Maison de retraite
Récit érotique écrit par Aenvi2sex [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-08-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Maison de retraite
Je suis fier de dire que ma femme, Sylvie, à 62 ans rend régulièrement visite aux pensionnaires d'une maison de retraite agréable. Rares sont les petits-enfants aussi attentionnés.
Pour la décrire, il faut imaginer une femme assez petite, potelée, cheveux châtains, yeux marron, jolis seins fermes en pomme et fesses bien rondes.
A chaque visite elle met une robe se boutonnant sur le devant car les grands-pères, vieux jeu, ne prisent pas les pantalons. Seuls des esprits pervers pourraient penser qu'il y a une quelconque connotation sexuelle dans ce choix.
A l'arrivée de Sylvie, son pépé est dans le hall, l'œil absent, tout comme son voisin, Albert, son ainé d'un an assis dans le fauteuil voisin.
Ma femme se glisse entre les deux fauteuils et pose une bise sur le front de son pépé ce qui a l'effet immédiat de faire renaitre une lueur de vie dans les yeux éteints du vieillard.
Lucien attrape Sylvie par la taille et réclame son bisou. Sans lâcher la taille de sa petite fille, le vieillard entame une conversation banale avec elle. Bientôt celle-ci lui murmure :– L'autre monsieur me caresse les cuisses pépé !...
– Laisse-toi faire ma chérie... tu sais on n'a pas beaucoup de loisirs ici...
– Oui mais on peut nous voir...
Il est vrai que pour l'instant le hall est quasi désert mais un personnel de la maison de retraite peut passer à l'improviste et la robe remontée sur les fesses de ma femme par la main inquisitrice d'Albert ne saurait passer inaperçue.
– Il fouille ma culotte maintenant, pépé !
– Mais tu aimes ça.
– Avec toi, oui... et puis on le fait dans ta chambre...
– Tu as raison ma puce... Albert !... Albert !
– Oui ?...
– Sors ta main de la culotte de ma petite fille... on peut te surprendre...
– M'en fout ! ! !
– Tu n'as pas envie d'en voir plus ?
– A poil ?...
– Oui.
– Hummm... que proposes-tu ?
– Laisse-nous 5 minutes et rejoins-nous dans ma chambre.
Cinq minutes plus tard Albert rejoint Lucien et Sylvie qu'il trouve enlacés, leurs bouches collées l'une à l'autre.
– Ferme la porte à clef !
Albert obéit.
– Sylvie, va embrasser Albert.
Obéissante, ma femme rejoint le vieillard et passe ses bras autour de son cou pour échanger un baiser langoureux.
Albert n'en revient pas et roule une pelle baveuse à Sylvie tout en lui emprisonnant les fesses dans ses mains rhumatisantes.
Le cul de ma femme agit comme un onguent miraculeux et les doigts du vieillard retrouvent l'agilité de leurs 20 ans.
Pendant ce temps, Lucien n'a pas perdu son temps et c'est à poil qu'il s'allonge sur son lit.
Hummm, ma femme 62 ans enlacée et embrassée par un vieillard de 86 ans tandis qu'un autre, en l'occurrence son grand-père, l'attend nu sur le lit en train de se branler.
Sylvie, tout en se laissant embrasser sur la bouche, ouvre la braguette d'Albert. Elle y glisse sa menotte, écarte tant bien que mal le slip kangourou et en extrait une belle queue molle.
Hummm, pense-t-elle en la soupesant, si j'arrive à le faire bander, je ne sais pas si mon cul supportera un engin pareil.
En effet, au repos, la bite du vieillard est au moins une fois et demi plus grande que celle de son grand-père.
Sylvie s'agenouille et gobe la queue qu'elle aspire avec délectation. Elle suce, lèche, aspire, branle l'engin, finissant par décalotter le gland qu'elle titille du bout de sa langue avant de le réenfourner dans sa petite bouche avide.
Sylvie déboutonne la ceinture du pantalon qui tombe sur les chevilles du vieillard. Le slip ne tarde pas à l'y rejoindre et ma femme soupèse les couilles qui sont devenues dures. Albert l'attrape par les cheveux et l'oblige à enfourner sa bite jusqu'au fond de sa petite gorge.
Sylvie à l'habitude de cette façon de faire un peu brutale avec son grand-père et elle doit bien reconnaitre qu'elle aime ça.
Jusqu'à présent, Lucien se branlait en matant comme un vieux pervers, sa petite-fille se faire violer par ce vieillard sénile.
