Marjorie dévoile ses arguments à son patron au restaurant pour négocier son augmentation.

- Par l'auteur HDS Galam -
Récit érotique écrit par Galam [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Marjorie dévoile ses arguments à son patron au restaurant pour négocier son augmentation. Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Marjorie dévoile ses arguments à son patron au restaurant pour négocier son augmentation.
René jubilait intérieurement. L’entrée de Marjorie dans le restaurant avait été accueillie dans un silence total. Elle était en retard de cinq petites minutes mais la silhouette toute en courbes de la jeune femme aurait justifié même une heure d’attente.
La plupart des hommes présents n’avaient qu’une idée en tête. Se précipiter sur la jeune femme et lui faire payer l’insolente beauté de ses courbes.
Le serveur posté à l’entrée de l’établissement en avait fermé malencontreusement la porte au nez d’un couple qui pestait de rage dans l’indifférence générale, ledit serveur ainsi que tous ses collègues ayant les yeux rivés sur la poitrine somptueuse qui se déplaçait dans la salle.
René se leva autant par galanterie que pour contempler le spectacle merveilleux des seins de rêve de la jeune femme qui s’asseyait sur la chaise qu’il lui avait tenue.
Il faut dire qu’à cinquante neuf ans il n’avait plus si souvent l’occasion de contempler ce genre de spectacle. Marjorie avait quarante ans de moins que lui mais il se sentait des pulsions de jeune homme à chaque fois qu’il voyait son employée. Il ne regrettait pas d’avoir renouvelée cette jeune intérimaire à chacune de ses fins de contrat depuis un an. La jeune femme avait souvent sollicité une entrevue avec lui et il avait retardé l’échéance, pensant mettre la pression sur la jeune femme et en espérant mettre toutes les chances de son côté.
Car si Marjorie souhaitait conclure un contrat à durée indéterminée ce qu’il souhait lui, c’était conclure avec elle ce soir mais pas pour le même genre de durée indéterminée…
Il lui avait demandé de préparer ses meilleurs arguments pour l’entrevue et le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle était effectivement venue avec des arguments convaincants.
Deux obus qui auraient convaincu tous les hommes présents dans la salle même si on leur avait éteint la lumière.
Pour l’heure René essaya de se concentrer car en cet instant précis Marjorie aurait pu lui demander n’importe quoi. Il le lui aurait accordé…
En voyant le regard de son interlocuteur fixer son décolleté Marjorie comprit qu’elle avait pris un avantage certain dès le début.

- Bonjour monsieur, je vous remercie d’avoir accepté de me rencontrer. Mais il ne fallait pas m’inviter au restaurant !

S’il s’était écouté, René lui aurait bien dit qu’il aurait préféré l’inviter dans son lit et que le restaurant était un moindre mal pour elle mais il se raisonna.

- C’est tout à fait normal madame.

Le « madame « raisonnait dons son cerveau. C’est justement ce qui l’avait contrarié durant tous ces mois où Marjorie avait sollicité une entrevue. Elle n’avait beau n’avoir que dix-neuf ans elle était déjà mariée et René avait du mal à se faire à l’idée. Marjorie lui sourit :

- Vous savez vous pouvez m’appeler Marjorie !

Ces mots raisonnèrent comme un appel au sexe dans son esprit. D’ailleurs ce soir tout était un appel au sexe chez Marjorie : sa robe pourpre au décolleté vertigineux et qui mettait en valeur sa croupe mais aussi son sourire et ses yeux de biche.

- D’accord Marjorie mais à une condition. Que vous m’appeliez René.

- D’accord René, répondit Marjorie en souriant.

- Alors je vous écoute Marjorie. Quels sont ces fameux arguments dont vous me parliez au téléphone ?

A ces mots Marjorie se pencha en avant vers son interlocuteur, offrant une vue imprenable sur son incroyable poitrine qui menaçait de sortir de son écrin de pourpre. Les rondeurs qui tendaient le tissu pourpre ne changèrent pas de forme quand elle se pencha, signe d’une fermeté à toute épreuve. Y compris et surtout à celle que René rêvait de lui faire subir avec la chose qui commençait à se tendre dans son pantalon. Si René hésitait depuis le début du repas entre ses lèvres et ses seins, là pour le coup il n’hésitait plus…
Le serveur non plus qui à la vue du décolleté plongeant offert par Marjorie versa sur sa robe quelques gouttes du grand cru que René avait commandé.

- Excusez-moi madame, lança le serveur en rougissant.

Trop occupé à fantasmer sur le même décolleté que le serveur René ne se mit même pas en colère.

- Il ne faut pas lui en vouloir Marjorie, je crois qu’il avait les pensées absorbées. Tout comme moi d’ailleurs…

René mourait d’envie de lui dire qu’il rêvait de lui faire absorber quelque chose à son tour mais il se retint.

