MADAME CLEMENCE III : Les amies de Madame Clémence.
Récit érotique écrit par Monsieur Pat [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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MADAME CLEMENCE III : Les amies de Madame Clémence.
MADAME CLEMENCE III
- Tu as été très bien, j’espère que tu seras aussi bon cet après-midi. Retourne au travail à présent.
Je me demandais ce qui nous attendrait, je le saurais bien assez tôt. Absorbé par notre besogne, Alex et moi n’avions pas vu arriver l’heure du repas. Jack avait tout préparé ans la salle à manger. Je fus préposé au service, et Alex au service particulier et personnel de Madame : tout le temps du repas il dut lutiner lui le minou, à quatre pattes sous la table. Dès qu’elle eu terminé son repas, elle nous intima :
- J’attends des amies pour le café, vous avez 15 minutes pour vous restaurer et vous laver. Pour gagner du temps vous prendrez la douche ensemble, tâchez de bien vous parfumer et d’être à la hauteur de mes espérances.
Le repas, un sandwich, fut avalé rondement. La douche prise tout aussi prestement, même si le fait d’être deux dans un mètre carré ne soit pas des plus aisé. D’autant que Madame avait interdit l’usage d’eau chaude. Jack nous renvoya dans le salon où Madame nous attendait. A peine sur place, elle nous fit mettre à genou sur des petites estrades, bien droits, les genoux écartés au maximum, les mains derrière la tête, et le sexe bien en avant. Elle nous recouvrit d’un tissu indien, en nous recommandant de ne pas bouger d’un millimètre. La position n’était pas des plus confortables.
Peu de temps après ses amies arrivèrent et s’installèrent à proximité de nous. Aux différentes voix qui me parvenaient, il me semblait qu’elles devaient être 4 ou 5 convives. Les conversations étaient plutôt anodines au début de la rencontre, et devinrent plus chaudes à mesure que le temps passait. Il y a peut être une heure que nous étions là immobiles lorsque Madame Clémence annonça à ses amies :
- Il faut que je vous montre les deux nouvelles statues que j’ai en ma possession.
Des bruits de pas se dirigèrent dans notre direction, les tentures se levèrent et la lumière brusque nous fit cligner des yeux. Nous découvrîmes les 5 convives de Madame, tous des femmes très élégantes. Les deux premières étaient assez âgées, je dirais entre 50 et 60 ans, et plutôt bien enveloppées, pas trop le genre de femmes qui m’attiraient. La 3ème ressemblait fortement à Madame, une quarantaine d’années et un corps magnifique. Les 2 dernières étaient splendides, aux alentours de 30 ans, un corps de rêve d’après ce que je pouvait en voir. Madame Clémence et ses amies étaient toutes en jupes et avec des chemisiers plutôt du genre bien remplis.
Après une rapide période d’observation, Madame leur annonça :
- Vous pouvez vous approcher, et surtout n’hésitez pas à les toucher, ils sont là pour ça.
Les premières à venir nous palper furent les plus anciennes, et bien évidemment ce furent uniquement sur nos sexes qu’elles se lâchèrent. Les commentaires graveleux allaient bon train sur la comparaison de nos intimités. Il devait y avoir longtemps qu’elles n’en n’avaient pas vu, ni touché, car elles ne se gênèrent pas avec nous. Nos sexes furent pressés, masturbés, allongés et tirés dans tous les sens. L’une d’elle essaya même de m’enfoncer un de ses doigts boudinés entre les fesses, en constatant la présence du plug, elle le tortilla en tous sens en gloussant. Le regard froid de Madame ne nous encourageait pas à broncher. Lorsqu’elles furent assez contentes de leurs palpations, elles regagnèrent leurs places sur le sofa.
