Mariette
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Mariette
J’ai besoin de faire un tour chez mon esthéticienne: mon prochain vol m’emmène sur Rio. Je connais intimement un patron d’une boite qui me fait l’amour divinement: il connais mes points sensibles, il apprécie surtout quand je lui caresse le cul en entrant jusqu’à sa prostate: il jouit rapidement. Il sais me rendre tous les plaisirs: il me lèche particulièrement bien, surtout l’anus.
Les affectations diverses sont fantaisistes: Je ne vais pas toujours où je voudrai. Aujourd’hui c’est sur je vais voler vers le Brésil.
Mon rendez vous est le dernier de la semaine. J’espère avoir celle qui me réussit toujours le maillot. J’aime bien aller à cet institut, d’abord il est près de chez moi, ensuite les relations clientes/employées sont très particulières pour les clientes fidèles.
A mon arrivée la patronne me dit que je serai peut-être déçue, l’employée qui normalement s’occupe de moi est malade. Elle me confie à une autre qui parait-il fera l’affaire, sinon mieux. Mariette, la remplaçante me parait sympathique. Elle me fait entrer dans une cabine où nous devrions être à l’aise. Elle me fait passer derrière le paravent pour que je me mette nue. J’en frémit d’avance. J’aime assez être nue devant d’autres filles, surtout si la suite est ce que j’espère.
Quand je suis à Paris, je suis lesbienne. En escale, je me paye toujours des mâles bien montés: j’aime sentir une bonne grosse bite dans le cul. Chez moi j’ai une bonne collection de jouets intimes venus du monde entier ( sauf de Chine). Je suis donc très libre dans mes choix, hommes ou femmes ou même gode: je prend tout ce qui fait du bien. Pourtant on dit de moi que je suis collet monté…S’ils savaient
Donc je me déshabille, prend la serviette pour m’y envelopper, et ressort. Mariette me fait allonger d’abord sur la table pour me masser, massage décontractant. Elle me fait enlever la serviette pour la poser pliée sur mes fesses. Elle enduit mon dos d’un produit légèrement gras et ses mains commencent leur travail. C’est vrai qu’elle a des mains d’or. Je me sens totalement relaxée. Elle me fait tourner sur le dos. La serviette est sur mon bas ventre. Je remarque que sa blouse se défait lentement. Je peux vois la moitié de sa poitrine: jolis seins. Ses cuisses sont visibles à moitié.
Nous bavardons de mon métier: elle ne me connait pas encore, c’est logique. Je regarde de plus en plus ce corps qui lentement se dévoile. Ses mains arrivent sur ma poitrine. Elle ne masse plus, elle caresse. Ce n’est pas encore très sensible, moi je le sens. Je le sens tellement que je commence à mouiller: j’ai envie de cette fille. Elle me donne encore plus envie quand elle me demande d’ouvrir les jambes pour épiler le bas ventre. Elle fait son travail en regardant bien ce qu’elle fait. Sa blouse est maintenant totalement ouverte. Si elle peut voir ma chatte, moi je vois ses seins, son bas ventre. Elle se tourne le dos vers moi. Je sais ce qui me reste à faire: je caresse ses cuisses. Sa réaction est favorable: elle entrouvre les jambes me permettant ainsi de monter vers ses fesses.
Mariette n’arrête pas son travail, l’accélère au contraire et le fini rapidement. Maintenant je n’ai plus affaire qu’à ses mains qui ne restent pas immobiles: elles me caressent maintenant l’intérieur des cuisses. Elle a commencé aux genoux, elle me fait écarter les cuisses. Qu’elle caresse bien, d’une façon très sensuelle.
Je continu moi aussi à monter vers son paradis. Nous arrivons pratiquement ensemble sur le sexe de l’autre. Elle se penche en avant pour que je trouve son bouton. Elle prend le mien entre deux doigts. C’est une des rare fois qu’un femme me traite ainsi: c’est plus qu’agréable. Je sens qu’elle va me faire jouir.
