Marion la copine de mon père

- Par l'auteur HDS John Rabbit -
Auteur homme.
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Récit libertin : Marion la copine de mon père Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Marion la copine de mon père
Je m'appelle David j'ai 18 ans et je suis lycéen, mes parents ont divorcé quand j'étais jeune, je suis resté avec ma mère les premières années puis en devenant ado mon comportement s'est dégradé et après de nombreux soucis ma mère ne voulant plus de moi chez elle je suis aller vivre avec mon père. Comme il n'est pas là souvent ça se passe plutôt bien il me laisse faire ce que je veux mais nous n'avons pas de relation père-fils. Quand j'ai eu 17 ans, mon père s'est mis en couple avec Marion et après quasi un an de relation elle est venue vivre avec nous, je la voyais pas souvent avant, mais nous ne nous apprécions pas beaucoup, mon père n'étant pas souvent là il n'en a rien à faire, de mon côté si je ne l'apprécie pas c'est soyons honnêtes parce qu'elle est hyper canon et que je suis jaloux que mon père puisse se la taper, car Marion est magnifique elle à 30 ans, (mon père en a 45) elle fait 1m70 et 55 kg, elle a les cheveux foncé et long, un cul et des seins de rêve. Si elle ne m'apprécie pas c'est qu'elle pense que je ne suis qu'un branleur fouteur de merde, bref vous imaginez bien que l'ambiance quand mon père est là est assez froide mais quand il n'est pas là c'est glacial, nous avons très peu de contacts, je mange et je fais mes trucs de mon côté, elle fait pareille du sien. Au fond de moi je crois qu'elle est avec mon père parce qu'il a une bonne situation et que ça lui permet de vivre dans une belle maison, mais bon ça c'est mon avis peut-être qu'elle l'aime au fond.

Les choses ont changées en ce samedi de printemps, alors que je rentrais chez moi en vélo, je vis sur le bord de la route la voiture de Marion, elle était à l'arrière de son SUV le coffre ouvert, elle était hyper sexy en robe blanche, quand elle m'a vu elle a baisser ses lunettes de soleil et a lâché un "tiens c'est toi" avec un ton hautain qui m'a énervé mais bon j'ai pris sur moi et je lui ai demandé ce qu'il lui arrivait, en fait elle avait juste crevé un pneu je me suis mis au travail pour changer cette roue, même si je savais le faire c'était un peu compliqué en plein soleil et surtout de la voir à coté de moi en train de surveiller ce que je faisais, pas que cela me dérangeait mais ce n'était pas facile de me concentrer quand elle était tout proche de moi que de la sueur coulée dans son décolleté entre ses seins, qu'elle se mettait sur ses talons pour vérifier "que je fasse bien les choses pour qu'elle n'ait pas un accident" et que du coin de l'oeil j'apercevais son sous vêtement qui semblait être un string noir du moins c'est ce que j'imaginais, je venais enfin de finir de changer sa roue, elle me dit "au moins tu sais faire quelques choses", elle est sympa la belle-mère n'est ce pas? Bref elle me dit quand même merci et me proposa de mettre mon vélo dans le coffre et qu'elle me ramène et vu la chaleur j'ai accepté. Dans la voiture elle fut plus cool, elle me parlait normalement pas comme à un ados débile comme quand elle parlait de moi avec mon père (quand elle croyait que je ne l'entendais pas), elle me proposa même un traité de paix et que nous essayions de repartir sur de bonne base, elle était tellement belle et en conduisant la fenêtre ouverte le vent faisait voler le bas de sa robe qui découvrait le haut de ses cuisses je ne pouvais pas lui dire non. Pour sceller notre paix elle me proposa qu'on commande des pizzas et qu'on se regarde un film, elle me laissa même le choix du film, une fois à la maison je suis monté dans ma chambre pour prendre une douche pendant ce temps elle resta en bas dans la cuisine et elle me servit un verre de limonade, je