Maîtresse web ?
Récit érotique écrit par Gentleman pervers [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-02-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
Maîtresse web ?
Partie 2
J’ai passé un difficile restant journée entre excitation, légère humiliation et honte. Lorsque je suis arrivé chez moi, j’étais pour le dire à ma copine mais elle m’accueillie avec un fort baiser en me prenant les couilles. Pas de doute, elle voulait du sexe et nous l’avons fait.
J’aime bien la prendre fort par derrière alors qu’elle est couchée sur le bord du lit, je trouve que ça lui rappelle que cette chatte est à moi. Puis après, je me suis dit que ce n’était pas grand-chose ce que j’avais fait aujourd’hui, après tout, c’était ça le but.
Le mercredi fût d’un silence radio total, j’ai presque eu le goût d’aller me faire ce traitement au toilette sans ordre. Ma libido était autant dans le tapis que mon impatience, alors, quand je suis revenu chez moi le soir, j’ai sauté sur ma copine. Puis le jeudi arriva, je fais des shifts de 8h30 à 17h, ma maîtresse me contacta d’un texte simple : textes moi à chacune de tes pauses.
10h : je suis en pause.
La réponse fût immédiate : va aux toilettes, serre-toi les couilles.
Ce que je fis.
Puis un autre texte arriva : maintenant frappe-les légèrement, puis non, moyennement fort.
Je m’exécutai pendant quelques minutes, j’étais bander dure (je fais environ 8 pouces avec un gros diamètre, imaginez-vous une cannette de Guiness).
Puis je reçu : parfait, arrête et retourne travailler.
J’ai eu droit à ça à chacune de mes pauses. Lorsque je suis arrivé à la maison, je n’avais qu’une envie mais malheureusement ma copine était partit dormir chez mes parents. Je fis ma routine : douche et bouffe entrecroisé de bières et ma maîtresse me contacta : Ta copine est avec toi?
Non, elle revient demain matin.
-Excellent, je n’aurais pas voulu la privée, par contre toi oui.
Me privé de?
-Pas de masturbation pour toi ce soir.
Hein?
-Mais tu te dois de voir tout ce que je t’envoie.
Euh… ok.
Puis, plus rien, je voulais décidemment me toucher mais c’était un ordre qui me semblait facile si j’arrive à me changer les idées, sauf que vers 21h, j’ai commencé à recevoir, en abondance, des images de ma maîtresse en brassière, de sa culotte par devant puis par derrière. Après elle a passé à de courts vidéos de sa main sa culotte avec un léger son de jouissance et pour finir, j’ai eu droits à 6 liens pour des vidéos pornos qui sont très clairement dans mes goûts. Je me retrouvai comme à chacune de mes pauses, dur. Je ne sais pas par quel miracle, mais je réussis à obéir ne fît rien.
Le vendredi matin arriva et alors que j’étais dans le bus, je reçu un nouveau texte : Ce soir, tu sors ta copine dans ce bar-club (je vais éviter de le nommé), tu lui fais ce que tu veux avant, mais à 22h, vous êtes là-bas.
Je contactai ma belle la seconde suivante et elle était très enthousiasmée. Ça faisait un moment qu’on n’avait pas sorti. Contrairement à elle, j’avais une certaine appréhension, mais bon, tant qu’à jouer le jeu, de plus, j’allais la « rider » bien comme il faut avant, alors aucun problème. 18h, j’arrive chez moi avec la même idée que j’ai eu en tête toute la journée, mais ma copine voit ça autrement, elle a fini de manger et ce prépare.
Je mange, me prépare aussi et on s’entend que nous irons en métro pour revenir en taxi. On arrive à ce dit lieu vers 21h30, la terrasse est chauffée, l’ambiance est bonne et on se prend un pichet avant de descendre danser au club du sous-sol. On rigole, on s’amuse, on boit. Je prends quelques instants pour vous décrire qu’elle est habillée d’une robe qui laisse entrevoir son énorme décolleté (36D) et qui met en valeur ses fesses qui sont magnifiques.
Nous sommes toujours sur la terrasse et à 22h mon cellulaire vibre : paye-lui quelques shooters, elle le mérite, puis allez danser, pense à regarder régulièrement ton cellulaire et arrange toi pour que ça soit toujours toi qui va chercher à boire, comme ça, tu pourras m’obéir plus facilement.
Ok maîtresse!
Et c’est vrai qu’elle le mérite, c’est après 3 fireball que l’on descend danser, la piste de dance est déjà pas mal « crowdé », la très grande majorité son plus jeune que moi (31 ans) et le ratio gars/fille est facilement 2 pour 1. Je danse bien et j’ai toujours aimé danser alors on se trouve un endroit où l’on a moyennement l’espace et on a du plaisir, c’est alors que je ressens une vibration.
-Ma belle, je vais aller nous chercher à boire, reste ici pour garder notre spot.