Là il n'en peut plus. Il rejoint le couple, soulève la robe de sa petite fille, lui baisse la petite culotte et lui écarte les fesses afin de lui lécher la petite rondelle. Hummm, quel délice !...
Sa langue monte et descend tout le long de la raie du cul de sa petite-fille, s'attarde sur l'anus, darde vers l'entrée du cul tandis que ses mains fiévreuses caresse Sylvie sur les cuisses et les fesses.
Tandis que Sylvie continue de pomper Albert, Lucien lui enfonce ses doigts dans le cul. Un, deux, trois doigts tournent dans l'anus de ma femme pour lui dilater l'anus jusqu'à ce que le sphincter ne referme plus le rectum.
Le moment est venu. Avant qu'il ne débande, Lucien s'empresse de présenter sa queue à l'entrée du cul de sa petite fille et la maintenant par les hanches, l'encule sans douceur.
Sylvie, la bouche occupée par la bite d'Albert, ne peut que pousser un râle étouffé quand son grand-père lui défonce le cul.
Le premier instant de douleur passé, elle peut savourer le pilonnage régulier de l'aïeul et continuer le pompage d'Albert.
La queue de ce dernier est maintenant raide et c'est un véritable plaisir de se l'enfourner jusqu'aux amygdales.
Cela fait 10 minutes que Lucien encule sa petite fille et bien qu'elle suce divinement bien, Albert souhaiterait changer de trou et baiser ma femme dans son petit vagin étroit.
De son côté, Lucien ne désire pas cesser sa sodomie. Un compromis est trouvé.
Lucien s'allonge sur le lit, Sylvie s'empale sur lui et Albert les rejoint, enfouissant son visage entre les cuisses de ma femme pour gouter ce petit fruit défendu.
En expert, le vieillard lèche goulument la chatte gonflée et parcourt la fente à la recherche du clito dont le léchage devrait libérer des litres de cyprine.
En effet, agacée, titillée, ma femme mouille abondamment et le vieil homme peut violer l'intimité de ma femme sans forcer outre mesure.
Le vagin est étroit. La queue énorme. Sylvie, bien qu'habituée aux queues depuis son plus jeune âge, gémit sous l'intromission de ce pieu mais Albert n'en a cure et défonce ma femme sans ménagement.
Déchirée par le cul et le con, ma femme doit faire effort pour ne pas hurler et ameuter toute la maison de retraite.
Les deux vieillards sentent leurs queues se frotter à travers la mince paroi séparant le cul du vagin et cela ne fait que décupler leur excitation.
Leur grand âge ne facilite pas l'arrivée de la jouissance et au bout de 20 minutes ils se demandent s'ils vont résister et enfin inonder ma femme ou déclarer forfait.
Par contre, cette difficulté à jouir a un effet positif : ma femme a eu le temps d'arriver à l'orgasme et des spasmes violents la secouent tandis que ses yeux se révulsent et que ma femme pousse des râles obscènes qui déclenchent à leur tour la jouissance des deux vieillards qui crachent de longs jets de sperme dans le cul et le vagin de Sylvie.
Une heure et demie de baise ont laissé les deux vieux sur les genoux et ma femme ravie.
Elle se retrouve couchée entre les deux vieillards à leur caresser leurs queues désormais définitivement molle pour la journée.
Les deux hommes ne bougent plus et laisse ma femme les sucer, les caresser, les embrasser sur la bouche.
Sans se laver la chatte et le cul, ma femme remet sa petite culotte.
– Tout va couler dans ma culotte et je la donnerai à Daniel ce soir... il sera content.
– Petite vicieuse !
– C'est comme ça que tu m'aimes papy !...
– Oui ma puce...
– Je dois partir...
– Viens... un dernier bisou...
Ma femme retourne sur le lit, embrasse langoureusement chacun des deux hommes avant de les abandonner nus.
– Rhabillez-vous... si on vous voit comme ça on pourrait s'imaginer des choses... hi hi... à demain...
Pour la décrire, il faut imaginer une femme assez petite, potelée, cheveux châtains, yeux marron, jolis seins fermes en pomme et fesses bien rondes.
A chaque visite elle met une robe se boutonnant sur le devant car les grands-pères, vieux jeu, ne prisent pas les pantalons. Seuls des esprits pervers pourraient penser qu'il y a une quelconque connotation sexuelle dans ce choix.
A l'arrivée de Sylvie, son pépé est dans le hall, l'œil absent, tout comme son voisin, Albert, son ainé d'un an assis dans le fauteuil voisin.