pris vite ma douche et quand je suis redescendu dans la cuisine mon verre m'attendait bien frais, elle me laissa avec mon verre pour aller prendre une douche dans leur salle de bain au rez de chausser. Je ne sais pas trop comment ni pourquoi mais une force incontrôlable me conduisit vers la porte de sa salle de bain, et je sais pas si ce fut volontaire de sa part mais la porte était resté entre ouvrir, pas trop ouverte mais assez pour que je puisse voir discrètement, malheureusement la porte de la douche était opaque mais je pouvais quand même distinguer la forme de son corps, cela me provoqua une érection, puis j'entendis l'eau s'arrêter et la porte de la cabine va s'ouvrir, alors je suis vite parti dans le salon. Elle réapparut quelques minutes après vêtue d'une autre robe blanche, elle avait les cheveux sur un côté et comme ils étaient mouillés ça avait humidifié le haut de sa robe et elle devenait légèrement transparente, je ne sais pas si ma vision sur elle a changé mais je ne l'avait jamais regardé comme ça avec autant d'attirances pour elle, je l'ai toujours trouvé canon mais à ce point c'était la première fois, elle me demanda même ce qu'il m'arrivait, hypnotiser par ses seins qui pointaient sous le tissu de sa robe j'ai quand même réussi à bredouiller une excuse plus ou moins cohérente, elle me sourit et elle s'installa sur le canapé à bonne distance de moi, le temps passa nous regardions la télé sans parler, nous avons étaient sortis de notre silence par la sonnette du livreur de pizza, je suis aller les récupérer pendant qu'elle amenait des boissons et des serviettes sur la table du salon. Nous avons mangé quelque part mais la chaleur et de mon coté l'état d'excitation dans lequel j'étais nous avais coupé l'appétit, nous nous sommes concentrés sur le film, il faisait de plus en plus sombre et Marion était appuyée sur l'accoudoir du canapé les pieds repliés vers moi, je ne pouvais m'empêcher de jeter des coups d'oeil vers elle et surtout vers ses fesses que caché difficilement sa robe, j'avais de plus en plus chaud, je ne sais pas ce qu'il m'a pris mais je suis allé chatouillé la plante de ses pieds, elle aurait pu le prendre mal mais elle rigola et me mit un léger coup de pied, j'ai recommencé elle me regarda en rigolant et en tenant un coussin me menaçant de me le lancer si je continuais, je n'ai pas flanché devant la menace et j'ai recommencé les chatouilles, elle me lança le coussin en pleine tête, ce n'était pas violent mais ça me surpris quand même... Je l'ai regardé tenant le coussin dans une de mes mains comme si j'allais le lancer à mon tour, elle tendait son bras devant son visage et tendait aussi une de ses jambes pour se protéger, je faisais pas vraiment gaffe mais ça me donnait une belle vue sur son entre jambes enfin sur son string, elle ne faisait pas attention à sa position, au lieu de lui lancer le coussin j'ai attrapé le pied qu'elle tendait vers moi pour la chatouiller, elle se débattait, se tortillait pour me faire lâcher son pied, sa robe était maintenant remontée sur sa taille, j'ai fini par la lâcher, elle se remit en position plus convenable et elle se leva en rigolant je me suis levé aussi elle me pointait du doigt elle rigolait et elle me suppliait de la laisser tranquille mais l'occasion d'avoir un contact physique avec elle était trop belle, alors je me rapprochais d'elle pour reprendre les chatouilles, je la prenais par la taille, elle se débattait, me mettait des légers coups pour se défendre mais dans nos chamailleries nos corps se touchaient, mes mains frôlés ses seins, ses fesses se collaient à moi,ça devenait trop chaud et j'ai eu peur, alors j'ai lâché prise elle me mit un dernier coup avec un coussin et après avoir repris nos souffles et ayant complètement décroché du film nous sommes aller nous coucher chacun de notre côté.

