Madeleine 1 - histoire érotique

Ceci est ma première histoire érotique, j’espère qu’elle vous plaira !
Je m’appelle Paul, j’ai 24 ans. Je suis châtain, je mesure 1m90 et je suis plutôt bien foutu. En bref, j’ai de la chance d’être grand et mince.
Je vais à la salle depuis quelques mois pour me sculpter et dessiner davantage mes muscles. Le sport me permet de m’aérer l’esprit, de me défouler après une journée de boulot, et de mieux digérer ma récente rupture. La salle où je vais propose des cours collectifs tous les soirs, et on peut s’entraîner tous ensemble devant un coach qui guide les séances.
Un soir, après le boulot, j’aperçois une fille que je n’avais jamais vue. Elle est rousse, plutôt petite, mais son cul et ses seins sont à tomber (85C). Elle doit avoir la vingtaine. Elle porte un legging noir qui met en valeur ses fesses et un t-shirt court qui laisse apercevoir sa brassière. Elle est devant moi, en diagonale, et je peux admirer ses courbes pendant qu’elle s’échauffe. À un moment elle se retourne, on échange un bref regard et le coach nous dit qu’on va commencer la séance.
Le coach lance alors la séance d’entraînement. On enchaîne cardio, abdos, squats et fentes. La fille devant moi est hyper dynamique, elle enchaîne les répétitions sans sourciller, c’est même la plus dynamique du groupe. De temps en temps elle se retourne, entre deux exercices, et on continue d’échanger des regards. Je suis d’un naturel très compétitif. J’enchaine donc les répétitions pour l’impressionner. Un combat s’est lancé entre nous, pour savoir qui va tenir le plus longtemps pendant la session. Mais les 45 minutes d’entraînement s’écoulent trop vite, et alors que je suis au max le coach nous annonce la fin de la séance. J’échange un regard avec la fille qui me sourit.
Alors qu’on range les affaires, elle s’approche de moi et m’effleure le bras en posant ses poids. Je fais mine de ne rien avoir senti, et je continue de ranger mes affaires. Elle semble être entreprenante, ce qui me plaît. La salle de cours collectifs se vide peu à peu, jusqu’à ce qu’il ne reste que nous deux. Je m’apprête à lui parler lorsqu’elle met son index sur sa bouche.

- Chhht. T’as fait que me mater pendant la séance, pas vrai ?

Je suis pris au dépourvu car je ne m’attendais pas à sa réaction.

- Ouais mais toi aussi.

Elle me considère un moment, comme si elle me regardait pour la première fois. Un sourire ravageur aux lèvres. Elle est magnifique. Je peux l’admirer de plus près. Ses yeux sont verts, ses taches de rousseur sur son visage pâle sont magnifiques et ses seins ont l’air bien fermes. Je suis très excité, et elle aussi. J’ai envie de l’embrasser et de malaxer ses seins. La tension monte entre nous. Elle me prend la main.

- Viens avec moi.

