Madame R, ma prof d'allemand
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Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Madame R, ma prof d'allemand
Cette histoire s’est passée il y a bien des années quand j’étais lycéen. Arrivé en première il faut choisir une langue étrangère en option pour gagner des points au BAC. Je voulais prendre Espagnol comme tous les copains mais mes parents voulaient que je prenne Allemand car peu d’élèves prenaient cette option. Les classes étaient donc moins chargées et le niveau un peu plus élevé (enfin c’est la rumeur qui courrait). Je ne vais pas vous la faire à l’envers, quand on a juste 18 ans (oui j’ai pris 1 an de retard) et que les parents décident quelquechose on n’a pas le choix et on s’y plie. C’est donc en traînant les pieds et en pestant que je me présente à mon premier cours d’allemand. Pas de surprise, il n’y a qu’une seule prof d’allemand au lycée : Madame R. Plus exactement ‘Mademoiselle R’ alors qu’elle a bien entamé la quarantaine. Toutes sortes de bruits courent sur elle, le plus persistant étant qu’elle n’a jamais eu de mec dans sa vie et que c’est pour ça qu’elle se fait appeler ‘mademoiselle’. Objectivement elle n’a rien d’un tyran, c’est simplement que pour elle la matière qu’elle enseigne est primordiale et qu’il faut travailler à fond. Travail ou pas le résultat est le même : je suis archi-nul et je ne comprends pas la moitié des mots. Imaginez les grands moments de solitude quand il faut expliquer un texte alors que je ne comprends même pas qu’elle veut que j’explique le texte. L’année s’écoule de manière catastrophique, je m’ennui dans le fond de la classe et je n’ai rien d’autre à faire que de regarder mes camarades pour qui tout cela semble facile. En plus Madame R n’est pas plus jolie que ça : 1m50, blonde mais la racine des cheveux chatain, les yeux marrons et les rides du visage trahissant déjà le cumul des ans. Bilan de fin d’année : la moyenne des notes tourne autour de 5. Pas de quoi m’empêcher de passer en terminale mais ça fait tâche sur le bulletin. Elle rencontre mes parents au mois de juin et ils sont d’accords sur le fait que ces mauvaises notes viennent du fait que je ne travaille pas. C’est vrai je ne travaille pas ; mais je ne travaille pas car je ne suis pas attiré par cette matière. Ensemble ils ont donc eu la merveilleuse idée de me donner des cours particuliers. C’est réglé, tous les samedis après-midi de l’été je vais chez Madame R pour apprendre l’allemand. L’horreur ! Le pire que je pouvais imaginer ! Au moins en cours je pouvais esquiver et un camarade venait parfois à ma rescousse. Et puis le cours ne durait qu’une heure. Mais là impossible de me défiler.
Le samedi suivant mon père m’emmène chez Madame R qui n’habite pas très loin de chez moi. « Voilà, nous y sommes. Je viens te chercher dans 2h »
Elle me fait entrer dans son salon, nous nous installons sur la grande table et c’est parti pour 2h d’apprentissage. Il faut tout reprendre depuis le début. Je joue la carte de la franchise et je lui avoue que je n’aime pas l’allemand et que c’est surtout ça qui me gêne (pas le fait que je ne travaille pas).
« On fait un essai. On verra après quelques heures ce que ça donne »
16h ; mon père sonne à la porte pour venir me chercher. Enfin la délivrance après ces 2h qui m’ont parues interminables.
Le samedi suivant on remet ça. Encore 2h de calvaire. J’essaye de prendre sur moi, ça ne sert à rien de faire la mauvaise tête.
Le samedi suivant petit changement de programme ; mes parents me laissent aller chez Madame R à vélo. Tiens, on dirait que les choses s’assouplissent. Pas question de faire l’école buissonnière, je me présente donc à l’heure prévue. Bien m’en a pris car 5 minutes après le téléphone sonnait, c’était mon père qui voulait savoir si j’étais bien arrivé.
