Maroc - histoire érotique

<p>Je vous dépeinds rapidement la situation. Nous décidons de partir ma femme et moi au Maroc 15 jours en pension complète. Ma femme est une jolie brune de 30 ans, 1m70 pour 58Kg avec des formes généreuses qui ne manquent pas de détourner les regards. Nous sommes ensemble depuis l’âge de quinze ans, toujours fidèle et pour Karine, je suis le premier donc le seul homme avec qui elle est eut une relation sexuel (mon principale fantasme étant de la regarder se faire prendre par un autre homme, c’est l’argument que je lui sort a chaque fois, mais jusque la elle n’a jamais voulu en entendre parler).
Donc nous voilà arrivé a l’hôtel depuis 2 jours, piscine, manger, sieste, piscine… nos journées ressemblent à peu près a ça. Un soir que nous sommes a manger au resto de l’hotel, je fais remarquer a Karine qu’elle a l’air d’avoir tapée dans l’œil du serveur. C’est un jeune Marocain, grand, plutôt beau garçon, à peu près 25 ans.
-Mais non, c’est un gentil garçon qui fait son travail et puis laisse tes fantasmes au placard.
Le repas se poursuit, le serveur passe de plus en plus de temps a notre table, il est claire qu’il essaie de séduire Karine. Puis il nous emmène les cafés, fait 2 ou 3 petites blagues a l’intention de Karine et repart. Tout d’un coup Karine devient rouge et parait mal a l’aise, elle me regarde et me tend un papier qui était caché sous sa tasse. Dessus, il est écrit ; Rejoints moi dans la cour de derrière dans 5 minutes, fais comme ci tu allais au WC ton marie n’en saura rien. Signé Hassan. Moi je n’hésitais pas une seconde
-Vas-y, on est loin de chez nous, et ça te fera l’occasion de connaitre un autre homme que moi.
-Tu te rends compte de ce que tu me demandes de faire ?
-Oui, j’en suis conscient. Décide toi je suis sûr que tu ne vas pas le regretter.
-J’espère que toi non plus, me dit elle en se levant.
Ca faisait maintenant 5 minutes que Karine avait pris la direction des toilettes, Je suis tout éxcité de l’imaginer avec un autre homme. Je finis mon café et prends moi aussi la direction de la cour, un peu honteux mais bien décidé a jouer les voyeurs. Malgré la nuit, je n’eu pas de mal a les trouver. Il n’y avait rien pour me cacher, je restais donc un peu en retrait. Une chose est sûr, c’est qu’ils n’ont pas perdu de temps, Karine se tient debout face au mur, jupe relevée, la poitrine dénudée qui tremble a chaque coup de rein du serveur. Mon mobile se met a sonner, je suis découvert, Hassan se met a gueuler des insultes en Arabes, il se retourne et quand il me voit.
-Ah, c’est le marie, je pensais pas que c’était toi, rapproche toi, viens voire de plus près, comment je baise ta femme.
Je me suis mis juste a coté, il me fait un grand sourire, guide sa bite dans la chatte de Karine et recommence son va et vient. Je bande comme un taureau. Tout d’un coup, il se retire, prend Karine par les cheveux, la met a genoux devant lui et lui fourre son sexe dans la bouche. Deux minutes a près il éjacule tout sur son visage. Il se rhabille rapidement.
-Il faut que je retourne travailler, mais on se reverra certainement pendant votre séjour.
On retourne a l’hotel, et tout excité, on fait l’amour comme jamais.
Le lendemain, c’est transat a côté de la piscine. Au bout d’un moment Karine décide d’aller nous chercher des rafraichissements. Elle revient une bonne demi-heure après et avec un autre maillot de bain sur elle. Intrigué je la questionne sur sa tenue et me dit qu’elle se sent plus a l’aise dans celui-ci. Convaincu par sa réponse, je reprends ma sieste.
Le soir nous retournons donc nous rassasier au resto, nous sommes à peine installé que Hassan me fait signe de derrière le bar, au début je ne comprends pas se qu’il veut puis tout d’un coup je réalise que le maillot de bain que Karine portait en début de journée est accroché là, au mur comme un trophé. Je tourne le regard vers Karine qui baisse les yeux, rouge de confusion.
-IL m’a forcé bafouilla t’elle
-Je n’ai pas eu beaucoup a insisté rétorqua le serveur qui était arrivé a notre hauteur.
