Mademoiselle Fontaine et son 1er gangbang : une aguichante auto-stoppeuse...
Récit érotique écrit par MlleFontaine [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2023 dans la catégorie Plus on est
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Mademoiselle Fontaine et son 1er gangbang : une aguichante auto-stoppeuse...
Bonjour à tous !
Lors de mon précédent passage, je vous avais détaillé comment une improvisation sur une aire d'autoroute, pas totalement maitrisée de ma part, m'avait amener à finir dans un interrogatoire au commissariat pour exhib.
Lorsque je suis revenu près de ma voiture, au moment de m'installer sur mon siège, je me suis aperçu qu'il y avait un petit papier plié sur le pare brise. J'attends que la voiture de la policière s'éloigne suffisamment pour qu'elle ne s'aperçoive pas que je redescends. Je tire le papier, le déplie et y trouve quelques mots griffonnés à la va-vite (on peut comprendre d'où venait l'urgence... ^^) : "le jour où ton cul sera prêt pour ma grosse queue" suivi d'un numéro de téléphone. A ce moment précis, je n'ai plus la tête à cette incontrôlable moment de débauche. Bien que j'ai précisément identifié qui était l'auteur de cette proposition indécente, je n'ai aucune inspiration à donner suite à son message. Comme les capotes usagées sur place, ce petit papier rejoindra le fond de mon sac.
Les semaines passent, je me consacre à ma préparation de future hotwife qui se poursuit parfaitement. Toutefois, mon docteur et moi-même savons que certains points me font encore poser des questions sur mes capacités d'hotwife. Bien que je puisse me préparer à toutes circonstances, l'éventualité d'une sodomie reste encore un sujet de crispation pour moi. J'aimerais que la situation se débloque et que je puisse profiter d'un orifice en plus pour assouvir tous mes gourmands instincts.
A la fin d'une séance où le docteur avait tenté une nouvelle approche sur ce sujet, les résultats ayant été plus encourageants, il me propose d'intensifier le travail sur la sodomie. Avec son tact habituel, le docteur me met en confiance et me propose pour les prochaines séances que je m'imagine une situation qui me détendrait ou me donnerait suffisamment envie pour faciliter les pénétrations. Se servir de mon imagination pour du sexe, voilà quelque chose qui me convient tout à fait. Déterminée à ce que tous mes orifices de future hotwife puissent être mis à contribution, je quitte le cabinet du docteur avec motivation et envie. Dans ma voiture, je repense à cette drôle de promesse que j'avais fait à un inconnu. Lui donner mon cul lorsque je serais prête à être sodomiser. Cette excitation folle qui m'avait donner envie d'être ouverte sans capote par cette grosse queue pour qu'elle me remplisse de sperme. Rien que d'imaginer cette éventualité que je sens naitre en moi une très forte excitation. Comme un éclair dans mes pensées, je me demande où est passé petit mot sur mon pare-brise. J'espère ne pas l'avoir jeté...
De retour dans mon appartement, je ressors le sac qui avait officié sur l'aire d'autoroute et retrouve le petit mot au milieu des capotes restées au fond du sac. Ce papier griffonné me fait sentir bizarrement excitée et tendue par l'envie d'appeler ce numéro mais je ne voulais pas utiliser mon numéro perso. Ma curiosité aura toutefois le dernier mot sur mes hésitations durant le début de soirée où je finirais par me procurer une carte prépayée et retrouver un vieux téléphone que j'avais conservé (il me servait encore pour faire des vidéos, si vous voyez ce que je veux dire...^^).
Tellement intriguée par ce que pourrait donner la suite de la situation, j'envoie comme message "bien reçu le message pour ta grosse queue" (pourquoi s'embêter à faire long quand on peut aller à l'essentiel avec un numéro inconnu...^^). J'espérais une réponse instantanée à ma petite provocation de coquine, mais non, rien, je ne reçois pas de réponse. Ma frustration aurait pu persévérer à se manifester après la demi-heure suivante si il ne s'était pas décidé à me répondre avec un simple "l'autoroute ?". La connexion a donc lieu, je réponds par l'affirmative. Aussi étrange que cela puisse paraître, mais la discussion s'engage comme s'il avait fini d'éjaculer sur mon clito le jour d'avant. Il me questionne sur la suite des évènements et, durant une bonne heure, nous échangeons sur les nombreux détails qu'il ne soupçonnait pas : la pelle au sperme avec la policière, l'examen et la reconstitution au commissariat qui finit en interrogatoire à pipes. Il n'en revient pas de la suite des péripéties... (et moi non plus ^^).
Dans la discussion, j'en viens à m'égarer sur quelques confidences et il me réponds un peu froidement "ok, t'as besoin de te réconcilier avec tes fantasmes, si tu es excitée, tu sais où bipper. J'ai plus le temps. a+". Je suis un peu vexée de la fin prématurée de la discussion, je n'ai même pas eu le temps de lui dire que j'étais en pleine préparation. Agacée, j'éteins le tel, et le range dans un tiroir. Mais au-delà de ma relative insatisfaction, cela n'a pas entamé mon excitation. La nuit suivante, j'ai quelque peu du mal à m'endormir, je ne m'étais pas repassé aussi précisément le film des événements sur l'aire d'autoroute depuis cette discussion. Toutes sortes de choses trottent dans ma tête et lorsque je finis par sombrer dans le sommeil c'est pour finalement me retrouver dans un drôle de fantasme.
Lorsque j'étais étudiante, je sortais beaucoup le soir et je trouvais toujours un chevalier servant pour me ramener chez moi. (C'est sans doute là où j'ai trouvé un certain plaisir à sucer en voiture). Je trouvais toujours la situation plaisante mais plus d'une fois, je me suis demandée qu'elle serait ma réaction si une voiture remplie d'inconnus m'avait invité à les rejoindre... Forcément, vous imaginez le déséquilibre de la situation et j'aurais été contrainte de me plier à certaines de leurs fantaisies. Au réveil, ces premiers émois n'ont pas laissé mon entrejambe indifférent et je me sens trempée à l'idée de refaire une exhib et de baiser encore des inconnus. Je me caresse parfois le matin, mais ce jour-là, le fait d'envisager une situation incontrôlable dans ma chatte, ma bouche et mon cul provoque une telle excitation à mon clito que jouir ne suffira pas à calmer mes ardeurs. Au contraire, c'est comme si cette envie se gravait encore plus intensément dans ma chair.
Un peu inquiète de la situation, j'appelle mon docteur à qui je raconte mon fantasme mais que cette fois ce n'est pas l'aire d'autoroute qui fait cet effet mais une envie de se laisser surprendre par l'improvisation, quelque chose d' incontrôlable. Le docteur m'écoute, mais ne constate rien de particulier sauf qu'il pense que cette histoire d'étudiante est un début prometteur pour la prochaine séance de sodomie. Il me propose de surveiller durant les 2 semaines qui nous sépare de notre prochaine séance (Pour voir si elle est dans un sale état, comme il dit ^^). Lorsque je raccroche, le diagnostic du docteur me semble sous-évalué. Instinctivement, je me dis que le meilleur moyen de lui faire constater qu'elle est dans un sale état, c'est de ne pas faire que s'amuser à y penser mais faire en sorte que je sois significativement ouverte et remplie de sperme pour la prochaine séance. J'entrevois alors une solution très osée pour assouvir mon excitation. Je ressors mon vieux téléphone et envoie à l'inconnu : "une auto-stoppeuse pour ta grosse queue, ça t'intéresse ?".
"Nouveau fantasme ?" me répond-il. Je fais en sorte qu'il ne puisse pas m'interrompre et écrit le déroulement de mon fantasme à mon interlocuteur inconnu. Au bout des longues minutes de mon monologue, il ne répond qu'une phrase : "Je peux te trouver ce que tu cherches."
Comment expliquer cette espèce de soulagement (espoir) que je ressens à cet instant, pour pouvoir passer à l'acte. Je lui précise que j'ai précisément un jour en tête pour ça et que je voudrais que ça ai lieu un soir pour que ça se poursuive dans la nuit mais je ne veux pas tout savoir. (Juste si tout le monde est bien testé au cas où je deviendrais totalement incontrôlable...^^). "Tu pourras toujours refuser, on va pas te faire faire ce que tu ne veux pas, c'est ton fantasme à la base. Je te recontacte dans quelques jours. a+" Fin de conversation.
Plusieurs jours passent et le fantasme se fait de plus en plus présent. Mais je prends mon temps pour préparer mon sexe à ce qu'il pourrait vivre dans quelques jours. Un rituel se met en place. Chaque soir, je crème intégralement la peau de mon corps pour l'hydrater (et la préparer à ce qu'elle pourrait recevoir en soirée...^^). Au bout de 6 jours sans nouvelle, je m'inquiète et ce rituel ne suffit plus à satisfaire mon attente. Je prends soin de ne pas trop me goder pour garder ma chatte suffisamment serrée. J'essaie de faire comme si la situation suivait normalement son cours en prenant le temps de réflexion pour choisir ma tenue ou encore ma manucure. J'envoie des messages, mais toujours pas de réponses... Jusque dans les dernières 48h où je reçois "Samedi 20h, gare toi au même endroit que l'autre fois, stricte minimum, je t'envoie un msg au moment d'arriver". La surprise de la réponse me parcourt en mélant le traque à l'excitation. Je comprends que désormais je n'ai plus de possibilités d'échapper à mon fantasme. Un laconique "ok" fera l'affaire en réponse.
