangeant avec les larmes de douleur et de honte coulant de mes yeux.
" - Va t'essuyer, t'a un poste à tenir" me fit il en remontant son pantalon et se dirigeant vers la boutique
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