- Je dois m’absenter quelques instants. Je vais me nettoyer.

Marjorie se rendit aux toilettes et avait commencé à passer du savon sur la tâche quand la porte s’ouvrit sur une apparition attendue mais pas voulue. René venait de la rejoindre dans les toilettes et avait refermé le verrou de la porte derrière lui.

- Qu’est-ce que çà veut dire monsieur ? demanda Marjorie inquiète de ce qu’elle lisait dans le regard de son patron.

- Tu ne dis plus René ? Remarque je te comprends. Dans quelques instants tu ne diras plus rien du tout chère Marjorie. Tu auras la bouche bien trop occupée pour cela !

Il s’approcha d’elle et la plaqua dos contre le lavabo. Puis il se pencha et l’embrassa de toutes ses lèvres. Marjorie tenta de résister mollement mais fondit en sentant le désir prendre forme dans le pantalon de son patron. Après tout elle savait à quoi elle s’exposait en acceptant son invitation. Et puis elle ne craignait pas grand-chose. Il avait quarante ans de plus qu’elle. Au mieux elle le soulagerait entre ses seins. Après tout il les avait fixés toute la soirée comme s’il avait été hypnotisé par les globes ronds et fermes. Au pire elle le soulagerait entre ses lèvres. Son honneur et celui de son mari n’en souffriraient pas trop. Et puis elle avait besoin de ce job. Jeune mariée elle débutait dans la vie mais avait de grandes ambitions. Des ambitions pour lesquelles elle avait été bien aidée jusqu’à présent par les arguments dont elle avait été dotée. Des arguments que son patron était en train de pétrir à pleines mains tout en continuant de l’embrasser goulûment. Malgré son âge René avait du succès auprès des femmes. Son air de séducteur latin associé à son autre outil de séduction imposant et vigoureux l’avait convaincu de s’offrir Marjorie. Il y avait bien longtemps qu’il n’avait pas eu de conquête féminine aussi jeune et aussi attrayante. Oh bien sûr il avait bien goûté aux fellations de la stagiaire qu’avait remplacé Marjorie. Une jeune du même âge que Marjorie et qui avait cru obtenir sa titularisation à la force de ses lèvres. Mais physiquement rien à voir avec la superbe femelle qu’il tenait dans ses bras ce soir. En mordillant les lèvres de Marjorie il se remémora celles de cette stagiaire aussi maladroite derrière un bureau que dessous. Seul le fait qu’elle avalait l’avait convaincu à chaque signature de renouvellement de son contrat. Jusqu’au jour où il avait voulu aller plus loin avec elle. Le refus de la jeune fille avait précipité son départ.
Les seins palpitants et fermes qu’il pétrissait à pleines mains laissaient présager de biens meilleures dispositions chez Marjorie. La jeune femme ne lui avait pas menti. Elle était effectivement venue ce soir pour lui présenter ses meilleurs arguments en vue de son embauche.

- A toi Marjorie. Quels sont ces arguments qui pourraient bien m’influencer ?

Marjorie se libéra de l’étreinte de son patron et s’agenouilla devant lui. Elle le fixa avec ses yeux bleus tout en descendant le zip de son pantalon. Elle glissa sa main à l’intérieur de son slip et sourit au contact de ce qui semblait être une saucisse chaude. Elle sortit le sexe encore mou et se pencha. Le contact de son sexe encore mou avec les lèvres de Marjorie fit comme une décharge électrique dans la colonne vertébrale de René. Marjorie sentit le membre se durcir peu à peu et bientôt elle eut contre ses lèvres le contact d’un gland qui n’avait rien à envier à celui de son mari ou des jeunes amants qu’elle a connu avant son mariage. Intriguée mais flattée d’inspirer autant de désir chez un homme aussi âgé Marjorie écarta ses lèvres et engloutit le sexe de son patron qui ferma les yeux sous la caresse. Instinctivement il posa ses mains sur les seins qui l’avaient fait fantasmer toute la soirée, écartant au passage le décolleté et le soutien gorge. Marjorie le suçait goulûment tandis qu’il malaxait ses seins fébrilement. Il se sentait redevenir un adolescent entre les lèvres douces et fines qui coulissaient merveilleusement le long de son sexe qui semblait s’allonger. Marjorie n’était pas contre l’idée d’avoir le sexe de son patron dans la bouche mais rechignait à l’idée d’y accueillir son sperme. Elle décida de prendre les affaires en main. Elle libéra le sexe du doux fourreau de ses lèvres et passa ses mains derrière son dos, détachant les attaches des bretelles de sa robe. Puis elle fixa à nouveau le regard de son patron en écartant les bretelles de sa robe puis de son soutien gorge.

- Alors René ? pas envie de te plonger dans mes arguments ?

