Ma voisine, ma nounou, ma maitresse
Récit érotique écrit par AmantDesSens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma voisine, ma nounou, ma maitresse
Pierre et Sylvie sont amants depuis plusieurs mois. Leur rencontre au début ne présageait rien de leur aventure. Pierre et Florence, sa femme ont deux jeunes enfants et cherchaient une nounou. Ils épluchèrent les petites annonces, mais aucune des prétendantes ne leur avaient convenues : trop chère, trop exigeantes, peu flexibles dans les horaires... Un dimanche, lors d'une braderie organisée dans le quartier, ils en vinrent à discuter avec quelques voisins. C'est ainsi qu'ils rencontrèrent Sylvie. Elle habitait à 3 maisons de la leur. Elle avait été assistante maternelle il y a quelques années et actuellement était au chômage. L'occasion était parfaite pour les deux parties.
Avec les enfants, elle était vraiment très douce. Et Pierre qui perdait souvent son calme avec eux, fut ravi de découvrir ses enfants sous un autre jour.
Le samedi, Florence travaillait et Pierre était la maison. Cependant, il profitait de ce moment là pour travailler encore sur quelques dossiers délicats. Mais avec les enfants, ce n'était pas possible. Avec l'arrivée de Sylvie, il retrouvait un peu plus de sérénité, et se surprit même plusieurs fois à terminer en milieu d'après-midi, là où il y a quelques mois, il n'avait parfois même pas pu eu le temps d'avancer un seul cas. Du coup, il allait la rejoindre au salon pour discuter un peu alors que les enfants dormaient.
C'est ainsi qu'une amitié commença. Sylvie était une très belle femme de 40 ans, blond foncé, aux yeux bleu verts. Mince, toujours souriante, toujours un mot pour rire. Elle taquinait souvent Pierre. De regards en coin en effleurement, Pierre se sentait irrésistiblement attiré par Sylvie. Il sentait aussi qu'elle n'était pas insensible. Mais à sa grande surprise, c'est elle qui fit un jour le premier pas. Ce samedi là, elle n'avait pas arrêté toute la journée de faire quelques remarques à Pierre, des sous entendus. Jusque là, il avait pensé que c'était dans la logique de leurs jeux habituels. Mais ce jour là, elle insistait beaucoup. Il l'a surpris plusieurs fois à le fixer du regard, ou à examiner son corps.
Et c'est l'après-midi qu'elle se jeta littéralement sur lui, alors qu'il s'était assis à côté d'elle pour lui servir un café. Il avait envie d'elle depuis plusieurs semaines, et ce n'est pas cette attitude cavalière qui allait le gêner. Leurs habits volèrent très rapidement sous l'assaut de la belle. S'en suivi une étreinte torride où les deux amants s'avouèrent et se montrèrent à plusieurs reprises leur envies réciproques... Sylvie, sous ses airs sages, cachait bien son jeu. Elle était vraiment sans tabou, à la fois pleine d'initiative, parfois amant que Pierre prenne les devants, tantôt le plaquant violemment au sol pour en faire son jouet intime.
Leur proximité était aussi un avantage. Sylvie et Florence avaient également sympathisé, si bien que personne ne voyait d'un mauvais oeil que Sylvie vienne parfois frapper à la porte de Pierre quand il était seul. Souvent, ils se quittaient sur le perron en prenant bien soin qu'on les voit, en parlant de cuisine, de conseils divers, de projets. Tout était prétexte à une visite : un article de journal, une recette de cuisine, un vêtement oublié par les enfants chez elle, son chat qui s'était enfuie... Et pourtant, qui aurait pensé que quelques minutes avant, Pierre l'avait installé sur la table de la cuisine pour la prendre... Cette situation les excitaient beaucoup.
Il y a 3 semaines, Sylvie partit en vacances chez de la famille. Cela ne lui était pas arrivé depuis plusieurs mois et elle espérait dans ce voyage, se ressourcer. Elle en avertit Florence et Pierre pour qu'ils prennent leur disposition vis à vis de la garde de leurs enfants. Florence comprit et la rassura : Pierre avait des vacances à prendre, il pourrait alors assurer l'intérim. Sylvie, un peu gênée, leur demanda toutefois un service : elle ne pouvait pas amener son chat avec elle, et elle aurait voulu qu'ils prennent soin de lui en son absence. Florence accepta tout naturellement et Sylvie lui confia ses clefs.
Pierre était tout de même contrarié. Ils avaient leurs habitudes et il s'était attaché à elle. Pour la première fois, il n'allait pas la voir pendant 3 semaines... 4 longs week-ends. Et ce n'est pas les quelques SMS ou appels qui allaient combler ce manque. Un nouveau jeun tout aussi érotique, se mit en place lors de leurs échanges téléphoniques... Les mots doux laissaient bientôt la place à les intentions profondes, chacun décrivant, vivant ce qu'il voulait faire à l'autre s'ils avaient été là... Ces petites séances n'étaient pas pour calmer l'ardeur de Pierre à son égard.
Hier, Sylvie est rentrée de vacances. Florence ne tarda pas à l'appeler pour prendre de ses nouvelles et lui proposa de passer le soir même, pour prendre l’apéritif. Lui rendre ses clefs ne serait qu'un prétexte de plus à se revoir. Pierre attendait cette soirée avec excitation et appréhension : tant de jours sans la voir, et là, elle serait dans la même pièce... Arriverait-il à se contrôler ?