De mon coté, malgré l’orgasme qui se prépare j’arrive à la doigter. J’ai mis deux doigt dans son vagin, j’ai trouvé son point G. J’en profite pour la faire partir vers Eros. Nous jouissons pratiquement ensemble, sauf qu’elle jouit longtemps.
Je me lève de la table de massage. Nous nous embrassons sur la bouche un long moment:
- Tu branle bien, lui dis-je
- Toi aussi, tu sais bien faire jouir les filles.
- Tu ne veux pas venir chez moi pour passer la nuit.
- C’est l’heure de la fermeture, OK je te suis.
Rhabillées nous allons chez moi, je préfère plutôt qu’un hôtel anonyme. En plus j’y ai mes jouets.
Ce n’était pas la peine de se rhabiller puisque nous sommes nues dès l’entrée. Mon premier soin est de téléphoner à un traiteur.
Nous allons dans la chambre. Nous reprenons les baisers sans nous presser; Je pense que sa langue est bien meilleure que d’autres, sans doute parce que sa langue est plus agile. J’ai pris le commandement au moins à titre provisoire simplement parce que je suis chez moi. Nous nous serrons simplement pour avoir nos tétons qui se caressent. Je mouille de plus en plus.
- J’ai envie de toi, dit Mariette.
- Maintenant, tu ne veux pas attendre que le traiteur soit là ?
- Je me fous du traiteur, si j’ai faim je te boufferai la chatte.
- S’il sonne j’irai lui ouvrir.
- Toute nue ?
- Non avec un serviette simplement.
Nous ne trainons plus, nous avons envie de jouir toutes les deux. C’est elle qui commence après un baiser: elle embrasse mes seins et sa main est sur mon mont de vénus. Il est doux grâce à elle. Elle y passe deux doigts qui vont directement sur mon clitoris. Elle le branle comme une bite. C’est extraordinaire le plaisir qu’elle donne. Je ne peux retenir mes soupirs et mes mouvements du bassin qui lui montrent que j’aime ce qu’elle me fait. J’arrive à mon tour sur sa chatte. Elle est douce, je passe vite sur le clitoris, plante mes doigts dans son vagin pour recommencer à caresser le point G. Pour elle commence la grande saison de la jouissance. J’aime bien mettre mes doigts dans le vagin d’une fille et la faire bien jouir.
On sonne à la porte; je prend une serviette qui m’enveloppe à moitié, étant un peu exhibitionniste, j’aime bien me montrer nue ou presque, surtout si c’est une femme. Le temps de prendre les paquets et de faire entrer la livreuse pour la payer, ma serviette tombe: je me fais admirer par cette jeune fille qui me plait bien. J’aimerai l’avoir dans le lit avec Mariette.
Je retourne à la chambre. Mariette est toujours sur le lit, les jambes écartées: elle se branle. Quand je lui parle de la livreuse elle me dit que j’ai eu tord de ne pas lui avoir demander de faire l’amour avec nous. C’est trop tard maintenant.
Nous arrêtons de baiser le temps de manger.
Je lui raconte mon aventure à Rio avec un homme bien monté. Elle pensait que j’était simplement lesbienne. Je lui montre mes jouets. Elle en est étonnée et curieuse. Elle me demande si elle peut les essayer pour voir l’effet que ça lui fera. Je lui confit un œuf vibrant qu’elle se met rapidement dans son vagin , pas tout à fait au fond, là où est la partie sensible du vagin. Comme j’ai la télécommande, je le fait vibrer. Je fait vibrer en même temps Mariette. Je me précipite sur son clitoris, je le lèche longuement pendant toute la durée des vibrations de l’œuf. Mariette se tord dans tous les sens. Elle voudrai m’en faire autant: je suis déjà occupé par un gode vibrant.
Elle le prend en main, le fait aller et venir dans ma cage. Je lui demande de changer d’orifice: elle est étonnée que j’aime la sodomie.
