Marion

- Par l'auteur HDS le roi des cons -
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Récit libertin : Marion Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Marion
Marion XXX


Lentement, Marion descend l’Avenue, les mains au fond de ses poches.
Il fait froid et malgré le gros blouson en cuir, il sent les doigts du Mistral s’infiltrer partout. Il a hâte d’arriver à l’appartement qu’il loue en colocation avec deux autres élèves.

A peine la porte ouverte, il est agressé par une merveilleuse odeur de chocolat qui une fois ses chaussures ôtées et abandonnées dans le couloir, le fait se précipiter dans la cuisine. Là sur la table, trône en son milieu sur un plateau, un gâteau au chocolat trop tentant pour être ignoré. Frédéric lui pardonnera…

Sa part déjà à moitié dévorée posée sur son bureau, pièce par pièce, il ôte son uniforme. La veste se retrouve sur le dossier de la chaise, la cravate sur le bureau à côté de la part de gâteau encore diminuée de moitié. La chemise se retrouve dans la panière en plastique où il entasse le linge sale. Ses chaussettes la suivent de près puis le pantalon se retrouve soigneusement suspendu par les chevilles au cintre pince qui lui est destiné.
Après avoir mis en bouche le dernier morceau, Marion saisit un pantalon jogging sur l’étagère
.
lorsque la porte s’ouvre sur un Frédéric furieux.
- Il était bon le gâteau ?
Marion lui sourit sans ouvrir la bouche et lui faisant un geste d’ignorance des deux mains.
Derrière Frédéric, les deux autres colocataires Eric et Joan, ainsi que deux autres élèves de l’école. Tous les quatre une petite bouteille de bière à la main. Eric se met à rire.
- Mon gars tu es fichu Fred en rogne , tu as bouffé le gâteau d’anniversaire de Joan.
Oups ! Marion comprend de suite qu’il avait fait une connerie mais… il agite ses mains devant lui, agitant aussi son bas de jogging.
- Mais attendez qu’est-ce qui vous fait dire que c’est moi ?
Derrière lui Frédéric montre les miettes de gâteau sur le bureau.
- Joan c’est ton gâteau, c’est toi qui décide.

Les trois copains s’écartent pour laisser passer Joan qui s’avance jusqu’à Marion.
- Alors c’est toi mon cadeau ?
Ses yeux brillent de gourmandise en le regardant, Marion recule jusqu’à se retrouver acculé contre Frédéric.
- Joan, il t’a mangé ton gâteau punit le.
Qui le repousse vers Joan qui lui prend juste le pantalon des mains pour le jeter sur le lit.
Marion déglutit, voyant les trois autres s’approcher aussi.
- Joan, si tu veux je vais t’en acheter un à la pâtisserie d’à côté.
Joan a un sourire carnassier puis prend à parti les autres hommes.
- Vous en pensez quoi ? Il va acheter un autre gâteau ou je le punis.
Les autres d’une seule voix répondent.
- Punition.
Marion qui a déjà d’une carnation assez pâle, pâlit encore plus.
- Les mecs soyez sympas. Allez je vous offre à tous le resto.
Joan, à nouveau, demande aux autres ce qu’ils préfèrent.
- Alors vous en pensez quoi ? On accepte son offre de bon repas au resto ou je le punis ?
Trois d’entre eux répondent d’une seule voix :
- Punition !
Mais Frédéric lui, rappelle à Joan…
- Joan, franchement, refuser un jouet de cette qualité ? Je pensais que tu aimais les garçons. On t’en offre un vierge et tu renoncerais ?
Là, Marion réagit en se retournant vers Frédéric.
- Ça ne va pas ? Serais-tu devenu fou ?

