Martial - 3

- Par l'auteur HDS Zorba le grec -
Auteur homme.
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Récit libertin : Martial - 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Martial - 3
La semaine suivante pas de réaction quand je lui proposais de nous envoyer en l'air.Mais le samedi en rentrant de sa journée de détente j'étais à la maison en regardant un film porno et me masturbant quand elle est entrée à l'improviste me voyant la bite à la main.
-Salop tu te branles quand je suis pas là.
-Tu vas me le payer ,couche toi sur le dos .
Ne voulant pas la froisser surtout avec ce que j'avais en tête, je m'exécutais elle enleva sa culotte sans se déshabiller  vint placer son sexe sur ma bouche.
Bouffe moi salopard tu vas voir;regarder un film tout seul en te branlant.
Sa vulve était trempée et un goût de sperme envahit ma bouche,la garce elle venait de se faire sauter et elle était entrain de me faire avaler les restes de jus de son amant.pendant un instant un dégoût m'envahit aussitôt remplacer par le film dans ma tête qu'une autre bite que la mienne avait fouillé ce vagin qui m'appartenait, et l'avait rempli de sa liqueur et j'étais entrain d'avaler ce foutre mélangé à celui de ma femme. Aussitôt ma queue durcit et je sentis montée ma jouissance que je ne pus retenir la laissant s'échapper par de longues giclées dans mon slip.Me voyant jouir elle se laissa aller à de longues convulsions la laissant complètement lessiver. J’imagine que le fait de me voir avaler le foutre de son amant lui aida à jouir aussi plus vite.
Nous allâmes nous laver tout les deux mon slip et mon pantalon étaient trempés et ne parlons pas de sa culotte une serpillière.
Puis nous installant devant un apéritif nous attendions que l'autre parles.
Voyant qu'elle ne disait rien j'ouvris les hostilités.
-il y a longtemps que tu me trompes.
-Moi ,tu es fou-Arrête tes conneries tu crois que je n'ai pas sentis le sperme qui sortait de ta chatte-A l'allure ou tu as joui je vois que tu as aimé.
-Il y a combien de temps que tu me cocufie.
-Ça fais une dizaine d'années. Tu vas me virée-Je sais pas quoi faire je vais réfléchir-Toujours avec le même?
-Non avec le même cela fais trois ans-Quand tu as demandé le divorce tu étais avec lui déjà, pourquoi tu n'es pas resté?
-Tu me manquais j'avais besoin de toi, qu'est ce que tu vas faire maintenant?
-Ben je te l'ais dis il faut que je réfléchisse, que je digère déjà la nouvelle et le sperme d'un autre que tu m'as fais avaler; et puis ça va pas de te faire baiser sans capote.Ben ça fais trois ans que je baise toujours avec le même; il est marié aussi et il a fait le test pour me rassurer.
Je me renfermais un peu faisant semblant de faire la tête ,mais avec une idée derrière celle-ci.

Toute la semaine je lui fis la tête juste assez pour faire voir que j'étais fâche; je voulais la faire baiser ce vendredi.J'appelais Martial.
-Allô, salut Martial tu peux vendredi.
-c'est pas un peu tôt -Écoute je penses qu'elle sera d'accordJe lui expliquais ce qui c'était passé le samedi soir -Tu as raison cela peut être le motif, mais ne lui dit pas que je sais que tu es d'accord que je la baise .Dans la semaine je te passes un film tourné par un mari et son copain pendant que nous baisions sa femme tu verras c'est hard on lui a tout fais on la même attachée elle aimait ça. Mais comme je te l'ai dis, au milieu du film tu m'appelles, tu lui bouffe le cul tu la doigte mais surtout pas de gode et tu ne la baises pas pour quelle soit chauffée au max quand j'arrive;je te vois dans la semaine pour te passer la cassette.
Enfin le vendredi après midi arriva et je rentrais plus tôt du travail, et comme si de rien n'étais, je l'embrassais, je vis quelle étais contente que je ne fasse plus la gueule , elle me rendit un baiser passionné, j'en profitais pour lui doigté un peu la chatte pour voir si aujourd'hui elle serrait réceptive-Attend un peu il y a encore un gosse qui doit partir le père vient le chercher dans un quart d'heure après je fais une douche rapide et je suis à toi.
Enfin le gosse fut rapidement expédié prétextant un rendez vous.
-Allô Martial elle va se doucher elle est prête; tu vois a peu près le temps ,dans dix minutes je mets ton film, à tout à l'heure.
J'entendis l'eau coulée je montais rapidement pour la laver elle aimait que je lui savonne son écrin et j'en profiterai pour commencer à la doigtée avec le savon les caresses sur le clito son beaucoup plus douce et elle aime ça.
Je la savonnais partout en insistant sur ses seins qui ne tardèrent pas à se dresser puis tout en lui suçant une puis l'autre pointe je fis descendre ma main dans son entre jambe elle me tendit instinctivement son pubis pour que j'y enfonce mes doigts;avec mon pouce je massais doucement en cercle le clitoris qui était sorti de son capuchon, et avec deux doigts je les enfonçaient dans sa grotte qu'elle offrait si facilement aux autres . Elle mouillait déjà comme une folle mais il fallait faire durer pour que toute à l'heure elle grimpe aux rideaux.
-Pendant que tu te sèche j'ai loué une cassette je vais la préparer, mets ta jupe qui se boutonne de haut en bas par devant, et une petite culotte tu, me feras bander plus fort et pas de soutien gorge tu sera bandante à souhait.
Le temps qu'elle monte dans la chambre j'appelais rapidement Martial -Arrive dans 20minutes max elle est déjà toute trempée.

