Madjid - Quatrième partie : La rencontre entre mon amant et mon mari
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2012 dans la catégorie Plus on est
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Madjid - Quatrième partie : La rencontre entre mon amant et mon mari
Madjid revint me retrouver à la maison le lendemain et les jours suivants. Cela se passait les fins d’après-midis à mon retour du travail – j’enseignais la langue et la littérature arabes au lycée du quartier. Et cela se terminait invariablement - du moins les premiers jours - vers dix-huit heures, avant le retour à la maison de mon mari. En effet, tous ces premiers jours, malgré mon insistance, Madjid refusait toujours de rencontrer Salim. Il m’expliquait qu’il ne se sentait pas encore prêt pour entamer une nouvelle étape dans nos relations : une étape qui intègrerait la présence, et peut-être même la participation, d’un deuxième homme dans nos ébats. J’en étais déçue, mais ne m’en plaignais pas pour autant. Les moments que je passais avec mon jeune amant me procuraient tellement de plaisir qu’ils suffisaient à mon bonheur.
Madjid, au cours de ces quelques jours qui ont suivi notre première rencontre – et nos premiers ébats – avait encore fait des progrès immenses en matière d’érotisme torride. Il avait été un élève extrêmement doué et, très vite, il devint un amant véritablement à la hauteur de mes espoirs et de mes désirs de nymphomane. Et ce qui ne gâchait rien, il était super bien doté par la nature : un magnifique corps d’éphèbe – grand, fin et musclé – une belle figure, encore juvénile, malgré une fine moustache qu’il portait pour se faire vieillir un peu et, surtout, une superbe queue, grosse et longue, avec un large gland en forme de chapeau de champignon. Une queue vigoureuse, toujours prête à aller à l’assaut de mon intimité. Il avait même intégré mon vocabulaire impudique et ordurier pendant nos ébats. Il me traitait, en arabe, de salope et de pute (« qahba !», « attaya ! ») et n’hésitait plus à utiliser les termes crus pour nommer son sexe, ma chatte, mon cul, son sperme (« zebi ! », « hatchounek ! », « ga3rek ! » « Ezzzel ! »).
Il lui avait fallu un peu de temps pour perdre un peu de sa timidité et s’habituer à me parler (à me hurler) à la manière d’une brute, quand il me tirait. Il avait compris que j’adorais l’entendre commenter ses désirs de me baiser comme une brute, de me faire mal et de détruire ma chatte et mon cul avec sa belle queue. Il allait même jusqu’à exprimer tout ce qu’il ressentait pendant qu’il me pinait et au moment où il avait un orgasme. Et moi, j’étais aux anges : j’avais enfin – après quelques mois de sevrage – un amant à la hauteur de mes attentes. Un amant qui satisfaisait tous mes fantasmes et me faisait grimper aux rideaux. Il ne me manquait qu’une seule chose : la présence de mon mari.
Je tenais régulièrement au courant Salim de tout ce qui se passait entre moi et mon jeune amant. A chaque fois, je voyais ses yeux briller de désir et ses lèvres trembler d’émotion. Et il souriait béatement, en nous imaginant, Madjid et moi entrain de copuler comme des bêtes. Invariablement, pendant que je lui racontais, il sortait son sexe qui grossissait à vue d’œil au fur et à mesure de l’évolution de mon compte-rendu et se mettait à le caresser doucement. Pendant que je lui racontais, je voyais son regard qui se voilait, comme s’il entrait en lui-même et à partir d’une position dominante, contemplait réellement la scène que je lui décrivais. De la salive coulait, en petit filet, de sa lèvre inférieure ; de temps en temps, il l’aspirait bruyamment pour la réintroduire dans sa bouche et l’avaler.
Et invariablement, il finissait par m’empoigner par la taille, me soulevait de terre et me jetait sur le lit en me troussant et dénudant mon intimité. Parfois, il plongeait sa tête entre mes cuisses et me faisait un cunnilingus d’enfer. Il reniflait ma chatte et mon anus, comme s’il cherchait des traces du foutre de Madjid et se mettait ensuite à aspirer comme un affamé tout le jus qu’il trouvait sur ma chatte et dans mon vagin. Parfois, il allait directement à l’essentiel, en m’enfilant brutalement et en me traitant de tous les noms d’oiseau : « Qahba ! » « 3’attaya ! » « Erkhissa ! » (Pute ! Salope ! Moins que rien !). Et il jouissait en poussant de longs râles de plaisir ! Et il me faisait jouir très intensément, malgré que j’avais eues plusieurs orgasmes, juste quelques temps auparavant, sous les assauts de Madjid, mon jeune amant.
Il me répétait qu’il était très heureux pour moi d’avoir trouvé un amant qui me donnait autant de plaisir. Mais il lui manquait quelque chose : être le spectateur privilégié de mes ébats avec Madjid. Ce le rendrait, me répétait-il, encore plus heureux. Il voulait voir les scènes de copulation de ses propres yeux et peut-être même, y participer. Il en avait les yeux qui brillaient rien que d’y penser.
Mais Madjid, à qui je répétais les mots de mon mari, ne se décidait pas à franchir le pas. Il n’avait pas encore totalement accepté l’idée d’un ménage à trois. Intellectuellement pourtant, il avait fini par accepter le fait que mon mari puisse prendre du plaisir à nous regarder baiser comme des bêtes et que nous exprimions devant lui les sensations de plaisir extrême qui nous étreignait. Mais il hésitait encore à rester avec moi jusqu’au moment où Salim rentrait à la maison. Je finis par me convaincre que mon jeune amant n’avait pas encore assez confiance en lui et de n’être pas à la hauteur de la situation qui le bloquait. Il me disait parfois, qu’il ne comprenait pas comment un homme peut être capable de baiser la femme d’un autre en sa présence. Comment même il pouvait bander devant lui. Au fur et à mesure que le temps passait, j’avais acquis la conviction que c’était là que résidait le vrai problème. Il me fallait donc trouver une solution qui le mettrait devant le fait accompli.
Après mûre réflexion, j’imaginais avec Salim un stratagème qui ferait se rencontrer mes deux hommes sur mon corps. Dans mon plan, Salim nous rejoindra discrètement pendant que Madjid serait entrain de me tirer. C’était les grandes lignes du stratagème. Il suffisait maintenant de lui trouver le mode opératoire. Plus facile à dire qu’à faire.