« On va changer un peu les choses » me dit Madame R. « On va essayer de rendre ces cours un peu plus vivants. »
« Euh… si vous voulez. On peut essayer »
« Bien. Tu vas m’aider au jardin mais la règle c’est qu’on ne parle qu’en allemand. Comme ça on aura une conversation et tu vas pouvoir progresser »
« D’accord, c’est une bonne idée » C’est toujours mieux que de passer 2h en tête-à-tête avec elle ! Nous voici donc dans le jardin à désherber des plates-bandes. Elle me donne des consignes en allemand, elle me demande si j’ai compris et on a un semblant de conversation. C’est dur et je tâtonne mais l’idée est sympa car j’apprends du vocabulaire et l’atmosphère est beaucoup moins scolaire. Oula : 16h30 je n’ai même pas surveillé l’heure. Je saute sur mon vélo et je file.
Le samedi d’après j’y retourne presque content. C’est reparti pour une séance de jardinage. Encore du désherbage de plates-bandes, elle vérifie si je me souviens de ce qu’on a appris la semaine précédente. La conversation est plus fluide, je suis plus détendu. C’est bizarre de voir sa prof dans une autre situation qu’à l’école. Elle n’est pas si vache que ça, elle m’écoute, elle me sourit et une certaine complicité s’installe entre nous. Non ce n’est pas de la grande camaraderie mais on rigole quand je fourche sur un mot et que je mélange ainsi 2 mots qui n’ont rien à faire ensemble (par exemple ‘pomme’ et ‘singe’ - ‘apfel’ et ‘äffe’). Elle est habillée plus cool que les tailleurs strictes qu’elle porte habituellement. Je me surprends même à mater ses fesses quand elle s’accroupit ou sa poitrine quand elle se penche. L’après-midi passe ainsi ; presque trop vite à mon goût.
Le samedi suivant j’arrive quasiment en avance. Nous voilà à nouveau dans le jardin et cette fois-ci nous taillons des arbres et nous étalons une sorte de goudron pour protéger les branches coupées. Aujourd’hui Madame R a mis un short qui lui moule particulièrement les fesses. Je dois avouer que je ne suis plus très attentif à ce que je fais quand je la vois monter sur l’escabeau. J’ai carrément des idées coquines qui me viennent en tête. Avec tout ça j’ai trouvé le moyen de me mettre cette espèce de goudron dans les cheveux. Je lui montre ce qui m’arrive, elle me propose donc d’aller prendre une douche. Nous rentrons à la maison où elle me montre la salle de bain. Je me douche rapidement quand je m’aperçois au moment de sortir de la baignoire que je n’ai pas de serviette pour me sécher. « Madame R. Où sont les serviettes ?» criais-je. La porte s’ouvre et elle entre dans la salle de bain sans hésitation. Je suis entièrement nu à peine 2m devant elle. Je sens que je deviens tout rouge, je me retourne en manquant de peu de tomber et je me cache comme je peux derrière le rideau de douche. Elle ouvre un placard pour prendre une serviette et elle me la tend.
« Tes fesse sont très jolies. Tu n’arrives pas à les cacher. Et le reste aussi me paraît pas mal » me dit-elle en rigolant.
« Ne t’inquiète pas, j’ai déjà vu des hommes nus » et elle sort de la salle de bain.
Je me sèche et je me rhabille. Grosse gêne au moment de sortir. Qu’est-ce que je vais lui dire ? Je la trouve assise à la table du salon devant des livres ouverts. Elle fait comme si rien ne s’était passé et elle m’invite à m’asseoir en face d’elle pour continuer les révisions.
C’est l’heure, je rentre chez moi avec des pensées confuses en tête.
Toute la semaine je ressasse cette phrase qu’elle m’a dit dans sa salle de bain « tes fesses sont jolies et le reste me paraît pas mal…. ». Ca m’excite et je me masturbe en imaginant ce qui se serait passé si j’avais osé me montrer nu devant elle. J’imagine plusieurs scénarios en me disant que je tenterais celui que je trouvais le meilleur la prochaine fois que je la verrais.