Samedi, je pars donc au moment où la nuit tombe avec une robe rouge, courte et très légère. Nous serions en pleine journée, tous les passants pourraient se rendre compte qu'elle est même transparente et ne cache rien de mon anatomie. Avec mes talons hauts et mon rouge à lèvre rouge vif et mon vernis assorti sur les ongles, je me sens particulièrement sexy et même un peu aguicheuse. Pour la première fois, je me sens plus concentrée sur ce qui va suivre qu'uniquement excitée. J'ai l'impression d'être une actrice qui se rend sur le lieu de son prochain tournage. Arrivée sur l'aire d'autoroute, je reste dans ma voiture, dans la pénombre qui s'installe. Ponctuel, je reçois un SMS qui m'indique que dans 2 min, un van gris s'arrêtera à ma hauteur. Je ne prendrais pas le temps de répondre, mais me proposer un van est déjà une surprise en soi...
Le van arrive, la fenêtre passager se baisse et je revois pour la première fois l'inconnu à la grosse queue de l'aire d'autoroute qui me demande très innocemment s'il peut m'emmener quelque part. "Est-ce que vous pouvez m'emmener baiser ?", lui réponds-je en bonne tentatrice. Il acquiesce et réponds qu'il a justement quelque chose de prévu mais que pour m'emmener, il faut que j'accepte de monter. La porte latérale du van s'ouvre, et me dévoile un contenu tout à fait étonnant : un inconnu, déjà nu, est assis à l'arrière, avec son énorme queue noire dans la main. Je vois que mon organisateur inconnu a bien compris le sens de la surprise de cette situation. Je fais mine d'hésiter un peu à accepter la proposition mais je me vois déjà en train de faire presser cette grosse queue contre les parois de mon vagin. Mon organisateur inconnu rajoute que je ne dois pas m'inquiéter, car ce n'est pas pour improviser, juste pour me faire patienter et me préparer pour d'autres festivités. Je monte donc sans plus "hésiter".
Je m'installe à côté du passager à l'arrière du van. On ne s'échange pas un mot, je reste le regard figé sur son sexe, la porte du van se ferme puis il redemarre. Cette soudaine obscurité abaisse mes interdits, je veux passer sans attendre à la suite avec ce gros membre bien dur surmonté d'une capote prête à servir. Il approche son bras de ma taille et je me laisse accompagner par son geste qui m'invite à prendre place dos à lui. Je m'éxécute docilement et amorce la lente descente de sa grosse queue toute noire dans mon vagin. Je ne lui adresse aucun mot et je profite égoïstement de cette position pour mon plaisir sans avoir à échanger un regard avec cet inconnu. Il fait remonter ses mains sur mes hanches pour m'enfoncer un peu plus sur son membre, puis remonte vers mes seins. Je sens son sexe m'ouvrir et me remplir, mes lèvres sont étirées de tous côtés. Je gémis doucement de ce plaisir brut qui commence à chauffer les parois intérieurs de ma chatte et je ne prête que peu d'intérêt lorsqu'il décide de sortir mes seins de la robe. Un détail m'excite tout autant, lorsque je capte par intermittence le reflet que me renvoie le rétroviseur intérieur du van. Mes jambes écartées et mon sexe contraint par ce gode vertigineux qui est en train d'intimement m'ouvrir, mes seins fièrement exhibées sans pudeur. Je me donne en spectacle et je m'impatiente. Avec les va et vient, la capote s'humidifie et son gland se fraye de mieux en mieux un passage jusqu'à mon utérus qui ne resistera pas longtemps à l'assaut répétée de son gland.
Mon organisateur donne quelques regards à l'arrière, j'imagine que sa grosse queue doit commencer à bien bander en me regardant faire. Le conducteur semble, quant à lui, impassible et très professionnel, peut-être en a-t-il déjà vu d'autres en train de se devergonder dans son van. Devant moi, la route défile et nous sortons de l'autoroute pour nous rapprocher d'une ville. Avec les lumières extérieurs, je m'aperçois que les vitres sont surteintées sur tout l'arrière du véhicule. Je peux donc continuer à tranquillement me liquéfier sur ce gros membre. En arrivant près d'un feu rouge, mon organisateur inconnu me propose de descendre de la grosse queue pour attendre sagement. Je ne suis pas très emballée et je n'ai pas vraiment peur d'être surprise plus en mauvaise posture que je ne le suis déjà par les piétons qui passeraient à proximité (ça serait même le contraire d'ailleurs...^^). Mais j'extrais la masse dure de mon vagin et me ré-installe sur la banquette pour remettre un peu d'ordre dans ma tenue. L'inconnu est toujours nu, la bite bien droite prête à retrouver mes assauts. Je pose la main sur son membre. Mon vernis à ongle rouge est du plus bel effet autour de son magnifique chibre d'ébène. Je sens les contractures qui le traverse à chaque coup de sang. Quitte à être descendu autant en profiter pour s'amuser au feu rouge.
"Le test est ok ?" Mon organisateur répond par l'affirmative. Avec un regard malicieux, je tire sur la capote pour doucement la faire venir et libérer ce gros membre de son étreinte. Je jette ce bout de plastique informe sur le plancher du van et plonge avec avidité ma bouche sur sa queue. Elle a du mal à rentrer, le gland étouffe complètement ma petite bouche. Je m'acharne, je salive, augmente ma sussion, fais rouler la longueur de sa verge sur ma langue et m'assiste de ma main pour en prendre un maximum jusqu'à dans ma gorge. Je n'avais jamais trouvé l'attente au feu rouge aussi passionnante mais j'ai décidément très envie que ce feu passe au vert...
Ouf ! Le van reprend sa route et la grosse queue toute noire aussi. Le préservatif ayant eu l'effet d'un gode, je suis très ouverte et la lubrification permet une belle entrée. Je suis complètement assise et son gland se blottit toute au fond de mon intimité. Une éjaculation ne serait pas de refus mais j'ai bien entendu les directives. Et puis, cette situation est de plus en plus torride avec ces va et vient très lents, je gémis un peu plus fort en ressentant toutes les aspérités de cette imposante verge.
Le van ralentit près d'un lotissement que nous traversons à petite allure (une éternité pendant laquelle je fais demander si je vais finir en train de baiser dans le jardin d'un voisin...^^). Puis, nous nous engageons dans un chemin qui s'enfonce de plus en plus dans la nuit jusqu'à ce que nous aperçevions une voiture garée le long du chemin, phare allumée. Le van arrête sa progression. Le moteur se coupe. Un frisson m'envahit. Personne ne dit rien et je sens monter la tension dans mon bas ventre (ou peut-être que ce sont les contractions de la verge inconnue qui tape dans mon vagin...^^). La voiture garée derrière fait des appels de phares. Mon orgnisateur inconnu à l'avant se retourne et me demande de me retirer. "Prête pour la suite ?"
Je m'extirpe de la grosse queue (elle est dans un sale état... ^^) et je me mets sagement sur le bord de la banquette comme prête à descendre. Je récupère mon sac, en retire mon rouge à lèvres rouge vif, accessoire indispensable ce soir pour ma bouche à pipes, "on peut y aller". Je décèle de l'agitation entre la voiture et le van. J'aperçois quelques silhouettes à l'arrière mais avec la pénombre, je n'arrive pas vraiment à déterminer le nombre. Peut être un 1 à gauche, 1 à droite ... de nouvelles silhouettes s'agitent... je ne sais pas vraiment ce qu'ils font.
La porte du van s'ouvre enfin... "Attends un peu, j'ai un cadeau pour toi". Je ne suis donc pas au bout de mes surprises avec cet organisateur inconnu qui me montre un petit plug anal avant d'ajouter "Tu pourras improviser autant que tu veux ce soir mais je reserve ton cul, si ça te va". Au demeurant très charmant, je n'ai jamais testé ce genre de petites choses et je suis quelque peu angoissée à la sensation que pourrait me procurer la pénétration. Je finis par positionner mes fesses devant cet inconnu, mais en levrette pour cette fois. Avec beaucoup de délicatesse, il écarte mon cul sur lequel il dispose suffisemment de lubrifiant pour insérer le plug. Cette sensation inédite et insolite me fait gémir. Au contact du matériau légèrement froid, mon cul s'étire pour laisser passer la pointe sans opposer de résistance. C'est une sensation étrange, comme si ce bijou coincé dans mes fesses venait compléter ma panoplie de hotwife, un nouveau signe extérieur de mon caractère dévergondé avec lequel je me sens en parfaite adéquation. Puis, il m'aide à descendre en me tenant la main avec galanterie. Il me fais avancer vers les phares de voiture et me demande si je souhaite qu'il fasse les présentations. "Tous les tests sont ok ?", il me réponds "oui !". Je lui retorque alors : "Pas besoin de présentation, on va improviser".
Je m'avance au milieu du grand espace aménagé par les inconnus de la voiture et me positionne face aux feux de la voiture. J'abandonne toute pudeur dans cette situation et je me mets à me déhancher très langoureusement sous la lumière des phares comme une prostituée qui chercherait à attirer de nouveaux clients. Aidé de la couleur rouge de ma robe qui dessine les contours aguicheurs de mon corps, mon petit stratégème fonctionne et un groupe d'observateurs commence à se constituer devant moi. Comme je crois que tout le monde n'a pas bien vu où je voulais en venir, je fais vite remonter ma robe, pour dévoiler ma chatte ultra épilée, et la faire glisser par le haut dans la pénombre. Le groupe s'agite et je commence à entendre des bruits de fermetures qui s'ouvrent, des ceintures qui cliquètent, des frottements, des vêtements qui tombent... ça commence à être intéressant pour leur donner envie de ne plus tarder de passer à l'action. Je m'accroupis dans la lumière, entièrement nue (ou presque... J'ai gardé les talons ^^), jambes écartées, la chatte ouverte et impatiente d'en découvrir plus sur la suite des évènements. Je m'appuie en arrière et commence à plus encore ouvrir ma chatte. Je m'allonge, relève un peu plus les jambes et commence à me caresser délicatement. Je suis complètement trempée de me donner ainsi en spectacle devant des yeux étrangers, puis décide de me retourner pour me mettre en levrette prête à recevoir des bites, sans quitter mes talons. Le petit rubis rouge du plug anal se réfléchit dans la lumière glacée des phares et tout le monde s'approche.