Ma femme se glisse entre les deux fauteuils et pose une bise sur le front de son pépé ce qui a l'effet immédiat de faire renaitre une lueur de vie dans les yeux éteints du vieillard.
Lucien attrape Sylvie par la taille et réclame son bisou. Sans lâcher la taille de sa petite fille, le vieillard entame une conversation banale avec elle. Bientôt celle-ci lui murmure :– L'autre monsieur me caresse les cuisses pépé !...
– Laisse-toi faire ma chérie... tu sais on n'a pas beaucoup de loisirs ici...
– Oui mais on peut nous voir...
Il est vrai que pour l'instant le hall est quasi désert mais un personnel de la maison de retraite peut passer à l'improviste et la robe remontée sur les fesses de ma femme par la main inquisitrice d'Albert ne saurait passer inaperçue.
– Il fouille ma culotte maintenant, pépé !
– Mais tu aimes ça.
– Avec toi, oui... et puis on le fait dans ta chambre...
– Tu as raison ma puce... Albert !... Albert !
– Oui ?...
– Sors ta main de la culotte de ma petite fille... on peut te surprendre...
– M'en fout ! ! !
– Tu n'as pas envie d'en voir plus ?
– A poil ?...
– Oui.
– Hummm... que proposes-tu ?
– Laisse-nous 5 minutes et rejoins-nous dans ma chambre.
Cinq minutes plus tard Albert rejoint Lucien et Sylvie qu'il trouve enlacés, leurs bouches collées l'une à l'autre.
– Ferme la porte à clef !
Albert obéit.
– Sylvie, va embrasser Albert.
Obéissante, ma femme rejoint le vieillard et passe ses bras autour de son cou pour échanger un baiser langoureux.
Albert n'en revient pas et roule une pelle baveuse à Sylvie tout en lui emprisonnant les fesses dans ses mains rhumatisantes.
Le cul de ma femme agit comme un onguent miraculeux et les doigts du vieillard retrouvent l'agilité de leurs 20 ans.
Pendant ce temps, Lucien n'a pas perdu son temps et c'est à poil qu'il s'allonge sur son lit.
Hummm, ma femme 62 ans enlacée et embrassée par un vieillard de 86 ans tandis qu'un autre, en l'occurrence son grand-père, l'attend nu sur le lit en train de se branler.
Sylvie, tout en se laissant embrasser sur la bouche, ouvre la braguette d'Albert. Elle y glisse sa menotte, écarte tant bien que mal le slip kangourou et en extrait une belle queue molle.
Hummm, pense-t-elle en la soupesant, si j'arrive à le faire bander, je ne sais pas si mon cul supportera un engin pareil.
En effet, au repos, la bite du vieillard est au moins une fois et demi plus grande que celle de son grand-père.
Sylvie s'agenouille et gobe la queue qu'elle aspire avec délectation. Elle suce, lèche, aspire, branle l'engin, finissant par décalotter le gland qu'elle titille du bout de sa langue avant de le réenfourner dans sa petite bouche avide.
Sylvie déboutonne la ceinture du pantalon qui tombe sur les chevilles du vieillard. Le slip ne tarde pas à l'y rejoindre et ma femme soupèse les couilles qui sont devenues dures. Albert l'attrape par les cheveux et l'oblige à enfourner sa bite jusqu'au fond de sa petite gorge.
Sylvie à l'habitude de cette façon de faire un peu brutale avec son grand-père et elle doit bien reconnaitre qu'elle aime ça.
Jusqu'à présent, Lucien se branlait en matant comme un vieux pervers, sa petite-fille se faire violer par ce vieillard sénile.
Là il n'en peut plus. Il rejoint le couple, soulève la robe de sa petite fille, lui baisse la petite culotte et lui écarte les fesses afin de lui lécher la petite rondelle. Hummm, quel délice !...
Sa langue monte et descend tout le long de la raie du cul de sa petite-fille, s'attarde sur l'anus, darde vers l'entrée du cul tandis que ses mains fiévreuses caresse Sylvie sur les cuisses et les fesses.
Tandis que Sylvie continue de pomper Albert, Lucien lui enfonce ses doigts dans le cul. Un, deux, trois doigts tournent dans l'anus de ma femme pour lui dilater l'anus jusqu'à ce que le sphincter ne referme plus le rectum.
Le moment est venu. Avant qu'il ne débande, Lucien s'empresse de présenter sa queue à l'entrée du cul de sa petite fille et la maintenant par les hanches, l'encule sans douceur.