J'étais dans mon lit et je ne pouvais m'empêcher de repenser à tout ce qui s'était passé, du rapprochement qu'il y avait eu, je me disais que cela ne pouvait être innocent de sa part, mais je me faisais sûrement un film, sans m'en rendre compte je me suis retrouvé debout en caleçon dans les escaliers j'avais l'impression de ne plus contrôler mon corps, très vite je me retrouvais devant la porte de la chambre de mon père où dormait ma belle-mère, la porte n'était pas fermée, je l'ai légèrement poussé et je l'ai vu allongé dans le lit en train de dormir, la lumière de la lune laissait passer assez de lumière pour que je la vois en nuisette, sa poitrine gonflée au rythme de sa respiration, je ne contrôlais plus rien et je me suis retrouvé à genoux sur le côté du lit, je n'osais pas la toucher, je ne voulais pas la toucher comme ça, je l'ai regardé, puis j'ai dit "Marion", elle n'eut aucune réaction j'ai recommencé un peu plus fort, elle se réveilla doucement puis surprise de trouver quelqu'un à coté d'elle elle sursauta et s'éloigna sur le lit, je l'ai rassuré lui dit que ce n'était que moi, elle se calma aussi vite et me demanda ce que je faisais là, je me suis relevé, et j'ai avancé sur le lit, les mots n'arrivaient pas à sortir de ma bouche, quand je l'ai senti complètement détendu et plus sur le stress de ce réveil en panique et alors qu'elle allait parler je l'ai embrassé, elle fut surprise et elle me repoussa me demandant ce que je faisais, que j'étais fou, elle se leva du lit, alluma la lumière, elle me demanda de partir, mais je n'avais pas envie c'était aller trop loin pour que j'abandonne, au lieu de sortir je me suis dirigé vers elle, elle me disait non de pas m'approcher mais c'était plus fort que moi, j'étais maintenant tout proche d'elle, elle ne faisait que dire "non", mes mains se sont posées sur ses hanches, elle essaya de me repousser mais sans grande motivation, elle baissait la tête, une de mes mains et allez sur son visage pour le relever, nous nous sommes fixés un instant et je l'ai embrassé, elle essaya encore de me repousser mais très vite ses bras sont passés autour de mon cou et elle se laissa aller, nos langues dansaient au rythme de la passion. Pendant ce fougueux baiser je l'avais plaqué contre le mur une de mes mains alla sur sa cuisse, agrippa une fesse, un doigt alla même flirter avec son abricot, et quand le baiser s'arrêta je lui ai demandé si elle voulait toujours que je parte, elle m'a dit de me taire me traita de petit con et m'attira vers le lit, elle s'allongea sur le dos et elle m'attira sur elle, nos bouches se collèrent encore l'une à l'autre, mes mains parcouraient son corps puis bientôt ma bouche quitta la sienne, j'ai baissé les bretelles de sa nuisette, pour la première fois je voyais ses seins je me jetais dessus, embrassant, suçant, mordillant ses tétons, elle gémissait, puis ma tête est descendu, j'ai remonté le bas de sa nuisette, baissé sa culotte et j'ai plongé ma tête entre ses cuisses, quand ma langue est entrée en contact avec son intimité elle poussa un gémissement plus fort, elle mouillait, j'avais déjà un peu d'expérience avec les femmes, et sans être un pro je pense que je me débrouille plutôt bien, j'avais quand même un peu d'appréhension, donner du plaisir avec une fille de mon âge moins expérimenté c'était "facile" mais là de me retrouver avec une femme plus âgée et plus expérimentée ça me faisait peur, mais le plaisir qu'elle avait l'air de prendre me rassurait et je me donnais encore plus à fond, elle réagissait plutôt bien au traitement que lui infligeait ma langue et elle eut un orgasme. Aussitôt remise de son orgasme elle me fit mettre sur le dos, elle s'est mise à cheval sur moi, se pendant pour m'embrasser d'abord sur la bouche puis ensuite dans le cou, le torse, le ventre, elle retira ensuite mon caleçon mon sexe jailli devant