On monte les escaliers pour aller dans le vestiaire des filles. Dans l’escalier, je vois son cul dans son legging serré onduler sous mes yeux, et je dois me contenir pour ne pas l’attraper à pleines mains. On arrive dans le vestiaire. Heureusement personne ne nous voit entrer, on a de la chance. On entre dans les toilettes immédiatement. La belle rousse verrouille la porte à clef, enroule ses bras autour de ma nuque et commence à me mordiller l’oreille. Je la serre fort par la taille et elle sent mon érection. Elle me sourit et me dit que visiblement je lui fais de l’effet. Avant que je ne puisse lui répondre elle commence à palper ma verge à travers mon jogging. Ses gestes sont précis, doux et agréables. Elle caresse davantage ma verge qui commence à me faire mal dans mon caleçon. Ne voulant pas en rester là, je lui attrape les fesses et je lui roule une pelle. Elle répond à mon baiser avec fougue et glisse sa main dans mon caleçon pour me branler. Pendant qu’on s’embrasse, elle fait glisser mon jogging pour attraper ma verge. Elle est impressionnée par la taille et me dit qu’elle a hâte d’y goûter. Elle se met alors à genoux et commence à embrasser le gland. Je suis en transe, elle a à peine touché ma bite avec sa bouche et je suis dur comme jamais. La situation m’excite au plus haut point, je suis en train de me faire sucer par une inconnue dans les vestiaires d’une salle de sport. Elle commence alors une fellation douce et sensuelle. Ses yeux verts me fixent pendant qu’elle aspire mon âme. Elle accélère progressivement la cadence mais a du mal à me faire une gorge profonde. Elle y met du sien et elle me branle en même temps. Elle accélère encore le rythme et cette fois elle me suce en faisant du bruit. Visiblement elle s’en fout qu’on nous entende et je ne suis pas en état de lui dire d’arrêter. La sensation est divine, je commence à lâcher des râles pendant qu’elle me suce. Je vois ses lèvres aspirer ma verge et je passe ma main derrière sa tête pour caresser ses cheveux roux. Elle accélère le rythme encore pendant une minute, puis je la bloque pour qu’elle me fasse une gorge profonde. Elle avale en entier ma bite et reste bloquée quelques secondes. Je lâche un râle et elle lâche ensuite ma verge pour reprendre son souffle. Ma bite est couverte de sa salive et elle essaye de me sucer à nouveau. Je lui dis de se mettre debout, je lui enlève son haut et sa brassière pour malaxer ses seins. Ils sont bien fermes et elle commence à gémir. Elle se met totalement nue devant moi, je glisse alors un doigt dans sa chatte et je sens qu’elle est détrempée. Je sors mon doigt trempé pour le lui faire sucer. Elle suce mon doigt en me défiant du regard et elle palpe à nouveau ma bite. Elle a envie de ma bite mais j’entame un cunni à genoux. Elle gémit fort, je mets alors son t-shirt dans sa bouche pour qu’on se fasse pas repérer. Elle mouille abondamment et a bon goût. Je joue fort avec son clito et elle commence à trembler. Elle enlève le t-shirt de sa bouche et parvient à murmurer quelques chose entre deux gémissements.

- Prends-moi.

Je me fais pas prier deux fois. Ma bite est trempée, toujours couverte de sa salive. Je la mets face à moi, j’empoigne ses fesses et je la soulève pour qu’elle s’assoie sur ma bite. Comme elle est petite et légère la position n’est pas très compliquée pour la porter. Elle est trempée, et je la pénètre d’un coup sec. Elle lâche un cri qui m’excite et je commence à la prendre fort. Je la fais littéralement sauter sur ma bite. Elle s’attache à moi pendant que je la fais glisser de haut en bas sur ma verge tout en la maintenant par les fesses. Ses seins suivent le rythme et se balancent pendant que je la culbute fort. La situation est terriblement excitante et on ne peut s’empêcher de gémir fort. Elle me supplie d’accélérer le rythme mais j’ai une autre idée en tête. Je ralentis volontairement pour la frustrer. Comme je la porte elle ne peut pas contrôler la cadence. Je continue de la prendre lentement mais au bout d’un moment je finis par craquer. Je lui dis de se mettre à quatre pattes devant moi. Elle s’exécute immédiatement et me présente son cul parfait. Je lui mets une fessée ce qui la fait gémir. Elle me supplie de la prendre à nouveau. Je me mets à genoux devant elle, j’empoigne son cul et je présente ma bite devant sa chatte. Je rentre ma bite lentement en elle, je sens la chaleur envahir mon membre. Elle gémit de plus belle et je lui donne une nouvelle fessée. Je commence à la culbuter fort en levrette en la tenant par les hanches. Là elle se lâche totalement, hurle dans le vestiaire pendant que je la prends fort en levrette. Je malaxe ses seins ronds et je continue de la limer fort. Elle me supplie d’y aller plus fort, et j’accélère encore le rythme. Je lâche ses seins, je prends ses cheveux pour la forcer à se courber en arrière et je redouble d’ardeur. Elle me supplie de la dominer et de continuer de la prendre fort. Ses gémissements et ses fesses m’excitent tellement que je sens que je vais jouir. Je continue de la culbuter et au dernier moment je me retire pour jouir sur son dos. Elle gémit pendant que j’explose dans un orgasme dévastateur et de longs jets de sperme aspergent le bas de son dos.

Peu de temps après, je retourne dans le vestiaire des garçons pour me changer. On s’est donné rdv à la sortie. On se retrouve 10mn plus tard, il fait nuit. Elle m’embrasse. Je lui demande comment elle s’appelle.

- Madeleine. Et toi ?
- Paul. Tu viens souvent ici ?
- Non c’était la première fois !
- Ah je me disais bien !
- Et je pense pas que ça sera la dernière…
Elle a un dernier sourire ravageur, m’embrasse à nouveau et part dans la nuit.

Affaire à suivre…