Sylvie, la bouche occupée par la bite d'Albert, ne peut que pousser un râle étouffé quand son grand-père lui défonce le cul.
Le premier instant de douleur passé, elle peut savourer le pilonnage régulier de l'aïeul et continuer le pompage d'Albert.
La queue de ce dernier est maintenant raide et c'est un véritable plaisir de se l'enfourner jusqu'aux amygdales.
Cela fait 10 minutes que Lucien encule sa petite fille et bien qu'elle suce divinement bien, Albert souhaiterait changer de trou et baiser ma femme dans son petit vagin étroit.
De son côté, Lucien ne désire pas cesser sa sodomie. Un compromis est trouvé.
Lucien s'allonge sur le lit, Sylvie s'empale sur lui et Albert les rejoint, enfouissant son visage entre les cuisses de ma femme pour gouter ce petit fruit défendu.
En expert, le vieillard lèche goulument la chatte gonflée et parcourt la fente à la recherche du clito dont le léchage devrait libérer des litres de cyprine.
En effet, agacée, titillée, ma femme mouille abondamment et le vieil homme peut violer l'intimité de ma femme sans forcer outre mesure.
Le vagin est étroit. La queue énorme. Sylvie, bien qu'habituée aux queues depuis son plus jeune âge, gémit sous l'intromission de ce pieu mais Albert n'en a cure et défonce ma femme sans ménagement.
Déchirée par le cul et le con, ma femme doit faire effort pour ne pas hurler et ameuter toute la maison de retraite.
Les deux vieillards sentent leurs queues se frotter à travers la mince paroi séparant le cul du vagin et cela ne fait que décupler leur excitation.
Leur grand âge ne facilite pas l'arrivée de la jouissance et au bout de 20 minutes ils se demandent s'ils vont résister et enfin inonder ma femme ou déclarer forfait.
Par contre, cette difficulté à jouir a un effet positif : ma femme a eu le temps d'arriver à l'orgasme et des spasmes violents la secouent tandis que ses yeux se révulsent et que ma femme pousse des râles obscènes qui déclenchent à leur tour la jouissance des deux vieillards qui crachent de longs jets de sperme dans le cul et le vagin de Sylvie.
Une heure et demie de baise ont laissé les deux vieux sur les genoux et ma femme ravie.
Elle se retrouve couchée entre les deux vieillards à leur caresser leurs queues désormais définitivement molle pour la journée.
Les deux hommes ne bougent plus et laisse ma femme les sucer, les caresser, les embrasser sur la bouche.
Sans se laver la chatte et le cul, ma femme remet sa petite culotte.
– Tout va couler dans ma culotte et je la donnerai à Daniel ce soir... il sera content.
– Petite vicieuse !
– C'est comme ça que tu m'aimes papy !...
– Oui ma puce...
– Je dois partir...
– Viens... un dernier bisou...
Ma femme retourne sur le lit, embrasse langoureusement chacun des deux hommes avant de les abandonner nus.
– Rhabillez-vous... si on vous voit comme ça on pourrait s'imaginer des choses... hi hi... à demain...
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle histoire excitante et quel plaisir les deux papy ont eu ainsi que Sylvie cette petite cochonne
Belle histoire excitante j'ai bien mouillée surtout ça m'a remonté des souvenirs j'ai travaillée en maison de retraite j'ai connue les mains baladeuses les bites a l'air j' étais souvent excitée puis un fameux M. Henri bien que 82 ans avec une bite grosse bien dure je n'ai pas résistée longtemps je l'ai sucée sous la douche et le jour ou il m' a bourrée la chatte je me mordais la main pour ne pas hurler ça a duré 3 ans jamais je n'ai eu la chatte remplie comme ça je ne l'ai jamais oubliée bien qu ' âgée a mon tour je me branle souvent en y repensant bises
Belle histoire excitante j'ai bien mouillée surtout ça m'a remonté des souvenirs j'ai travaillée en maison de retraite j'ai connue les mains baladeuses les bites a l'air j' étais souvent excitée puis un fameux M. Henri bien que 82 ans avec une bite grosse bien dure je n'ai pas résistée longtemps je l'ai sucée sous la douche et le jour ou il m' a bourrée la chatte je me mordais la main pour ne pas hurler ça a duré 3 ans jamais je n'ai eu la chatte remplie comme ça je ne l'ai jamais oubliée bien qu ' âgée a mon tour je me branle souvent en y repensant bises