Make up sex ?
Récit érotique écrit par Ange_nocturne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Make up sex ?
Nouvelle prise de tête…
Comme toujours, ton sale caractère fait des étincelles, et après cette dispute j'ai — comme souvent – une furieuse envie de te malmener…
Assise sur le canapé du salon, tu fulmines encore quand je te rejoins dans la pièce. Tu me suis du coin de l’œil, le regard noir et encore animé d'une lueur de colère intense…
Je m’assois à tes côtés et tu détournes le regard, préférant rester silencieuse… Je glisse une main sur ta cuisse, que tu repousses vivement, et tu tires légèrement sur ta jupe pour couvrir la peau nacrée et soyeuse de tes cuisses galbées.
Je me love contre toi et vient murmurer doucement au creux de ton oreille quelques mots pour apaiser ta colère. Mon souffle chaud te caresse doucement le lobe et vient frôler ta joue… Encore une fois tu me repousses, mais avec moins de fougue…
Je t'observe un instant, un petit sourire narquois aux lèvres, puis je pose de nouveau la main sur ta cuisse… Tu râles et secoue la jambe pour que j'enlève la main, mais cette fois tu ne la gifles pas…
Il n'en faut pas plus pour m'inciter à aller plus loin… Je te pousse contre l'accoudoir du canapé et tu t'affaisses en offrant une résistance toute relative… Je me glisse au-dessus de toi et vient t'embrasser avec fougue, nos souffles se mêlent et s'accélèrent quand nos langues se livrent une bataille acharnée. La mienne envahit ta bouche et la fouille sans ménagement, tu répliques en la repoussant pour venir nicher la tienne entre mes lèvres…
Ma main glisse sur le côté de ta cuisse et retrousse ta jupe pour venir saisir à pleine paume le haut de ton string, string que je fais coulisser doucement contre ta fente dont les lèvres déjà enflées de désir s'écartent au passage de la fine étoffe… Tu souffles et gémis contre ma bouche en sentant ton excitation venir remplacer la colère…
Je redouble d'ardeur dans un baiser enflammé avant de descendre lentement embrasser et mordiller ton cou, y laissant quelques petites marques rouges avant de poursuivre ma descente vers ta poitrine. Ma main agrippée à ton string continue de l'utiliser comme un délicieux outil de torture pour martyriser ta petite chatte maintenant trempée.
Ton bas-ventre commence à bouillonner, tu sens l'étoffe mouillée coulisser entre les lèvres de ton intimité gonflée de désir. Tu fermes les yeux quand, de l'autre main, je libère un sein du petit haut qui le couvrait et viens en aspirer la pointe entre mes lèvres. Je la lèche goulument et la mordille ensuite jusqu'à t'arracher un petit gémissement mêlant plaisir et douleur. Ma main libre vient malaxer l'autre sein sans retenue, pressant la chair comme on presserait un citron, roulant la pointe entre pouce et index et tirant dessus avec délice…
Puis ma bouche délaisse ce sein ferme et lourd à la pointe fièrement dressée… Et quand je me baisse lentement, elle vient effleurer ton antre dégoulinante de désir avant que je vienne y poser mes lèvres pleinement, après avoir écarté l'étoffe trempée de ton string…
L'odeur de ton nectar m'enivre, et je plonge sans retenue mon visage entre tes cuisses, léchant chaque goutte, parcourant ton sillon inondé du bout de la langue, venant ensuite la nicher dans ton antre. Je déglutis et avale ta mouille pour m'en abreuver, et fourre ma langue aussi profondément que je peux en toi, sentant les parois lisses de ta petite chatte odorante pulser de plaisir à chaque petite caresse que j'y dépose.
Ta poitrine se soulève à chaque respiration, tes yeux s'embrument de plaisir, et tu gémis de frustration quand je retire ma langue de ta petite chatte béante. J'ai le visage couvert de mouille…
Bien vite, ta frustration s'efface quand tu sens mes mains écarter tes cuisses humides et relever ton bassin pour que je puisse venir lécher ton petit cul serré. Tu t'affaisses un peu plus encore et glisse sur le dos sur le canapé pour que je puisse relever tes jambes et ouvrir tes fesses plus encore. Je te dévore littéralement le cul, mordant tes fesses ici et là, y laissant des marques rouges avant de revenir baiser de la langue ce petit trou moite et chaud. Tu râles de plus en plus, consumée de désir et à ma langue pressée contre ton petit anus rose vient s'ajouter un doigt qui glisse dedans sans prévenir et sans ménagement.