René ferma les yeux en sentant les deux globes soyeux et fermes se refermer autour de son sexe.

- Petite garce !

- Je le prends comme un compliment…

Marjorie serra très fort ses seins l’un contre l’autre autour du sexe raide de désir de René. Tant et si bien que le sexagénaire a bien cru éjaculer immédiatement sous l’incroyable sensation. Il dut se concentrer de toutes ses forces pour résister à l’envie de se dégager et de retourner la jeune femme contre le lavabo pour lui faire payer son impudence. Il avait tout de suite compris que Marjorie comptait le soulager entre ses seins ou ses lèvres. Mais ce que la jeune femme n’avait pas envisagé, c’est qu’en plus d’avoir été généreusement doté par la nature René avait décidé de donner un coup de pouce à cette nature. Les comprimés qu’il avait pris avant le repas commençaient à agir et Marjorie devait commencer à s’interroger sur l’extraordinaire résistance de cet homme de quarante ans son aîné…
En effet elle l’avait sucé dix bonnes minutes et cela faisait maintenant près de dix minutes supplémentaires qu’elle le masturbait entre ses seins. D’habitude avec son mari elle s’arrêtait avant car malgré sa vigueur et son jeune âge il arrivait parfois audit mari de ne pas résister longtemps aux préliminaires mammaires de sa ravissante épouse. Elle avait bien connu plus jeune un garçon qui résistait quinze minutes entre ses seins mais il était bien au moins trois fois moins âgé que celui qui résistait ce soir entre ses seins…Au début Marjorie sourit en songeant à la comparaison mais son sourire s’estompa en poussant la comparaison plus loin. Elle se souvint que si le garçon en question résistait longtemps entre ses seins il éjaculait également comme une fontaine et elle avait encore en mémoire les jets violents et interminables qui lui collaient à chaque fois le cou et les seins. Une vision qu’elle ne voulait pas voir devenir réalité avec le sexagénaire qui n’en finissait plus d’aller et venir vigoureusement entre ses seins. Comme s’il avait lu dans ses pensées, René se dégagea des seins somptueux de Marjorie. Celle-ci d’abord soulagée s’en offusqua ensuite.

- Mes arguments ne vous plaisent pas ?

Tout en se masturbant René s’approcha du visage de Marjorie levé vers lui.

- Si ils me plaisent mais avant je voulais te dire quelque chose !

- Quoi ?

- Çà !

René éjacula à grands jets qui se perdirent sur le visage de Marjorie. La jeune femme aussi surprise par la soudaineté des jets que par leur violence et leur abondance ne s’était pas méfiée. Au moment de l’éjaculation massive de René elle lui tendait son visage, lèvres écartées sur un sourire éclatant et les yeux grands ouverts. Du coup le résulta final était bien au-delà des espérances de René. Le visage de Marjorie était maculé d’épais filaments blancs qui lui collait ses magnifiques yeux et qui obstruaient l’entrée de sa bouche. Elle en avait les dents et les lèvres collées. Le spectacle redonna de la vigueur à René.

- Tourne-toi ma petite Marjo !

Abasourdie par la violence et l’abondance de l’éjaculation de son patron la jeune femme ne protesta pas quand il la retourna d’autorité contre le lavabo. René releva la robe pourpre de Marjorie sur son dos et descendit son slip à ses pieds, dénudant une superbe croupe fine qui contrastait avec sa poitrine généreuse.

- Superbe ! ricana-t-il en contemplant dans le miroir le visage maculé de blanc de Marjorie. Maintenant je veux étudier tes arguments de manière plus approfondie si tu vois ce que je veux dire ma belle…

Marjorie se rebella quand elle sentit le gland de son patron se présenter à l’entrée de ses reins.

- Non ! Non !

Pour toute réponse il agrippa les seins somptueux par en dessous et les empoigna à pleines mains, les malaxant comme un ado en rut. Puis d’un coup sec il força l’entrée des reins de Marjorie, arrachant à la jeune femme des cris étouffés par l’épaisseur du sperme qu’elle commençait à déglutir, le liquide blanc et visqueux de son patron accroché à ses dents et à ses lèvres s’étant mélangé à sa salive quand elle a crié. Excité par le contact des seins fermes qu’il tenait à pleines mains René s’enfonça au maximum entre les fesses de Marjorie, son gland heurtant le fond de ses reins.

- Qu’est-ce que vous faites ? demanda Marjorie inquiète de la tournure des évènements.

- C’est pourtant évident ma petite Marjo ! j’examine tes arguments à fond ! ou plutôt au fond devrais-je dire.