Et je sais que je vais la revoir le samedi qui arrive. Je sonne donc chez elle mi excité ; mi angoissé et quand elle ouvre la porte j’ai le cerveau complètement embrouillé. Je vois les livres sur la table du salon, je vais donc m’installer gentiment en oubliant tous les scénarios rocambolesques que j’ai imaginé. Madame R vient s’asseoir à côté de moi et c’est elle qui ouvre la conversation.
« Tu sais pour la semaine dernière…. »
« non…oui… euh… c’est ma faute… je suis désolé »
« Ne te tracasse pas. Je ne suis pas choquée. Je vais même te dire : ça fait longtemps qu’il n’y a pas eu d’homme nu dans cette salle de bain alors ça m’a fait plaisir.»
Elle pose sa main sur ma cuisse et elle se penche vers moi d’un geste rapide. Nos lèvres se touchent. Elle se recule, je suis paralysé et sa main fait des allers - retours sur ma cuisse.
« Ca te gêne ? »
« Non…. mais c’est que je ne m’attendais pas à ça »
Elle se penche à nouveau sur moi, nos lèvres se collent mais cette fois-ci sa langue force l’entrée de ma bouche. Je laisse sa langue jouer avec la mienne pendant que sa main remonte le long de ma cuisse jusqu’à mon sexe. J’ai une érection terrible, presque au point d’en avoir mal.
« Viens. Allons dans ma chambre » dit-elle en me tirant par la main.
Je la suis devant son lit où nous nous embrassons. Je ne sais pas quoi faire de mes mains alors je les colle dans son dos, elle me les attrape et les descend sur ses fesses. Je n’en reviens pas : j’ai les mains posées sur les fesses de ma prof d’allemand. Elle se déshabille et se trouve en sous-vêtements devant moi. De mon côté j’enlève mon t-shirt. Je n’en mène pas large, j’ai très peu d’expérience alors je suis plutôt maladroit. Elle glisse une main dans l’élastique de mon short et elle vient toucher mon sexe par-dessus mon slip. Elle fait descendre mon short puis elle dégraffe son soutien-gorge. Nous sommes collés l’un à l’autre ; je prends plus confiance ; je lui tripote carrément les fesses. Ses doigts viennent sous l’élastique de mon slip qu’elle tire vers le bas. Elle le descend jusqu’à mes pieds et en se relevant son visage passe à quelques centimètres de ma verge bien tendue. Une fois debout elle prend une de mes mains et la met dans sa culotte. Je sens les poils de sa chatte un peu durs et abondants. Elle fait tomber sa culotte sur le sol et elle me tire vers le lit. On se jette côte à côte et on se caresse mutuellement. Ce beau triangle de poils m’attire. J’ai envie de le toucher, de le caresser, de le sentir, de le lécher. Je descends donc ma tête vers son entrejambe qu’elle me dévoile largement en écartant les jambes. Je suis à quatre pattes à côté d’elle, un peu comme un 69 mais au lieu de me faire une fellation elle me masturbe doucement. Ma langue s’active dans tous les sens et un peu n’importe comment. Elle gémit doucement et fait de petits mouvements. Par moment elle appuie sur ma tête pour que je mette plus de pression à l’endroit où ma langue s’active. Je me relève, je l’embrasse et je viens mettre mes jambes entre les siennes. Mon gland vient appuyer sur sa chatte, elle me guide avec sa main puis je la pénètre doucement jusqu’à ce que mes testicules viennent buter contre elle. Elle s’agrippe à mon dos puis commence à bouger son bassin. Je bouge en rythme avec elle et nous nous embrassons encore et encore. Je n’ai plus de souffle mais je vois qu’elle prend du plaisir alors je continue de la pénétrer. Mes mouvements sont désordonnés quand elle se relève un peu et qu’elle appuie très fort ses mains sur le bas de mon dos. J’arrête de bouger.