C’est a cet instant que j’aurais du réagir et faire cesser cette histoire avant que cela ne déborde, mais hassan enchaina rapidement
-Alle vous m’êtes sympa, je vous offre l’apéro et après vous avancerez au salon pour le thé a la menthe, vous ne pouvez refuser c’est une invitation.
J’acceptais avec un demi sourire, passant l’éponge sur l’incident.
A la fin du repas, nous sommes les derniers à partir, il nous indique la direction du salon. La nous une petite pièce carré avec deux canapés l’un en face de l’autre en guise de mobilier. Nous nous asseyons chacun sur le notre, rejoints rapidement par Hassan et 2 autres de ses compères qu’il nous présente comme étant les cuistots. Hassan se met a coté de moi alors que les 2 autres s’asseyent de chaque côté de Karine.
Très vite ils se mirent l’air de rien à remonter la jupe de Karine. Hassan me fit signe de regarder alors que sa culotte fait son apparition. Karine essaye de se réajuster mais les deux hommes lui empêchent tout mouvement.
-Toi qui aime mater ta femme c’est le moment, profites en. Les yeux rivés sur sa culotte, je n’ai pas trouvé la force de protester. Ils ont chacun prit un genou lui on écartés les cuisses en grand, Hassan est passé derrière, lui a ôté son tee-shirt et tout en lui caressant les seins a travers son S-tif me dit
-Regarde la, elle aime ça, se faire caresser.
Moi je regarde ma femme se faire tripoter par 3 marocains sans rien dire, pour tout dire il me semble que cela n’a pas l’air de l’offusqué plus que ça. Puis ils la mettent debout, finissent de la dévêtir, un des cuistot se met face a elle, lui prend une cuisse et enfonce en elle son gros sexe dressé, le 2 se présente par derrière et après avoir fouillé entre sa raie, lui perfore l’œillet. Elle crie, jouie mais à aucun moment on entends Karine résister à l’assaut de ses deux amants. Ils se déversent en elle, se retirent et disparaissent.
Le lendemain, Hassan se présente à notre chambre d’hôtel alors que Karine est sortie. Bien décidé à ne pas me laisser faire, je hausse la voix et lui hurle de nous laisser tranquille. Il sourit, fait un pas, me saisit une oreille et me tire vers le bas me fait mettre a genoux, sort sa bite et me la met devant la bouche
-Ouh la la une rebellion, tiens avale ça, ça va te calmer.
Je n’ai jamais vu un sexe masculin de si près, il me tire l’oreille tellement fort que je finis par desserrer les lèvres et engloutir l’engin. Même pas 30 secondes après Karine entre dans la pièce, interloqué par la scène elle stop net, la bouche ouverte de surprise. Puis petit à petit son sourire revient,et tout en se rapprochant de nous
-Et bien mon petit cochon il fallait me le dire que tu voulais que je partage mon amant, applique toi, caresse lui les couilles il aime bien ça aussi. Ce que je fis aussitôt.
Il ne tarda pas a me gicler dans la bouche, Karine le tire dans le canapé et il commence a se caresser, se passer les mains partout
Approche toi me dit Karine, sors ta petite bite et branle toi pendant que Hassan reprend des forces pour pouvoir me baiser en suite. Je pris ma bite et me branlais en regardant Hassan qui tripotait ma femme.
-Allé tu as assé joué maintenant, elle est derrière moi et commence a chercher entre mes fesses avec son doigt, elle me l’enfonce entièrement et aussitôt j’éjaculais. Ils se mirent a rire tout en reprenant leur caresse. Il l’a pris sur le canapé, ils ont jouis puis Hassan c’est relevé
-Va nettoyer sa chatte, et qu’elle soit bien propre
Je me mis au boulot avec beaucoup d’application prenant soin de passer ma langue partout. Ensuite, je me mets sur elle comme pour la baiser, elle se laisse faire jusqu’au dernier moment ou elle me repousse avec ses pieds
-Non mais qu’est ce que tu crois que tu vas me faire avec ton asticot, par contre tu vas pouvoir mater et de près, allonges toi sur le dos.
Elle se met en 69 sur moi pendant qu’Hassan présente son sexe sur l’anus de Karine, effectivement dans la position ou je suis-je n’en perd pas une miette, et j’ai même les boules d’Hassan qui viennent me caresser le visage.
Pendant 15 jours je fus spectateur et quelques fois acteur (rare) de leur jeux pervers, mais bon je l’avais bien cherché…


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