La sonnette retentit. Pierre était nerveux, la boule au ventre. Il prétexta être occupé et laissa Florence l'accueillir. Pierre entendit la douce voix de sa maîtresse. Il descendit de l'étage pour les rejoindre. Dans le hall, Sylvie lui sourit, mais son regard en disait long.
Florence passa devant Sylvie en l'invitant à passer au salon. Pierre fermait la marche. Sylvie ralentit le pas jusqu'à être à son niveau. Discrètement, elle tendit la main pour toucher celle de Pierre. Ce ne fut qu'un effleurement, mais elle provoqua un frisson qui parcourut tout son corps.
Tous s'installèrent sur le canapé. Florence appela les enfants pour qu'ils viennent la saluer. Elle fut accueillie avec cris et embrassades. Ils avaient du mal à dissimuler leur joie. Florence les renvoya dans leur chambre, car sinon ils n'arriveraient pas à s'entendre parler. Lucas, le petit dernier supplia alors sa mère de l'accompagner dans sa chambre, parce que sa sœur avait jeté son jouet au dessus de l'armoire qu'il ne pouvait atteindre.
Les deux amants se retrouvaient alors seuls. Pierre attendit que Florence soit bien dans la chambre des enfants. Il regarde Sylvie d'un oeil désireux. Elle, du coin de l'oeil esquissa un sourire malicieux. Ils n'étaient qu'à quelques centimètres l'un de l'autre.
Pierre approcha la main de la cuisse de Florence. A son contact, elle poussa une longue respiration. A son tour, elle en fit de même, mais ne s'arrêta pas là. Elle remonta le long de sa cuisse jusqu'à son entre jambe. L'excitation de Pierre n'était pas dissimulable, en tout cas au toucher ! Pierre l'imita et sa main disparue sous la jupe de Sylvie. Ses doigts atteignirent sans difficulté le doux coton de sa culotte. Sylvie n'était visiblement pas en reste côté excitation. Elle pressa sa main fortement sur le pantalon de Pierre au fur et à mesure qu'il la caressait.
Les pas de Florence retentirent dans l'escalier. Pierre retira à contre cœur sa main, tout comme Sylvie. Florence entra dans le salon, le sourire aux lèvres.
- Ah ces enfants ! Je ne sais pas comment tu arrives à te débrouiller avec. Je t'admire. Heureusement qu'on t'a.
Pierre souria... Lui aussi était bien content de l'avoir.
- Tu ne sers pas l’apéritif, Pierre ? interrogea Florence
- Si, tu as raison, je manque à toutes mes obligations. Que veux-tu Sylvie ?
Sylvie le regarda tendrement, un brin amusée :
- La même chose que toi...
- Heu, un Martini blanc, bredouilla Pierre
- Cela me convient... Mais pas trop, car sinon, j'ai la tête qui tourne.
- Je m'en voudrais de te mettre dans cet état rétorqua Pierre.
Sylvie fit la description de son séjour, de sa famille qu'elle n'avait pas vu depuis plusieurs mois. Pierre écoutait, semblant attentif. Mais son esprit était ailleurs... Il observait ses lèvres mais ce n'étaient pas ces mots qu'il entendait. Il écoutait son récit, mais ce n'est pas dans ce décor qu'il l'imaginait.
Sylvie s'excusa et se leva pour aller aux toilettes. Elle brisa un instant le charme qu'elle avait construit dans l'imaginaire de Pierre. Il la vit s'éloigner, dans sa robe délicieuse qui lui donnait une seule envie : la lui enlever.
- Je vais en profiter pour aller voir ce que font les enfants et je reviens, propose Florence.
Pierre resta sur le canapé, pensif, à siroter son Martini. Quelques instants plus tard, Sylvie revint des toilettes. Elle s'approcha de Pierre, posa un genou entre ses jambes.
- Tiens, c'est pour toi ! Et elle introduisit un bout de tissu dans la poche de sa chemise.
Puis elle recula et reprit sa place sur le canapé à côté de Pierre. Pierre, intrigué, examina ce qu'elle avait mis : une petite culotte.
- Tu veux vérifier demanda-t-elle ?
Pierre releva l'invitation. Il posa la main sur la cuisse de Sylvie, puis il passa sous sa robe. Ses doigts heurtèrent son pubis, parfaitement lisse et humide.
- Mais, tu t'es rasé ! s'exclama-t-il
- Oui, tu aimes ?
- Hum, c'est très agréable au toucher en tout cas...
Pierre en profita pleinement, là où il s'était arrêté, là où son imagination tout à l'heure l'avait amené. Il prit soin d'inspecter la douceur de son pubis, puis caressa légèrement ses lèvres tout aussi douces et onctueuses. Puis, il introduisit enfin les doigts dans son intimité : tout aussi douce, chaude, humide et brûlante de désir... Sylvie sursauta lorsqu'elle sentit qu'il la pénétrait. Pierre le remarqua et prit un malin plaisir à explorer son sexe. Il avait encore en tête la discussion de tout à l'heure, où il dut se contenter d'imaginer, de la regarder alors que sa seule envie était de la prendre.