Je sens une masse importante se déplacer vers moi. Les phares aveuglants, je ne distingue pas précisément le nombre de personnes qui m'entoure. Peu importe, tout sera très facile avec moi ce soir. Après une brève concertation à côté de mon cul, un premier participiant se désigne. Je le sens s'avancer à genou dérrière moi pour se positionner à fleur de peau. "toc, toc, toc", Il tapote son gland sur le plug anal comme pour demander l'autorisation de rentrer dans ma chatte. J'écarte machinalement les jambes pour faire s'entrouvrir un peu plus le garage à bites. Il pince doucement sa main sur le côté de mes lèvres pour encore dégager l'entrée saillante et je sens alors arriver la première queue totalement inconnue de la soirée à l'entrée de mon vagin. Elle est épaisse et s'immisce doucement. Le test de passage est vite réussi, il peut sentir que mon vagin n'opère aucune résistance. Il lime tranquillement le passage pendant quelques secondes avec des va-et-vient assez ample qui me font sentir qu'en plus d'être épaisse, sa bite est aussi assez longue. Ce dont je pourrais me rendre compte lorsqu'un nouveau prétendant à ma chatte viendra prendre sa place et qu'il viendra positionner sa belle queue près de ma bouche. Occupé dans le vagin, je commence à haleter, j'ouvre mécaniquement la bouche pour mieux respirer, ce qu'il a sans doute pris comme une invitation pour y glisser sa queue.
A peine quelques minutes que je suis arrrivé et je suis déjà dans une situation de soumission à des grosses queues particulièrement affamées (peut-être autant que moi...^^). N'opposant aucune retenue, un ballet implacable se met en place entre mes orifices. Chacun son tour, ils viennent découvrir ma chatte puis se faire sucer ou se faire branler. Les pénétrations se succèdent, les mise en bouche aussi mais cette position de levrette tend à porter sur mes bras qui s'engourdissent. Au bout du sixième prétendant dans ma chatte, je n'ai plus vraiment la force de soutenir les coups de reins que je reçois et je m'écroule visage en avant sur ce sol de fortune. Je donne un spectacle de débauche. Le cul en l'air, la chatte en feu et défoncée, je me laisse baiser comme une experte au gré des participants qui tourne dans mon vagin.
C'est en retournant ma tête sur le côté que j'aperçois des petites torches dérrière moi. Je comprends qu'il s'agit de téléphones portables qui me filment. Etre le centre d'attention et des perversions de tous ses garçons est particulièrement grisants et je voudrais leur en donner plus pour leurs vidéos. Je me prends au jeu et réclame qu'on me filme en train de lécher chaque bite. Durant les levrettes, que je sois filmée en plongée pour qu'on voit bien comme je suis une auto-stoppeuse bonne à baiser.
Et puis le spectacle de toutes ses bites qui passent devant mes yeux n'arrêtent pas de m'exciter, j'ai envie de toutes les pomper jusqu'à la dernière goutte, quelque soit le nombre qu'elles pourraient vraiment être. Je suis très excitée et je réclame qu'il m'enfourne leurs bites dans la bouche comme s'il s'agissait d'un deuxième vagin. Une joue à moitié collée au sol, j'ouvre la bouche autant que possible pour laisser taper des glands inconnus au fond de ma gorge. Il baise ma bouche et ma chatte en tandem comme jamais je ne l'aurais imaginé. Il me laisse peu de répit et vous imaginez que je n'ai pas pris le temps de compter le nombre de fois qu'ils m'ont fait tourner. Le moment des comptes viendra plus tard. Plus ils me font tourner, plus je deviens tentatrice et je les incite à tous éjaculer au fond de ma chatte, car je veux être une auto-stoppeuse pleine de sperme. Pendant encore quelques minutes, je ne suis plus interrompu que par mes gémissements ou par une nouvelle bite dans la bouche. Les choses se calment un peu, je suis déjà passé de mains en mains près d'une dizaine de fois et je mets à profit ce moment de répit pour me laisser rouler sur le côté.
Etendu sur le dos, je passe l'index sur ma chatte pour sentir l'état de mon sexe. Sous mes doigts, je sens que je suis déjà très gonflé. Mon clito est dans une forme olympique mais loin d'être encore prêt à jouir, ce qui me rassure quelque peu pour la suite. Je vois arrivé près de moi une silhouette, il est encore habillé, je reconnais le costume du chauffeur. Il se place à genou au-dessus de ma tête. Braguette à quelques encablures de ma bouche, j'allais lui proposer si il voulait une petite pipe, lorsqu'il me fit signe de me reculer pour venir me reposer sur son poitraille. Je me soumets à sa demande et me voici solidement maintenue appuyée comme sur un dossier de chaise. Je me repositionne un peu sur les conseils de mon hôte qui me demande d'enlever mes talons. Cette fois, je suis nue de la tête au pieds. Je comprends que ses motivations sont loin d'être innocentes car cette position est tout à fait idéale pour me forcer à écarter complètement les jambes, alors pourquoi s'encombrer encore des talons. Je ne pourrais refuser aucune des bites qui voudraient entrer profondément au fond de moi.
La confirmation ne tarde pas à se faire sentir lorsqu'un nouveau prétendant s'approche avec sa queue prêt à passer sur moi. Je m'attendais à ce qu'ils viennent méthodiquement soulever mon cul pour positionner son gland devant ma chatte mais il me surprend en me soulevant les jambes et repose mes chevilles de chaque côté de ses épaules. La position est totalement contrainte, je suis forcée d'être ouverte et ma chatte se liquéfie encore plus à l'idée de ce qui va lui arriver. Il pousse mes jambes en arrière, son torse m'écrase. Il contraint ma colonne vertébrale a faire lever mon cul et me pénètre d'un seul trait jusqu'au tréfond de ma chatte. J'en expulse un gémissement de surprise mais je n'en perds pas mon goût pour la tentation. Il pousse sur tout mon corps à la façon d'un pilon, chaque entrée est une charge au plus profond de mon utérus qui s'agite à l'idée de l'issue liquide de cette intrusion brutale. Il fait claquer ses boules bien fournies sur mon plug anal que je sens en moi comme un deuxième homme. Je suis en sueur et sa carrure me fait sentir comme une poupée livrée à ses pulsions. Je le provoque en lui disant que j'espère bien qu'il ne va pas en rester là et qu'il va finir par me remplir la chatte de sperme comme une grosse salope.
Il ne sera pas le seul à me marteler et il seront trois à me passer dessus avec la même perversion pour leur servir de vides couilles. Tous trois finiront leur office par d'énormes quantités de spermes qui viendront me noyer l'utérus. Je ne compte pas le nombre de gros plans qu'il y a eu sur la rivière de sperme qui s'écoule de ma chatte à qui voulu la filmer après chaque éjaculation. Après la deuxième éjaculation, je commence à récupérer les surplus de spermes qui s'écoulent de mon vagin pour les étaler sur mes seins et mon ventre, face aux caméras. Ma manière de faire éveillera d'ailleurs l'instinct du troisième prétendant à ma chatte qui, lorsqu'il se présente devant moi, fait glisser 3-4 doigts de sa main droite au fond de mon vagin pour récupérer du sperme. Il en extirpe des doigts blancs et brillants qu'il m'étale une première fois sur le cou en descendant sur mon décolleté. Je ne réagis pas. Je suis parcouru d'un frisson lorsqu' il repasse sa main une deuxième fois pour étaler un peu plus sur mon cou, puis il fait passer ses doigts luisants le long de mon visage. Il approche ses doigts de mes lèvres sur lesquelles il finit de mélanger de la mouille au reste de mon rouge à lèvres défraîchi. Je le laisse terminer, avant de me lécher sensuellement les lèvres après son passage. Le goût du sperme a tendance à exciter mon imagination et je serais bien tenter pour recommencer après qu'il se soit vidé. Alors qu'il allait m'approcher sa bite pour le sucer après m'avoir pilonnée de sperme, je lui attrape la main pour qu'il recommence son office. Je m'étale de nouveau du sperme sur le ventre et les seins pendant qu'il replonge sa main dans mon vagin. Il s'approche de moi et étale à nouveau ce mélange de sperme et de mouille sur mon cou, puis passe sur mon visage et laisse glisser lentement ses phalanges sur ma bouche entrouverte. J'arrête le mouvement de sa main pour profiter de l'instant et passer ma langue sur ses doigts. Je prends un malin plaisir à prendre mon temps. Je lape ses doigts maculée d'humeurs comme une chatte en chaleur avant de prendre le temps de nettoyer sa grosse queue comme elle le méritait.
Rapidement, tout le monde est euphorique de la situation, en voyant mon bonheur d'être ainsi traitée par autant d'hommes en même temps. Je me redonne à eux pour une nouvelle série de levrettes. Je suis dans un sale état. Avec ma chatte maculée, vous imaginez le spectacle. A chaque coup de bites, ils deviennent plus tentateurs et provocateurs, j'en deviens d'autant plus incontrôlables. Mes bras s'engourdissent encore, ils ne me ménagent pas et je finis par revenir sur le dos pour laisser chaque participant me passer dessus à la suite. Ils s'amuseront durant toute la soirée à me contenter en alternant dans ma chatte, qui se remplissait à quelques instants d'une nouvelle quantité de sperme, et ma bouche pour qu'elle lèche de nouvelles bites pleines de spermes.