Elle me répond qu’il n’y a pas de problème et m’embrasse. J’arrive au bar, je sors mon cellulaire et j’ai amplement le temps de lire les instructions avant que le barman m’approche…
J’ai passé un difficile restant journée entre excitation, légère humiliation et honte. Lorsque je suis arrivé chez moi, j’étais pour le dire à ma copine mais elle m’accueillie avec un fort baiser en me prenant les couilles. Pas de doute, elle voulait du sexe et nous l’avons fait.
J’aime bien la prendre fort par derrière alors qu’elle est couchée sur le bord du lit, je trouve que ça lui rappelle que cette chatte est à moi. Puis après, je me suis dit que ce n’était pas grand-chose ce que j’avais fait aujourd’hui, après tout, c’était ça le but.
Le mercredi fût d’un silence radio total, j’ai presque eu le goût d’aller me faire ce traitement au toilette sans ordre. Ma libido était autant dans le tapis que mon impatience, alors, quand je suis revenu chez moi le soir, j’ai sauté sur ma copine. Puis le jeudi arriva, je fais des shifts de 8h30 à 17h, ma maîtresse me contacta d’un texte simple : textes moi à chacune de tes pauses.
10h : je suis en pause.
La réponse fût immédiate : va aux toilettes, serre-toi les couilles.
Ce que je fis.
Puis un autre texte arriva : maintenant frappe-les légèrement, puis non, moyennement fort.
Je m’exécutai pendant quelques minutes, j’étais bander dure (je fais environ 8 pouces avec un gros diamètre, imaginez-vous une cannette de Guiness).
Puis je reçu : parfait, arrête et retourne travailler.
J’ai eu droit à ça à chacune de mes pauses. Lorsque je suis arrivé à la maison, je n’avais qu’une envie mais malheureusement ma copine était partit dormir chez mes parents. Je fis ma routine : douche et bouffe entrecroisé de bières et ma maîtresse me contacta : Ta copine est avec toi?
Non, elle revient demain matin.
-Excellent, je n’aurais pas voulu la privée, par contre toi oui.
Me privé de?
-Pas de masturbation pour toi ce soir.
Hein?
-Mais tu te dois de voir tout ce que je t’envoie.
Euh… ok.
Puis, plus rien, je voulais décidemment me toucher mais c’était un ordre qui me semblait facile si j’arrive à me changer les idées, sauf que vers 21h, j’ai commencé à recevoir, en abondance, des images de ma maîtresse en brassière, de sa culotte par devant puis par derrière. Après elle a passé à de courts vidéos de sa main sa culotte avec un léger son de jouissance et pour finir, j’ai eu droits à 6 liens pour des vidéos pornos qui sont très clairement dans mes goûts. Je me retrouvai comme à chacune de mes pauses, dur. Je ne sais pas par quel miracle, mais je réussis à obéir ne fît rien.
Le vendredi matin arriva et alors que j’étais dans le bus, je reçu un nouveau texte : Ce soir, tu sors ta copine dans ce bar-club (je vais éviter de le nommé), tu lui fais ce que tu veux avant, mais à 22h, vous êtes là-bas.
Je contactai ma belle la seconde suivante et elle était très enthousiasmée. Ça faisait un moment qu’on n’avait pas sorti. Contrairement à elle, j’avais une certaine appréhension, mais bon, tant qu’à jouer le jeu, de plus, j’allais la « rider » bien comme il faut avant, alors aucun problème. 18h, j’arrive chez moi avec la même idée que j’ai eu en tête toute la journée, mais ma copine voit ça autrement, elle a fini de manger et ce prépare.
Je mange, me prépare aussi et on s’entend que nous irons en métro pour revenir en taxi. On arrive à ce dit lieu vers 21h30, la terrasse est chauffée, l’ambiance est bonne et on se prend un pichet avant de descendre danser au club du sous-sol. On rigole, on s’amuse, on boit. Je prends quelques instants pour vous décrire qu’elle est habillée d’une robe qui laisse entrevoir son énorme décolleté (36D) et qui met en valeur ses fesses qui sont magnifiques.
Nous sommes toujours sur la terrasse et à 22h mon cellulaire vibre : paye-lui quelques shooters, elle le mérite, puis allez danser, pense à regarder régulièrement ton cellulaire et arrange toi pour que ça soit toujours toi qui va chercher à boire, comme ça, tu pourras m’obéir plus facilement.
Ok maîtresse!
Et c’est vrai qu’elle le mérite, c’est après 3 fireball que l’on descend danser, la piste de dance est déjà pas mal « crowdé », la très grande majorité son plus jeune que moi (31 ans) et le ratio gars/fille est facilement 2 pour 1. Je danse bien et j’ai toujours aimé danser alors on se trouve un endroit où l’on a moyennement l’espace et on a du plaisir, c’est alors que je ressens une vibration.
-Ma belle, je vais aller nous chercher à boire, reste ici pour garder notre spot.
Elle me répond qu’il n’y a pas de problème et m’embrasse. J’arrive au bar, je sors mon cellulaire et j’ai amplement le temps de lire les instructions avant que le barman m’approche…
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