Marie - Sabrina rencontre Josy
Récit érotique écrit par Lectronn [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Marie - Sabrina rencontre Josy
Marie – Sabrina rencontre Josy
Ce soir, c’est Sabrina qui, assisse sur un tabouret dans le petit bar un peut glauque. Le petit bar ou Marie a rencontré Max et sa bande et ...Josy la « femme » de la bande. Enfin quand je dis femme...Josy ressemble plutôt à un camionneur, lesbienne a 100 % ! Qui aime baiser, sans ménagement, les petites bourgeoises comme moi.
Dès que je suis entrée, j’ai senti les regards du patron, de Josy et de ses deux copines. Max et les garçons ne sont pas là, c’est Josy et ses deux copines qui jouent au billard. Ses amies, exactement comme Josy, baraquées, en jeans et marcel, couvertes de tatouages. Au bar je sirote mon Whisky, je sais que Josy et ses copines, reluquent mon cul. Ce soir, j’ai choisi une tenue simple, mais sexy, un petit pull a col rouler très moulant, un jeans qui met mon cul en valeur, et pour la touche plus féminine, une paire de hauts talons, bref une proie pour Josy, et si je suis là ce soir… c’est pour me faire (peut-être) baiser par Josy et ses copines sans ménagement, l’envie d’un soir !
J’ai d’abord été un peu déçue, rien ne se passe, le patron me reluque les seins, il ne m’a pas reconnue, je suis vraiment Sabrina !
Ce n’est qu’en sortant des toilettes que les choses ont changés. Comme pour Marie, Josy était là, appuyée contre le mur. Mon cœur a bondi, allait-elle me baiser là, encore une fois, contre ce mur ?!
- Alors poulette, tu es venue t’encanailler ?! Viens-tu va être servie ! (Elle ne m’avait pas reconnue !)
Elle m’a attrapé fermement le bras et m’a ramenée manu militari a l’intérieur, près du billard. J’ai vu le patron fermer la porte, cela devenait chaud !
- Alors les copines, on s’occupe d’elle, je crois qu’elle ne demande que ça !
- Mais avant, ma poulette, tu dois payer ton entrée au patron, à genoux !!
Paulo, le patron, a sorti sa bite grasse et molle et me l’a enfoncé dans la bouche. D’une main ferme, Josy me tenait la tête m’obligeant à l’avaler entièrement !
- Va y suce le ! Oui comme ça !
J’avais connu plus agréable comme pipe, mais là j’étais coincée ! Il n’a pas fallu longtemps pour que Paulo se lâche dans ma gorge.
- Avale ! Avale tout !
Paulo a fermé sa braguette et est retourné derrière son bar, ravi
Josy m’a relevée, en me tenant les cheveux (heureusement que ma perruque tenait bien!)
- Bien maintenant comme tu aimes les queues, tu vas jouer avec nous !
Et elle m’a tendu une queue de billard et J’ai commencé a jouer, entourée par ces trois harpies. Tout était prétexte à me toucher, quand j’étais penchée sur le billard, une main ou plusieurs me caressaient les fesses comme ça en passant, sous le regard gourmand de Josy
- Tu sais que tu as un beau cul !
Elle s’est approchée très près derrière moi, presque contre moi, m’a entourée avec ses bras et a ouvert mon jeans. Je sentais sa respiration dans mon cou. J’étais plaquée contre le billard, ses grandes mains s’étaient glissées dans ma culotte, caressant ma chatte, puis un doigt entre mes lèvres
- Et les filles, elle mouille !
Et oui la situation m’excitait ! D’un coup sec Josy a descendu mon pantalon a mis cuisses, tout en me caressant, deux de ses doigts m’avaient pénétrée, elle était de plus en plus excitée !
- tenez là moi, les filles !!
Je me suis retrouvée, maintenue par ses deux copines, penchée en avant, la tête contre le tapis du billard ! Josy a arraché ma culotte
- j’ai une queue pour toi, je crois que tu va aimer !
J’ai senti le bois dur entre mes fesses, le coté large de la queue !
- Alors tu veux essayer ?!
Et d’un coup la queue s’est enfoncée dans mon petit trou, j’ai crié ! Oui j’avais mal, mais en même temps...c’était bon ! Josy et ses copines riaient
- Mais c’est qu’elle aime ça, la salope !!
La queue allait et venait dans mon petit cul, Josy prenait son pied, et je l’avoue moi aussi !!
Je me suis relevée, j’avais mal partout et surtout au … J’ai remis mon jeans, ma culotte avait disparu ! Josy m’a amené un whisky « offert par la maison » et m’a reconduite chez moi, avec sa moto ! De la poche de son blouson, dépassait ma culotte déchirée, un souvenir elle a dit !
