Malika et Wahiba (2) - histoire érotique

Elle sentait que le jour était arrivé, l’heure de l’humiliation était là. A la voix à la porte elle comprenait qu’un homme venait d’entrer, il était reçu par celle en qui elle venait de se donner et qui avait fait d’elle cette proie soumise et palpitante par sa sensualité. Cet homme, sans gène ni surprise, entra dans la chambre. Il était élégant, du type saharien, brun grand et svelte, bel homme touareg sûrement. Il portait un petit sac en cuir... Avec désinvolture il s’assit sur une chaise ; il posa son sac devant lui. Wahiba qui buvait chacun de ses gestes, lui demanda d’une voix douce et de toute dévotion : « Nous sommes à ton service Aglid ». Par ce prénom, Malika comprit qu’elle était vraiment face à un targui qui venait de s’immiscer comme par le pouvoir de sa magie dans sa vie, dans un moment où toute désarmée, nue et soumise elle vivait des moments de saphismes sublimes qu’il venait de gâcher. Mais curieusement elle ne lui en voulait pas, au contraire elle était avide de la suite, de voire ce que cet intrus ramenait avec lui, d’inconnu et sûrement d’excitant. Ses hormones en alerte et ses secrétions généreuses au point où il lui semblait qu’elle humait les effluves de sa cyprine dans l’air de la pièce.
Aglid, sans un regard aux deux femmes comme en transe ou sous l’effet d’une mystérieuse drogue, répondit à Wahiba : « Tiens surprise. Une vidéo vous a été transmise ». Ceci était surprenant pour les deux femmes. Il demanda à Wahiba d’allumer le PC pour qu’ils puissent, à trois, visionner le disque qu’il venait de retirer du sac ?.. Mais non ! Le mystérieux visiteur, une fois le disque lancé, fit signer une sorte de reçu à Wahiba et s’éclipsa comme il était venu sans avertir, il quitta la pièce où il laissait Malika ahurie, puis l’appartement, et Wahiba ferma la porte derrière lui. La belle femme revint souriante, glorieuse, et dominatrice vers sa proie… Toute désarçonnée et perdue dans cette scène hallucinante où elle ne comprenait rien, Malika toute excitation envolée, se disait qu’elle était tombée sur une «drôle de dame», elle demanda (cachant son malaise) de pouvoir quitter le lit et aller se rafraîchir sous la douche avec l’intention (non révélée) de quitter ensuite au plus vite cette maison, et cette situation peut être même dangereuse ?.. Une fois dans la douche et après s’être bien revigorée, toute nue regardant son joli corps, ses seins en poire avec de larges auréoles foncées, ses hanches larges féminines, son cul qui faisait souffrir tout homme ou femme doté de sens, elle se trouvait belle et elle savait qu’il était tout à fait normal que Wahiba ait flashé pour elle, mais l’épisode du targui lui restait en travers la gorge mais bon !!!... Elle sortit de la douche et s’approcha de la chambre de sa compagne, quand elle entendit des halètements sourds et des soupirs intenses, elle crut un moment que Wahiba se trouvait mal, elle courut à la pièce et là, trouva sa conquérante qui visionnait un film pornographique sur l’écran dans une attitude dénudée en pleine jouissance solitaire jouant sur son corps, violant sa chatte de ses doigts avec frénésie. Malika ne sachant quoi faire, se retourna pour s’enfuir mais elle entendit Wahiba qui l’appelait : « Viens Malika viens ma chatte ! Viens ma chérie !!! » mais Malika sortit et s’assit sur une chaise dans le hall de l’appartement. Après quelques secondes Wahiba était à coté d’elle et elle lui disait : « Allez viens viiite ici ma salope pas la peine de faire ta mijaurée merde !!! » … Malika soumise et résignée, attirée au plus profond de ses sens par sa reine, se leva et entra dans la pièce où…Wahiba telle une possédée, toute nue maintenant, regardait les scènes de sexe sans se priver, elle se fouillait intimement, debout jambes écartées ses doigts enfoncés dans sa chatte luisante lui procuraient déjà l’extase ! Malika regardait sa maîtresse se masturber impudique face à elle, curieuse et excitée, elle découvrait sans le savoir le plaisir d’être voyeuse. Wahiba, une main caressante, triturant même ses seins, sa deuxième main écartelant les lèvres de sa chatte d’une attitude toute animale, sauvage effrontée, emportée dans son plaisir exhibitionniste perverse, narguant sa novice d’amoureuse. C’est comme si pour la première fois Malika regardait en face d’elle Wahiba, c’est comme si pour la première fois elle réalisait combien sa Maîtresse était une belle femelle ! Excitante ! Sauvage et forte !.. Elle réalisait qu’elle avait, en fait, rencontré la femme ! (bête de sexe dont elle avait souvent rêvé) celle qui sera sa maîtresse à vie !« .. ». Elle sentait ses jambes faiblir et elle tomba à genoux face à elle. Elle, sa Wahiba, qui la fixait de ses yeux sombres marrons pleins d’une puissance qui la fascinait, l’hypnotisait. Elle qui continuait à se masturber là, en face, dans son attitude défiante et provocatrice !.. Et comme saisissant un message télépathique ; presque inconsciemment Malika dit en s’avançant à quatre pattes vers sa Maîtresse : « Wahiba tu me le permets ? » joignant le geste à la parole, elle avança sa tête et elle vint mettre sa langue sur la foune de sa reine...Oui là était sa place.
Pour bien la recevoir, Wahiba se retourna, écartela ses jambes, et sa chatte toute humide déjà, elle s’ouvrait à sa servante. Sa servante qui commença à lécher et laper comme une affamée. Cette servante qui se sentait heureuse, elle goûtait encore à la chatte de sa reine qui maintenant excitée la tirait par les cheveux et lui poussait la tête, exigeant de sa langue qu’elle s’enfonce encore plus profondément. Elle lui hurlait « Oui ma chatte ! Oui ma gouine manges ma foune ! Lèches ta maîtresse ! Ouiii salope je savais que tu serai mienne pour la vie. Tu seras ma servante lécheuse de chatte. Tu es née pour cela. Je sais que tu aimes, tu ne feras plus l’hypocrite devant moi, tu t’exécuteras juste à mes caprices. Ouiii lèches et bois ma chatte, bois ma cyprine, tu vas boire même ma pisse » et en disant cela... Elle lécha le flot qui presque étouffa Malika surprise… Elle reçut cela étonnée mais avec délices…
« Hummmm » elle dit.
« Hummmm » elle fit.
« Hummm oui maîtresse, suis a toi !!! »
Et ainsi sera la vie de Malika depuis …
Toute appartenance unique et exclusive à Wahiba.
Mais ceci sera peut être le sujet d’autres histoires.