« Non non, ne t’arrête pas »
Je bouge le bassin comme je peux au vu de ma position mais cela suffit car un long « aaaaaaaahhhhhh » sort de sa bouche. J’éjacule juste après.
Je m’effondre dans le lit juste à côté d’elle. J’ai du mal à réaliser ce qui vient de se passer : je viens de faire l’amour avec ma prof d’allemand, celle qui paraît froide et qui n’aurait jamais connu d’homme selon les rumeurs. Et bien moi j’ai trouvé ça vachement bien, ce n’est pas possible qu’elle n’ait jamais fait l’amour avant.
Elle me regarde en souriant « Ce n’est pas raisonnable »
« Quoi ? »
« Ce qu’on vient de faire, béta »
« De mon côté j’ai trouvé ça super bien. »
« Tu as l’inconscience de la jeunesse. Il n’y a aucun avenir pour une aventure entre nous. Peut-être si tu avais quelques années de plus mais là c’est impossible. »
« Je sais bien qu’une aventure est impossible mais je crois que je ne pourrais pas me passer de vous. »
« J’aime cette vitalité et cette insouciance de la jeunesse. Reviens samedi prochain, on a plein de choses à faire avant que l’été ne se termine. »
Seulement dans tes rêves.
Le samedi suivant mon père m’emmène chez Madame R qui n’habite pas très loin de chez moi. « Voilà, nous y sommes. Je viens te chercher dans 2h »
Elle me fait entrer dans son salon, nous nous installons sur la grande table et c’est parti pour 2h d’apprentissage. Il faut tout reprendre depuis le début. Je joue la carte de la franchise et je lui avoue que je n’aime pas l’allemand et que c’est surtout ça qui me gêne (pas le fait que je ne travaille pas).
« On fait un essai. On verra après quelques heures ce que ça donne »
16h ; mon père sonne à la porte pour venir me chercher. Enfin la délivrance après ces 2h qui m’ont parues interminables.
Le samedi suivant on remet ça. Encore 2h de calvaire. J’essaye de prendre sur moi, ça ne sert à rien de faire la mauvaise tête.
Le samedi suivant petit changement de programme ; mes parents me laissent aller chez Madame R à vélo. Tiens, on dirait que les choses s’assouplissent. Pas question de faire l’école buissonnière, je me présente donc à l’heure prévue. Bien m’en a pris car 5 minutes après le téléphone sonnait, c’était mon père qui voulait savoir si j’étais bien arrivé.
« On va changer un peu les choses » me dit Madame R. « On va essayer de rendre ces cours un peu plus vivants. »
« Euh… si vous voulez. On peut essayer »
« Bien. Tu vas m’aider au jardin mais la règle c’est qu’on ne parle qu’en allemand. Comme ça on aura une conversation et tu vas pouvoir progresser »
« D’accord, c’est une bonne idée » C’est toujours mieux que de passer 2h en tête-à-tête avec elle ! Nous voici donc dans le jardin à désherber des plates-bandes. Elle me donne des consignes en allemand, elle me demande si j’ai compris et on a un semblant de conversation. C’est dur et je tâtonne mais l’idée est sympa car j’apprends du vocabulaire et l’atmosphère est beaucoup moins scolaire. Oula : 16h30 je n’ai même pas surveillé l’heure. Je saute sur mon vélo et je file.
Le samedi d’après j’y retourne presque content. C’est reparti pour une séance de jardinage. Encore du désherbage de plates-bandes, elle vérifie si je me souviens de ce qu’on a appris la semaine précédente. La conversation est plus fluide, je suis plus détendu. C’est bizarre de voir sa prof dans une autre situation qu’à l’école. Elle n’est pas si vache que ça, elle m’écoute, elle me sourit et une certaine complicité s’installe entre nous. Non ce n’est pas de la grande camaraderie mais on rigole quand je fourche sur un mot et que je mélange ainsi 2 mots qui n’ont rien à faire ensemble (par exemple ‘pomme’ et ‘singe’ - ‘apfel’ et ‘äffe’). Elle est habillée plus cool que les tailleurs strictes qu’elle porte habituellement. Je me surprends même à mater ses fesses quand elle s’accroupit ou sa poitrine quand elle se penche. L’après-midi passe ainsi ; presque trop vite à mon goût.