- Moi, j’aime tout en amour, même les filles comme toi.
- Je t’encule, tu es la première que j’encule. Je voudrai essayer après toi.
- Comme tu veux, si tu veux tout connaitre je peux de l’appendre.
En attendant que je lui apprenne plein de chose, elle entre le gode dans mon cul. Elle s’y prend fort bien: je jouis rapidement.
Je lui prend la bite factice, la lui pose sur son anus. Je ne veux pas lui faire mal alors j’entre très lentement. Elle est crispée. Quand elle comprend que je n’arrêterai pas elle se détend. Je peux le lui mettre à fond.
- Tu m’a fait mal, et maintenant c’est bon, je crois que je vais jouir.
- Branle toi en même temps, tu verra comme c’est bon.
Mon conseil doit avoir du bon puisqu’elle jouit.
J’ai envie avant de nous reposer de faire ce que je préfère avec les filles: un 69 et un con à con.
Pour le 69, elle en connait un rayon: sa langue sait où et quand aller. Je la sens du cul au clitoris en passant par les lèvres et le vagin. Je lui rend ce qu’elle me donne. Par contre elle ne connait pas le surfin.
Nous sommes pratiquement assises sur le lit, les cuisses emmêlées et nos clitoris qui se touchent. Les légers mouvements que nous faisons suffisent à nous sonner des orgasmes supérieurs.
Je lui propose de devenir ma « correspondante » à Paris: elle baise trop bien. Cela signifie que quand je serai chez moi, ce sera elle mon amante, sans obligation de fidélité.
Les affectations diverses sont fantaisistes: Je ne vais pas toujours où je voudrai. Aujourd’hui c’est sur je vais voler vers le Brésil.
Mon rendez vous est le dernier de la semaine. J’espère avoir celle qui me réussit toujours le maillot. J’aime bien aller à cet institut, d’abord il est près de chez moi, ensuite les relations clientes/employées sont très particulières pour les clientes fidèles.
A mon arrivée la patronne me dit que je serai peut-être déçue, l’employée qui normalement s’occupe de moi est malade. Elle me confie à une autre qui parait-il fera l’affaire, sinon mieux. Mariette, la remplaçante me parait sympathique. Elle me fait entrer dans une cabine où nous devrions être à l’aise. Elle me fait passer derrière le paravent pour que je me mette nue. J’en frémit d’avance. J’aime assez être nue devant d’autres filles, surtout si la suite est ce que j’espère.
Quand je suis à Paris, je suis lesbienne. En escale, je me paye toujours des mâles bien montés: j’aime sentir une bonne grosse bite dans le cul. Chez moi j’ai une bonne collection de jouets intimes venus du monde entier ( sauf de Chine). Je suis donc très libre dans mes choix, hommes ou femmes ou même gode: je prend tout ce qui fait du bien. Pourtant on dit de moi que je suis collet monté…S’ils savaient
Donc je me déshabille, prend la serviette pour m’y envelopper, et ressort. Mariette me fait allonger d’abord sur la table pour me masser, massage décontractant. Elle me fait enlever la serviette pour la poser pliée sur mes fesses. Elle enduit mon dos d’un produit légèrement gras et ses mains commencent leur travail. C’est vrai qu’elle a des mains d’or. Je me sens totalement relaxée. Elle me fait tourner sur le dos. La serviette est sur mon bas ventre. Je remarque que sa blouse se défait lentement. Je peux vois la moitié de sa poitrine: jolis seins. Ses cuisses sont visibles à moitié.
