Maria infidèle - histoire érotique

Maria et son mari étaient des amis très proches, on se rencontrait plusieurs fois par semaine, nous déjeunions ou dinions quelquefois ensemble.
Il faut dire que j'étais célibataire et vivais encore chez mes parents, où l'ambiance devenait parfois pesante, je faisais mon possible pour leur fausser compagnie aussi souvent que je le pouvais.
Côté gaudriole, seulement quelques aventures de temps en temps, mais je n'avais aucune envie de m'accrocher.

Un soir, j'étais passé à l'heure du dîner, (comme par hasard, en fait, je cherchais une table accueuillante).
Maria était déjà à table, elle était seule, son mari était en stage à Nantes et il ne devait rentrer que pour le week-end.

Elle m'a proposé de partager son repas et j'ai évidemment accepté son invitation.

C'était un soir d'été et il faisait plutôt chaud dans leur petit appartement situé sous les toits, maria était habillée d'une robe légère, et le moindre de ses mouvements laissait apparaître un bout de sein, et je devinais facilement qu'elle n'avait qu'une culotte dessous.

Il ne m'était jamais venu à l'esprit qu'il puisse y avoir quelque chose de sexuel entre nous, son mari était un très bon copain et je ne voulais pas semer le désordre dans leur couple.
Toutefois, la chaleur aidant, je ressentais tout de même de l'attirance pour ses belles rondeurs, elle n'était pas grosse, mais elle avait des formes que je qualifierait d'aguichantes.

Au cours du repas, elle avait remarqué que je suivais attentivement ses mouvements, et un petit jeu commença, elle se penchait parfois de façon à ce que je rate rien de sa superbe poitrine, je commençais à m'échauffer.
Après le repas, au cours duquel nous avons parlé de choses banales, nous avons débarrassé la table, je me suis mis près de l'évier et j'ai commencé à faire la vaisselle.
Elle était tout près de moi et je lui passait les assiettes et les couverts qu'elle essuyait, elle me frôlait de plus en plus.

Quand le dernier couvert a été essuyé, je sentis qu'elle se collait à moi, dans mon dos, je sentais le doux contact de ses seins, elle passa ses mais sur ma poitrine et me caressa, puis elle me dit d'une petite voix, "tu sais, il y a longtemps que j'ai envie de toi".
J'étais abasourdi, je ne savais que répondre, mais je savais aussi qu'il ne faut jamais refuser une invitation aussi directe sous peine de perdre définitivement une amie.

Alors je me suis retourné et j'ai pris sa bouche pour un long baiser.

J'ai caressé ses seins lourds, ses fesses rebondies, quand j'ai posé ma main sur sa culotte, j'ai constaté qu'elle était trempée.

Je lui ai demandé si je pouvais prendre une douche, elle m'accompagna et nous la prîmes en commun.

Nous nous sommes savonnés mutuellement, elle a lavé mon sexe avec beaucoup de douceur, j'avais une gaule d'enfer.
Je me suis occupé de ses seins et de sa chatte avec le même plaisir, nous nous sommes soigneusement essuyés.

Elle m'a pris par la main et m'a conduit dans la chambre, puis elle s'est allongée sur le dos, les jambes serrées.

J'ai parcouru son corps avec mes bouche et mes mains, elle sursautait quand j'abordais une zone sensible, finalement, elle se détendit et ses cuisses se sont écartées, dévoilant son sexe odorant et déjà humide, j'y plongeais ma langue avec délice.

Elle poussait de petits râles, son petit bouton gonflait à vue d'oeil, son vagin dégoulinait et je m'abreuvais à cette source merveilleuse.
Elle repoussa ma tête, elle ne voulait pas jouir de cette façon, elle embrassa mon ventre puis mon sexe et lui fit un nid de velours avec ses lèvres, avant de l'avaler presque entièrement, je faillis partir, mais elle savait y faire et elle enserra fortement la base de mon pénis, ce qui fit retomber l'excitation, ce petit jeu dura longtemps.

Finalement, je pris l'initiative, je pénétrai aisément son sexe trempé et je commençai à la besogner lentement, elle poussait de petits cris je sentais parfois son sexe se contracter, je sentais que je ne pourrais pas me contenir longtemps, elle devina que j'étais au bord de l'explosion et m'avoua qu'elle avait stopé la pilule, et qu'il valait mieux s'arrêter là.