Tout le monde apportera sa contribution à encore aggraver la situation de ma chatte en prenant le soin de vider l'intégralité de sa queue à l'intérieur... à quelques détails près. Prise dans l'intensité de ces fornications ininterrompues et de ces pipes en cadence, je ressens bizzarrement une giclée de liquide chaud attérir sur mes fesses alors qu'une bite s'occupait allégrement de ma chatte pendant la deuxième série de levrettes. C'était l'inconnu du van, avec sa grosse queue noire, qui n'avait pas résisté à l'envie de m'éjaculer sur le cul. Après avoir vu mon cul se dandiner devant son nez durant tout le trajet, je ne pouvais que l'inspirer. Je découvrirais plus tard qu'il avait éjaculé juste au dessus du plug anal pour que tout le sperme coule entre mes fesses pour venir se melanger avec la bite de mon fornicateur de l'instant.
Prise dans tous les sens, l'épuisement me gagne mais l'énergie de l'instant me pousse aux dépassements. Je branle et je suce toutes les bites qui passent à ma portée une par une ou deux par deux. Je passe la plupart du temps restant avec les jambes en l'air. Mais je réclame encore du sperme dans ma bouche. C'est le chauffeur qui prendra le temps d'étancher ma soif en venant branler sa queue devant ma bouche ouverte. Je sors ma langue pour récupérer les expulsions de son gland, il me gratifie d'une belle giclée blanche qui me rassasie. Je le remercie et lui fait mon regard de chaude tentatrice lorsque je passe le bout de ma langue sur la pointe de son gland pour récolter la dernière goutte égarée. Mais lorsqu'il retire sa queue de mon champs de vision et que je crois en avoir fini avec lui, c'est à ce moment qu'il me surprend en venant écrasé ses lèvres sur ma bouche. Je suis surprise par cette audace et cet excès d'intimité à mon égard. Mais surtout, son sourire semble indiqué qu'il ne serait pas dégoûté à l'idée de recommencer malgré tout le sperme qui coule dans ma bouche. Il se rapproche à nouveau de mes lèvres. Hésitante, j'ouvre quand-même un peu la bouche pour un baiser plus sensuel. Electrisée par l'effleurement de sa bouche, je laisse glisser le contact de nos lèvres puis de sa langue qui glisse langoureusement dans ma bouche à sperme. Je ne résiste pas à son intrusion. J'ouvre en grand pour laisser sa langue venir caresser la mienne. Elle s'engouffre avec avidité. Nos langues s'entrechoquent, s'enroulent et se cajole au milieu du sperme qu'il m'a déposé dans la bouche. Les yeux clos pendant quelques secondes, je me laisse porter par ce baiser inavoué qui me fera redoubler d'entrain.
Durant la soirée, je n'aurais finalement léchée que des bites pleines de sperme mais je n'arriverais pas vraiment à déterminer combien d'inconnus m'ont utilisé durant cette nuit. Même si, au bout du compte, j'eu l'impression de pratiquer plus d'une bonne douzaine de fellations et enchainer une quinzaine de coïts dans toutes les positions. A la fin, ils me laisseront seuls, jambes écartées devant les phares de la voiture. Je suis recouvertes de traces à moitié séchée, la bouche gluante de spermes, le sexe rouge, gonflé et animé de convulsion. Mon clito et mes lèvres baignent dans un mélange aqueux, j'ai l'entrejambe imbibé de sueurs et de cyprine jusqu'au milieu des cuisses. Je suis collante, peut-être répugnante mais terriblement contente d'avoir été aussi bandante. La fin approche. Tous les téléphones se dressent pour me filmer en train de me caresser pour la dernière fois. Je laisse monter la dernière explosion de chaleur dans la nuit, je n'ai jamais été autant baiser et je suis transportée par la fierté d'avoir assouvi mon fantasme d'auto-stoppeuse comme une chienne. J'en gicle de bonheur jusqu'à l'orgasme.
Un vide se fait quelques secondes plus tard autour de moi. Le temps que je retrouve mes esprits. J'entends doucement tout le monde s'éloigner. Seul mon organisateur inconnu revient vers moi. Allongé sur le sol, les jambes à moité repliée, je ne suis plus en état de faire quoi que ce soit. Vu son sourire, je dois vraiment être dans un sale état. Je passe un doigt sur mon vagin endolori pour récupérer un peu d'humeur liquide qui s'écoule encore en quantité de mon vagin et lui lance "Mission accomplie, monsieur l'organisateur" en léchant mon doigt avec la pointe de ma langue. Il ne répond pas, me tend ma robe rouge et me dit de remonter dans le van quand je me sens prête à repartir. Je profiterais de cet instant pour laisser naviguer mon regard parmi les étoiles. Ce soir, j'aurais même naviguer au-dessus d'elle.
Sur le chemin du retour, je suis seule sur la banquette arrière avec l'organisateur. J'ai remis ma robe, pas mes talons, et j'en ai profité pour repasser mon rouge à lèvre rouge vif. Je suis encore très excitée par toutes les situations perverses qu'il m'a forcé à subir durant cette soirée. Je ne prends pas la délicatesse de lui demander de sortir sa queue. J'en prends l'initiative en sautant sur les pressions de son pantalon pour la déconfiner et commencer à la bouffer pour la transformer en grosse bite. Il se laisse faire et ne tempère pas mes ardeurs. Au contraire, il me montre à quelle point j'ai été incontrolable en m' exhibant sous les yeux la conversation privée où se trouve les vidéos de tout ceux qui ont filmé.
Les images sont très excitantes. Je vois ma chatte pleine de sperme en train d'être baisée par des grosses queues. Je m'entends gémir en levrette, passer d'une bite à une autre sans ménagement, dans mon vagin et dans ma bouche. Je vois mon rouge à lèvre disparaitre un peu plus, me liquéfier de sueur, de sperme et de cyprine. Allongée sur le dos, alternant la bouche à droite et à gauche pendant qu'un enième prétendant baisait ma chatte, les images illustrent avec fidélité l'étendue des promesses de cette soirée. Heureusement, que j'avais sa queue bien accrochée dans ma bouche lorsqu'il lança la dernière vidéo. Je ne pu m'empecher de lâcher un cri de surprise lorsque je vis ma chatte complètement gluante se vider sans discontinuer de sperme après que le dernier éjaculateur se soit retiré pour laisser voir le résultat final. Je me vois en train de passer mes doigts sur ma chatte, l'ouvrir pour dégager mon clito complètement noyée des spermes de la soirée. Il y avait beaucoup d'extraits (Peut-être qu'autant de grosses queues seront passées entre me jambes ce soir là...^^). Toutes ces images me font un peu tourner la tête, je n'en peux plus et sa bite est pleine de rouge à lèvre frais. Je commence à le branler sauvagemment en lui disant "mais bientôt, tu vas faire la même chose dans mon cul n'est-ce pas ?".
Il est particulièrement excitée par cette proposition et avoue sous la pression de ma main sur sa bite qu'il ne rêve que de m'enlever mon plug anal pour y mettre sa queue à la place. Je le sens tellement excité que j'enlève ma robe une dernière fois pour qu'il admire l'état dans laquelle je suis. Il touche mes fesses et glisse sa main jusqu'au plug toujours présent. Il tente de le retirer, j'arrête sa main et lui dit "non, laisse moi ton cadeau". Il cède à ma demande, je positionne mes seins au dessous de sa grosse queue qui se tend de plaisir et finis par maculer ma poitrine d'une dernière giclée de sperme bien chaud. ça sera mon dernier triomphe de la soirée sous l'oeil complice du chauffeur qui ne manquera rien de la scène. Assise fièrement devant mon organisateur debraillé, je donne un regard coquin dans le retroviseur intérieure, le chauffeur me capte et sourit.
Quelques minutes plus tard, nous arrivons sur l'aire d'autoroute. Le van se positionne près de ma voiture, l'endroit est désert, je saisis ma robe rouge, mes talons et mon sac, pousse la porte latérale de van et m'apprête à descendre quand mon organisateur inconnu m'attrape par le bras et me dit "Mais tu descends toute nue ?". La tentatrice répondra "Je n'ai plus rien à cacher... et encore moins le succès de cette soirée".
Lorsque le van repartira, je prends le temps de repasser ma robe. Puis je prends tranquillement la route du retour en pensant à mon rendez-vous chez le docteur le lendemain. Je devrais faire tout mon possible pour garder mon naturel. Du moins, jusqu'à ce que le docteur m'invite à me mettre toute nue et à prendre place sur la table d'examen. Il ne sera pas au bout de ses surprises...(et, peut-être, moi non plus).
Merci à tous les lecteurs du site qui apprécieront mon histoire et n'oubliez pas de laisser vos commentaires si vous voulez connaître la suite de ma préparation de future hotwife et de mon intérêt pour les gangbangs.
Lors de mon précédent passage, je vous avais détaillé comment une improvisation sur une aire d'autoroute, pas totalement maitrisée de ma part, m'avait amener à finir dans un interrogatoire au commissariat pour exhib.
Lorsque je suis revenu près de ma voiture, au moment de m'installer sur mon siège, je me suis aperçu qu'il y avait un petit papier plié sur le pare brise. J'attends que la voiture de la policière s'éloigne suffisamment pour qu'elle ne s'aperçoive pas que je redescends. Je tire le papier, le déplie et y trouve quelques mots griffonnés à la va-vite (on peut comprendre d'où venait l'urgence... ^^) : "le jour où ton cul sera prêt pour ma grosse queue" suivi d'un numéro de téléphone. A ce moment précis, je n'ai plus la tête à cette incontrôlable moment de débauche. Bien que j'ai précisément identifié qui était l'auteur de cette proposition indécente, je n'ai aucune inspiration à donner suite à son message. Comme les capotes usagées sur place, ce petit papier rejoindra le fond de mon sac.