Le samedi suivant j’arrive quasiment en avance. Nous voilà à nouveau dans le jardin et cette fois-ci nous taillons des arbres et nous étalons une sorte de goudron pour protéger les branches coupées. Aujourd’hui Madame R a mis un short qui lui moule particulièrement les fesses. Je dois avouer que je ne suis plus très attentif à ce que je fais quand je la vois monter sur l’escabeau. J’ai carrément des idées coquines qui me viennent en tête. Avec tout ça j’ai trouvé le moyen de me mettre cette espèce de goudron dans les cheveux. Je lui montre ce qui m’arrive, elle me propose donc d’aller prendre une douche. Nous rentrons à la maison où elle me montre la salle de bain. Je me douche rapidement quand je m’aperçois au moment de sortir de la baignoire que je n’ai pas de serviette pour me sécher. « Madame R. Où sont les serviettes ?» criais-je. La porte s’ouvre et elle entre dans la salle de bain sans hésitation. Je suis entièrement nu à peine 2m devant elle. Je sens que je deviens tout rouge, je me retourne en manquant de peu de tomber et je me cache comme je peux derrière le rideau de douche. Elle ouvre un placard pour prendre une serviette et elle me la tend.
« Tes fesse sont très jolies. Tu n’arrives pas à les cacher. Et le reste aussi me paraît pas mal » me dit-elle en rigolant.
« Ne t’inquiète pas, j’ai déjà vu des hommes nus » et elle sort de la salle de bain.
Je me sèche et je me rhabille. Grosse gêne au moment de sortir. Qu’est-ce que je vais lui dire ? Je la trouve assise à la table du salon devant des livres ouverts. Elle fait comme si rien ne s’était passé et elle m’invite à m’asseoir en face d’elle pour continuer les révisions.
C’est l’heure, je rentre chez moi avec des pensées confuses en tête.
Toute la semaine je ressasse cette phrase qu’elle m’a dit dans sa salle de bain « tes fesses sont jolies et le reste me paraît pas mal…. ». Ca m’excite et je me masturbe en imaginant ce qui se serait passé si j’avais osé me montrer nu devant elle. J’imagine plusieurs scénarios en me disant que je tenterais celui que je trouvais le meilleur la prochaine fois que je la verrais.
Et je sais que je vais la revoir le samedi qui arrive. Je sonne donc chez elle mi excité ; mi angoissé et quand elle ouvre la porte j’ai le cerveau complètement embrouillé. Je vois les livres sur la table du salon, je vais donc m’installer gentiment en oubliant tous les scénarios rocambolesques que j’ai imaginé. Madame R vient s’asseoir à côté de moi et c’est elle qui ouvre la conversation.
« Tu sais pour la semaine dernière…. »
« non…oui… euh… c’est ma faute… je suis désolé »
« Ne te tracasse pas. Je ne suis pas choquée. Je vais même te dire : ça fait longtemps qu’il n’y a pas eu d’homme nu dans cette salle de bain alors ça m’a fait plaisir.»
Elle pose sa main sur ma cuisse et elle se penche vers moi d’un geste rapide. Nos lèvres se touchent. Elle se recule, je suis paralysé et sa main fait des allers - retours sur ma cuisse.
« Ca te gêne ? »
« Non…. mais c’est que je ne m’attendais pas à ça »
Elle se penche à nouveau sur moi, nos lèvres se collent mais cette fois-ci sa langue force l’entrée de ma bouche. Je laisse sa langue jouer avec la mienne pendant que sa main remonte le long de ma cuisse jusqu’à mon sexe. J’ai une érection terrible, presque au point d’en avoir mal.