Les trois autres s’approchèrent à leur tour, leurs manières avaient nettement plus de classe. Nos visages, nos bras, nos torses, nos fesses furent l’objet de douces caresses. Lorsqu’elles arrivèrent à nos bas ventres, elles furent encore plus tendres. Nous n’étions plus des objets sexuels, mais de véritables œuvres d’Art. Les commentaires avaient nettement plus de chics, et les caresses plus intimes, étaient dirigées pour nous faire plaisir. Nous ne tardâmes pas à montrer notre ravissement, nous étions droits comme des I et durs comme du bois. Madame, satisfaite de notre présentation, nous souriait tendrement.
Lorsque toutes eurent regagné leurs places devant les petits fours, Madame Clémence leur fit cette annonce :
- Ce ne sont pas des statues ordinaires, elles sont magiques vous allez voir.
Elle s’approcha d’Alex et le stimula avec sa cravache. Elle le guida directement vers une des deux rombières. Il s’en approcha doucement à quatre pattes, et enfouit directement son visage sous la jupe de la mégère, il devait avoir l’habitude de ces présentations.
Mon tour vint ensuite, la badine me guida de la même manière vers la deuxième « vieilles ». Bien que je n’en n’aie guère envie, j’imitai mon camarade par crainte du courroux de Madame. Ce ne fut pas une partie de plaisir, d’autant que la vue que j’avais ne m’inspirait guère. Néanmoins dans la perspective de m’occuper ensuite des autres convives, je m’acquittai de ma tâche du mieux, et du plus rapidement que je pus. Elle devait être en manque, car elle ne tarda pas à se trémousser de plaisir sur son coussin. Après l’avoir honorée, en m’écartant je jetai un coup d’œil à mon compagnon d’infortune, et eu une pensée d’encouragement pour lui. Malgré son ardeur, la dame restait de marbre à ses injonctions. Madame Clémence me fit reprendre ma place et ma position sur la stèle en attendant que mon condisciple termine. Heureusement pour lui, il parvint à ses fins quelques minutes plus tard.
Après leur bonne fortune, les deux anciennes firent part de leur désir de partir. Elles proposèrent à Madame qu’elle leur prête quelques fois ses statues magiques. Madame objecta qu’elle était désolée, mais qu’elle devait les rendre rapidement à leurs propriétaires. Heureusement pour nous.
Lorsqu’elles furent parties, l’ambiance devint nettement plus conviviales entres les quatre compagnes encore présentes. Je pense que Madame par politesse, n’avait pas eu d’autre choix que d’inviter les deux femmes maintenant absentes. Elle proposa que tout le monde se dirige vers sa chambre. Bien évidemment notre déplacement se fit comme les précédents, sous la directive de la cravache et à quatre pattes. Les invitées de Madame ne semblaient pas choquées par cette situation.
Une fois sur place, Madame nous convia à les dévêtir avec tendresse, pour une fois l’ordre donné ne nous déplaisait pas. Alex et moi prîmes un plaisir particulier à obéir, en nous occupant une à une des participantes, et en terminant par Madame. A mesure qu’elles étaient dévêtues, elles allèrent s’allonger lascivement sur le lit. Deux hommes pour quatre femmes, il allait falloir que nous soyons à la hauteur. Madame, malgré ses bonnes dispositions présentes, ne se priverait pas d’utiliser son stick pour nous stimuler.
- Le challenge est très simple pour vous messieurs, vous devez nous mener à la jouissance les quatre en même temps. Si vous échouez, chacune de nous pourra vous punir selon son désir. Il en sera de même si vous laisser aller.
Très simple, c’est elle qui de disait, nous n’étions pas des surhommes, mais nous étions fermement décidés à les contenter. Placées comme elles l’étaient et vu notre position l’évidence s’imposait à nous. Je m’occuperais de Madame et de sa plus jeune voisine de gauche, et Alex se consacrerait aux deux autres grâces. La solution la plus simple était d’en câliner une de notre bouche, et de laisser nos doigts courir sur tout le corps de la seconde, et d’inverser régulièrement.
