Marie - le jardinier - histoire érotique

Marie – le jardinierIl fait beau, et j’ai retrouvé mes (mauvaises) habitudes, je suis retournée au parc pendant mes pauses. Je le connais bien « mon » parc et surtout tous ces petits coins ou il s’en passe des choses !!
Mon préféré, est situé tout au fond, derrière de grands arbres et des buissons touffus, c’est le coin des couples « illégitimes », ces couples qui se sont formés au boulot et qui viennent baiser, pendant leurs pauses, dans cet endroit très discret !
Et moi, je joue la voyeuse sans vraiment me cacher et parfois ...je participe !! Humm !!J’ai le souvenir de quelques trios, ou plus parfois, hommes ou femmes, peu importe, très chauds !!

Mais aujourd’hui, c’est plutôt calme, personne. Déçue, j’allais partir quand un couple est arrivé. J’ai tout de suite reconnu Anna, la secrétaire de l’agence de voyage, accompagnée cette fois ci non pas de son patron, mais oh surprise du stagiaire ! Le petit stagiaire, tout jeune, tout timide, vingt ans ! Sacrée Anna, pour sa pause, elle voulait le croquer !
Et lui ne se doutait pas du tout de ce que lui réservais la gourmande Anna !

Je n’entendais pas ce qu’elle lui disait à l’oreille, mais j’ai vu les yeux du stagiaire s’arrondir, elle lui a pris la main et l’a glissé sous sa jupe ! la salope !!!Il avait l’air tétanisé ! C’est elle qui le guidait, je voyais Anna s’exciter, pousser la main toujours plus haut, elle avait l’air d’apprécier ! J’ai commencé à me caresser.
Ils ont basculé tous les deux sur l’herbe, enfin c’est plutôt Anna qui l’a entraîné entre deux buissons ! Il n’a pas eu le temps de réagir, la gourmande avait déjà descendu la braguette et sorti le sexe du « malheureux » qui vu de ma position était de belle taille, elle avait vraiment de la chance, la garce !

Anna avait faim ! Elle a relevé sa jupe est passée au-dessus de lui et s’est empalée sur la queue tendue. Je la voyais se déchaîner sur la bite, la bouche grande ouverte, les yeux fermés, dans un rythme effréné, accompagné de cris de plaisir ! Le stagiaire se faisait bouffer tout cru !
Puis, après qu’elle ait pris son pied, elle s’est relevée, a remis sa jupe correctement, comme si de rien n’était. Lui aussi s’est relevé, péniblement, il avait l’air complètement groggy, il a fermé sa braguette, pas un mot, et ils sont partis !!

Cette scène m’avait complètement excitée, je voulais un coup de bite, surtout que la veille je m’étais disputée avec Romain.il était parti fâcher et je n’avais pas eu ma dose de sexe ! Frustration !
Il restait une solution pour moi, la solution de secours, Tony le jardinier. Tony est un des jardiniers du parc et plus spécialement d’un beau parterre de fleurs pas très loin. Et Tony est très doux, il aime les fleurs, les petits oiseaux, la nature, il est toujours content Tony ! Et s'il vit un peux sur une autre planète, la nature lui a fait un magnifique cadeau, un sexe hors normes !! C’est d’ailleurs la gourmande Anna qui m’en avait parlé, elle avait des étoiles dans les yeux en décrivant « l’engin »
Tony était devenu le sex toy, le baiseur de ces dames, moi y compris ! Il était là dans sa cabane a outils, dans sa salopette déformée par une grosse bosse entre les jambes, et là il était au repos !!
Je lui ai souri, j’ai fermé la porte. Tony m’a souri aussi, un sourire un peu béat, il savait pourquoi j’étais là !
Il a déboutonné sa salopette, sorti sa bite et a commencé à se branler. Ce n’était pas la première fois que je la voyais, mais a chaque fois, j’étais fascinée par cette colonne qui grossissait, grossissait..et que j’allais me prendre !
J’ai enlevé ma culotte et je me suis allongée sur la table de ...rempotage ! Un peu de terre sous les fesses, pas grave.

Tony s’est avancé entre mes cuisses, toujours avec son sourire béat, tout en douceur. Il m’a légèrement soulevée avec ses grandes mains et il est entré, j’ai fermé les yeux...C’était long, très long, très gros aussi, une merveille !!il a rempli mon vagin. Je lui ai fait un petit sourire et il a commencé a me pilonner de plus en plus vite, la table tremblait, mon corps était parcouru de frissons, de décharges électriques j’étais envahie par le plaisir, et par son foutre !

Tony souriait toujours et encore quand je suis partie, et moi j’avais eu ce que je voulais et je me sentais plus que détendue. J’ai passé une excellente après-midi !
Quand je suis rentrée chez moi, agréable surprise, Romain m’attendait assis sur l’escalier, un superbe bouquet de fleurs ! La soirée allait être belle !