…/…Ce ne fut qu’à la fin de la deuxième semaine que je trouvais l’ouverture et pus mettre en application le plan que nous avions fomenté Salim et moi. Cette après-midi là, Madjid et moi avions baisé comme des bêtes. Nous avions eu deux orgasmes successifs et nous étions plus ou moins sur les genoux. Madjid surtout qui, comme à son habitude, ne ménageait aucun effort pour me donner la preuve irréfutable de sa force et de sa puissance sexuelles. Après chaque acte, c’était comme s’il venait de courir un dix mille mètres, dans les temps d’un grand champion kényan ou éthiopien.
Depuis un certain temps, je me préparais pour l’exécution de notre plan visant à se faire rencontrer - sur mon corps - mes deux hommes. C’était la seule manière que nous avions trouvé mon mari et moi pour mettre Madjid devant le fait accompli, sans qu’il n’ait aucun moyen de repli ou un prétexte, plus ou moins valable, pour refuser de faire la connaissance de Salim. Tous ces derniers jours, pendant nos ébats, je montrais à mon jeune amant une autre facette de moi, en accompagnant le plaisir que je prenais en sa compagnie par des phrases et de mots encore plus impudiques et crus que d’habitude. J’intégrais mon mari dans mes appels à plus de force, de puissance et brutalité dans le pilonnage de mes trous. J’appelais Salim – comme si c’était fait inconsciemment, sous le seul effet du désir et du plaisir que me procurait le pilonnage d’un de mes trous par Madjid – en utilisant le vocabulaire de filles de rues, pour qu’il vienne contempler sa femme se faire mettre par un autre homme.
- Salim, ya tehan, arouah et-chouf martek i-nik‘ha radjel akhour! Arouah et-tchouf kifach martek et-hab ki yenik ‘ha çaheb ‘ha! (Salim, espèce de cocu, viens voir ta femme se faire mettre par un autre homme ! Viens voir combien ta femme adore se faire tirer par son amant !)Et bien entendu, il n’y avait pas de Salim qui venait voir. Cela faisait partie du plan pour habituer Madjid de manière à ce que, le jour J, il ne se doute de rien. De la même manière, je criais à mon jeune amant tout mon désir de subir une double pénétration.
- Bghit zoudj zboubs fiya ! Wahed mel goudam, lakhour melour! Nik-ni mel-zoudj g’3ari ! En-hab en-has g’3ari fi-zoudj m’3amrine ! Habit zoudj zboubs yetlagaw fiya ! (Je veux deus zobs en moi ! Un par devant, l’autre par derrière ! Baise-moi par mes eux trous ! Je veux sentir mes deux trous remplis ! je veux deux zobs qui se rencontrent en moi !
Bien entendu, Madjid ne disposait pas de deux zobs pour me baiser. Nous vécûmes bien quelques ersatz de double pénétration, soit avec un de ses doigts qui branlait mon cul pendant que moi je chevauchais sa queue. Soit avec ma propre main qui branlait ma chatte pendant qu’il m’enculait alors que j’étais allongée sur le dos, les jambes pliées de part et d’autre de ma poitrine. Nous avions à chaque fois eu des orgasmes très intenses. Mais pour moi qui avais connu de vraies doubles pénétrations, il manquait quelque chose d’essentiel à ces ébats : un deuxième homme, son poids, son odeur, sa sueur, sa respiration, ses gémissements et … la puissance de ses bras et de son zob !
Il s’agissait pour moi – outre de lui dire que j’adorais subir une double pénétration – de l’habituer à l’idée qu’un jour ou l’autre, il y aura quelqu’un d’autre avec nous. Et que ce sera certainement Salim, mon mari. Le plan que nous avions imaginé commençait inexorablement à se mettre en place. Cette après-midi là, après deux séances torrides de jambes en l’air – des séances qui nous avaient emmenés vers les sommets du plaisir – Madjid et moi étions entrain de reprendre notre souffle. Moi je voulais que mon jeune amant prenne un peu de repos, pour être d’aplomb pour une troisième séance. Celle que je préparais avec Salim, depuis près d’une semaine. Madjid avait le sexe encore ferme, mais il me semblait qu’il n’avait plus autant de vigueur que tantôt. Il me fallait donc le remettre en forme. Et ça, je savais faire !
Nous étions affalés tous les deux dans le grand fauteuil du salon. Il avait son bras droit passé autour de mes épaules et sa main gauche qui titillait le bout de mes seins, en passant machinalement de l’un à l’autre. Nous étions tous les deux nus comme des vers. Je regardais sa queue qui semblait encore tenir la forme, mais n’avait plus la dureté du bois qu’elle avait quand il était très excité. Elle ne dardait pas fièrement vers le plafond, tel un sabre inquiétant, qui exigeait une chatte ou un cul à pourfendre. La fatigue ayant fait son effet, il bandait plutôt mou.
J’entrepris donc de lui redonner de la vigueur en caressant tout doucement le gland brillant, dont le méat laissait encore passer quelques gouttes de sperme. Je le sentis frémir sous mes caresses. Je me mis à le masturber, en faisant glisser ma main du gland vers les couilles et retour. De ma main droite, tout en le masturbant en douceur, je serrais à tour de rôle la hampe et le gland, puis relâchais la pression en entendant mon jeune amant gémir doucement de plaisir. Il enleva sa main gauche de ma poitrine pour attraper la mienne et la forcer à aller et venir plus rapidement sur sa queue. Je refusais de le suivre sur ce terrain. D’évidence, il voulait que je le masturbe et que je le fasse jouir avec la main. Moi je voulais seulement que sa queue reprenne la forme olympique et soit en mesure de réinvestir ma chatte avec sa force et sa puissance habituelles.
J’enlevais ma main de son sexe et sortis d’entre ses bras pour me mettre à genoux au pied du fauteuil. Il pensa immédiatement que j’allais le sucer et le faire jouir avec ma bouche. Il jubilait et se mit immédiatement en position pour mettre sa verge frémissante à la portée de ma bouche. Je ne sais pas s’il avait été déçu que je n’entreprenne pas tout de suite une fellation d’enfer. J’avais fermement attrapé la hampe et avançai la tête vers le gland dont le méat laissait encore passer un mince filet de sperme. Avec la langue, je léchai le filet de foutre et relevai la tête pour que Madjid me regarde l’avaler avec délectation, en claquant la langue pour lui montrer tout le plaisir que j’y prenais. Je savais qu’il adorait me regarder avaler son sperme, après qu’il ait éjaculé sur moi (directement dans ma bouche, sur mon visage, mon cou ou sur le reste de mon corps) et je connaissais donc parfaitement la réaction immédiate que ce geste aura sur sa bite. Comme je m’y attendais, sa queue trembla dans ma main qui la serrait fermement. Je la sentis qui se gonflait de plus en plus et qui ne pouvait pas s’empêcher de frémir, en attendant de pénétrer dans ma bouche.