Nous bavardons de mon métier: elle ne me connait pas encore, c’est logique. Je regarde de plus en plus ce corps qui lentement se dévoile. Ses mains arrivent sur ma poitrine. Elle ne masse plus, elle caresse. Ce n’est pas encore très sensible, moi je le sens. Je le sens tellement que je commence à mouiller: j’ai envie de cette fille. Elle me donne encore plus envie quand elle me demande d’ouvrir les jambes pour épiler le bas ventre. Elle fait son travail en regardant bien ce qu’elle fait. Sa blouse est maintenant totalement ouverte. Si elle peut voir ma chatte, moi je vois ses seins, son bas ventre. Elle se tourne le dos vers moi. Je sais ce qui me reste à faire: je caresse ses cuisses. Sa réaction est favorable: elle entrouvre les jambes me permettant ainsi de monter vers ses fesses.
Mariette n’arrête pas son travail, l’accélère au contraire et le fini rapidement. Maintenant je n’ai plus affaire qu’à ses mains qui ne restent pas immobiles: elles me caressent maintenant l’intérieur des cuisses. Elle a commencé aux genoux, elle me fait écarter les cuisses. Qu’elle caresse bien, d’une façon très sensuelle.
Je continu moi aussi à monter vers son paradis. Nous arrivons pratiquement ensemble sur le sexe de l’autre. Elle se penche en avant pour que je trouve son bouton. Elle prend le mien entre deux doigts. C’est une des rare fois qu’un femme me traite ainsi: c’est plus qu’agréable. Je sens qu’elle va me faire jouir.
De mon coté, malgré l’orgasme qui se prépare j’arrive à la doigter. J’ai mis deux doigt dans son vagin, j’ai trouvé son point G. J’en profite pour la faire partir vers Eros. Nous jouissons pratiquement ensemble, sauf qu’elle jouit longtemps.
Je me lève de la table de massage. Nous nous embrassons sur la bouche un long moment:
- Tu branle bien, lui dis-je
- Toi aussi, tu sais bien faire jouir les filles.
- Tu ne veux pas venir chez moi pour passer la nuit.
- C’est l’heure de la fermeture, OK je te suis.
Rhabillées nous allons chez moi, je préfère plutôt qu’un hôtel anonyme. En plus j’y ai mes jouets.
Ce n’était pas la peine de se rhabiller puisque nous sommes nues dès l’entrée. Mon premier soin est de téléphoner à un traiteur.
Nous allons dans la chambre. Nous reprenons les baisers sans nous presser; Je pense que sa langue est bien meilleure que d’autres, sans doute parce que sa langue est plus agile. J’ai pris le commandement au moins à titre provisoire simplement parce que je suis chez moi. Nous nous serrons simplement pour avoir nos tétons qui se caressent. Je mouille de plus en plus.
- J’ai envie de toi, dit Mariette.
- Maintenant, tu ne veux pas attendre que le traiteur soit là ?
- Je me fous du traiteur, si j’ai faim je te boufferai la chatte.
- S’il sonne j’irai lui ouvrir.
- Toute nue ?
- Non avec un serviette simplement.
Nous ne trainons plus, nous avons envie de jouir toutes les deux. C’est elle qui commence après un baiser: elle embrasse mes seins et sa main est sur mon mont de vénus. Il est doux grâce à elle. Elle y passe deux doigts qui vont directement sur mon clitoris. Elle le branle comme une bite. C’est extraordinaire le plaisir qu’elle donne. Je ne peux retenir mes soupirs et mes mouvements du bassin qui lui montrent que j’aime ce qu’elle me fait. J’arrive à mon tour sur sa chatte. Elle est douce, je passe vite sur le clitoris, plante mes doigts dans son vagin pour recommencer à caresser le point G. Pour elle commence la grande saison de la jouissance. J’aime bien mettre mes doigts dans le vagin d’une fille et la faire bien jouir.
On sonne à la porte; je prend une serviette qui m’enveloppe à moitié, étant un peu exhibitionniste, j’aime bien me montrer nue ou presque, surtout si c’est une femme. Le temps de prendre les paquets et de faire entrer la livreuse pour la payer, ma serviette tombe: je me fais admirer par cette jeune fille qui me plait bien. J’aimerai l’avoir dans le lit avec Mariette.