Tu souffles, pantelante, la respiration saccadée, quand un deuxième doigt glisse dans ton petit tunnel et que ma bouche s'active pour lécher chaque petite ride de chair autour des deux doigts.
Puis, une fois que je te sens fin prête, je me redresse et, de ma main libre, défait les boutons de mon pantalon, le tire vers le bas et libère rapidement ma queue brulante de désir pour toi. Je remonte tes jambes pour que tes mollets reposent sur mes épaules et je te tiens enfin à ma merci. Tu es là, sous moi, toute tremblante de désir, me suppliant du regard pour que je te possède sans retenue.
Tu sens la pointe de ma verge presser contre ton anus lubrifié et déjà martyrisé par mes doigts, et je ne te ménage pas quand, d'un mouvement du bassin, je glisse en toi presque d'un coup. Tes sphincters résistent un instant puis s'écartent, et je viens fourrer ton long tunnel de toute la longueur de ma queue…
Je te prends comme une petite chienne, glissant en toi sans merci, mes boules venant claquer contre tes fesses à chaque mouvement. Je te fourre avec délectation et d'une main je viens de nouveau agripper un sein que je malmène au même rythme que ma queue qui s'enfouit dans tes entrailles. Ton cul est si chaud et serré, j'y glisse avec bonheur sans marquer la moindre pause.
Tu glisses une main sur mon torse, labourant ma peau de tes ongles, et venant également titiller mes tétons, que tu pinces tout à tour pour me rendre la monnaie de ma pièce. Ton autre main glisse entre tes cuisses et tes doigts s'agitent furieusement sur ton clitoris qui se dresse comme une petite bite, dur et sensible.
Je me penche au-dessus de toi, viens un instant mordre tes lèvres dans un baiser furieux avant de me redresser pour reprendre mon travail de sape entre tes fesses. Ta peau est rougie par l'effort et couverte de sueur quand, enfin, les efforts combinés de ma queue rivée en toi et de tes doigts sur ta chatte ruisselante t'arrachent enfin un cri de plaisir et qu'un orgasme qui semble ne pas vouloir en finir te secoue violemment le corps. Tu trembles de toute part, je sens ton cul se resserrer autour de ma queue qui coulisse encore en toi, comme pour me retenir prisonnier de ton délicieux petit orifice.
Après ces secousses qui semblaient ne pas vouloir finir, tu t'écroules enfin, à bout de force, foudroyée de plaisir. Je me retire rapidement de ton cul, laissant l'orifice béant et dégoulinant de la mouille de ta petite chatte qui s'écoule dessus depuis le début de nos ébats.
Je libère tes jambes, et me redresse sur l’assise du canapé, tenant ma queue luisante fermement dans une main, et je viens la présenter en face de ton visage. Tes yeux sont encore mi-clos et ta bouche grande ouverte pour reprendre ton souffle quand la première giclée de sperme vient napper ton visage. Suivie d’une autre, tout aussi forte, qui laisse une longue trainée sur ta joue, et la troisième gicle au fond de ta gorge, en souillant tes lèvres au passage.
Je tremble et me raidit en finissant de libérer sur ton visage et dans ta bouche un flot de plaisir épais, dont tu viens recueillir dans un dernier effort les dernières gouttes directement sur ma queue, que tu suces avec gourmandise pour la nettoyer goulument.
Je te contemple, à moitié nue sur le canapé, les cuisses trempées, les seins rougis, la peau couverte de sueur et le visage marbré de trainées de sperme… Tu es magnifique…
Un petit sourire narquois aux lèvres, je murmure ces quelques mots en remontant mon pantalon : « Alors amour, fini de bouder ? »
Comme toujours, ton sale caractère fait des étincelles, et après cette dispute j'ai — comme souvent – une furieuse envie de te malmener…
Assise sur le canapé du salon, tu fulmines encore quand je te rejoins dans la pièce. Tu me suis du coin de l’œil, le regard noir et encore animé d'une lueur de colère intense…
Je m’assois à tes côtés et tu détournes le regard, préférant rester silencieuse… Je glisse une main sur ta cuisse, que tu repousses vivement, et tu tires légèrement sur ta jupe pour couvrir la peau nacrée et soyeuse de tes cuisses galbées.