Madjid, dont j’avais fini par connaître par avance les réactions à mes actes, était dans une situation d’attente insoutenable. Il attendait que je le suce et qu’il finisse par prendre les choses en mains. Et me baiser par la bouche. Ses mains se firent plus pressantes sur ma nuque. Par expérience, je savais que dans un moment, il allait m’attraper par les cheveux et tirer sur eux très fort pour m’obliger à ouvrir très large la bouche, pour qu’il y fasse pénétrer son zob et me pinne en force, jusqu’à me faire vomir. Mais cette fois-ci, je ne le laissais pas faire. A sa grande déconvenue, j’échappai à la pression de ses mains et sortis ma tête d’entre ses cuisses. Je le regardai droit dans les yeux, avec sur les lèvres un sourire coquin qui lui indiquait que je lui préparai quelque chose de plus intense encore. Et qu’il ne sera nullement déçu. Que le plaisir qu’il prendra avec moi sera encore plus fort que celui que lui procurerait la fellation qu’il attendait, ou même la violent baise buccale qu’il s’apprêtait à m’imposer.
- Allonge-toi complètement sur le fauteuil ! Sur le dos ! Voilà comme cela ! Ton sexe dressé vers le ciel ! Je vais venir m’empaler sur ton engin ! Je vais te baiser !
Madjid obéit sans rein dire. Il avait le regard interrogateur. Comme s’il s’attendait à ce que je fasse quelque chose d’encore inédit. Une fois qu’il fût allongé sur le dos, le sexe brandi tel un sabre vers le plafond du salon, je vins me mettre à califourchon sur le haut de ses cuisses. Je pris son engin dans ma main droite et le positionnai à l’entrée de ma chatte toujours gluante, après les deux séances de jambes en l’air de l’après-midi. Il m’était arrivé souvent, depuis les deux semaines qui s’étaient écoulées depuis que je devins la maîtresse de Madjid, de venir m’empaler sur son magnifique zob et de faire presque tout le travail de va-et-vient toute seule. J’adorais quand je laissais tomber mon corps et que mon poids m’entraînait brusquement et faisait pénétrer l’engin jusqu’aux tréfonds de mon ventre. Je le sentais encore mieux occuper tout l’espace et limer furieusement les parois de mon vagin. J’en tirais toujours un plaisir intense.
Dans un premier temps, je fis exactement comme d’habitude et entrepris de faire descendre et monter mes hanches le long du gourdin gros, long et rigide de mon amant. J’alternais le rythme - lent et rapide - en fonction de la réaction de mon ami. Et puis subitement, je m’arrêtai en position haute, demandant à Madjid de pilonner ma chatte en faisant monter et descendre son bassin. Ce qu’il fit sans rechigner. Et ce fut là que le délicieux piège que nous lui avions tendus, Salim et moi, se referma sur lui. Comme je lui avais donné l’habitude auparavant, je me mis à appeler Salim pour qu’il vienne voir sa femme se faire mettre par son amant.
- Salim, arouah et-chouf martek i nik‘ha Madjid! Arouah et-chouf radjel li darlek groun ! Arouah et-chouf radjel li radek tahan ! Arouah et-nik martek melour ! (Salim, viens voir ta femme se faire tirer par Madjid ! Viens voir l’homme qui t’a fait porter des cornes ! Viens voir l’homme qui t’a rendu cocu ! Viens niquer ta femme par derrière !)Tout en lâchant, assez fort pour que Salim, qui devait attendre dans la chambre à côté, puisse m’entendre et nous rejoindre, je m’étais mise à embrasser longuement et goulument Madjid sur la bouche, de manière à lui cacher ce qui allait se passer derrière moi. Tout en roulant un patin torride et mouillé à mon jeune amant et tout en recevant dans mon vagin les violents coups de boutoir qu’il continuait de m’asséner, je me mis en attente de l’intervention de mon mari.
Je n’attendis pas longtemps. Au bout de quelques secondes, je sentis deux mains calleuses s’emparer de mes hanches et un gros doigt tenter de pénétrer, à sec, dans mon cul. Il n’était pas assez lubrifié. Je sentis le doigt s’éloigner un moment, vite remplacé par le souffle d’une bouche qui se rapprochait. Connaissant Salim, je savais qu’il allait cracher sur l’anneau puis faire pénétrer la salive à l’intérieur de mon boyau avec ses doigts. Et ce fut ce qu’il fit. Tout cela se fit, sans que Madjid ne se rende compte de rien. Il continuait de pilonner ma chatte, pendant que moi je continuais de lui rouler un patin.
Et puis tout bascula. Je sentis le gland du zob de Salim se poster au milieu de l’anneau, deux mains puissantes m’attraper par les hanches et un gros zob pénétrer, en une seule fois, dans mon cul. Il m’avait fait un peu mal et je poussai un petit cri de douleur qui me fit arrêter le baiser que j’étais entrain de donner à mon ami. Je relevai la tête pour voir la réaction de Madjid qui venait de se rendre compte de la présence d’un autre homme. Il avait l’air vraiment étonné. Il s’arrêta de faire monter et descendre son bassin et me lança un regard interrogateur. J’eus un moment peur qu’il ne débandât. Il fallait que je dise quelque chose pour arranger les choses.
- Ma tahbesch ! Zik nik-ni ! Nikouni fi zoudj ! Bright zebek ou zeb radji yetlaqaw dakhel tqabi! Edjebdouni! A’3atiw-ni haqi! 3’amrouli tqabi! Ma et-khaliwnich ! (Ne t’arrête pas! Continue de me tirer! Baisez-moi tous les deux ! Je veux que ton zob et celui de mon mari se rencontrent à l’intérieur de mes trous ! Ne m’abandonnez-pas !)Et pour faire reprendre à Madjid le pilonnage de ma chatte, je me mis à refaire moi-même -malgré tout le poids de Salim sur mon dos - le mouvement montant et descendant sur la verge encore fortement tendue de mon jeune amant. Il poussa quelques gémissements de plaisir et puis, n’y tenant plus, il se remit à l’ouvrage. Et ce fut le paradis ! Mon mari me pilonnait le cul avec sa brutalité habituelle, pendant que mon amant faisait la même chose ave ma chatte. Leurs zobs se croisaient à travers les fines membranes de mon vagin et de mon rectum et, en se croisant, ils m’emmenaient au septième ciel et faisaient pousser à mes deux hommes des gémissements de plaisir, rauques et très sonores. Cela faisait tellement longtemps que je n’avais plus ressenti ce merveilleux plaisir d’être prise par deux hommes en même temps. C’était tellement bon ! Je me sentais défaillir ! J’étais au bord de l’évanouissement !