En approchant ma bouche de l’intimité de Madame, j’avais un petit avantage, l’ayant pratiquée le matin même, je connaissais déjà un peu son point faible. Il fallait que je me concentre sur mon autre partenaire, qui était tout aussi désirable que Madame. Cette dernière voulait absolument me voir puni, car chaque fois que je lutinais son amie, elle alternait les caresses sur le corps de celle-ci, et celles sur mon sexe, pour essayer de me faire craquer. Ma jeune partenaire commençait à se libérer sous nos doubles caresses, elle se trémoussait nerveusement. Je jetai un œil à Alex, car il fallait absolument que nous aboutissions de concert. Je ne fus pas inquiet en le voyant se débrouiller très bien avec ses deux femmes qui se caressaient mutuellement elles aussi. Mais par contre il était un peu en avance sur moi, il fallait donc que j’accélère le rythme. Le mis les bouchées doubles pour rattraper mon retard. Quelques secondes plus tard mes partenaires prirent leur plaisir simultanément. Avant que je n’aie eu le temps de me tourner vers Alex, j’entendis les deux autres femmes crier leur jouissance : nous avions gagné.
Le temps que les quatre dames reprennent leurs esprits, Madame proposa à ses compagnes :
- Je pense qu’ils méritent une petite récompense, qu’en pensez vous ?
Les trois autres furent unanimement d’accord pour que l’on ait également du plaisir. Madame dans son rôle de Maîtresse autoritaire, indiqua que si nous avions pu les voir se câliner entre elles, elles seraient très heureuses de nous voir faire de même.
- Faites nous donc une petite séance de 69 tous les deux.
Ce n’est pas la récompense à laquelle j’aspirais, mais j’étais trop gorgé de sève pour attendre plus longtemps. Madame Clémence intima l’ordre à Alex de se mettre sur le dos et moi au dessus. A peine dans la bouche de mon compère, je me libérai à grand trait, les caresses de Madame avaient été très efficaces. Par contre Alex eut un peu plus de difficulté, c’est donc sous l’encouragement des 4 filles que je prolongeai mes mouvements de tête. Il finit par se libérer sous de quadruples applaudissements. Madame proposa d’ouvrir une bouteille de champagne pour fêter notre réussite, à laquelle nous n’avions pas droit naturellement.
Après un petit moment de relâche Madame Clémence proposa de remettre ça, mais sans contrainte cette fois, nous devions uniquement leur procurer le plus de plaisir possible. Nos bouches et nos mains furent à nouveau sollicitées, à priori nos attributs masculins ne les intéressaient pas. C’est tout de même avec un peu de mal que nous avons contenté une seconde fois nos compagnes d’un jour.
Une fois la maisonnée devenue plus calme, Madame Clémence reprit les rênes des opérations.
-Allez prendre une douche rapide, et ensuite vous pourrez dîner avec moi.
Décidément, notre prestation lui avait fait forte impression pour qu’elle nous invite à sa table. La douche fut prise comme le matin, froide et les 2 ensembles. Arrivé à la salle à manger, notre surprise fut grande de bien voir 3 couverts préparés par Jack, mais un seul siège seulement.
- Vous allez allier mon plaisir des papilles avec celui de la vue.
Quoi que nous fassions, elle ne changerait pas. Nous dûmes dîner debout, nos attributs bien au dessus de la table. Le repas fut succulent et réparateur après le seul petit en-cas que nous avions pris à midi. A la fin du repas, Madame nous congédia en nous remettant aux mains de Jack. Il nous guida vers la même chambre que celle où j’avais passé la nuit précédente. Je me demandais comment nous ferions Alex et moi dans ce petit lit. Jack nous annonça sans détour.
- Avant de vous coucher, je vais changer vos plug, Madame a choisi un numéro trois pour la nuit.
Le diamètre encore plus gros que le précédent me laissa une douleur assez vive, Alex ne semblait pas en souffrir. Il fit ensuite allonger Alex sur le dos en lui entravant la main gauche et le pied droit. Je dus me coucher sur lui, sur le ventre, avec les mêmes membres prisonniers.