Marjorie sentait le souffle de son patron dans son cou. Ce dernier ahanait comme un âne et la comparaison ne s’arrêtait pas là ! Il était monté comme un âne. Elle n’avait connu un membre aussi imposant. Elle aurait préféré qu’il éjacule autant de fois qu’il voulait sur son visage ou même ses seins plutôt que d’avoir à le subir dans les reins. Mais il était trop tard. Elle était prise à son propre piège. Elle avait voulu allumer son patron. Elle y était parvenu. Mais le problème c’est que maintenant elle ne savait plus comment l’éteindre !
Rien ne semblait pouvoir arrêter la cavalcade de cet homme qui la sodomisait à grands coups de reins les mains crispées sur ses seins. Soudain Marjorie sentit le pieu de chair palpiter dans son étroit conduit. La respiration de son patron et ses coups de reins étaient de plus en plus rapides. Elle ne sentait plus ses reins tellement le membre imposant l’avait forée comme un puits de pétrole. Les mains se crispèrent sur ses seins et son patron lui mordit l’épaule en râlant.

- Aaaaaaaaaaaaaarrggghhh ! çà y est je crois que tu l’as la place……

Marjorie sentit ses reins se remplir du liquide épais et chaud qui l’envahissait au plus profond de son intimité. Marjorie se regarda dans le miroir. Le blanc du sperme de son patron avait laissé la place à son rimmel qui coulait sous la violence de ses assauts par derrière.

- Oh monsieur !

- On avait dit que tu ne m’appellerais plus monsieur ! et puis avec tout ce que je t’ai vidé sur ton joli visage et au fond de tes reins je crois que ça crée des liens d’intimité non ?

Marjorie se retourna dos contre le lavabo. La vision des seins en obus redonna à nouveau de la vigueur à René. Entre ses aptitudes naturelles et les comprimés il n’en revenait pas. Il se sentait capable d’honorer Marjorie encore une fois. La jeune femme le sentit et s’affola.

- Non René on avait dit que c’était fini !

- Ce sera fini quand ce sera vidé. Entièrement vidé si tu vois ce que je veux dire. Et puis bon penses-y bien. Tu as la place. Ce qui va se passer maintenant c’est du bonus pour toi. Tu pourras me demander ce que tu veux dans la limite du raisonnable bien entendu.

Marjorie ne dit rien et laissa son patron saisir à nouveau ses seins à pleines mains. Résignée mais avec une idée en tête elle glissa ses mains entre leurs deux corps et saisit le sexe encore raide de désir. Elle le masturba énergiquement jusqu’à tenir à nouveau entre ses doigts un membre dur comme de la pierre.
Elle se laissa faire quand il la fit s’asseoir sur le rebord du lavabo. Puis il plaça les jambes de Marjorie au dessus de ses épaules et la pénétra d’un coup sec dans le ventre. Marjorie manqua défaillir en sentant l’imposante colonne de chair envahir son ventre. Elle avait beau l’avoir subi dans la bouche et dans les reins elle ressentait quelque chose d’étrange pour la première fois depuis que son patron avait refermé la porte des toilettes derrière lui. Une sensation de plénitude. René ressentit la sensation de Marjorie et profita qu’elle relâcha les muscles de son ventre pour l’embrocher à fond. Incroyable sensation du collégien qui découvre les joies de l’amour , il s’enfonça au maximum dans le ventre de Marjorie et se mit à la culbuter à une cadence infernale, mordillant les seins qui gigotaient sous la violence de ses coups de boutoirs. Cette fois-ci Marjorie accompagna les râles d’effort de René avec ses propres gémissements de bonheur à elle. Elle en eut presque honte quand pour la première fois de la soirée elle se mit à espérer que le pieu de chair qui lui forait le ventre puisse le faire encore longtemps. René aurait bien voulu lui offrir ce plaisir comme pour lui d’ailleurs mais comme il ne voulait pas prendre le risque de vider sa semence dans le ventre offert de Marjorie il se dégagea et força la jeune femme à s’agenouiller une dernière fois.

- Non pas le visage cette fois !

- Pas cette fois ma belle ! rassures-toi.

Il plaça son sexe gorgé de désir entre les seins de Marjorie et les pressa l’un contre l’autre. La jeune femme fixa son regard tout le temps qu’il se masturba énergiquement entre ses seins, flattée d’avoir été prise par un amant d’une telle fougue et d’une telle résistance en dépit de son âge.

- AAaaaarrrggggghhh ! tu vois bien que je les aime tes arguments ! lâcha-t-il en inondant le cou et les seins de Marjorie.

- Merci ! ajouta-t-il en secouant son sexe sur ses seins pour y déposer ses dernières gouttes de sperme.

- Pourquoi merci ?

- Parce que j’ai envie d’arroser tes seins depuis le premier jour où je t’ai vu dans mon bureau. Cette fois-ci je te le confirme. Tu l’as ta place. Et je dirais même que je sais où exactement dans l’entreprise.

- Dans votre bureau ?

- Non ! dessous…

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