Sylvie se mordait les lèvres. Mais alors que Pierre décida de se retirer, elle plaqua violemment la main entre ses jambes.
- Non, reste... Continue, c'est trop bon...
Pierre, un sourire aux lèvre, s'exécuta et s'enfonça encore plus profondément en elle. En réponse, Sylvie place la main entre les jambes de Pierre et faufila ses doigts entre les boutons de son pantalon. Agile, elle n'eut aucune difficulté à y trouver son sexe, dur, ne demandant qu'à sortir. L'endroit était exigu. Mais elle n'eut pas de mal à atteindre du bout des doigts son gland pour le masser. Très vite, elle le sentit durcir encore plus, entravant ses mouvements... Partagée entre le plaisir que lui prodiguait Pierre, l'idée qu'elle l'excitait à ce point, elle brûlait d'envie de lui sauter dessus.
La voix de Florence raisonna dans l'escalier. Pierre et Sylvie se ravisèrent et tentèrent de laisser aucune trace de leur excitation réciproque. Florence entra dans le salon.
- C'est bon, ils devraient nous laisser tranquille. J'ai demandé aux grands de s'occuper des petits et j'irai leur dire bonsoir quand ils m’appelleront. Maintenant que tu es là, je ne vais tout de même pas passer mon temps là haut ! expliqua Florence. De quoi discutions-nous ? Mais, vous n'avez pas touchés aux apéritifs ?
- Nous t'attendions, rétorqua Pierre. Nous n'allions tout de même pas continuer dans toi.
- Qu'avez-vous fait alors en mon absence ?
- Heu, et bien nous... Sylvie m'a expliqué qu'elle était allé visiter un parc avec ses petits neveux. C'est bien ça
- Oui, répondit Sylvie, un peu prise de court. Mes neveux et moi sommes allés visiter un petit parc d'attraction. Mais malgré sa taille, il y a des jeux très excitants
- Ah bon ? interrogea Florence
- Oui. On y éprouve des sensations très fortes, qui vous parcourent tout le corps, qui vous prennent dans le bas ventre et qui vous remontent partout.
- Eh bien, dis donc, tu es sûre que c'est pour les enfants, s'amusa Florence.
Sylvie et Pierre s'amusèrent de cette remarque. La discussion continua sur ce que chacun avait fait pendant l'absence de Sylvie. Sylvie ne cessait de croiser et décroiser le jambes, d'ajuster sa robe sur ses jambes. Pierre n'en perdait pas une miette, sachant pertinemment qu'elle ne portait rien dessous.
La soirée s'avançait et Sylvie décida de prendre congé.
- Attends, on a récupéré aussi ton courrier, dit Florence
Pierre sauta sur l'occasion :
- Je vais le chercher, je l'ai laissé dans mon bureau.
Il revint quelques instants après et tendit les enveloppes à Sylvie. Pierre regardait avec insistance la première du paquet. Il avait pris l'enveloppe entre deux doigts pour la sortir du paquet. Cela l'intriguait et dès qu'elle eut le paquet en main, elle examina discrètement l'enveloppe. Sur l'avant, rien de particulier : c'était visible une simple facture. Elle la tourna et découvrit quelques mots de l'écriture de Pierre.
"Une fois que tu seras parti, je prétexterai avoir quelque chose à faire dans le garage. Rejoins-y moi"
Sylvie s'empressa de retourner l'enveloppe pour cacher le message :
- Tiens, enfin, une bonne nouvelle, commenta-t-elle. Je vais rentrer de suite pour la lire.
Ce fut le signal pour terminer cette visite. Chacun se salua et Sylvie rentra chez elle.
Comme convenu, Pierre prétexta un bricolage dans le garage. Florence, un peu fatiguée, décida d'aller se reposer dans la chambre pour lire un peu. L'occasion était trop bonne. Sans précipitation pour ne pas éveiller quelques soupçons, Pierre s'éclipsa. Il attendit quelques instants, guettant derrière la porte de séparation le moindre bruit au cas où sa femme viendrait lui demander quelque chose. Mais rien.
Le cœur battant, il se dirigea vers la porte du garage. Il éteint la lumière pour ne pas attirer l'attention des voisins en ouvrant la porte, sans un bruit. Derrière, Sylvie l'attendait, tapie dans l'obscurité. Pierre lui fait signe d'entrer. Il entend un bruit et jette un rapide coup d’œil autour. Finalement, fausse alerte : c'est juste le chat du voisin qui escale la clôture.
Il décide alors de rentrer à son tour et ferme la porte derrière lui. En allumant la lumière, il découvre Sylvie. Pendant qu'il inspectait dehors, elle avait laissé tomber sa petite robe à ses pieds et s'offrait à lui, entièrement nue.
D'abord surpris, il s'approcha d'elle, immobile. Elle l'attendait, soumise. Il s'empara d'un de ses seins pour le lécher, le dévorer. Puis il glissa ses mains le long de ses hanches pour caresser ses fesses. Sylvie se plaqua à lui. Elle retrouvait la dureté de son sexe pointer dans son pantalon. Mais cette fois, hors de question de se contenter de l'effleurer. Elle défait son pantalon et hâtivement sort son sexe. Enfin, elle l'a pleinement en main, dure, comme elle l'aime. Elle le plaque contre elle pour en sentir la chaleur. Elle commence un peu à le masturber, mais en fait, il n'en a vraiment pas besoin.