Mon mari ahanait derrière moi comme un bucheron. Je devinais l’air farouche qu’il devait avoir sur son visage, qui devenait tout rouge, à cause de l’effort. Et je m’imaginais sa bouche largement ouverte pour laisser passer le plus d’oxygène possible. En dessous de moi, je pouvais contempler Madjid, qui semblait avoir complètement oublié la présence de l’autre homme, tellement il était entré dans le plaisir intense qu’il ressentait à me baiser ainsi. La rencontre, des dizaines de fois renouvelée, de sa queue avec celle de Salim, semblait lui procurer une sensation qu’il ne connaissait pas encore et qui lui apportait un plaisir différent et plus intenses que ce qu’il avait déjà connu avec moi.
Je devinais, en voyant ses lèvres essayer vainement de laisser passer des phrases et des mots, qu’il voulait exprimer par la voix tout le plaisir qu’il prenait. Il avait le souffle trop court et aucun son compréhensible ne sortait de sa bouche. Mais il était évident qu’il était heureux. Et qu’il allait jouir encore plus fort que les fois passées. Et, surtout, qu’après cela, il allait en redemander. Redemander des doubles pénétrations et la présence avec nous de mon mari !
Quant à Salim, je ne m’inquiétais pas pour lui. Je savais qu’il revivait des moments exceptionnels, tels qu’il voulait les revivre depuis notre retour au pays. De telles séances lui avaient beaucoup manqué. Et il m’était très reconnaissant d’avoir déniché un amant comme Madjid et de lui faire vivre ces moments fantastiques.
Et moi, j’étais parfaitement heureuse. J’étais dans mon monde ! Celui que j’avais découvert, il y a maintenant deux ans et que je ne voulais pas perdre ! Je regardais l’homme qui était sous moi et qui continuait imperturbablement de pilonner ma chatte, qui l’attendait à une dizaine de centimètre au dessus de son sexe. Il avait fermé les yeux peut-être pour être encore plus à l’écoute de son plaisir (mais peut-être aussi, pour effacer l’image de l’autre homme qui était entrain d’enculer sa maîtresse) et rugissait comme un lion à chaque fois qu’il croisait et frottait le manche de mon mari, qui allait et venait dans mon cul. Même s’il avait les yeux fermés, je le sentais au bord de l’orgasme. Je le voyais à ses lèvres qui s’étiraient jusqu’à se vider de leur sang et devenir toutes blanches et à la salive qui sortait de sa bouche et qui coulait le long de sa joue droite, pour aller s’étaler sur le tissu de fauteuil. Je savais qu’il allait éclater en moi dans quelques secondes. Je ne savais pas si Salim était dans les mêmes dispositions et s’il n’allait pas tarder lui aussi à exploser dans mon cul. Mais je ne m’en faisais pas trop pour lui : il saura parfaitement se mettre à mon diapason et à celui de mon amant du moment. Il me l’avait prouvé plus d’une fois.
- Zidou ! Zidou ! Mlih ! Ach-hal mlih ! Bright en-faregh ma’3akoum ! Ma et-khaliwnich! Ma et-farghouch qebli! 3’amrouni bezzel! 3’amrou tqabi bezzel ! Ou a’3tiwni nechrab ! Ra‘hi djaya ! Djayaaaaa ! (Encore ! Encore ! C’est bon ! Comme c’est bon ! Je veux décharger en même temps que vous! Ne jouissez pas avant moi ! Remplissez-moi de sperme ! Remplissez mes trous de sperme ! Et donnez- moi à boire ! Je vais jouir ! Je jouiiiiis !)Et en même temps que j’entendis, l’un après l’autre, Madjid et Salim pousser un formidable râle de jouissance, moi-même, je me mis à hurler que je jouissais et je déchargeai une tonne de jus, mélangé au sperme que Madjid éjaculait en même temps. Le tout ressortait de ma chatte pour s’étaler sur le ventre de mon amant, en dessous de moi. Salim explosa dans mon boyau et éjacula une quantité incroyable de foutre épais, gluant et brûlant qui ressortait, pompé par les allers-retours de sa queue dans mon rectum, pour s’écouler sur les couilles de Madjid et aller s’étaler en dessous de ses fesses, sur le tissu du fauteuil. Ils continuèrent encore quelques temps leurs coups de reins, puis fourbus, ils s’arrêtèrent en même temps. Nous nous affalâmes les uns sur les autres. Je me retrouvais allongée sur le ventre et la poitrine de Madjid et Salim, se laissa tomber sur mon dos. Les deux avaient gardés leurs sexes plantés en moi. Celui de Salim était encore valide, tandis-que celui de mon jeune amant – qui avait fait trop d’efforts depuis le milieu de l’après-midi – avait perdu toute sa rigidité.
Moi-même j’étais assez lasse. J’avais joui plusieurs fois et sentais que mon corps était engourdi. Je voulais un peu de repos, pour pouvoir reprendre les hostilités un peu plus tard, avec Salim ou avec Madjid, ou avec les deux en même temps. Mais mon mari ne l’entendait pas de cette oreille : lui, il n’avait pas encore eu pour son compte. Il lui fallait jouir une autre fois. Et je savais parfaitement ce qu’il voulait. Que je m’occupe de lui nettoyer sa queue qui venait de sortir de mon cul. Et de subir par la suite une baise buccale qu’il adorait m’offrir comme dessert. Et cela se passa exactement comme cela, sous le regard un peu étonné de Madjid, qui resta tout ce temps-là assis sagement sur le bord fauteuil. Il ne semblait pas très à l’aise, mais à la fin du supplice que m’appliquait brutalement mon mari, il me fit un petit sourire d’empathie, comme s’il avait autant souffert que moi du traitement brutal que m’avait subir mon mari.