Les semaines passent, je me consacre à ma préparation de future hotwife qui se poursuit parfaitement. Toutefois, mon docteur et moi-même savons que certains points me font encore poser des questions sur mes capacités d'hotwife. Bien que je puisse me préparer à toutes circonstances, l'éventualité d'une sodomie reste encore un sujet de crispation pour moi. J'aimerais que la situation se débloque et que je puisse profiter d'un orifice en plus pour assouvir tous mes gourmands instincts.
A la fin d'une séance où le docteur avait tenté une nouvelle approche sur ce sujet, les résultats ayant été plus encourageants, il me propose d'intensifier le travail sur la sodomie. Avec son tact habituel, le docteur me met en confiance et me propose pour les prochaines séances que je m'imagine une situation qui me détendrait ou me donnerait suffisamment envie pour faciliter les pénétrations. Se servir de mon imagination pour du sexe, voilà quelque chose qui me convient tout à fait. Déterminée à ce que tous mes orifices de future hotwife puissent être mis à contribution, je quitte le cabinet du docteur avec motivation et envie. Dans ma voiture, je repense à cette drôle de promesse que j'avais fait à un inconnu. Lui donner mon cul lorsque je serais prête à être sodomiser. Cette excitation folle qui m'avait donner envie d'être ouverte sans capote par cette grosse queue pour qu'elle me remplisse de sperme. Rien que d'imaginer cette éventualité que je sens naitre en moi une très forte excitation. Comme un éclair dans mes pensées, je me demande où est passé petit mot sur mon pare-brise. J'espère ne pas l'avoir jeté...
De retour dans mon appartement, je ressors le sac qui avait officié sur l'aire d'autoroute et retrouve le petit mot au milieu des capotes restées au fond du sac. Ce papier griffonné me fait sentir bizarrement excitée et tendue par l'envie d'appeler ce numéro mais je ne voulais pas utiliser mon numéro perso. Ma curiosité aura toutefois le dernier mot sur mes hésitations durant le début de soirée où je finirais par me procurer une carte prépayée et retrouver un vieux téléphone que j'avais conservé (il me servait encore pour faire des vidéos, si vous voyez ce que je veux dire...^^).
Tellement intriguée par ce que pourrait donner la suite de la situation, j'envoie comme message "bien reçu le message pour ta grosse queue" (pourquoi s'embêter à faire long quand on peut aller à l'essentiel avec un numéro inconnu...^^). J'espérais une réponse instantanée à ma petite provocation de coquine, mais non, rien, je ne reçois pas de réponse. Ma frustration aurait pu persévérer à se manifester après la demi-heure suivante si il ne s'était pas décidé à me répondre avec un simple "l'autoroute ?". La connexion a donc lieu, je réponds par l'affirmative. Aussi étrange que cela puisse paraître, mais la discussion s'engage comme s'il avait fini d'éjaculer sur mon clito le jour d'avant. Il me questionne sur la suite des évènements et, durant une bonne heure, nous échangeons sur les nombreux détails qu'il ne soupçonnait pas : la pelle au sperme avec la policière, l'examen et la reconstitution au commissariat qui finit en interrogatoire à pipes. Il n'en revient pas de la suite des péripéties... (et moi non plus ^^).
Dans la discussion, j'en viens à m'égarer sur quelques confidences et il me réponds un peu froidement "ok, t'as besoin de te réconcilier avec tes fantasmes, si tu es excitée, tu sais où bipper. J'ai plus le temps. a+". Je suis un peu vexée de la fin prématurée de la discussion, je n'ai même pas eu le temps de lui dire que j'étais en pleine préparation. Agacée, j'éteins le tel, et le range dans un tiroir. Mais au-delà de ma relative insatisfaction, cela n'a pas entamé mon excitation. La nuit suivante, j'ai quelque peu du mal à m'endormir, je ne m'étais pas repassé aussi précisément le film des événements sur l'aire d'autoroute depuis cette discussion. Toutes sortes de choses trottent dans ma tête et lorsque je finis par sombrer dans le sommeil c'est pour finalement me retrouver dans un drôle de fantasme.
Lorsque j'étais étudiante, je sortais beaucoup le soir et je trouvais toujours un chevalier servant pour me ramener chez moi. (C'est sans doute là où j'ai trouvé un certain plaisir à sucer en voiture). Je trouvais toujours la situation plaisante mais plus d'une fois, je me suis demandée qu'elle serait ma réaction si une voiture remplie d'inconnus m'avait invité à les rejoindre... Forcément, vous imaginez le déséquilibre de la situation et j'aurais été contrainte de me plier à certaines de leurs fantaisies. Au réveil, ces premiers émois n'ont pas laissé mon entrejambe indifférent et je me sens trempée à l'idée de refaire une exhib et de baiser encore des inconnus. Je me caresse parfois le matin, mais ce jour-là, le fait d'envisager une situation incontrôlable dans ma chatte, ma bouche et mon cul provoque une telle excitation à mon clito que jouir ne suffira pas à calmer mes ardeurs. Au contraire, c'est comme si cette envie se gravait encore plus intensément dans ma chair.
Un peu inquiète de la situation, j'appelle mon docteur à qui je raconte mon fantasme mais que cette fois ce n'est pas l'aire d'autoroute qui fait cet effet mais une envie de se laisser surprendre par l'improvisation, quelque chose d' incontrôlable. Le docteur m'écoute, mais ne constate rien de particulier sauf qu'il pense que cette histoire d'étudiante est un début prometteur pour la prochaine séance de sodomie. Il me propose de surveiller durant les 2 semaines qui nous sépare de notre prochaine séance (Pour voir si elle est dans un sale état, comme il dit ^^). Lorsque je raccroche, le diagnostic du docteur me semble sous-évalué. Instinctivement, je me dis que le meilleur moyen de lui faire constater qu'elle est dans un sale état, c'est de ne pas faire que s'amuser à y penser mais faire en sorte que je sois significativement ouverte et remplie de sperme pour la prochaine séance. J'entrevois alors une solution très osée pour assouvir mon excitation. Je ressors mon vieux téléphone et envoie à l'inconnu : "une auto-stoppeuse pour ta grosse queue, ça t'intéresse ?".
"Nouveau fantasme ?" me répond-il. Je fais en sorte qu'il ne puisse pas m'interrompre et écrit le déroulement de mon fantasme à mon interlocuteur inconnu. Au bout des longues minutes de mon monologue, il ne répond qu'une phrase : "Je peux te trouver ce que tu cherches."
Comment expliquer cette espèce de soulagement (espoir) que je ressens à cet instant, pour pouvoir passer à l'acte. Je lui précise que j'ai précisément un jour en tête pour ça et que je voudrais que ça ai lieu un soir pour que ça se poursuive dans la nuit mais je ne veux pas tout savoir. (Juste si tout le monde est bien testé au cas où je deviendrais totalement incontrôlable...^^). "Tu pourras toujours refuser, on va pas te faire faire ce que tu ne veux pas, c'est ton fantasme à la base. Je te recontacte dans quelques jours. a+" Fin de conversation.
Plusieurs jours passent et le fantasme se fait de plus en plus présent. Mais je prends mon temps pour préparer mon sexe à ce qu'il pourrait vivre dans quelques jours. Un rituel se met en place. Chaque soir, je crème intégralement la peau de mon corps pour l'hydrater (et la préparer à ce qu'elle pourrait recevoir en soirée...^^). Au bout de 6 jours sans nouvelle, je m'inquiète et ce rituel ne suffit plus à satisfaire mon attente. Je prends soin de ne pas trop me goder pour garder ma chatte suffisamment serrée. J'essaie de faire comme si la situation suivait normalement son cours en prenant le temps de réflexion pour choisir ma tenue ou encore ma manucure. J'envoie des messages, mais toujours pas de réponses... Jusque dans les dernières 48h où je reçois "Samedi 20h, gare toi au même endroit que l'autre fois, stricte minimum, je t'envoie un msg au moment d'arriver". La surprise de la réponse me parcourt en mélant le traque à l'excitation. Je comprends que désormais je n'ai plus de possibilités d'échapper à mon fantasme. Un laconique "ok" fera l'affaire en réponse.
Samedi, je pars donc au moment où la nuit tombe avec une robe rouge, courte et très légère. Nous serions en pleine journée, tous les passants pourraient se rendre compte qu'elle est même transparente et ne cache rien de mon anatomie. Avec mes talons hauts et mon rouge à lèvre rouge vif et mon vernis assorti sur les ongles, je me sens particulièrement sexy et même un peu aguicheuse. Pour la première fois, je me sens plus concentrée sur ce qui va suivre qu'uniquement excitée. J'ai l'impression d'être une actrice qui se rend sur le lieu de son prochain tournage. Arrivée sur l'aire d'autoroute, je reste dans ma voiture, dans la pénombre qui s'installe. Ponctuel, je reçois un SMS qui m'indique que dans 2 min, un van gris s'arrêtera à ma hauteur. Je ne prendrais pas le temps de répondre, mais me proposer un van est déjà une surprise en soi...