Elle recule alors à petits pas, entraînant avec elle son amant, jusqu'à une table d'atelier. Fort heureusement, il n'y a rien dessus. Elle s'y hisse. Puis, elle écarte généreusement les cuisses pour y accueillir Pierre. Il ne se fait pas prier. Il prend son sexe bien en main et présente son gland juste à l'entrée de ses lèvres. Même si l'envie est là, il préfère jouer encore un peu : il balade le bout de son sexe le long de ses lèvres, les écartant légèrement à chaque passage. Sylvie observe, mais c'est en elle qu'elle le veut. Elle s'apprête à l'interpeller lorsque sans crier gare, Pierre la pénètre d'un coup de reins.
Sylvie est tellement excité que Pierre n'a aucun mal à la pénétrer. Seules ses cuisses heurtant ses fesses stoppe sa course en elle. Sylvie relève bien les jambes en les appuyant contre le torse de Pierre. Il commence par de petits va-et-viens, puis il amplifie le mouvement. Le vagin de Sylvie est tellement dilaté que le sexe de Pierre en vient à sortir d'elle à chaque fois qu'il recule... Sylvie adore ça, car elle sent à nouveau le gland de Pierre effleurer ses lèvres avant de s'enfoncer profondément en elle.
Pierre saisit la jambe gauche de Sylvie , tandis qu'il baisse l'autre. Bien ancré sur ces cuisses, il la pénètre encore plus profondément. Sylvie en a presque le souffle coupé à chaque fois qu'il vient butter en elle. Elle se cramponne au bord de la table pour ne pas manquer de tomber à chaque coup.
Tous les deux ont été séparés trop longtemps, et bien que Pierre ait fait l'amour à Florence la veille, il n'est pas en reste avec Sylvie . Il s'enfonce en elle aussi profondément qu'il le peut et les petits cris que laisse malgré tout échapper Sylvie l'encourage. Mais Sylvie le veut encore plus en elle... Elle le repousse et dès qu'il se retire, elle se tourne sur le ventre. Elle n'a plus qu'à lui présenter ses fesses, bombées de plaisir, désireuses de le sentir bien au fond. Elle les écarte légèrement, mais Pierre a déjà présenté son sexe à l'entrée de son vagin et n'a pas vraiment besoin de son aide pour rentrer à nouveau en elle.
- Oh, là, je te sens encore mieux... vas-y Pierre, maintenant, fais toi du bien...
Pierre cogne contre ses cuisses violemment et laisse échapper à son tour de léger soupir à chaque fois qu'il la heurte. De sa main, il caresse onctueusement ses fesses, souligne leur forme. Puis, il s'attarde vers son petit œillet, là, présent sous ses yeux... Il se retire un instant et laisse passer son gland dessus pour l'humidifier. Il retourne ensuite aussitôt dans les chaudes entrailles de Sylvie . De son pouce, il commence à préparer son petit orifice, alors que Sylvie ne semble pas l'en décourager. Elle se doute bien de ce qu'il lui prépare, l'occasion de le sentir toujours plus en elle, et de lui donner aussi le plaisir qu'elle lui propose. Pierre recommence à nouveau à mouiller son petit trou... Et enfin, lorsqu'il estime qu'il est suffisamment préparé, laisse cette fois son gland à son entrée. Le bout de son gland épouse parfaitement la forme que son travail préparatoire a creusé. Les mains sur ces hanches, le sexe dur et bien placé, il commence à force doucement l'entrée. Sylvie se prostre dans l'attente. Encore quelques millimètres et il passe la première barrière. Sylvie respire fort à la sensation du passage de son gland. Elle écarte encore plus les fesses pour l'aider. Pierre profite de ce coup de main salutaire pour enfoncer enfin l'intégralité de son sexe dans son anus. Il sait que lorsqu'elle est excitée comme aujourd'hui, c'est son plus grand plaisir. Et il ne déclinera pas son offre de se faire plaisir en elle, pas ce soir, pas après autant de temps sans avoir eu le plaisir de lui faire l'amour.
Pierre doucement, reprend ses va-et-viens dans cet orifice délicieusement étroit. Il a l'impression qu'elle le dévore intégralement. Après toute cette soirée, cette excitation et le consentement si chaleureux de sa maîtresse, Pierre serre une dernière fois ses fesses contre son sexe et s'enfonce aussi loin qu'il peut en elle. Elle le sent, elle se cambre de plaisir. Pierre a l'impression de ne faire plus qu'un avec elle, et d'un dernier coup de rein vigoureux, déverse son plaisir au sein de Sylvie . Elle s'écroule en le sentant jouir et laisse aller enfin son plaisir... Oui, il s'est donné du plaisir grâce à elle, et elle a ressent un grand plaisir ... intérieur.
Les amants s'écroulent, repus, l'un sur l'autre. Pierre reste encore en elle jusqu'à ce que son sexe devienne moins dur. Sylvie le laisse partir en sachant bien que ce n'est qu'un au revoir. Libérée de son étreinte, elle se retourne pour embrasser fougueusement Pierre.
Ils se rhabillent tous les deux. Puis, au moment de partir, juste avant que Pierre n'éteigne à nouveau la lumière, Sylvie retourne sur ses pas. Elle regarde dans le garage et trouve une clef à molette.