J’avais du mal à parler, mais je lui fis comprendre, que lui aussi m’avait traitée comme cela, il n’y a pas si longtemps. J’avais même fini par m’habituer à ces séances douloureuses et trop brutales, mais tellement jouissive pour mes amants. Je crois même que si je devais être sevrée d’un tel traitement, cela allait me manquer. Salim, une fois sortie de ma bouche, alla s’assoir auprès de Madjid, lui tendit la main pour lui offrir une poignée virile qui, de son point de vue, devait sceller leur amitié. Madjid, après une très furtive hésitation, accepta la poignée de main de Salim, tout en jetant un regard un peu intimidé vers moi. Il ne dit rien, mais me fit comprendre par le sourire heureux qui accompagnait son regard, qu’il était content de la manière dont les choses avaient évoluées.
Et depuis, Salim et Madjid devinrent des amis inséparables. Pour mon plus grand bonheur !
…/…
Madjid, au cours de ces quelques jours qui ont suivi notre première rencontre – et nos premiers ébats – avait encore fait des progrès immenses en matière d’érotisme torride. Il avait été un élève extrêmement doué et, très vite, il devint un amant véritablement à la hauteur de mes espoirs et de mes désirs de nymphomane. Et ce qui ne gâchait rien, il était super bien doté par la nature : un magnifique corps d’éphèbe – grand, fin et musclé – une belle figure, encore juvénile, malgré une fine moustache qu’il portait pour se faire vieillir un peu et, surtout, une superbe queue, grosse et longue, avec un large gland en forme de chapeau de champignon. Une queue vigoureuse, toujours prête à aller à l’assaut de mon intimité. Il avait même intégré mon vocabulaire impudique et ordurier pendant nos ébats. Il me traitait, en arabe, de salope et de pute (« qahba !», « attaya ! ») et n’hésitait plus à utiliser les termes crus pour nommer son sexe, ma chatte, mon cul, son sperme (« zebi ! », « hatchounek ! », « ga3rek ! » « Ezzzel ! »).
Il lui avait fallu un peu de temps pour perdre un peu de sa timidité et s’habituer à me parler (à me hurler) à la manière d’une brute, quand il me tirait. Il avait compris que j’adorais l’entendre commenter ses désirs de me baiser comme une brute, de me faire mal et de détruire ma chatte et mon cul avec sa belle queue. Il allait même jusqu’à exprimer tout ce qu’il ressentait pendant qu’il me pinait et au moment où il avait un orgasme. Et moi, j’étais aux anges : j’avais enfin – après quelques mois de sevrage – un amant à la hauteur de mes attentes. Un amant qui satisfaisait tous mes fantasmes et me faisait grimper aux rideaux. Il ne me manquait qu’une seule chose : la présence de mon mari.
Je tenais régulièrement au courant Salim de tout ce qui se passait entre moi et mon jeune amant. A chaque fois, je voyais ses yeux briller de désir et ses lèvres trembler d’émotion. Et il souriait béatement, en nous imaginant, Madjid et moi entrain de copuler comme des bêtes. Invariablement, pendant que je lui racontais, il sortait son sexe qui grossissait à vue d’œil au fur et à mesure de l’évolution de mon compte-rendu et se mettait à le caresser doucement. Pendant que je lui racontais, je voyais son regard qui se voilait, comme s’il entrait en lui-même et à partir d’une position dominante, contemplait réellement la scène que je lui décrivais. De la salive coulait, en petit filet, de sa lèvre inférieure ; de temps en temps, il l’aspirait bruyamment pour la réintroduire dans sa bouche et l’avaler.
Et invariablement, il finissait par m’empoigner par la taille, me soulevait de terre et me jetait sur le lit en me troussant et dénudant mon intimité. Parfois, il plongeait sa tête entre mes cuisses et me faisait un cunnilingus d’enfer. Il reniflait ma chatte et mon anus, comme s’il cherchait des traces du foutre de Madjid et se mettait ensuite à aspirer comme un affamé tout le jus qu’il trouvait sur ma chatte et dans mon vagin. Parfois, il allait directement à l’essentiel, en m’enfilant brutalement et en me traitant de tous les noms d’oiseau : « Qahba ! » « 3’attaya ! » « Erkhissa ! » (Pute ! Salope ! Moins que rien !). Et il jouissait en poussant de longs râles de plaisir ! Et il me faisait jouir très intensément, malgré que j’avais eues plusieurs orgasmes, juste quelques temps auparavant, sous les assauts de Madjid, mon jeune amant.
Il me répétait qu’il était très heureux pour moi d’avoir trouvé un amant qui me donnait autant de plaisir. Mais il lui manquait quelque chose : être le spectateur privilégié de mes ébats avec Madjid. Ce le rendrait, me répétait-il, encore plus heureux. Il voulait voir les scènes de copulation de ses propres yeux et peut-être même, y participer. Il en avait les yeux qui brillaient rien que d’y penser.
Mais Madjid, à qui je répétais les mots de mon mari, ne se décidait pas à franchir le pas. Il n’avait pas encore totalement accepté l’idée d’un ménage à trois. Intellectuellement pourtant, il avait fini par accepter le fait que mon mari puisse prendre du plaisir à nous regarder baiser comme des bêtes et que nous exprimions devant lui les sensations de plaisir extrême qui nous étreignait. Mais il hésitait encore à rester avec moi jusqu’au moment où Salim rentrait à la maison. Je finis par me convaincre que mon jeune amant n’avait pas encore assez confiance en lui et de n’être pas à la hauteur de la situation qui le bloquait. Il me disait parfois, qu’il ne comprenait pas comment un homme peut être capable de baiser la femme d’un autre en sa présence. Comment même il pouvait bander devant lui. Au fur et à mesure que le temps passait, j’avais acquis la conviction que c’était là que résidait le vrai problème. Il me fallait donc trouver une solution qui le mettrait devant le fait accompli.
Après mûre réflexion, j’imaginais avec Salim un stratagème qui ferait se rencontrer mes deux hommes sur mon corps. Dans mon plan, Salim nous rejoindra discrètement pendant que Madjid serait entrain de me tirer. C’était les grandes lignes du stratagème. Il suffisait maintenant de lui trouver le mode opératoire. Plus facile à dire qu’à faire.
…/…Ce ne fut qu’à la fin de la deuxième semaine que je trouvais l’ouverture et pus mettre en application le plan que nous avions fomenté Salim et moi. Cette après-midi là, Madjid et moi avions baisé comme des bêtes. Nous avions eu deux orgasmes successifs et nous étions plus ou moins sur les genoux. Madjid surtout qui, comme à son habitude, ne ménageait aucun effort pour me donner la preuve irréfutable de sa force et de sa puissance sexuelles. Après chaque acte, c’était comme s’il venait de courir un dix mille mètres, dans les temps d’un grand champion kényan ou éthiopien.