Je me love contre toi et vient murmurer doucement au creux de ton oreille quelques mots pour apaiser ta colère. Mon souffle chaud te caresse doucement le lobe et vient frôler ta joue… Encore une fois tu me repousses, mais avec moins de fougue…
Je t'observe un instant, un petit sourire narquois aux lèvres, puis je pose de nouveau la main sur ta cuisse… Tu râles et secoue la jambe pour que j'enlève la main, mais cette fois tu ne la gifles pas…
Il n'en faut pas plus pour m'inciter à aller plus loin… Je te pousse contre l'accoudoir du canapé et tu t'affaisses en offrant une résistance toute relative… Je me glisse au-dessus de toi et vient t'embrasser avec fougue, nos souffles se mêlent et s'accélèrent quand nos langues se livrent une bataille acharnée. La mienne envahit ta bouche et la fouille sans ménagement, tu répliques en la repoussant pour venir nicher la tienne entre mes lèvres…
Ma main glisse sur le côté de ta cuisse et retrousse ta jupe pour venir saisir à pleine paume le haut de ton string, string que je fais coulisser doucement contre ta fente dont les lèvres déjà enflées de désir s'écartent au passage de la fine étoffe… Tu souffles et gémis contre ma bouche en sentant ton excitation venir remplacer la colère…
Je redouble d'ardeur dans un baiser enflammé avant de descendre lentement embrasser et mordiller ton cou, y laissant quelques petites marques rouges avant de poursuivre ma descente vers ta poitrine. Ma main agrippée à ton string continue de l'utiliser comme un délicieux outil de torture pour martyriser ta petite chatte maintenant trempée.
Ton bas-ventre commence à bouillonner, tu sens l'étoffe mouillée coulisser entre les lèvres de ton intimité gonflée de désir. Tu fermes les yeux quand, de l'autre main, je libère un sein du petit haut qui le couvrait et viens en aspirer la pointe entre mes lèvres. Je la lèche goulument et la mordille ensuite jusqu'à t'arracher un petit gémissement mêlant plaisir et douleur. Ma main libre vient malaxer l'autre sein sans retenue, pressant la chair comme on presserait un citron, roulant la pointe entre pouce et index et tirant dessus avec délice…
Puis ma bouche délaisse ce sein ferme et lourd à la pointe fièrement dressée… Et quand je me baisse lentement, elle vient effleurer ton antre dégoulinante de désir avant que je vienne y poser mes lèvres pleinement, après avoir écarté l'étoffe trempée de ton string…
L'odeur de ton nectar m'enivre, et je plonge sans retenue mon visage entre tes cuisses, léchant chaque goutte, parcourant ton sillon inondé du bout de la langue, venant ensuite la nicher dans ton antre. Je déglutis et avale ta mouille pour m'en abreuver, et fourre ma langue aussi profondément que je peux en toi, sentant les parois lisses de ta petite chatte odorante pulser de plaisir à chaque petite caresse que j'y dépose.
Ta poitrine se soulève à chaque respiration, tes yeux s'embrument de plaisir, et tu gémis de frustration quand je retire ma langue de ta petite chatte béante. J'ai le visage couvert de mouille…
Bien vite, ta frustration s'efface quand tu sens mes mains écarter tes cuisses humides et relever ton bassin pour que je puisse venir lécher ton petit cul serré. Tu t'affaisses un peu plus encore et glisse sur le dos sur le canapé pour que je puisse relever tes jambes et ouvrir tes fesses plus encore. Je te dévore littéralement le cul, mordant tes fesses ici et là, y laissant des marques rouges avant de revenir baiser de la langue ce petit trou moite et chaud. Tu râles de plus en plus, consumée de désir et à ma langue pressée contre ton petit anus rose vient s'ajouter un doigt qui glisse dedans sans prévenir et sans ménagement.
Tu souffles, pantelante, la respiration saccadée, quand un deuxième doigt glisse dans ton petit tunnel et que ma bouche s'active pour lécher chaque petite ride de chair autour des deux doigts.