Ce soir, c’est Sabrina qui, assisse sur un tabouret dans le petit bar un peut glauque. Le petit bar ou Marie a rencontré Max et sa bande et ...Josy la « femme » de la bande. Enfin quand je dis femme...Josy ressemble plutôt à un camionneur, lesbienne a 100 % ! Qui aime baiser, sans ménagement, les petites bourgeoises comme moi.
Dès que je suis entrée, j’ai senti les regards du patron, de Josy et de ses deux copines. Max et les garçons ne sont pas là, c’est Josy et ses deux copines qui jouent au billard. Ses amies, exactement comme Josy, baraquées, en jeans et marcel, couvertes de tatouages. Au bar je sirote mon Whisky, je sais que Josy et ses copines, reluquent mon cul. Ce soir, j’ai choisi une tenue simple, mais sexy, un petit pull a col rouler très moulant, un jeans qui met mon cul en valeur, et pour la touche plus féminine, une paire de hauts talons, bref une proie pour Josy, et si je suis là ce soir… c’est pour me faire (peut-être) baiser par Josy et ses copines sans ménagement, l’envie d’un soir !
J’ai d’abord été un peu déçue, rien ne se passe, le patron me reluque les seins, il ne m’a pas reconnue, je suis vraiment Sabrina !
Ce n’est qu’en sortant des toilettes que les choses ont changés. Comme pour Marie, Josy était là, appuyée contre le mur. Mon cœur a bondi, allait-elle me baiser là, encore une fois, contre ce mur ?!
- Alors poulette, tu es venue t’encanailler ?! Viens-tu va être servie ! (Elle ne m’avait pas reconnue !)
Elle m’a attrapé fermement le bras et m’a ramenée manu militari a l’intérieur, près du billard. J’ai vu le patron fermer la porte, cela devenait chaud !
- Alors les copines, on s’occupe d’elle, je crois qu’elle ne demande que ça !
- Mais avant, ma poulette, tu dois payer ton entrée au patron, à genoux !!
Paulo, le patron, a sorti sa bite grasse et molle et me l’a enfoncé dans la bouche. D’une main ferme, Josy me tenait la tête m’obligeant à l’avaler entièrement !
- Va y suce le ! Oui comme ça !
J’avais connu plus agréable comme pipe, mais là j’étais coincée ! Il n’a pas fallu longtemps pour que Paulo se lâche dans ma gorge.
- Avale ! Avale tout !
Paulo a fermé sa braguette et est retourné derrière son bar, ravi
Josy m’a relevée, en me tenant les cheveux (heureusement que ma perruque tenait bien!)
- Bien maintenant comme tu aimes les queues, tu vas jouer avec nous !
Et elle m’a tendu une queue de billard et J’ai commencé a jouer, entourée par ces trois harpies. Tout était prétexte à me toucher, quand j’étais penchée sur le billard, une main ou plusieurs me caressaient les fesses comme ça en passant, sous le regard gourmand de Josy
- Tu sais que tu as un beau cul !
Elle s’est approchée très près derrière moi, presque contre moi, m’a entourée avec ses bras et a ouvert mon jeans. Je sentais sa respiration dans mon cou. J’étais plaquée contre le billard, ses grandes mains s’étaient glissées dans ma culotte, caressant ma chatte, puis un doigt entre mes lèvres
- Et les filles, elle mouille !
Et oui la situation m’excitait ! D’un coup sec Josy a descendu mon pantalon a mis cuisses, tout en me caressant, deux de ses doigts m’avaient pénétrée, elle était de plus en plus excitée !
- tenez là moi, les filles !!
Je me suis retrouvée, maintenue par ses deux copines, penchée en avant, la tête contre le tapis du billard ! Josy a arraché ma culotte
- j’ai une queue pour toi, je crois que tu va aimer !
J’ai senti le bois dur entre mes fesses, le coté large de la queue !
- Alors tu veux essayer ?!
Et d’un coup la queue s’est enfoncée dans mon petit trou, j’ai crié ! Oui j’avais mal, mais en même temps...c’était bon ! Josy et ses copines riaient
- Mais c’est qu’elle aime ça, la salope !!
La queue allait et venait dans mon petit cul, Josy prenait son pied, et je l’avoue moi aussi !!
Je me suis relevée, j’avais mal partout et surtout au … J’ai remis mon jeans, ma culotte avait disparu ! Josy m’a amené un whisky « offert par la maison » et m’a reconduite chez moi, avec sa moto ! De la poche de son blouson, dépassait ma culotte déchirée, un souvenir elle a dit !
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