- Que fais-tu ? interroge Pierre
- Je prends de quoi "bricoler"
- Pardon ?
- Oui, je crois que le siphon de mon évier a une fuite... Mais tu connais mes talents de bricoleuse... Je m'y prends toujours si mal... A tel point que je pense que demain après-midi, tu devras certainement venir me montrer tes capacités... mais d'amant...
Avec les enfants, elle était vraiment très douce. Et Pierre qui perdait souvent son calme avec eux, fut ravi de découvrir ses enfants sous un autre jour.
Le samedi, Florence travaillait et Pierre était la maison. Cependant, il profitait de ce moment là pour travailler encore sur quelques dossiers délicats. Mais avec les enfants, ce n'était pas possible. Avec l'arrivée de Sylvie, il retrouvait un peu plus de sérénité, et se surprit même plusieurs fois à terminer en milieu d'après-midi, là où il y a quelques mois, il n'avait parfois même pas pu eu le temps d'avancer un seul cas. Du coup, il allait la rejoindre au salon pour discuter un peu alors que les enfants dormaient.
C'est ainsi qu'une amitié commença. Sylvie était une très belle femme de 40 ans, blond foncé, aux yeux bleu verts. Mince, toujours souriante, toujours un mot pour rire. Elle taquinait souvent Pierre. De regards en coin en effleurement, Pierre se sentait irrésistiblement attiré par Sylvie. Il sentait aussi qu'elle n'était pas insensible. Mais à sa grande surprise, c'est elle qui fit un jour le premier pas. Ce samedi là, elle n'avait pas arrêté toute la journée de faire quelques remarques à Pierre, des sous entendus. Jusque là, il avait pensé que c'était dans la logique de leurs jeux habituels. Mais ce jour là, elle insistait beaucoup. Il l'a surpris plusieurs fois à le fixer du regard, ou à examiner son corps.
Et c'est l'après-midi qu'elle se jeta littéralement sur lui, alors qu'il s'était assis à côté d'elle pour lui servir un café. Il avait envie d'elle depuis plusieurs semaines, et ce n'est pas cette attitude cavalière qui allait le gêner. Leurs habits volèrent très rapidement sous l'assaut de la belle. S'en suivi une étreinte torride où les deux amants s'avouèrent et se montrèrent à plusieurs reprises leur envies réciproques... Sylvie, sous ses airs sages, cachait bien son jeu. Elle était vraiment sans tabou, à la fois pleine d'initiative, parfois amant que Pierre prenne les devants, tantôt le plaquant violemment au sol pour en faire son jouet intime.
Leur proximité était aussi un avantage. Sylvie et Florence avaient également sympathisé, si bien que personne ne voyait d'un mauvais oeil que Sylvie vienne parfois frapper à la porte de Pierre quand il était seul. Souvent, ils se quittaient sur le perron en prenant bien soin qu'on les voit, en parlant de cuisine, de conseils divers, de projets. Tout était prétexte à une visite : un article de journal, une recette de cuisine, un vêtement oublié par les enfants chez elle, son chat qui s'était enfuie... Et pourtant, qui aurait pensé que quelques minutes avant, Pierre l'avait installé sur la table de la cuisine pour la prendre... Cette situation les excitaient beaucoup.
Il y a 3 semaines, Sylvie partit en vacances chez de la famille. Cela ne lui était pas arrivé depuis plusieurs mois et elle espérait dans ce voyage, se ressourcer. Elle en avertit Florence et Pierre pour qu'ils prennent leur disposition vis à vis de la garde de leurs enfants. Florence comprit et la rassura : Pierre avait des vacances à prendre, il pourrait alors assurer l'intérim. Sylvie, un peu gênée, leur demanda toutefois un service : elle ne pouvait pas amener son chat avec elle, et elle aurait voulu qu'ils prennent soin de lui en son absence. Florence accepta tout naturellement et Sylvie lui confia ses clefs.
Pierre était tout de même contrarié. Ils avaient leurs habitudes et il s'était attaché à elle. Pour la première fois, il n'allait pas la voir pendant 3 semaines... 4 longs week-ends. Et ce n'est pas les quelques SMS ou appels qui allaient combler ce manque. Un nouveau jeun tout aussi érotique, se mit en place lors de leurs échanges téléphoniques... Les mots doux laissaient bientôt la place à les intentions profondes, chacun décrivant, vivant ce qu'il voulait faire à l'autre s'ils avaient été là... Ces petites séances n'étaient pas pour calmer l'ardeur de Pierre à son égard.
Hier, Sylvie est rentrée de vacances. Florence ne tarda pas à l'appeler pour prendre de ses nouvelles et lui proposa de passer le soir même, pour prendre l’apéritif. Lui rendre ses clefs ne serait qu'un prétexte de plus à se revoir. Pierre attendait cette soirée avec excitation et appréhension : tant de jours sans la voir, et là, elle serait dans la même pièce... Arriverait-il à se contrôler ?
La sonnette retentit. Pierre était nerveux, la boule au ventre. Il prétexta être occupé et laissa Florence l'accueillir. Pierre entendit la douce voix de sa maîtresse. Il descendit de l'étage pour les rejoindre. Dans le hall, Sylvie lui sourit, mais son regard en disait long.