elle, elle le prit en main puis elle l'a léché sur toute la longueur finissant en donné des petits coups de langue sur mon gland, ensuite elle le prit en bouche alternant mouvement lent et rapide, s'arrêtant pour lécher la longueur de ma bite ou en prenant en bouche mes couilles, elle s'y prenait comme une pro, c'était de loin la meilleure pipe de ma vie, surement logique venant d'une femme expérimentée, j'ai mis mes mains sur sa tête pour l'arrêter quand j'ai senti que je ne pourrais plus tenir longtemps, elle se releva, enleva sa nuisette et vint se mettre à cheval sur moi, elle se leva un peu prise mon sexe et avec sa main elle le plaça en elle, je ne réalisais pas encore que j'étais en train de baiser ma belle-mère je voulais juste profiter du moment, elle fit bouger son corps d'avant en arrière puis elle faisait des cercles autour de mon sexe, ensuite mes mains sont aller sous ses fesses et elle commença à bouger de haut en bas, cela devenait difficile de me retenir j'ai dû me résoudre à le lui dire elle se retira, prit mon sexe en main, elle plaça mon sexe près de sa langue et elle m'a branlé jusqu'à ce que je jouisse, dès les premiers jets de sperme elle me reprit en bouche et elle me suça jusqu'à ce que plus rien en sorte, elle avalât tout, déposa un baiser sur mon gland et elle est venue se coucher sur moi. J'ai déposé un baiser sur son front, la remerciant pour ce moment et nous sommes restés un moment comme ça, au bout de quelque temps j'ai rompu le silence "c'est un truc de fou ce qui s'est passé", elle se redressa mise son doigt sur ma bouche pour me faire taire, elle était toujours allongée sur moi son corps nu contre le mien les légers mouvements qu'elle faisait ont provoqué une réaction, mon sexe a repris de la vigueur, elle le sentit, mais cette fois je voulais prendre les choses en mains, je l'ai retourné elle s'est retrouvée sur le dos et moi au dessus d'elle, nous nous sommes embrassés, je suis très vite allez entre ses cuisses, elle eut vite un orgasme, puis je l'ai mise en position de la levrette, je me suis mis derrière elle et je me suis introduit en elle d'un seul coup, elle poussa un cri de surprise, puis quand j'ai commencé à bouger doucement en elle, elle poussa des cris de plaisir, je la tenais fermement par la taille, puis ma main agrippa ses cheveux la tirant en arrière pour la faire encore plus se cambrer, une de mes mains tenait toujours ses cheveux, l'autre allait sur son sein pour pincer ses tétons, je l'ai bourriné de plus en plus fort, elle criait de plus en plus son plaisir, j'étais au bord de la jouissance, je ne savais pas si elle voulait que je jouisse en elle, moi j'en crevé d'envie, je lui ai dit que j'allais jouir, elle ne dit rien, ne me demanda pas de me retirer donc j'ai accéléré le mouvement jetant mes dernières forces et elle me cria qu'elle avait un orgasme et cela déclencha le mien, je me suis vidé au fond de ma belle-mère.

Nous nous sommes écroulés sur le lit, elle sur le côté moi derrière elle, elle prit mon bras pour le passer sur elle et nous nous sommes endormis, quand je me suis réveillé, j'étais seul dans le lit, j'ai d'abord eu peur que tout ça ne soit qu'un rêve, mais je me suis rendu compte que j'étais dans sa chambre, mais elle n'était plus là, je me suis levé, je suis aller vers la cuisine et elle était là avec sa nuisette qui avec la lumière du jour était transparente, en train de faire le petit déjeuner, elle se retourna, elle m'a sourit m'a demandé si j'avais bien dormi, je lui dis que je n'avais jamais si bien dormi, elle me fit un clin d'oeil, pour le reste c'est une autre histoire, alors mesdames et messieurs si vous voulez la suite laissés un commentaire.

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Texte coquin : Marion la copine de mon père
Histoire sexe : Une rose rouge
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