Depuis un certain temps, je me préparais pour l’exécution de notre plan visant à se faire rencontrer - sur mon corps - mes deux hommes. C’était la seule manière que nous avions trouvé mon mari et moi pour mettre Madjid devant le fait accompli, sans qu’il n’ait aucun moyen de repli ou un prétexte, plus ou moins valable, pour refuser de faire la connaissance de Salim. Tous ces derniers jours, pendant nos ébats, je montrais à mon jeune amant une autre facette de moi, en accompagnant le plaisir que je prenais en sa compagnie par des phrases et de mots encore plus impudiques et crus que d’habitude. J’intégrais mon mari dans mes appels à plus de force, de puissance et brutalité dans le pilonnage de mes trous. J’appelais Salim – comme si c’était fait inconsciemment, sous le seul effet du désir et du plaisir que me procurait le pilonnage d’un de mes trous par Madjid – en utilisant le vocabulaire de filles de rues, pour qu’il vienne contempler sa femme se faire mettre par un autre homme.
- Salim, ya tehan, arouah et-chouf martek i-nik‘ha radjel akhour! Arouah et-tchouf kifach martek et-hab ki yenik ‘ha çaheb ‘ha! (Salim, espèce de cocu, viens voir ta femme se faire mettre par un autre homme ! Viens voir combien ta femme adore se faire tirer par son amant !)Et bien entendu, il n’y avait pas de Salim qui venait voir. Cela faisait partie du plan pour habituer Madjid de manière à ce que, le jour J, il ne se doute de rien. De la même manière, je criais à mon jeune amant tout mon désir de subir une double pénétration.
- Bghit zoudj zboubs fiya ! Wahed mel goudam, lakhour melour! Nik-ni mel-zoudj g’3ari ! En-hab en-has g’3ari fi-zoudj m’3amrine ! Habit zoudj zboubs yetlagaw fiya ! (Je veux deus zobs en moi ! Un par devant, l’autre par derrière ! Baise-moi par mes eux trous ! Je veux sentir mes deux trous remplis ! je veux deux zobs qui se rencontrent en moi !
Bien entendu, Madjid ne disposait pas de deux zobs pour me baiser. Nous vécûmes bien quelques ersatz de double pénétration, soit avec un de ses doigts qui branlait mon cul pendant que moi je chevauchais sa queue. Soit avec ma propre main qui branlait ma chatte pendant qu’il m’enculait alors que j’étais allongée sur le dos, les jambes pliées de part et d’autre de ma poitrine. Nous avions à chaque fois eu des orgasmes très intenses. Mais pour moi qui avais connu de vraies doubles pénétrations, il manquait quelque chose d’essentiel à ces ébats : un deuxième homme, son poids, son odeur, sa sueur, sa respiration, ses gémissements et … la puissance de ses bras et de son zob !
Il s’agissait pour moi – outre de lui dire que j’adorais subir une double pénétration – de l’habituer à l’idée qu’un jour ou l’autre, il y aura quelqu’un d’autre avec nous. Et que ce sera certainement Salim, mon mari. Le plan que nous avions imaginé commençait inexorablement à se mettre en place. Cette après-midi là, après deux séances torrides de jambes en l’air – des séances qui nous avaient emmenés vers les sommets du plaisir – Madjid et moi étions entrain de reprendre notre souffle. Moi je voulais que mon jeune amant prenne un peu de repos, pour être d’aplomb pour une troisième séance. Celle que je préparais avec Salim, depuis près d’une semaine. Madjid avait le sexe encore ferme, mais il me semblait qu’il n’avait plus autant de vigueur que tantôt. Il me fallait donc le remettre en forme. Et ça, je savais faire !
Nous étions affalés tous les deux dans le grand fauteuil du salon. Il avait son bras droit passé autour de mes épaules et sa main gauche qui titillait le bout de mes seins, en passant machinalement de l’un à l’autre. Nous étions tous les deux nus comme des vers. Je regardais sa queue qui semblait encore tenir la forme, mais n’avait plus la dureté du bois qu’elle avait quand il était très excité. Elle ne dardait pas fièrement vers le plafond, tel un sabre inquiétant, qui exigeait une chatte ou un cul à pourfendre. La fatigue ayant fait son effet, il bandait plutôt mou.
J’entrepris donc de lui redonner de la vigueur en caressant tout doucement le gland brillant, dont le méat laissait encore passer quelques gouttes de sperme. Je le sentis frémir sous mes caresses. Je me mis à le masturber, en faisant glisser ma main du gland vers les couilles et retour. De ma main droite, tout en le masturbant en douceur, je serrais à tour de rôle la hampe et le gland, puis relâchais la pression en entendant mon jeune amant gémir doucement de plaisir. Il enleva sa main gauche de ma poitrine pour attraper la mienne et la forcer à aller et venir plus rapidement sur sa queue. Je refusais de le suivre sur ce terrain. D’évidence, il voulait que je le masturbe et que je le fasse jouir avec la main. Moi je voulais seulement que sa queue reprenne la forme olympique et soit en mesure de réinvestir ma chatte avec sa force et sa puissance habituelles.
J’enlevais ma main de son sexe et sortis d’entre ses bras pour me mettre à genoux au pied du fauteuil. Il pensa immédiatement que j’allais le sucer et le faire jouir avec ma bouche. Il jubilait et se mit immédiatement en position pour mettre sa verge frémissante à la portée de ma bouche. Je ne sais pas s’il avait été déçu que je n’entreprenne pas tout de suite une fellation d’enfer. J’avais fermement attrapé la hampe et avançai la tête vers le gland dont le méat laissait encore passer un mince filet de sperme. Avec la langue, je léchai le filet de foutre et relevai la tête pour que Madjid me regarde l’avaler avec délectation, en claquant la langue pour lui montrer tout le plaisir que j’y prenais. Je savais qu’il adorait me regarder avaler son sperme, après qu’il ait éjaculé sur moi (directement dans ma bouche, sur mon visage, mon cou ou sur le reste de mon corps) et je connaissais donc parfaitement la réaction immédiate que ce geste aura sur sa bite. Comme je m’y attendais, sa queue trembla dans ma main qui la serrait fermement. Je la sentis qui se gonflait de plus en plus et qui ne pouvait pas s’empêcher de frémir, en attendant de pénétrer dans ma bouche.