Le van arrive, la fenêtre passager se baisse et je revois pour la première fois l'inconnu à la grosse queue de l'aire d'autoroute qui me demande très innocemment s'il peut m'emmener quelque part. "Est-ce que vous pouvez m'emmener baiser ?", lui réponds-je en bonne tentatrice. Il acquiesce et réponds qu'il a justement quelque chose de prévu mais que pour m'emmener, il faut que j'accepte de monter. La porte latérale du van s'ouvre, et me dévoile un contenu tout à fait étonnant : un inconnu, déjà nu, est assis à l'arrière, avec son énorme queue noire dans la main. Je vois que mon organisateur inconnu a bien compris le sens de la surprise de cette situation. Je fais mine d'hésiter un peu à accepter la proposition mais je me vois déjà en train de faire presser cette grosse queue contre les parois de mon vagin. Mon organisateur inconnu rajoute que je ne dois pas m'inquiéter, car ce n'est pas pour improviser, juste pour me faire patienter et me préparer pour d'autres festivités. Je monte donc sans plus "hésiter".
Je m'installe à côté du passager à l'arrière du van. On ne s'échange pas un mot, je reste le regard figé sur son sexe, la porte du van se ferme puis il redemarre. Cette soudaine obscurité abaisse mes interdits, je veux passer sans attendre à la suite avec ce gros membre bien dur surmonté d'une capote prête à servir. Il approche son bras de ma taille et je me laisse accompagner par son geste qui m'invite à prendre place dos à lui. Je m'éxécute docilement et amorce la lente descente de sa grosse queue toute noire dans mon vagin. Je ne lui adresse aucun mot et je profite égoïstement de cette position pour mon plaisir sans avoir à échanger un regard avec cet inconnu. Il fait remonter ses mains sur mes hanches pour m'enfoncer un peu plus sur son membre, puis remonte vers mes seins. Je sens son sexe m'ouvrir et me remplir, mes lèvres sont étirées de tous côtés. Je gémis doucement de ce plaisir brut qui commence à chauffer les parois intérieurs de ma chatte et je ne prête que peu d'intérêt lorsqu'il décide de sortir mes seins de la robe. Un détail m'excite tout autant, lorsque je capte par intermittence le reflet que me renvoie le rétroviseur intérieur du van. Mes jambes écartées et mon sexe contraint par ce gode vertigineux qui est en train d'intimement m'ouvrir, mes seins fièrement exhibées sans pudeur. Je me donne en spectacle et je m'impatiente. Avec les va et vient, la capote s'humidifie et son gland se fraye de mieux en mieux un passage jusqu'à mon utérus qui ne resistera pas longtemps à l'assaut répétée de son gland.
Mon organisateur donne quelques regards à l'arrière, j'imagine que sa grosse queue doit commencer à bien bander en me regardant faire. Le conducteur semble, quant à lui, impassible et très professionnel, peut-être en a-t-il déjà vu d'autres en train de se devergonder dans son van. Devant moi, la route défile et nous sortons de l'autoroute pour nous rapprocher d'une ville. Avec les lumières extérieurs, je m'aperçois que les vitres sont surteintées sur tout l'arrière du véhicule. Je peux donc continuer à tranquillement me liquéfier sur ce gros membre. En arrivant près d'un feu rouge, mon organisateur inconnu me propose de descendre de la grosse queue pour attendre sagement. Je ne suis pas très emballée et je n'ai pas vraiment peur d'être surprise plus en mauvaise posture que je ne le suis déjà par les piétons qui passeraient à proximité (ça serait même le contraire d'ailleurs...^^). Mais j'extrais la masse dure de mon vagin et me ré-installe sur la banquette pour remettre un peu d'ordre dans ma tenue. L'inconnu est toujours nu, la bite bien droite prête à retrouver mes assauts. Je pose la main sur son membre. Mon vernis à ongle rouge est du plus bel effet autour de son magnifique chibre d'ébène. Je sens les contractures qui le traverse à chaque coup de sang. Quitte à être descendu autant en profiter pour s'amuser au feu rouge.
"Le test est ok ?" Mon organisateur répond par l'affirmative. Avec un regard malicieux, je tire sur la capote pour doucement la faire venir et libérer ce gros membre de son étreinte. Je jette ce bout de plastique informe sur le plancher du van et plonge avec avidité ma bouche sur sa queue. Elle a du mal à rentrer, le gland étouffe complètement ma petite bouche. Je m'acharne, je salive, augmente ma sussion, fais rouler la longueur de sa verge sur ma langue et m'assiste de ma main pour en prendre un maximum jusqu'à dans ma gorge. Je n'avais jamais trouvé l'attente au feu rouge aussi passionnante mais j'ai décidément très envie que ce feu passe au vert...
Ouf ! Le van reprend sa route et la grosse queue toute noire aussi. Le préservatif ayant eu l'effet d'un gode, je suis très ouverte et la lubrification permet une belle entrée. Je suis complètement assise et son gland se blottit toute au fond de mon intimité. Une éjaculation ne serait pas de refus mais j'ai bien entendu les directives. Et puis, cette situation est de plus en plus torride avec ces va et vient très lents, je gémis un peu plus fort en ressentant toutes les aspérités de cette imposante verge.
Le van ralentit près d'un lotissement que nous traversons à petite allure (une éternité pendant laquelle je fais demander si je vais finir en train de baiser dans le jardin d'un voisin...^^). Puis, nous nous engageons dans un chemin qui s'enfonce de plus en plus dans la nuit jusqu'à ce que nous aperçevions une voiture garée le long du chemin, phare allumée. Le van arrête sa progression. Le moteur se coupe. Un frisson m'envahit. Personne ne dit rien et je sens monter la tension dans mon bas ventre (ou peut-être que ce sont les contractions de la verge inconnue qui tape dans mon vagin...^^). La voiture garée derrière fait des appels de phares. Mon orgnisateur inconnu à l'avant se retourne et me demande de me retirer. "Prête pour la suite ?"
Je m'extirpe de la grosse queue (elle est dans un sale état... ^^) et je me mets sagement sur le bord de la banquette comme prête à descendre. Je récupère mon sac, en retire mon rouge à lèvres rouge vif, accessoire indispensable ce soir pour ma bouche à pipes, "on peut y aller". Je décèle de l'agitation entre la voiture et le van. J'aperçois quelques silhouettes à l'arrière mais avec la pénombre, je n'arrive pas vraiment à déterminer le nombre. Peut être un 1 à gauche, 1 à droite ... de nouvelles silhouettes s'agitent... je ne sais pas vraiment ce qu'ils font.
La porte du van s'ouvre enfin... "Attends un peu, j'ai un cadeau pour toi". Je ne suis donc pas au bout de mes surprises avec cet organisateur inconnu qui me montre un petit plug anal avant d'ajouter "Tu pourras improviser autant que tu veux ce soir mais je reserve ton cul, si ça te va". Au demeurant très charmant, je n'ai jamais testé ce genre de petites choses et je suis quelque peu angoissée à la sensation que pourrait me procurer la pénétration. Je finis par positionner mes fesses devant cet inconnu, mais en levrette pour cette fois. Avec beaucoup de délicatesse, il écarte mon cul sur lequel il dispose suffisemment de lubrifiant pour insérer le plug. Cette sensation inédite et insolite me fait gémir. Au contact du matériau légèrement froid, mon cul s'étire pour laisser passer la pointe sans opposer de résistance. C'est une sensation étrange, comme si ce bijou coincé dans mes fesses venait compléter ma panoplie de hotwife, un nouveau signe extérieur de mon caractère dévergondé avec lequel je me sens en parfaite adéquation. Puis, il m'aide à descendre en me tenant la main avec galanterie. Il me fais avancer vers les phares de voiture et me demande si je souhaite qu'il fasse les présentations. "Tous les tests sont ok ?", il me réponds "oui !". Je lui retorque alors : "Pas besoin de présentation, on va improviser".
Je m'avance au milieu du grand espace aménagé par les inconnus de la voiture et me positionne face aux feux de la voiture. J'abandonne toute pudeur dans cette situation et je me mets à me déhancher très langoureusement sous la lumière des phares comme une prostituée qui chercherait à attirer de nouveaux clients. Aidé de la couleur rouge de ma robe qui dessine les contours aguicheurs de mon corps, mon petit stratégème fonctionne et un groupe d'observateurs commence à se constituer devant moi. Comme je crois que tout le monde n'a pas bien vu où je voulais en venir, je fais vite remonter ma robe, pour dévoiler ma chatte ultra épilée, et la faire glisser par le haut dans la pénombre. Le groupe s'agite et je commence à entendre des bruits de fermetures qui s'ouvrent, des ceintures qui cliquètent, des frottements, des vêtements qui tombent... ça commence à être intéressant pour leur donner envie de ne plus tarder de passer à l'action. Je m'accroupis dans la lumière, entièrement nue (ou presque... J'ai gardé les talons ^^), jambes écartées, la chatte ouverte et impatiente d'en découvrir plus sur la suite des évènements. Je m'appuie en arrière et commence à plus encore ouvrir ma chatte. Je m'allonge, relève un peu plus les jambes et commence à me caresser délicatement. Je suis complètement trempée de me donner ainsi en spectacle devant des yeux étrangers, puis décide de me retourner pour me mettre en levrette prête à recevoir des bites, sans quitter mes talons. Le petit rubis rouge du plug anal se réfléchit dans la lumière glacée des phares et tout le monde s'approche.