Nous nous retrouvions donc face à face sans aucun moyen d’être bien installé : une drôle de nuit s’annonçait.
- Tu as été très bien, j’espère que tu seras aussi bon cet après-midi. Retourne au travail à présent.
Je me demandais ce qui nous attendrait, je le saurais bien assez tôt. Absorbé par notre besogne, Alex et moi n’avions pas vu arriver l’heure du repas. Jack avait tout préparé ans la salle à manger. Je fus préposé au service, et Alex au service particulier et personnel de Madame : tout le temps du repas il dut lutiner lui le minou, à quatre pattes sous la table. Dès qu’elle eu terminé son repas, elle nous intima :
- J’attends des amies pour le café, vous avez 15 minutes pour vous restaurer et vous laver. Pour gagner du temps vous prendrez la douche ensemble, tâchez de bien vous parfumer et d’être à la hauteur de mes espérances.
Le repas, un sandwich, fut avalé rondement. La douche prise tout aussi prestement, même si le fait d’être deux dans un mètre carré ne soit pas des plus aisé. D’autant que Madame avait interdit l’usage d’eau chaude. Jack nous renvoya dans le salon où Madame nous attendait. A peine sur place, elle nous fit mettre à genou sur des petites estrades, bien droits, les genoux écartés au maximum, les mains derrière la tête, et le sexe bien en avant. Elle nous recouvrit d’un tissu indien, en nous recommandant de ne pas bouger d’un millimètre. La position n’était pas des plus confortables.
Peu de temps après ses amies arrivèrent et s’installèrent à proximité de nous. Aux différentes voix qui me parvenaient, il me semblait qu’elles devaient être 4 ou 5 convives. Les conversations étaient plutôt anodines au début de la rencontre, et devinrent plus chaudes à mesure que le temps passait. Il y a peut être une heure que nous étions là immobiles lorsque Madame Clémence annonça à ses amies :
- Il faut que je vous montre les deux nouvelles statues que j’ai en ma possession.
Des bruits de pas se dirigèrent dans notre direction, les tentures se levèrent et la lumière brusque nous fit cligner des yeux. Nous découvrîmes les 5 convives de Madame, tous des femmes très élégantes. Les deux premières étaient assez âgées, je dirais entre 50 et 60 ans, et plutôt bien enveloppées, pas trop le genre de femmes qui m’attiraient. La 3ème ressemblait fortement à Madame, une quarantaine d’années et un corps magnifique. Les 2 dernières étaient splendides, aux alentours de 30 ans, un corps de rêve d’après ce que je pouvait en voir. Madame Clémence et ses amies étaient toutes en jupes et avec des chemisiers plutôt du genre bien remplis.
Après une rapide période d’observation, Madame leur annonça :
- Vous pouvez vous approcher, et surtout n’hésitez pas à les toucher, ils sont là pour ça.
Les premières à venir nous palper furent les plus anciennes, et bien évidemment ce furent uniquement sur nos sexes qu’elles se lâchèrent. Les commentaires graveleux allaient bon train sur la comparaison de nos intimités. Il devait y avoir longtemps qu’elles n’en n’avaient pas vu, ni touché, car elles ne se gênèrent pas avec nous. Nos sexes furent pressés, masturbés, allongés et tirés dans tous les sens. L’une d’elle essaya même de m’enfoncer un de ses doigts boudinés entre les fesses, en constatant la présence du plug, elle le tortilla en tous sens en gloussant. Le regard froid de Madame ne nous encourageait pas à broncher. Lorsqu’elles furent assez contentes de leurs palpations, elles regagnèrent leurs places sur le sofa.