Madjid, dont j’avais fini par connaître par avance les réactions à mes actes, était dans une situation d’attente insoutenable. Il attendait que je le suce et qu’il finisse par prendre les choses en mains. Et me baiser par la bouche. Ses mains se firent plus pressantes sur ma nuque. Par expérience, je savais que dans un moment, il allait m’attraper par les cheveux et tirer sur eux très fort pour m’obliger à ouvrir très large la bouche, pour qu’il y fasse pénétrer son zob et me pinne en force, jusqu’à me faire vomir. Mais cette fois-ci, je ne le laissais pas faire. A sa grande déconvenue, j’échappai à la pression de ses mains et sortis ma tête d’entre ses cuisses. Je le regardai droit dans les yeux, avec sur les lèvres un sourire coquin qui lui indiquait que je lui préparai quelque chose de plus intense encore. Et qu’il ne sera nullement déçu. Que le plaisir qu’il prendra avec moi sera encore plus fort que celui que lui procurerait la fellation qu’il attendait, ou même la violent baise buccale qu’il s’apprêtait à m’imposer.
- Allonge-toi complètement sur le fauteuil ! Sur le dos ! Voilà comme cela ! Ton sexe dressé vers le ciel ! Je vais venir m’empaler sur ton engin ! Je vais te baiser !
Madjid obéit sans rein dire. Il avait le regard interrogateur. Comme s’il s’attendait à ce que je fasse quelque chose d’encore inédit. Une fois qu’il fût allongé sur le dos, le sexe brandi tel un sabre vers le plafond du salon, je vins me mettre à califourchon sur le haut de ses cuisses. Je pris son engin dans ma main droite et le positionnai à l’entrée de ma chatte toujours gluante, après les deux séances de jambes en l’air de l’après-midi. Il m’était arrivé souvent, depuis les deux semaines qui s’étaient écoulées depuis que je devins la maîtresse de Madjid, de venir m’empaler sur son magnifique zob et de faire presque tout le travail de va-et-vient toute seule. J’adorais quand je laissais tomber mon corps et que mon poids m’entraînait brusquement et faisait pénétrer l’engin jusqu’aux tréfonds de mon ventre. Je le sentais encore mieux occuper tout l’espace et limer furieusement les parois de mon vagin. J’en tirais toujours un plaisir intense.
Dans un premier temps, je fis exactement comme d’habitude et entrepris de faire descendre et monter mes hanches le long du gourdin gros, long et rigide de mon amant. J’alternais le rythme - lent et rapide - en fonction de la réaction de mon ami. Et puis subitement, je m’arrêtai en position haute, demandant à Madjid de pilonner ma chatte en faisant monter et descendre son bassin. Ce qu’il fit sans rechigner. Et ce fut là que le délicieux piège que nous lui avions tendus, Salim et moi, se referma sur lui. Comme je lui avais donné l’habitude auparavant, je me mis à appeler Salim pour qu’il vienne voir sa femme se faire mettre par son amant.
- Salim, arouah et-chouf martek i nik‘ha Madjid! Arouah et-chouf radjel li darlek groun ! Arouah et-chouf radjel li radek tahan ! Arouah et-nik martek melour ! (Salim, viens voir ta femme se faire tirer par Madjid ! Viens voir l’homme qui t’a fait porter des cornes ! Viens voir l’homme qui t’a rendu cocu ! Viens niquer ta femme par derrière !)Tout en lâchant, assez fort pour que Salim, qui devait attendre dans la chambre à côté, puisse m’entendre et nous rejoindre, je m’étais mise à embrasser longuement et goulument Madjid sur la bouche, de manière à lui cacher ce qui allait se passer derrière moi. Tout en roulant un patin torride et mouillé à mon jeune amant et tout en recevant dans mon vagin les violents coups de boutoir qu’il continuait de m’asséner, je me mis en attente de l’intervention de mon mari.
Je n’attendis pas longtemps. Au bout de quelques secondes, je sentis deux mains calleuses s’emparer de mes hanches et un gros doigt tenter de pénétrer, à sec, dans mon cul. Il n’était pas assez lubrifié. Je sentis le doigt s’éloigner un moment, vite remplacé par le souffle d’une bouche qui se rapprochait. Connaissant Salim, je savais qu’il allait cracher sur l’anneau puis faire pénétrer la salive à l’intérieur de mon boyau avec ses doigts. Et ce fut ce qu’il fit. Tout cela se fit, sans que Madjid ne se rende compte de rien. Il continuait de pilonner ma chatte, pendant que moi je continuais de lui rouler un patin.
Et puis tout bascula. Je sentis le gland du zob de Salim se poster au milieu de l’anneau, deux mains puissantes m’attraper par les hanches et un gros zob pénétrer, en une seule fois, dans mon cul. Il m’avait fait un peu mal et je poussai un petit cri de douleur qui me fit arrêter le baiser que j’étais entrain de donner à mon ami. Je relevai la tête pour voir la réaction de Madjid qui venait de se rendre compte de la présence d’un autre homme. Il avait l’air vraiment étonné. Il s’arrêta de faire monter et descendre son bassin et me lança un regard interrogateur. J’eus un moment peur qu’il ne débandât. Il fallait que je dise quelque chose pour arranger les choses.
- Ma tahbesch ! Zik nik-ni ! Nikouni fi zoudj ! Bright zebek ou zeb radji yetlaqaw dakhel tqabi! Edjebdouni! A’3atiw-ni haqi! 3’amrouli tqabi! Ma et-khaliwnich ! (Ne t’arrête pas! Continue de me tirer! Baisez-moi tous les deux ! Je veux que ton zob et celui de mon mari se rencontrent à l’intérieur de mes trous ! Ne m’abandonnez-pas !)Et pour faire reprendre à Madjid le pilonnage de ma chatte, je me mis à refaire moi-même -malgré tout le poids de Salim sur mon dos - le mouvement montant et descendant sur la verge encore fortement tendue de mon jeune amant. Il poussa quelques gémissements de plaisir et puis, n’y tenant plus, il se remit à l’ouvrage. Et ce fut le paradis ! Mon mari me pilonnait le cul avec sa brutalité habituelle, pendant que mon amant faisait la même chose ave ma chatte. Leurs zobs se croisaient à travers les fines membranes de mon vagin et de mon rectum et, en se croisant, ils m’emmenaient au septième ciel et faisaient pousser à mes deux hommes des gémissements de plaisir, rauques et très sonores. Cela faisait tellement longtemps que je n’avais plus ressenti ce merveilleux plaisir d’être prise par deux hommes en même temps. C’était tellement bon ! Je me sentais défaillir ! J’étais au bord de l’évanouissement !