Florence passa devant Sylvie en l'invitant à passer au salon. Pierre fermait la marche. Sylvie ralentit le pas jusqu'à être à son niveau. Discrètement, elle tendit la main pour toucher celle de Pierre. Ce ne fut qu'un effleurement, mais elle provoqua un frisson qui parcourut tout son corps.
Tous s'installèrent sur le canapé. Florence appela les enfants pour qu'ils viennent la saluer. Elle fut accueillie avec cris et embrassades. Ils avaient du mal à dissimuler leur joie. Florence les renvoya dans leur chambre, car sinon ils n'arriveraient pas à s'entendre parler. Lucas, le petit dernier supplia alors sa mère de l'accompagner dans sa chambre, parce que sa sœur avait jeté son jouet au dessus de l'armoire qu'il ne pouvait atteindre.
Les deux amants se retrouvaient alors seuls. Pierre attendit que Florence soit bien dans la chambre des enfants. Il regarde Sylvie d'un oeil désireux. Elle, du coin de l'oeil esquissa un sourire malicieux. Ils n'étaient qu'à quelques centimètres l'un de l'autre.
Pierre approcha la main de la cuisse de Florence. A son contact, elle poussa une longue respiration. A son tour, elle en fit de même, mais ne s'arrêta pas là. Elle remonta le long de sa cuisse jusqu'à son entre jambe. L'excitation de Pierre n'était pas dissimulable, en tout cas au toucher ! Pierre l'imita et sa main disparue sous la jupe de Sylvie. Ses doigts atteignirent sans difficulté le doux coton de sa culotte. Sylvie n'était visiblement pas en reste côté excitation. Elle pressa sa main fortement sur le pantalon de Pierre au fur et à mesure qu'il la caressait.
Les pas de Florence retentirent dans l'escalier. Pierre retira à contre cœur sa main, tout comme Sylvie. Florence entra dans le salon, le sourire aux lèvres.
- Ah ces enfants ! Je ne sais pas comment tu arrives à te débrouiller avec. Je t'admire. Heureusement qu'on t'a.
Pierre souria... Lui aussi était bien content de l'avoir.
- Tu ne sers pas l’apéritif, Pierre ? interrogea Florence
- Si, tu as raison, je manque à toutes mes obligations. Que veux-tu Sylvie ?
Sylvie le regarda tendrement, un brin amusée :
- La même chose que toi...
- Heu, un Martini blanc, bredouilla Pierre
- Cela me convient... Mais pas trop, car sinon, j'ai la tête qui tourne.
- Je m'en voudrais de te mettre dans cet état rétorqua Pierre.
Sylvie fit la description de son séjour, de sa famille qu'elle n'avait pas vu depuis plusieurs mois. Pierre écoutait, semblant attentif. Mais son esprit était ailleurs... Il observait ses lèvres mais ce n'étaient pas ces mots qu'il entendait. Il écoutait son récit, mais ce n'est pas dans ce décor qu'il l'imaginait.
Sylvie s'excusa et se leva pour aller aux toilettes. Elle brisa un instant le charme qu'elle avait construit dans l'imaginaire de Pierre. Il la vit s'éloigner, dans sa robe délicieuse qui lui donnait une seule envie : la lui enlever.
- Je vais en profiter pour aller voir ce que font les enfants et je reviens, propose Florence.
Pierre resta sur le canapé, pensif, à siroter son Martini. Quelques instants plus tard, Sylvie revint des toilettes. Elle s'approcha de Pierre, posa un genou entre ses jambes.
- Tiens, c'est pour toi ! Et elle introduisit un bout de tissu dans la poche de sa chemise.
Puis elle recula et reprit sa place sur le canapé à côté de Pierre. Pierre, intrigué, examina ce qu'elle avait mis : une petite culotte.
- Tu veux vérifier demanda-t-elle ?
Pierre releva l'invitation. Il posa la main sur la cuisse de Sylvie, puis il passa sous sa robe. Ses doigts heurtèrent son pubis, parfaitement lisse et humide.
- Mais, tu t'es rasé ! s'exclama-t-il
- Oui, tu aimes ?
- Hum, c'est très agréable au toucher en tout cas...
Pierre en profita pleinement, là où il s'était arrêté, là où son imagination tout à l'heure l'avait amené. Il prit soin d'inspecter la douceur de son pubis, puis caressa légèrement ses lèvres tout aussi douces et onctueuses. Puis, il introduisit enfin les doigts dans son intimité : tout aussi douce, chaude, humide et brûlante de désir... Sylvie sursauta lorsqu'elle sentit qu'il la pénétrait. Pierre le remarqua et prit un malin plaisir à explorer son sexe. Il avait encore en tête la discussion de tout à l'heure, où il dut se contenter d'imaginer, de la regarder alors que sa seule envie était de la prendre.
Sylvie se mordait les lèvres. Mais alors que Pierre décida de se retirer, elle plaqua violemment la main entre ses jambes.
- Non, reste... Continue, c'est trop bon...