Les trois autres s’approchèrent à leur tour, leurs manières avaient nettement plus de classe. Nos visages, nos bras, nos torses, nos fesses furent l’objet de douces caresses. Lorsqu’elles arrivèrent à nos bas ventres, elles furent encore plus tendres. Nous n’étions plus des objets sexuels, mais de véritables œuvres d’Art. Les commentaires avaient nettement plus de chics, et les caresses plus intimes, étaient dirigées pour nous faire plaisir. Nous ne tardâmes pas à montrer notre ravissement, nous étions droits comme des I et durs comme du bois. Madame, satisfaite de notre présentation, nous souriait tendrement.
Lorsque toutes eurent regagné leurs places devant les petits fours, Madame Clémence leur fit cette annonce :
- Ce ne sont pas des statues ordinaires, elles sont magiques vous allez voir.
Elle s’approcha d’Alex et le stimula avec sa cravache. Elle le guida directement vers une des deux rombières. Il s’en approcha doucement à quatre pattes, et enfouit directement son visage sous la jupe de la mégère, il devait avoir l’habitude de ces présentations.
Mon tour vint ensuite, la badine me guida de la même manière vers la deuxième « vieilles ». Bien que je n’en n’aie guère envie, j’imitai mon camarade par crainte du courroux de Madame. Ce ne fut pas une partie de plaisir, d’autant que la vue que j’avais ne m’inspirait guère. Néanmoins dans la perspective de m’occuper ensuite des autres convives, je m’acquittai de ma tâche du mieux, et du plus rapidement que je pus. Elle devait être en manque, car elle ne tarda pas à se trémousser de plaisir sur son coussin. Après l’avoir honorée, en m’écartant je jetai un coup d’œil à mon compagnon d’infortune, et eu une pensée d’encouragement pour lui. Malgré son ardeur, la dame restait de marbre à ses injonctions. Madame Clémence me fit reprendre ma place et ma position sur la stèle en attendant que mon condisciple termine. Heureusement pour lui, il parvint à ses fins quelques minutes plus tard.
Après leur bonne fortune, les deux anciennes firent part de leur désir de partir. Elles proposèrent à Madame qu’elle leur prête quelques fois ses statues magiques. Madame objecta qu’elle était désolée, mais qu’elle devait les rendre rapidement à leurs propriétaires. Heureusement pour nous.
Lorsqu’elles furent parties, l’ambiance devint nettement plus conviviales entres les quatre compagnes encore présentes. Je pense que Madame par politesse, n’avait pas eu d’autre choix que d’inviter les deux femmes maintenant absentes. Elle proposa que tout le monde se dirige vers sa chambre. Bien évidemment notre déplacement se fit comme les précédents, sous la directive de la cravache et à quatre pattes. Les invitées de Madame ne semblaient pas choquées par cette situation.
Une fois sur place, Madame nous convia à les dévêtir avec tendresse, pour une fois l’ordre donné ne nous déplaisait pas. Alex et moi prîmes un plaisir particulier à obéir, en nous occupant une à une des participantes, et en terminant par Madame. A mesure qu’elles étaient dévêtues, elles allèrent s’allonger lascivement sur le lit. Deux hommes pour quatre femmes, il allait falloir que nous soyons à la hauteur. Madame, malgré ses bonnes dispositions présentes, ne se priverait pas d’utiliser son stick pour nous stimuler.
- Le challenge est très simple pour vous messieurs, vous devez nous mener à la jouissance les quatre en même temps. Si vous échouez, chacune de nous pourra vous punir selon son désir. Il en sera de même si vous laisser aller.
Très simple, c’est elle qui de disait, nous n’étions pas des surhommes, mais nous étions fermement décidés à les contenter. Placées comme elles l’étaient et vu notre position l’évidence s’imposait à nous. Je m’occuperais de Madame et de sa plus jeune voisine de gauche, et Alex se consacrerait aux deux autres grâces. La solution la plus simple était d’en câliner une de notre bouche, et de laisser nos doigts courir sur tout le corps de la seconde, et d’inverser régulièrement.