Je retourne à la chambre. Mariette est toujours sur le lit, les jambes écartées: elle se branle. Quand je lui parle de la livreuse elle me dit que j’ai eu tord de ne pas lui avoir demander de faire l’amour avec nous. C’est trop tard maintenant.
Nous arrêtons de baiser le temps de manger.
Je lui raconte mon aventure à Rio avec un homme bien monté. Elle pensait que j’était simplement lesbienne. Je lui montre mes jouets. Elle en est étonnée et curieuse. Elle me demande si elle peut les essayer pour voir l’effet que ça lui fera. Je lui confit un œuf vibrant qu’elle se met rapidement dans son vagin , pas tout à fait au fond, là où est la partie sensible du vagin. Comme j’ai la télécommande, je le fait vibrer. Je fait vibrer en même temps Mariette. Je me précipite sur son clitoris, je le lèche longuement pendant toute la durée des vibrations de l’œuf. Mariette se tord dans tous les sens. Elle voudrai m’en faire autant: je suis déjà occupé par un gode vibrant.
Elle le prend en main, le fait aller et venir dans ma cage. Je lui demande de changer d’orifice: elle est étonnée que j’aime la sodomie.
- Moi, j’aime tout en amour, même les filles comme toi.
- Je t’encule, tu es la première que j’encule. Je voudrai essayer après toi.
- Comme tu veux, si tu veux tout connaitre je peux de l’appendre.
En attendant que je lui apprenne plein de chose, elle entre le gode dans mon cul. Elle s’y prend fort bien: je jouis rapidement.
Je lui prend la bite factice, la lui pose sur son anus. Je ne veux pas lui faire mal alors j’entre très lentement. Elle est crispée. Quand elle comprend que je n’arrêterai pas elle se détend. Je peux le lui mettre à fond.
- Tu m’a fait mal, et maintenant c’est bon, je crois que je vais jouir.
- Branle toi en même temps, tu verra comme c’est bon.
Mon conseil doit avoir du bon puisqu’elle jouit.
J’ai envie avant de nous reposer de faire ce que je préfère avec les filles: un 69 et un con à con.
Pour le 69, elle en connait un rayon: sa langue sait où et quand aller. Je la sens du cul au clitoris en passant par les lèvres et le vagin. Je lui rend ce qu’elle me donne. Par contre elle ne connait pas le surfin.
Nous sommes pratiquement assises sur le lit, les cuisses emmêlées et nos clitoris qui se touchent. Les légers mouvements que nous faisons suffisent à nous sonner des orgasmes supérieurs.
Je lui propose de devenir ma « correspondante » à Paris: elle baise trop bien. Cela signifie que quand je serai chez moi, ce sera elle mon amante, sans obligation de fidélité.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tres bonne histoir pour se masturber :)
Mmmm que de plaisir a te lire. Quelle sensualité à chaque détaille croustillant. Une
épilation et une soirée a en faire rêver.
épilation et une soirée a en faire rêver.
je suis un homme et je vais régulièrement chez mon esthéticienne me faire épiler le
bas du dos, les aisselles, le haut des épaules et les fesses.Je suis entièrement nu
mais je n'ose pas franchir le pas pour une épilation du pubis et de la verge.Par
contre je n'ais pas eu de gestes sensuels de sa part lorsqu'elle m'épile le sillon
fessier et sa blouse est toujours fermée.
bas du dos, les aisselles, le haut des épaules et les fesses.Je suis entièrement nu
mais je n'ose pas franchir le pas pour une épilation du pubis et de la verge.Par
contre je n'ais pas eu de gestes sensuels de sa part lorsqu'elle m'épile le sillon
fessier et sa blouse est toujours fermée.
histoire très mouillante , je me suis bien masturbée et bien jouit
c'est vraiment beau et bon.
comment résister à l'envie de se masturber aprés avoir lu ?
comment résister à l'envie de se masturber aprés avoir lu ?