Pierre, un sourire aux lèvre, s'exécuta et s'enfonça encore plus profondément en elle. En réponse, Sylvie place la main entre les jambes de Pierre et faufila ses doigts entre les boutons de son pantalon. Agile, elle n'eut aucune difficulté à y trouver son sexe, dur, ne demandant qu'à sortir. L'endroit était exigu. Mais elle n'eut pas de mal à atteindre du bout des doigts son gland pour le masser. Très vite, elle le sentit durcir encore plus, entravant ses mouvements... Partagée entre le plaisir que lui prodiguait Pierre, l'idée qu'elle l'excitait à ce point, elle brûlait d'envie de lui sauter dessus.
La voix de Florence raisonna dans l'escalier. Pierre et Sylvie se ravisèrent et tentèrent de laisser aucune trace de leur excitation réciproque. Florence entra dans le salon.
- C'est bon, ils devraient nous laisser tranquille. J'ai demandé aux grands de s'occuper des petits et j'irai leur dire bonsoir quand ils m’appelleront. Maintenant que tu es là, je ne vais tout de même pas passer mon temps là haut ! expliqua Florence. De quoi discutions-nous ? Mais, vous n'avez pas touchés aux apéritifs ?
- Nous t'attendions, rétorqua Pierre. Nous n'allions tout de même pas continuer dans toi.
- Qu'avez-vous fait alors en mon absence ?
- Heu, et bien nous... Sylvie m'a expliqué qu'elle était allé visiter un parc avec ses petits neveux. C'est bien ça
- Oui, répondit Sylvie, un peu prise de court. Mes neveux et moi sommes allés visiter un petit parc d'attraction. Mais malgré sa taille, il y a des jeux très excitants
- Ah bon ? interrogea Florence
- Oui. On y éprouve des sensations très fortes, qui vous parcourent tout le corps, qui vous prennent dans le bas ventre et qui vous remontent partout.
- Eh bien, dis donc, tu es sûre que c'est pour les enfants, s'amusa Florence.
Sylvie et Pierre s'amusèrent de cette remarque. La discussion continua sur ce que chacun avait fait pendant l'absence de Sylvie. Sylvie ne cessait de croiser et décroiser le jambes, d'ajuster sa robe sur ses jambes. Pierre n'en perdait pas une miette, sachant pertinemment qu'elle ne portait rien dessous.
La soirée s'avançait et Sylvie décida de prendre congé.
- Attends, on a récupéré aussi ton courrier, dit Florence
Pierre sauta sur l'occasion :
- Je vais le chercher, je l'ai laissé dans mon bureau.
Il revint quelques instants après et tendit les enveloppes à Sylvie. Pierre regardait avec insistance la première du paquet. Il avait pris l'enveloppe entre deux doigts pour la sortir du paquet. Cela l'intriguait et dès qu'elle eut le paquet en main, elle examina discrètement l'enveloppe. Sur l'avant, rien de particulier : c'était visible une simple facture. Elle la tourna et découvrit quelques mots de l'écriture de Pierre.
"Une fois que tu seras parti, je prétexterai avoir quelque chose à faire dans le garage. Rejoins-y moi"
Sylvie s'empressa de retourner l'enveloppe pour cacher le message :
- Tiens, enfin, une bonne nouvelle, commenta-t-elle. Je vais rentrer de suite pour la lire.
Ce fut le signal pour terminer cette visite. Chacun se salua et Sylvie rentra chez elle.
Comme convenu, Pierre prétexta un bricolage dans le garage. Florence, un peu fatiguée, décida d'aller se reposer dans la chambre pour lire un peu. L'occasion était trop bonne. Sans précipitation pour ne pas éveiller quelques soupçons, Pierre s'éclipsa. Il attendit quelques instants, guettant derrière la porte de séparation le moindre bruit au cas où sa femme viendrait lui demander quelque chose. Mais rien.
Le cœur battant, il se dirigea vers la porte du garage. Il éteint la lumière pour ne pas attirer l'attention des voisins en ouvrant la porte, sans un bruit. Derrière, Sylvie l'attendait, tapie dans l'obscurité. Pierre lui fait signe d'entrer. Il entend un bruit et jette un rapide coup d’œil autour. Finalement, fausse alerte : c'est juste le chat du voisin qui escale la clôture.
Il décide alors de rentrer à son tour et ferme la porte derrière lui. En allumant la lumière, il découvre Sylvie. Pendant qu'il inspectait dehors, elle avait laissé tomber sa petite robe à ses pieds et s'offrait à lui, entièrement nue.
D'abord surpris, il s'approcha d'elle, immobile. Elle l'attendait, soumise. Il s'empara d'un de ses seins pour le lécher, le dévorer. Puis il glissa ses mains le long de ses hanches pour caresser ses fesses. Sylvie se plaqua à lui. Elle retrouvait la dureté de son sexe pointer dans son pantalon. Mais cette fois, hors de question de se contenter de l'effleurer. Elle défait son pantalon et hâtivement sort son sexe. Enfin, elle l'a pleinement en main, dure, comme elle l'aime. Elle le plaque contre elle pour en sentir la chaleur. Elle commence un peu à le masturber, mais en fait, il n'en a vraiment pas besoin.
Elle recule alors à petits pas, entraînant avec elle son amant, jusqu'à une table d'atelier. Fort heureusement, il n'y a rien dessus. Elle s'y hisse. Puis, elle écarte généreusement les cuisses pour y accueillir Pierre. Il ne se fait pas prier. Il prend son sexe bien en main et présente son gland juste à l'entrée de ses lèvres. Même si l'envie est là, il préfère jouer encore un peu : il balade le bout de son sexe le long de ses lèvres, les écartant légèrement à chaque passage. Sylvie observe, mais c'est en elle qu'elle le veut. Elle s'apprête à l'interpeller lorsque sans crier gare, Pierre la pénètre d'un coup de reins.