En approchant ma bouche de l’intimité de Madame, j’avais un petit avantage, l’ayant pratiquée le matin même, je connaissais déjà un peu son point faible. Il fallait que je me concentre sur mon autre partenaire, qui était tout aussi désirable que Madame. Cette dernière voulait absolument me voir puni, car chaque fois que je lutinais son amie, elle alternait les caresses sur le corps de celle-ci, et celles sur mon sexe, pour essayer de me faire craquer. Ma jeune partenaire commençait à se libérer sous nos doubles caresses, elle se trémoussait nerveusement. Je jetai un œil à Alex, car il fallait absolument que nous aboutissions de concert. Je ne fus pas inquiet en le voyant se débrouiller très bien avec ses deux femmes qui se caressaient mutuellement elles aussi. Mais par contre il était un peu en avance sur moi, il fallait donc que j’accélère le rythme. Le mis les bouchées doubles pour rattraper mon retard. Quelques secondes plus tard mes partenaires prirent leur plaisir simultanément. Avant que je n’aie eu le temps de me tourner vers Alex, j’entendis les deux autres femmes crier leur jouissance : nous avions gagné.
Le temps que les quatre dames reprennent leurs esprits, Madame proposa à ses compagnes :
- Je pense qu’ils méritent une petite récompense, qu’en pensez vous ?
Les trois autres furent unanimement d’accord pour que l’on ait également du plaisir. Madame dans son rôle de Maîtresse autoritaire, indiqua que si nous avions pu les voir se câliner entre elles, elles seraient très heureuses de nous voir faire de même.
- Faites nous donc une petite séance de 69 tous les deux.
Ce n’est pas la récompense à laquelle j’aspirais, mais j’étais trop gorgé de sève pour attendre plus longtemps. Madame Clémence intima l’ordre à Alex de se mettre sur le dos et moi au dessus. A peine dans la bouche de mon compère, je me libérai à grand trait, les caresses de Madame avaient été très efficaces. Par contre Alex eut un peu plus de difficulté, c’est donc sous l’encouragement des 4 filles que je prolongeai mes mouvements de tête. Il finit par se libérer sous de quadruples applaudissements. Madame proposa d’ouvrir une bouteille de champagne pour fêter notre réussite, à laquelle nous n’avions pas droit naturellement.
Après un petit moment de relâche Madame Clémence proposa de remettre ça, mais sans contrainte cette fois, nous devions uniquement leur procurer le plus de plaisir possible. Nos bouches et nos mains furent à nouveau sollicitées, à priori nos attributs masculins ne les intéressaient pas. C’est tout de même avec un peu de mal que nous avons contenté une seconde fois nos compagnes d’un jour.
Une fois la maisonnée devenue plus calme, Madame Clémence reprit les rênes des opérations.
-Allez prendre une douche rapide, et ensuite vous pourrez dîner avec moi.
Décidément, notre prestation lui avait fait forte impression pour qu’elle nous invite à sa table. La douche fut prise comme le matin, froide et les 2 ensembles. Arrivé à la salle à manger, notre surprise fut grande de bien voir 3 couverts préparés par Jack, mais un seul siège seulement.
- Vous allez allier mon plaisir des papilles avec celui de la vue.
Quoi que nous fassions, elle ne changerait pas. Nous dûmes dîner debout, nos attributs bien au dessus de la table. Le repas fut succulent et réparateur après le seul petit en-cas que nous avions pris à midi. A la fin du repas, Madame nous congédia en nous remettant aux mains de Jack. Il nous guida vers la même chambre que celle où j’avais passé la nuit précédente. Je me demandais comment nous ferions Alex et moi dans ce petit lit. Jack nous annonça sans détour.
- Avant de vous coucher, je vais changer vos plug, Madame a choisi un numéro trois pour la nuit.
Le diamètre encore plus gros que le précédent me laissa une douleur assez vive, Alex ne semblait pas en souffrir. Il fit ensuite allonger Alex sur le dos en lui entravant la main gauche et le pied droit. Je dus me coucher sur lui, sur le ventre, avec les mêmes membres prisonniers.
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