Je sens une masse importante se déplacer vers moi. Les phares aveuglants, je ne distingue pas précisément le nombre de personnes qui m'entoure. Peu importe, tout sera très facile avec moi ce soir. Après une brève concertation à côté de mon cul, un premier participiant se désigne. Je le sens s'avancer à genou dérrière moi pour se positionner à fleur de peau. "toc, toc, toc", Il tapote son gland sur le plug anal comme pour demander l'autorisation de rentrer dans ma chatte. J'écarte machinalement les jambes pour faire s'entrouvrir un peu plus le garage à bites. Il pince doucement sa main sur le côté de mes lèvres pour encore dégager l'entrée saillante et je sens alors arriver la première queue totalement inconnue de la soirée à l'entrée de mon vagin. Elle est épaisse et s'immisce doucement. Le test de passage est vite réussi, il peut sentir que mon vagin n'opère aucune résistance. Il lime tranquillement le passage pendant quelques secondes avec des va-et-vient assez ample qui me font sentir qu'en plus d'être épaisse, sa bite est aussi assez longue. Ce dont je pourrais me rendre compte lorsqu'un nouveau prétendant à ma chatte viendra prendre sa place et qu'il viendra positionner sa belle queue près de ma bouche. Occupé dans le vagin, je commence à haleter, j'ouvre mécaniquement la bouche pour mieux respirer, ce qu'il a sans doute pris comme une invitation pour y glisser sa queue.
A peine quelques minutes que je suis arrrivé et je suis déjà dans une situation de soumission à des grosses queues particulièrement affamées (peut-être autant que moi...^^). N'opposant aucune retenue, un ballet implacable se met en place entre mes orifices. Chacun son tour, ils viennent découvrir ma chatte puis se faire sucer ou se faire branler. Les pénétrations se succèdent, les mise en bouche aussi mais cette position de levrette tend à porter sur mes bras qui s'engourdissent. Au bout du sixième prétendant dans ma chatte, je n'ai plus vraiment la force de soutenir les coups de reins que je reçois et je m'écroule visage en avant sur ce sol de fortune. Je donne un spectacle de débauche. Le cul en l'air, la chatte en feu et défoncée, je me laisse baiser comme une experte au gré des participants qui tourne dans mon vagin.
C'est en retournant ma tête sur le côté que j'aperçois des petites torches dérrière moi. Je comprends qu'il s'agit de téléphones portables qui me filment. Etre le centre d'attention et des perversions de tous ses garçons est particulièrement grisants et je voudrais leur en donner plus pour leurs vidéos. Je me prends au jeu et réclame qu'on me filme en train de lécher chaque bite. Durant les levrettes, que je sois filmée en plongée pour qu'on voit bien comme je suis une auto-stoppeuse bonne à baiser.
Et puis le spectacle de toutes ses bites qui passent devant mes yeux n'arrêtent pas de m'exciter, j'ai envie de toutes les pomper jusqu'à la dernière goutte, quelque soit le nombre qu'elles pourraient vraiment être. Je suis très excitée et je réclame qu'il m'enfourne leurs bites dans la bouche comme s'il s'agissait d'un deuxième vagin. Une joue à moitié collée au sol, j'ouvre la bouche autant que possible pour laisser taper des glands inconnus au fond de ma gorge. Il baise ma bouche et ma chatte en tandem comme jamais je ne l'aurais imaginé. Il me laisse peu de répit et vous imaginez que je n'ai pas pris le temps de compter le nombre de fois qu'ils m'ont fait tourner. Le moment des comptes viendra plus tard. Plus ils me font tourner, plus je deviens tentatrice et je les incite à tous éjaculer au fond de ma chatte, car je veux être une auto-stoppeuse pleine de sperme. Pendant encore quelques minutes, je ne suis plus interrompu que par mes gémissements ou par une nouvelle bite dans la bouche. Les choses se calment un peu, je suis déjà passé de mains en mains près d'une dizaine de fois et je mets à profit ce moment de répit pour me laisser rouler sur le côté.
Etendu sur le dos, je passe l'index sur ma chatte pour sentir l'état de mon sexe. Sous mes doigts, je sens que je suis déjà très gonflé. Mon clito est dans une forme olympique mais loin d'être encore prêt à jouir, ce qui me rassure quelque peu pour la suite. Je vois arrivé près de moi une silhouette, il est encore habillé, je reconnais le costume du chauffeur. Il se place à genou au-dessus de ma tête. Braguette à quelques encablures de ma bouche, j'allais lui proposer si il voulait une petite pipe, lorsqu'il me fit signe de me reculer pour venir me reposer sur son poitraille. Je me soumets à sa demande et me voici solidement maintenue appuyée comme sur un dossier de chaise. Je me repositionne un peu sur les conseils de mon hôte qui me demande d'enlever mes talons. Cette fois, je suis nue de la tête au pieds. Je comprends que ses motivations sont loin d'être innocentes car cette position est tout à fait idéale pour me forcer à écarter complètement les jambes, alors pourquoi s'encombrer encore des talons. Je ne pourrais refuser aucune des bites qui voudraient entrer profondément au fond de moi.
La confirmation ne tarde pas à se faire sentir lorsqu'un nouveau prétendant s'approche avec sa queue prêt à passer sur moi. Je m'attendais à ce qu'ils viennent méthodiquement soulever mon cul pour positionner son gland devant ma chatte mais il me surprend en me soulevant les jambes et repose mes chevilles de chaque côté de ses épaules. La position est totalement contrainte, je suis forcée d'être ouverte et ma chatte se liquéfie encore plus à l'idée de ce qui va lui arriver. Il pousse mes jambes en arrière, son torse m'écrase. Il contraint ma colonne vertébrale a faire lever mon cul et me pénètre d'un seul trait jusqu'au tréfond de ma chatte. J'en expulse un gémissement de surprise mais je n'en perds pas mon goût pour la tentation. Il pousse sur tout mon corps à la façon d'un pilon, chaque entrée est une charge au plus profond de mon utérus qui s'agite à l'idée de l'issue liquide de cette intrusion brutale. Il fait claquer ses boules bien fournies sur mon plug anal que je sens en moi comme un deuxième homme. Je suis en sueur et sa carrure me fait sentir comme une poupée livrée à ses pulsions. Je le provoque en lui disant que j'espère bien qu'il ne va pas en rester là et qu'il va finir par me remplir la chatte de sperme comme une grosse salope.
Il ne sera pas le seul à me marteler et il seront trois à me passer dessus avec la même perversion pour leur servir de vides couilles. Tous trois finiront leur office par d'énormes quantités de spermes qui viendront me noyer l'utérus. Je ne compte pas le nombre de gros plans qu'il y a eu sur la rivière de sperme qui s'écoule de ma chatte à qui voulu la filmer après chaque éjaculation. Après la deuxième éjaculation, je commence à récupérer les surplus de spermes qui s'écoulent de mon vagin pour les étaler sur mes seins et mon ventre, face aux caméras. Ma manière de faire éveillera d'ailleurs l'instinct du troisième prétendant à ma chatte qui, lorsqu'il se présente devant moi, fait glisser 3-4 doigts de sa main droite au fond de mon vagin pour récupérer du sperme. Il en extirpe des doigts blancs et brillants qu'il m'étale une première fois sur le cou en descendant sur mon décolleté. Je ne réagis pas. Je suis parcouru d'un frisson lorsqu' il repasse sa main une deuxième fois pour étaler un peu plus sur mon cou, puis il fait passer ses doigts luisants le long de mon visage. Il approche ses doigts de mes lèvres sur lesquelles il finit de mélanger de la mouille au reste de mon rouge à lèvres défraîchi. Je le laisse terminer, avant de me lécher sensuellement les lèvres après son passage. Le goût du sperme a tendance à exciter mon imagination et je serais bien tenter pour recommencer après qu'il se soit vidé. Alors qu'il allait m'approcher sa bite pour le sucer après m'avoir pilonnée de sperme, je lui attrape la main pour qu'il recommence son office. Je m'étale de nouveau du sperme sur le ventre et les seins pendant qu'il replonge sa main dans mon vagin. Il s'approche de moi et étale à nouveau ce mélange de sperme et de mouille sur mon cou, puis passe sur mon visage et laisse glisser lentement ses phalanges sur ma bouche entrouverte. J'arrête le mouvement de sa main pour profiter de l'instant et passer ma langue sur ses doigts. Je prends un malin plaisir à prendre mon temps. Je lape ses doigts maculée d'humeurs comme une chatte en chaleur avant de prendre le temps de nettoyer sa grosse queue comme elle le méritait.
Rapidement, tout le monde est euphorique de la situation, en voyant mon bonheur d'être ainsi traitée par autant d'hommes en même temps. Je me redonne à eux pour une nouvelle série de levrettes. Je suis dans un sale état. Avec ma chatte maculée, vous imaginez le spectacle. A chaque coup de bites, ils deviennent plus tentateurs et provocateurs, j'en deviens d'autant plus incontrôlables. Mes bras s'engourdissent encore, ils ne me ménagent pas et je finis par revenir sur le dos pour laisser chaque participant me passer dessus à la suite. Ils s'amuseront durant toute la soirée à me contenter en alternant dans ma chatte, qui se remplissait à quelques instants d'une nouvelle quantité de sperme, et ma bouche pour qu'elle lèche de nouvelles bites pleines de spermes.
Tout le monde apportera sa contribution à encore aggraver la situation de ma chatte en prenant le soin de vider l'intégralité de sa queue à l'intérieur... à quelques détails près. Prise dans l'intensité de ces fornications ininterrompues et de ces pipes en cadence, je ressens bizzarrement une giclée de liquide chaud attérir sur mes fesses alors qu'une bite s'occupait allégrement de ma chatte pendant la deuxième série de levrettes. C'était l'inconnu du van, avec sa grosse queue noire, qui n'avait pas résisté à l'envie de m'éjaculer sur le cul. Après avoir vu mon cul se dandiner devant son nez durant tout le trajet, je ne pouvais que l'inspirer. Je découvrirais plus tard qu'il avait éjaculé juste au dessus du plug anal pour que tout le sperme coule entre mes fesses pour venir se melanger avec la bite de mon fornicateur de l'instant.