Mon mari ahanait derrière moi comme un bucheron. Je devinais l’air farouche qu’il devait avoir sur son visage, qui devenait tout rouge, à cause de l’effort. Et je m’imaginais sa bouche largement ouverte pour laisser passer le plus d’oxygène possible. En dessous de moi, je pouvais contempler Madjid, qui semblait avoir complètement oublié la présence de l’autre homme, tellement il était entré dans le plaisir intense qu’il ressentait à me baiser ainsi. La rencontre, des dizaines de fois renouvelée, de sa queue avec celle de Salim, semblait lui procurer une sensation qu’il ne connaissait pas encore et qui lui apportait un plaisir différent et plus intenses que ce qu’il avait déjà connu avec moi.
Je devinais, en voyant ses lèvres essayer vainement de laisser passer des phrases et des mots, qu’il voulait exprimer par la voix tout le plaisir qu’il prenait. Il avait le souffle trop court et aucun son compréhensible ne sortait de sa bouche. Mais il était évident qu’il était heureux. Et qu’il allait jouir encore plus fort que les fois passées. Et, surtout, qu’après cela, il allait en redemander. Redemander des doubles pénétrations et la présence avec nous de mon mari !
Quant à Salim, je ne m’inquiétais pas pour lui. Je savais qu’il revivait des moments exceptionnels, tels qu’il voulait les revivre depuis notre retour au pays. De telles séances lui avaient beaucoup manqué. Et il m’était très reconnaissant d’avoir déniché un amant comme Madjid et de lui faire vivre ces moments fantastiques.
Et moi, j’étais parfaitement heureuse. J’étais dans mon monde ! Celui que j’avais découvert, il y a maintenant deux ans et que je ne voulais pas perdre ! Je regardais l’homme qui était sous moi et qui continuait imperturbablement de pilonner ma chatte, qui l’attendait à une dizaine de centimètre au dessus de son sexe. Il avait fermé les yeux peut-être pour être encore plus à l’écoute de son plaisir (mais peut-être aussi, pour effacer l’image de l’autre homme qui était entrain d’enculer sa maîtresse) et rugissait comme un lion à chaque fois qu’il croisait et frottait le manche de mon mari, qui allait et venait dans mon cul. Même s’il avait les yeux fermés, je le sentais au bord de l’orgasme. Je le voyais à ses lèvres qui s’étiraient jusqu’à se vider de leur sang et devenir toutes blanches et à la salive qui sortait de sa bouche et qui coulait le long de sa joue droite, pour aller s’étaler sur le tissu de fauteuil. Je savais qu’il allait éclater en moi dans quelques secondes. Je ne savais pas si Salim était dans les mêmes dispositions et s’il n’allait pas tarder lui aussi à exploser dans mon cul. Mais je ne m’en faisais pas trop pour lui : il saura parfaitement se mettre à mon diapason et à celui de mon amant du moment. Il me l’avait prouvé plus d’une fois.
- Zidou ! Zidou ! Mlih ! Ach-hal mlih ! Bright en-faregh ma’3akoum ! Ma et-khaliwnich! Ma et-farghouch qebli! 3’amrouni bezzel! 3’amrou tqabi bezzel ! Ou a’3tiwni nechrab ! Ra‘hi djaya ! Djayaaaaa ! (Encore ! Encore ! C’est bon ! Comme c’est bon ! Je veux décharger en même temps que vous! Ne jouissez pas avant moi ! Remplissez-moi de sperme ! Remplissez mes trous de sperme ! Et donnez- moi à boire ! Je vais jouir ! Je jouiiiiis !)Et en même temps que j’entendis, l’un après l’autre, Madjid et Salim pousser un formidable râle de jouissance, moi-même, je me mis à hurler que je jouissais et je déchargeai une tonne de jus, mélangé au sperme que Madjid éjaculait en même temps. Le tout ressortait de ma chatte pour s’étaler sur le ventre de mon amant, en dessous de moi. Salim explosa dans mon boyau et éjacula une quantité incroyable de foutre épais, gluant et brûlant qui ressortait, pompé par les allers-retours de sa queue dans mon rectum, pour s’écouler sur les couilles de Madjid et aller s’étaler en dessous de ses fesses, sur le tissu du fauteuil. Ils continuèrent encore quelques temps leurs coups de reins, puis fourbus, ils s’arrêtèrent en même temps. Nous nous affalâmes les uns sur les autres. Je me retrouvais allongée sur le ventre et la poitrine de Madjid et Salim, se laissa tomber sur mon dos. Les deux avaient gardés leurs sexes plantés en moi. Celui de Salim était encore valide, tandis-que celui de mon jeune amant – qui avait fait trop d’efforts depuis le milieu de l’après-midi – avait perdu toute sa rigidité.
Moi-même j’étais assez lasse. J’avais joui plusieurs fois et sentais que mon corps était engourdi. Je voulais un peu de repos, pour pouvoir reprendre les hostilités un peu plus tard, avec Salim ou avec Madjid, ou avec les deux en même temps. Mais mon mari ne l’entendait pas de cette oreille : lui, il n’avait pas encore eu pour son compte. Il lui fallait jouir une autre fois. Et je savais parfaitement ce qu’il voulait. Que je m’occupe de lui nettoyer sa queue qui venait de sortir de mon cul. Et de subir par la suite une baise buccale qu’il adorait m’offrir comme dessert. Et cela se passa exactement comme cela, sous le regard un peu étonné de Madjid, qui resta tout ce temps-là assis sagement sur le bord fauteuil. Il ne semblait pas très à l’aise, mais à la fin du supplice que m’appliquait brutalement mon mari, il me fit un petit sourire d’empathie, comme s’il avait autant souffert que moi du traitement brutal que m’avait subir mon mari.
J’avais du mal à parler, mais je lui fis comprendre, que lui aussi m’avait traitée comme cela, il n’y a pas si longtemps. J’avais même fini par m’habituer à ces séances douloureuses et trop brutales, mais tellement jouissive pour mes amants. Je crois même que si je devais être sevrée d’un tel traitement, cela allait me manquer. Salim, une fois sortie de ma bouche, alla s’assoir auprès de Madjid, lui tendit la main pour lui offrir une poignée virile qui, de son point de vue, devait sceller leur amitié. Madjid, après une très furtive hésitation, accepta la poignée de main de Salim, tout en jetant un regard un peu intimidé vers moi. Il ne dit rien, mais me fit comprendre par le sourire heureux qui accompagnait son regard, qu’il était content de la manière dont les choses avaient évoluées.
Et depuis, Salim et Madjid devinrent des amis inséparables. Pour mon plus grand bonheur !
…/…
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