« Viens. Allons dans ma chambre » dit-elle en me tirant par la main.
Je la suis devant son lit où nous nous embrassons. Je ne sais pas quoi faire de mes mains alors je les colle dans son dos, elle me les attrape et les descend sur ses fesses. Je n’en reviens pas : j’ai les mains posées sur les fesses de ma prof d’allemand. Elle se déshabille et se trouve en sous-vêtements devant moi. De mon côté j’enlève mon t-shirt. Je n’en mène pas large, j’ai très peu d’expérience alors je suis plutôt maladroit. Elle glisse une main dans l’élastique de mon short et elle vient toucher mon sexe par-dessus mon slip. Elle fait descendre mon short puis elle dégraffe son soutien-gorge. Nous sommes collés l’un à l’autre ; je prends plus confiance ; je lui tripote carrément les fesses. Ses doigts viennent sous l’élastique de mon slip qu’elle tire vers le bas. Elle le descend jusqu’à mes pieds et en se relevant son visage passe à quelques centimètres de ma verge bien tendue. Une fois debout elle prend une de mes mains et la met dans sa culotte. Je sens les poils de sa chatte un peu durs et abondants. Elle fait tomber sa culotte sur le sol et elle me tire vers le lit. On se jette côte à côte et on se caresse mutuellement. Ce beau triangle de poils m’attire. J’ai envie de le toucher, de le caresser, de le sentir, de le lécher. Je descends donc ma tête vers son entrejambe qu’elle me dévoile largement en écartant les jambes. Je suis à quatre pattes à côté d’elle, un peu comme un 69 mais au lieu de me faire une fellation elle me masturbe doucement. Ma langue s’active dans tous les sens et un peu n’importe comment. Elle gémit doucement et fait de petits mouvements. Par moment elle appuie sur ma tête pour que je mette plus de pression à l’endroit où ma langue s’active. Je me relève, je l’embrasse et je viens mettre mes jambes entre les siennes. Mon gland vient appuyer sur sa chatte, elle me guide avec sa main puis je la pénètre doucement jusqu’à ce que mes testicules viennent buter contre elle. Elle s’agrippe à mon dos puis commence à bouger son bassin. Je bouge en rythme avec elle et nous nous embrassons encore et encore. Je n’ai plus de souffle mais je vois qu’elle prend du plaisir alors je continue de la pénétrer. Mes mouvements sont désordonnés quand elle se relève un peu et qu’elle appuie très fort ses mains sur le bas de mon dos. J’arrête de bouger.
« Non non, ne t’arrête pas »
Je bouge le bassin comme je peux au vu de ma position mais cela suffit car un long « aaaaaaaahhhhhh » sort de sa bouche. J’éjacule juste après.
Je m’effondre dans le lit juste à côté d’elle. J’ai du mal à réaliser ce qui vient de se passer : je viens de faire l’amour avec ma prof d’allemand, celle qui paraît froide et qui n’aurait jamais connu d’homme selon les rumeurs. Et bien moi j’ai trouvé ça vachement bien, ce n’est pas possible qu’elle n’ait jamais fait l’amour avant.
Elle me regarde en souriant « Ce n’est pas raisonnable »
« Quoi ? »
« Ce qu’on vient de faire, béta »
« De mon côté j’ai trouvé ça super bien. »
« Tu as l’inconscience de la jeunesse. Il n’y a aucun avenir pour une aventure entre nous. Peut-être si tu avais quelques années de plus mais là c’est impossible. »
« Je sais bien qu’une aventure est impossible mais je crois que je ne pourrais pas me passer de vous. »
« J’aime cette vitalité et cette insouciance de la jeunesse. Reviens samedi prochain, on a plein de choses à faire avant que l’été ne se termine. »
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une suite vite merci