Sylvie est tellement excité que Pierre n'a aucun mal à la pénétrer. Seules ses cuisses heurtant ses fesses stoppe sa course en elle. Sylvie relève bien les jambes en les appuyant contre le torse de Pierre. Il commence par de petits va-et-viens, puis il amplifie le mouvement. Le vagin de Sylvie est tellement dilaté que le sexe de Pierre en vient à sortir d'elle à chaque fois qu'il recule... Sylvie adore ça, car elle sent à nouveau le gland de Pierre effleurer ses lèvres avant de s'enfoncer profondément en elle.
Pierre saisit la jambe gauche de Sylvie , tandis qu'il baisse l'autre. Bien ancré sur ces cuisses, il la pénètre encore plus profondément. Sylvie en a presque le souffle coupé à chaque fois qu'il vient butter en elle. Elle se cramponne au bord de la table pour ne pas manquer de tomber à chaque coup.
Tous les deux ont été séparés trop longtemps, et bien que Pierre ait fait l'amour à Florence la veille, il n'est pas en reste avec Sylvie . Il s'enfonce en elle aussi profondément qu'il le peut et les petits cris que laisse malgré tout échapper Sylvie l'encourage. Mais Sylvie le veut encore plus en elle... Elle le repousse et dès qu'il se retire, elle se tourne sur le ventre. Elle n'a plus qu'à lui présenter ses fesses, bombées de plaisir, désireuses de le sentir bien au fond. Elle les écarte légèrement, mais Pierre a déjà présenté son sexe à l'entrée de son vagin et n'a pas vraiment besoin de son aide pour rentrer à nouveau en elle.
- Oh, là, je te sens encore mieux... vas-y Pierre, maintenant, fais toi du bien...
Pierre cogne contre ses cuisses violemment et laisse échapper à son tour de léger soupir à chaque fois qu'il la heurte. De sa main, il caresse onctueusement ses fesses, souligne leur forme. Puis, il s'attarde vers son petit œillet, là, présent sous ses yeux... Il se retire un instant et laisse passer son gland dessus pour l'humidifier. Il retourne ensuite aussitôt dans les chaudes entrailles de Sylvie . De son pouce, il commence à préparer son petit orifice, alors que Sylvie ne semble pas l'en décourager. Elle se doute bien de ce qu'il lui prépare, l'occasion de le sentir toujours plus en elle, et de lui donner aussi le plaisir qu'elle lui propose. Pierre recommence à nouveau à mouiller son petit trou... Et enfin, lorsqu'il estime qu'il est suffisamment préparé, laisse cette fois son gland à son entrée. Le bout de son gland épouse parfaitement la forme que son travail préparatoire a creusé. Les mains sur ces hanches, le sexe dur et bien placé, il commence à force doucement l'entrée. Sylvie se prostre dans l'attente. Encore quelques millimètres et il passe la première barrière. Sylvie respire fort à la sensation du passage de son gland. Elle écarte encore plus les fesses pour l'aider. Pierre profite de ce coup de main salutaire pour enfoncer enfin l'intégralité de son sexe dans son anus. Il sait que lorsqu'elle est excitée comme aujourd'hui, c'est son plus grand plaisir. Et il ne déclinera pas son offre de se faire plaisir en elle, pas ce soir, pas après autant de temps sans avoir eu le plaisir de lui faire l'amour.
Pierre doucement, reprend ses va-et-viens dans cet orifice délicieusement étroit. Il a l'impression qu'elle le dévore intégralement. Après toute cette soirée, cette excitation et le consentement si chaleureux de sa maîtresse, Pierre serre une dernière fois ses fesses contre son sexe et s'enfonce aussi loin qu'il peut en elle. Elle le sent, elle se cambre de plaisir. Pierre a l'impression de ne faire plus qu'un avec elle, et d'un dernier coup de rein vigoureux, déverse son plaisir au sein de Sylvie . Elle s'écroule en le sentant jouir et laisse aller enfin son plaisir... Oui, il s'est donné du plaisir grâce à elle, et elle a ressent un grand plaisir ... intérieur.
Les amants s'écroulent, repus, l'un sur l'autre. Pierre reste encore en elle jusqu'à ce que son sexe devienne moins dur. Sylvie le laisse partir en sachant bien que ce n'est qu'un au revoir. Libérée de son étreinte, elle se retourne pour embrasser fougueusement Pierre.
Ils se rhabillent tous les deux. Puis, au moment de partir, juste avant que Pierre n'éteigne à nouveau la lumière, Sylvie retourne sur ses pas. Elle regarde dans le garage et trouve une clef à molette.
- Que fais-tu ? interroge Pierre
- Je prends de quoi "bricoler"
- Pardon ?
- Oui, je crois que le siphon de mon évier a une fuite... Mais tu connais mes talents de bricoleuse... Je m'y prends toujours si mal... A tel point que je pense que demain après-midi, tu devras certainement venir me montrer tes capacités... mais d'amant...
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