Je me retirai un peu frustré, elle n'avait pas joui et moi non plus...

Elle me dit "je ne vais pas te laisser dans cet état", et joignant le geste à la parole, elle engloutit à nouveau mon pénis jusqu'à la racine.

C'était vraiment une très bonne suceuse, elle jouait avec mon sexe, tantôt elle léchait le gland et le frein soigneusement, puis elle l'avalait entièrement, jamais je n'avais été sucé aussi passionnément.
Elle malaxait doucement mes testicules, quand elle sentait que mon plaisir montait, elle ensserrait la base de la colonne, c'était un jeu sans fin.

Au bout d'un moment je lui avouais "je n'en peux plus, laisse moi jouïr".

Alors elle prit juste le gland au bord de ses lèvres et dardait le méat avec la pointe de sa langue, puis elle relâcha la base de mon pénis et j'explosais presque immédiatement à longues giclées, une quantité phénoménale de sperme qu'elle avala religieusement.
Elle continua longtemps à aspirer jusqu'à ce que mon érection retombe.

Elle me dit "j'ai adoré, ta liqueur est délicieuse", elle ajouta "maintenant, à mon tour, tu vas me faire jouir avec ta langue", et elle vint poser son sexe brûlant sur mes lèvres en se tenant aux barreaux du lit.

Son vagin dégoulinait de cyprine, son clitoris était dressé comme un petit soldat, j'en faisais le tour avec ma langue, je parcourais sa fente pour terminer sur son petit bouton. Elle ondulait et je réglais mes coups de langue sur son mouvement, je caressais ses fesses en même temps, mon index trouva son petit oeillet, elle frissonna, j'enduisis mon doigt de salive et je repris ma caresse, pénétrant son anus qui se détendait, elle semblait y prendre du plaisir, cette voie là avait dû être visitée...
Elle ondulait en cadence, ma langue sur son bouton et mon doigt qui pistonnait son anus suivaient le mouvement.
Soudain son corps se tendit et elle cria son bonheur, puis elle retomba sur mon visage, je failli étouffer...
"J'ai bien joui me dit elle, c'était bon, puis elle se blottit contre moi et s'endormit, je fis de même.

Un peu plus tard, je fus réveillé par une sensation bizarre, elle était en trai de me sucer, délicatement, avec une grande douceur, comme si elle ne voulait pas me réveiller.
Je bandais à nouveau comme un âne en rut, elle m'enjamba délicatement et s'empala sur mon sexe dressé, je continuais à faire semblant de dormir.
Elle fit quelques aller-retours puis se retira, j'étais un peu frustrée, mais rapidement je sentis qu'elle avait pris mon sexe dans sa main et le guidait à nouveau vers un autre orifice... beaucoup plus serré que son vagin, j'ai compris qu'elle le voulait dans son cul.

Le gland avait du mal à se frayer un chemin dans ce manchon étroit, elle se retira pour l'enduire de salive ainsi que son petit trou.
Finalement, l'anneau se détendit, le gland franchit la porte étroite et mon sexe s'enfonça lentement dans ce fourreau brûlant.

Elle tremblait de tous ses membres et gémissait doucement.
Elle resta sans bouger avec mon sexe bien à fond un moment, je sentais ses chairs se détendre, son anus palpitait et s'ouvrait et elle entama quelques timides aller-retours en poussant de petits cris.

Je ressortais presque entièrement de son cul maintenant, le sphincter s'était détendu et elle accélérait le mouvement, elle s'empalait à fond en gémissant, je ne pouvais plus feindre de dormir, alors je cherchais son clitoris que je trouvais gonflé et je me mis à l'astiquer vigoureusement.

Elle prit son plaisir dans un grand cri, puis retomba sur ma queue qui en profita pour éjaculer bien au fond de son cul.

Nous restâmes sans bouger un bon moment, puis elle se retira, elle poussa encore un petit cri à la sortie du gland.

Un peu plus tard elle m'avoua "tu n'aurais pas dû toucher mon anus tout à l'heure, tu l'as excité, il voulait sa ration" elle me confia qu'elle adorait la sodomie qu'elle pratiquait souvent avec son mari.