Il ne peut donc pas voir le geste que Joan fait à Frédéric qui d’un coup se saisit des poignets de Marion pendant que Joan d’un geste sûr lui descend le boxer.
Marion veut se dégager mais les trois autres sont venus aider Frédéric et dans l’instant, l’infortuné Marion se retrouve les bras en croix à moitié couché sur son lit présentant son fessier laiteux à Joan.
Avec l’énergie du désespoir, il se mit à donner des coups de pied en arrière mais bientôt s’aidant de leur propre ceinture deux de ceux qui le maintenaient, lui attachent les chevilles, les lui bloquant au sol, assez écartées l’une de l’autre.
Le pauvre Marion proteste du traitement qu’ils lui infligent.
- Non, vous n’avez pas le droit c’est du viol, non arrêtez !
Les mains qui lui caressent les fesses et les écartent pour que leurs doigts jouent avec les petits poils qui entourent un orifice fripé qui frétille malgré lui sous les caresses. Puis elles lui remontent sur le dos au maximum le teeshirt ce qui le fait se cabrer dans le vain espoir de lui échapper ce qui met encore plus en valeur ses rondeurs encore glabres d’ado tardif.
- Sais-tu ce qu’on fait aux vilains petits voleurs.
- Non, j’ai rien volé !
C’était maintenant deux mains qui longuement le caressent, descendant et remontant le long de son dos, de ses flancs, malaxant ses fesses, alternant la douceur d’une caresse avec la vigueur d’un massage appuyé.
Marion ne dit plus rien.
Lorsque d’un coup la main se relève pour s’abattre immédiatement dans un claquement sonore, Marion se cabre d’un coup sous l’effet de surprise, mais c’est un des autres hommes qui émit un : «Oh !» de surprise.
Les autres émettent à tour de rôle des commentaires.
- Elle a bien claqué celle-là !
- Oh Marion, tu vas avoir les fesses bien rouges.
- Joan on sent l’habitué.
Ce dernier sourit.
- Même pas ! Mais c’est vrai que c’est agréable. Je pourrais y prendre goût. Ses mains tournent maintenant en rond sur les globes, les écartant et les refermant de plus belle. Puis à nouveau un claquement se fait entendre sur l’autre fesse, puis plusieurs se succèdent alternant la fesse droite et la fesses gauche.
Puis d’un coup Joan glisse une main entre les cuisses de Marion et pousse un juron amusé.
- Putain le salaud c’est qu’il a la trique. Voilà pourquoi cette enflure se taisait.
Alors il se tait et enlève sa propre ceinture bleue en toile. Il l’entoure autour de sa main et avec des gestes secs, en frappe les fesses de Marion qui a chaque nouveau coup émet juste un léger «outch».
Alors Joan s’écarte après avoir encore caressé longuement les marques rouges qu’ont laissé ses mains puis la ceinture. Cette fois il déroule une longue partie de la ceinture et s’en servant comme d’un fouet, laisse une dizaine de nouvelles marques.
Enfin il laisse tomber au sol sa ceinture et glisse à nouveau sa main entre les cuisses de Marion puis fait signe aux autres de sortir, ce qu’ils font en souriant.
Frédéric en passant derrière lui, lui souffle :
- Bon anniversaire !

Alors que la porte se referme, Marion se retourne d’un coup poings en avant, le visage baigné de larmes.
Joan lui saisit alors sa verge turgescente et la serre.
Marion, stoppé dans son élan, referme ses mains sur celle de Joan qui pose l’autre sur son cou, l’attirant à lui pour l’embrasser.
D’abord Marion veut se refuser à ce baiser mais excité par les mouvements d’aller retour sur son sexe, lui répond.
Alors Joan le repousse pour l’allonger sur le dos, lui écarte les mains et se penche vers ce dard violet et ouvert qui s’offre à sa bouche.
Doucement il en caresse d’abord les bords palpitants qui se gonflent que davantage à ces légers contacts. Puis sa langue légère en dessine le contour pour s’écarter encore plus largement.
Marion pose une main sur la tête de son tortionnaire qui la repousse puis donne une tape sur le bout du gland provoquant un cri confondant douleur et jouissance.
Joan constate amusé l’arrivée de perles d’un liquide annonciateur de la montée d’un plaisir plus grand encore. Alors lentement, il referme ses lèvres sur l’extrémité de ce pénis rigide. Sa main, elle, se referme sur les bourses à l’autre extrémité, les caressant et jouant avec leur contenu. Bientôt il a en bouche toute la tige dure et souple tout à la fois qui vient frapper contre sa gorge en un spasme libérant le jet de sperme qu’il avale en partie.

Alors sans attendre, il se redresse et force Marion à se remettre sur le ventre même si ce dernier exprime son désaccord.
Rapidement il ouvrit ses propres vêtements laissant jaillir son propre membre qui n’attendait que ça et le frotte aux fesses rougies de Marion.
Il crache dans sa main droite un mélange de glaire et de sperme dont il enduit l’anus de son partenaire et doucement, je pourrais dire amoureusement, il en caresse les moindre millimètre, et pénètre ce cloaque frémissant d’un doigt puis deux, il le prépare à une autre pénétration qu’il assure millimètre après millimètre en léger aller-retour de plus en plus appuyés jusqu’à ce que son propre gland soit avalé, puis le ressort, goûtant avec gourmandise à la montée de son propre plaisir accentué par les fausses tentatives de Marion pour s’extraire de son emprise.
Lorsqu’il est entièrement entré et qu’il sent monter, son plaisir il se couche davantage sur son amant pour aller en sentir son propre sexe et lui imprimer les mêmes mouvements que le sien dans la prison de sa main. Puis en quelques coups de reins se laisse submerger par cette vague de plaisir qui le laisse allongé sur le dos de Marion.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Histoire intéressante, néanmoins il aurait suffit que Joan demande à Marion une première fois : "Marion, je veux te sucer, est tu OK ?" et la seconde fois : Marion, maintenant je veux te baiser, te faire l'amour, je peux continuer ?" Deux petits "oui" en réponse auraient suffi pour transformer un viol en un rapport entre adultes consentants. Tu peux rattraper le coup en écrivant une liste ou l'on verrait Marion en redemander... Bises

je croyais que Marion était uune femme... difficile de comprendre

Histoire Libertine
exactement c'est un récit sur un viol

Histoire Libertine
Le mec est attaché même si il a la trique ça reste 1 viol.



Texte coquin : Marion
Histoire sexe : Une rose rouge
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