Puis, une fois que je te sens fin prête, je me redresse et, de ma main libre, défait les boutons de mon pantalon, le tire vers le bas et libère rapidement ma queue brulante de désir pour toi. Je remonte tes jambes pour que tes mollets reposent sur mes épaules et je te tiens enfin à ma merci. Tu es là, sous moi, toute tremblante de désir, me suppliant du regard pour que je te possède sans retenue.
Tu sens la pointe de ma verge presser contre ton anus lubrifié et déjà martyrisé par mes doigts, et je ne te ménage pas quand, d'un mouvement du bassin, je glisse en toi presque d'un coup. Tes sphincters résistent un instant puis s'écartent, et je viens fourrer ton long tunnel de toute la longueur de ma queue…
Je te prends comme une petite chienne, glissant en toi sans merci, mes boules venant claquer contre tes fesses à chaque mouvement. Je te fourre avec délectation et d'une main je viens de nouveau agripper un sein que je malmène au même rythme que ma queue qui s'enfouit dans tes entrailles. Ton cul est si chaud et serré, j'y glisse avec bonheur sans marquer la moindre pause.
Tu glisses une main sur mon torse, labourant ma peau de tes ongles, et venant également titiller mes tétons, que tu pinces tout à tour pour me rendre la monnaie de ma pièce. Ton autre main glisse entre tes cuisses et tes doigts s'agitent furieusement sur ton clitoris qui se dresse comme une petite bite, dur et sensible.
Je me penche au-dessus de toi, viens un instant mordre tes lèvres dans un baiser furieux avant de me redresser pour reprendre mon travail de sape entre tes fesses. Ta peau est rougie par l'effort et couverte de sueur quand, enfin, les efforts combinés de ma queue rivée en toi et de tes doigts sur ta chatte ruisselante t'arrachent enfin un cri de plaisir et qu'un orgasme qui semble ne pas vouloir en finir te secoue violemment le corps. Tu trembles de toute part, je sens ton cul se resserrer autour de ma queue qui coulisse encore en toi, comme pour me retenir prisonnier de ton délicieux petit orifice.
Après ces secousses qui semblaient ne pas vouloir finir, tu t'écroules enfin, à bout de force, foudroyée de plaisir. Je me retire rapidement de ton cul, laissant l'orifice béant et dégoulinant de la mouille de ta petite chatte qui s'écoule dessus depuis le début de nos ébats.
Je libère tes jambes, et me redresse sur l’assise du canapé, tenant ma queue luisante fermement dans une main, et je viens la présenter en face de ton visage. Tes yeux sont encore mi-clos et ta bouche grande ouverte pour reprendre ton souffle quand la première giclée de sperme vient napper ton visage. Suivie d’une autre, tout aussi forte, qui laisse une longue trainée sur ta joue, et la troisième gicle au fond de ta gorge, en souillant tes lèvres au passage.
Je tremble et me raidit en finissant de libérer sur ton visage et dans ta bouche un flot de plaisir épais, dont tu viens recueillir dans un dernier effort les dernières gouttes directement sur ma queue, que tu suces avec gourmandise pour la nettoyer goulument.
Je te contemple, à moitié nue sur le canapé, les cuisses trempées, les seins rougis, la peau couverte de sueur et le visage marbré de trainées de sperme… Tu es magnifique…
Un petit sourire narquois aux lèvres, je murmure ces quelques mots en remontant mon pantalon : « Alors amour, fini de bouder ? »
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour les commentaires, cela m'incite à écrire plus souvent !
Et non je n'ai pas pris de gifle après cette petite remarque de fin un peu taquine :)
Ange_nocturne
Et non je n'ai pas pris de gifle après cette petite remarque de fin un peu taquine :)
Ange_nocturne
Belle conclusion d'une scène de ménage!
Quel érotisme dans votre récit remarquablement écrit!
Merci pour cette histoire si excitante!
Mais n'avez vous pas pris une gifle pour le mot de la fin?
Quel érotisme dans votre récit remarquablement écrit!
Merci pour cette histoire si excitante!
Mais n'avez vous pas pris une gifle pour le mot de la fin?
superbement écrit !
très bon !