Prise dans tous les sens, l'épuisement me gagne mais l'énergie de l'instant me pousse aux dépassements. Je branle et je suce toutes les bites qui passent à ma portée une par une ou deux par deux. Je passe la plupart du temps restant avec les jambes en l'air. Mais je réclame encore du sperme dans ma bouche. C'est le chauffeur qui prendra le temps d'étancher ma soif en venant branler sa queue devant ma bouche ouverte. Je sors ma langue pour récupérer les expulsions de son gland, il me gratifie d'une belle giclée blanche qui me rassasie. Je le remercie et lui fait mon regard de chaude tentatrice lorsque je passe le bout de ma langue sur la pointe de son gland pour récolter la dernière goutte égarée. Mais lorsqu'il retire sa queue de mon champs de vision et que je crois en avoir fini avec lui, c'est à ce moment qu'il me surprend en venant écrasé ses lèvres sur ma bouche. Je suis surprise par cette audace et cet excès d'intimité à mon égard. Mais surtout, son sourire semble indiqué qu'il ne serait pas dégoûté à l'idée de recommencer malgré tout le sperme qui coule dans ma bouche. Il se rapproche à nouveau de mes lèvres. Hésitante, j'ouvre quand-même un peu la bouche pour un baiser plus sensuel. Electrisée par l'effleurement de sa bouche, je laisse glisser le contact de nos lèvres puis de sa langue qui glisse langoureusement dans ma bouche à sperme. Je ne résiste pas à son intrusion. J'ouvre en grand pour laisser sa langue venir caresser la mienne. Elle s'engouffre avec avidité. Nos langues s'entrechoquent, s'enroulent et se cajole au milieu du sperme qu'il m'a déposé dans la bouche. Les yeux clos pendant quelques secondes, je me laisse porter par ce baiser inavoué qui me fera redoubler d'entrain.
Durant la soirée, je n'aurais finalement léchée que des bites pleines de sperme mais je n'arriverais pas vraiment à déterminer combien d'inconnus m'ont utilisé durant cette nuit. Même si, au bout du compte, j'eu l'impression de pratiquer plus d'une bonne douzaine de fellations et enchainer une quinzaine de coïts dans toutes les positions. A la fin, ils me laisseront seuls, jambes écartées devant les phares de la voiture. Je suis recouvertes de traces à moitié séchée, la bouche gluante de spermes, le sexe rouge, gonflé et animé de convulsion. Mon clito et mes lèvres baignent dans un mélange aqueux, j'ai l'entrejambe imbibé de sueurs et de cyprine jusqu'au milieu des cuisses. Je suis collante, peut-être répugnante mais terriblement contente d'avoir été aussi bandante. La fin approche. Tous les téléphones se dressent pour me filmer en train de me caresser pour la dernière fois. Je laisse monter la dernière explosion de chaleur dans la nuit, je n'ai jamais été autant baiser et je suis transportée par la fierté d'avoir assouvi mon fantasme d'auto-stoppeuse comme une chienne. J'en gicle de bonheur jusqu'à l'orgasme.
Un vide se fait quelques secondes plus tard autour de moi. Le temps que je retrouve mes esprits. J'entends doucement tout le monde s'éloigner. Seul mon organisateur inconnu revient vers moi. Allongé sur le sol, les jambes à moité repliée, je ne suis plus en état de faire quoi que ce soit. Vu son sourire, je dois vraiment être dans un sale état. Je passe un doigt sur mon vagin endolori pour récupérer un peu d'humeur liquide qui s'écoule encore en quantité de mon vagin et lui lance "Mission accomplie, monsieur l'organisateur" en léchant mon doigt avec la pointe de ma langue. Il ne répond pas, me tend ma robe rouge et me dit de remonter dans le van quand je me sens prête à repartir. Je profiterais de cet instant pour laisser naviguer mon regard parmi les étoiles. Ce soir, j'aurais même naviguer au-dessus d'elle.
Sur le chemin du retour, je suis seule sur la banquette arrière avec l'organisateur. J'ai remis ma robe, pas mes talons, et j'en ai profité pour repasser mon rouge à lèvre rouge vif. Je suis encore très excitée par toutes les situations perverses qu'il m'a forcé à subir durant cette soirée. Je ne prends pas la délicatesse de lui demander de sortir sa queue. J'en prends l'initiative en sautant sur les pressions de son pantalon pour la déconfiner et commencer à la bouffer pour la transformer en grosse bite. Il se laisse faire et ne tempère pas mes ardeurs. Au contraire, il me montre à quelle point j'ai été incontrolable en m' exhibant sous les yeux la conversation privée où se trouve les vidéos de tout ceux qui ont filmé.
Les images sont très excitantes. Je vois ma chatte pleine de sperme en train d'être baisée par des grosses queues. Je m'entends gémir en levrette, passer d'une bite à une autre sans ménagement, dans mon vagin et dans ma bouche. Je vois mon rouge à lèvre disparaitre un peu plus, me liquéfier de sueur, de sperme et de cyprine. Allongée sur le dos, alternant la bouche à droite et à gauche pendant qu'un enième prétendant baisait ma chatte, les images illustrent avec fidélité l'étendue des promesses de cette soirée. Heureusement, que j'avais sa queue bien accrochée dans ma bouche lorsqu'il lança la dernière vidéo. Je ne pu m'empecher de lâcher un cri de surprise lorsque je vis ma chatte complètement gluante se vider sans discontinuer de sperme après que le dernier éjaculateur se soit retiré pour laisser voir le résultat final. Je me vois en train de passer mes doigts sur ma chatte, l'ouvrir pour dégager mon clito complètement noyée des spermes de la soirée. Il y avait beaucoup d'extraits (Peut-être qu'autant de grosses queues seront passées entre me jambes ce soir là...^^). Toutes ces images me font un peu tourner la tête, je n'en peux plus et sa bite est pleine de rouge à lèvre frais. Je commence à le branler sauvagemment en lui disant "mais bientôt, tu vas faire la même chose dans mon cul n'est-ce pas ?".
Il est particulièrement excitée par cette proposition et avoue sous la pression de ma main sur sa bite qu'il ne rêve que de m'enlever mon plug anal pour y mettre sa queue à la place. Je le sens tellement excité que j'enlève ma robe une dernière fois pour qu'il admire l'état dans laquelle je suis. Il touche mes fesses et glisse sa main jusqu'au plug toujours présent. Il tente de le retirer, j'arrête sa main et lui dit "non, laisse moi ton cadeau". Il cède à ma demande, je positionne mes seins au dessous de sa grosse queue qui se tend de plaisir et finis par maculer ma poitrine d'une dernière giclée de sperme bien chaud. ça sera mon dernier triomphe de la soirée sous l'oeil complice du chauffeur qui ne manquera rien de la scène. Assise fièrement devant mon organisateur debraillé, je donne un regard coquin dans le retroviseur intérieure, le chauffeur me capte et sourit.
Quelques minutes plus tard, nous arrivons sur l'aire d'autoroute. Le van se positionne près de ma voiture, l'endroit est désert, je saisis ma robe rouge, mes talons et mon sac, pousse la porte latérale de van et m'apprête à descendre quand mon organisateur inconnu m'attrape par le bras et me dit "Mais tu descends toute nue ?". La tentatrice répondra "Je n'ai plus rien à cacher... et encore moins le succès de cette soirée".
Lorsque le van repartira, je prends le temps de repasser ma robe. Puis je prends tranquillement la route du retour en pensant à mon rendez-vous chez le docteur le lendemain. Je devrais faire tout mon possible pour garder mon naturel. Du moins, jusqu'à ce que le docteur m'invite à me mettre toute nue et à prendre place sur la table d'examen. Il ne sera pas au bout de ses surprises...(et, peut-être, moi non plus).
Merci à tous les lecteurs du site qui apprécieront mon histoire et n'oubliez pas de laisser vos commentaires si vous voulez connaître la suite de ma préparation de future hotwife et de mon intérêt pour les gangbangs.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
😂
Bonjour ! Apparemment, vous avez pris les histoires dans le sens inverse de publications 😅. Nous nous étions beaucoup amusé pour écrire cette "annonce". En effet, mon compagnon me dit chaque jour qu'il a beaucoup de chance. A bientôt pour de nouvelles histoires. 😊
Le texte "Mise au point, mise au défi..." a été mis à jour. Bonne lecture ! 😊
Oups…. Désolé pour ces fautes de frappe, correction automatique… ( un outil horrible je trouve )
Mise à jour de votre texte attendu avec impatience !
Merci encore pour votre travail à tout les deux 👍
Mise à jour de votre texte attendu avec impatience !
Merci encore pour votre travail à tout les deux 👍
Bonjour ! Je vous remercie pour vos commentaires et vos compliments sur l'histoire dans son intégralité. Nous essayons d'améliorer le style à chaque nouvelle histoire. D'ailleurs, avant la suite, il devrait y avoir prochainement une mise à jour du texte "mise au point, mise au défi...".
Le reste de l’histoire est parfait, j’ai enfin pu trouvernn benle temps de lite la fin 😋…. Vraiment tres éxitant …. Bravo …. vivement la suite
Je suis heureux de retrouver votre trait de plume ! Je suis en train de me delecter de votre histoire ….. j’en suis juste au debut ….. le moment ou la capote du beau black dans le van est retiré et enfin absorbé avec délectation dans votre bouche …. Un regal…. Je vande comme un fou 😅, c’est torride et tellement bien écris …. J’adore… je tenais a voys le dire avant de continuer ☺️