Quand elle descendit la cassette étant prête à être visionnée j’enclenchais la télé et mis en route le film, tout de suite nous vîmes qu'il était maison, fait par des particuliers.
-Excellent dit elle cela nous change des productions.
L'image parfaite; mais le filmage moyen ,cela bougeait beaucoup peu de stabilité, qui tenait la caméra n'était sûrement pas un professionnel.Sur l'écran deux femmes a quatre pattes, le cul face caméra, l'une chevauchait un noir l'autre se faisait sodomiser allègrement puis le cameraman vint se placer face aux deux couples, nous faisant découvrir leurs visage stupeur mêlé de plaisir, la femme qui chevauchait le noir ,ainsi que l'homme qui sodomisait l'autre femme n'était autre que le jeune couple approchant la quarantaine voisins de mes parents, des grenouilles de bénitiers allant à la messe le dimanche avec leurs deux enfants âgés d'une douzaine d'année.L'enculeur se cabra et d'un mouvement sec vint se coller aux fesses de la femme la pénétrant dans le profond de son fondement son râle dura une 30 secondes .
Nous comprîmes qu'il était entrain de se déverser dans le cul de sa partenaire .Ce qui fit automatiquement écarter et relever les cuisses de mon épouse,je recommençait mes caresses vaginales.
-Vas chercher popaul .
C'est ainsi qu'à présent nous appelions le godemichet -Tout à l'heure, laisse moi te chauffer un max avant,et il est entrain de chauffer La caméra changea de main, après être ressorti de la dame, l'enculeur avait pris la caméra, il filmait l'anus de la femme sodomite, anus qui laissait s'échapper un filait blanchâtre parfois marron clair sûrement les restes de son éjaculation mêlé à un peu de résidus des intestins de la dame, puis la caméra tourna et se fixa sur quelque chose je pourrais appeler de monstrueux le sexe dressé arrivait bien au dessus du nombril au moins 5cm au dessus, énorme par la grosseur, et des couilles de la grosseur de deux belles pommes golden pendaient au dessous.Je reconnus sans jamais l'avoir vu, par la seule description d'Annick, le sexe de Martial, ce que confirma le gros plan sur son visage-OH putain quelle bite t'imagine un truc pareil dans mon con, jamais il rentre!
Elle ne se doutait pas que non seulement j'imaginais, mais que je rêvais de la voir prise par ce bourrin.
Martial vint se positionner derrière la dame, en l’occurrence la grenouille de bénitier la voisine de mes parents, qui était déjà prise par le vagin, il pris son engin en main le pliant avec difficulté tant il était bandé, le pointa sur la rosette de la dame, lui arrosa son cul d'un liquide qui paraissait de l'huile, sans passa tout au long de son engin d'un geste ample, et vint s'appuyer sur le cul de la donzelle qui ne broncha pas ,et d'un coup sec la pénétra de la moitié de sa bite autant dire de bien une douzaine de centimètres, un OH de satisfaction vint ponctuer cette demie saillie, et il s'arrêta,la caméra vint se placer sous ses parties génitales ,l'anus était éclaté c'était le mot, ses couilles étaient remontées de chaque côté de sa verge et la camera maintenant filmait les spasmes de la verge qui était entrain de se vider dans le cul.
-Quel con il à jouit trop vite elle en profite pasMais moi je savais; Annick m'avait dit que cela se passait toujours comme ça ; cela dura une vingtaines de secondes puis le mandrin reprit le travail de perforation du boyau de la dame. Les couilles vinrent taper contre les cuisses autant dire que la dame maintenant était embrochée d'au moins 25centimètres il resta collé a son cul une bonne minute puis le lent va et viens commença il se retirait à l'orée de l'anus sans sortir, puis s'enfonçait, soit lentement soit d'un coup sec, lui arrachant un cri, soit de plaisir, ou de douleur ,ou les deux mélangés.
La caméra s'abaissa sur le sexe du cameraman, son sexe était de nouveau bandé, il avait l'air tellement dur, que cela devait lui faire mal,manifestement le mari appréciait la double pénétration de son épouse les deux bites entraient et sortaient de la dame,vu les râles quelle laissait échapper manifestement elle appréciait cette double copulation.
-Putain quelle salope quand on la voie dans la rue on lui donnerait le bon dieu sans confessionMoi je ne pouvait pas parler j'avais la bouche pleine, aspirant et soufflant de tout mes poumons dans cette chatte largement ouverte et trempée, la bite à Martial pourrait y rentrer sans problème .

On SONNA; ma femme sursauta, se réajusta la culotte qui était trempée, reboutonna le devant de la robe ,y fit rentrer ses seins qui étaient à l'air,cacha sous le canapé le drap qui protégeait le canapé de la saillie que j'allais lui faire subir .
-Qui cela peut-il être, fais chier j’étais prête; Tu vas voir qui c'est? Essaye de tant débarrasser j'ai envie de ta queue maintenant .

-Salut Martial qu'est ce qui t'amène je passais récupérer ma cassette et par la même occasion boire un café-T'arrive juste un peu tôt on finissait de la regarder, mais entre.
Quand il passa la porte ma femme resta sans voix, elle le reconnu et aussitôt je vis son regard qui automatiquement se baissa vers l'entre jambe du visiteur,le pantalon était tellement serré qu'il qu'il ne cachait rien de l'anatomie de l'homme une énorme bosse qui dessinait les parties génitales et ce long et gros appendice coincé sur sa cuisse droite-Tu ne dis pas bonjour?
-OH excusez moi; Fatima!
-Martial! Comme j'ai compris vous étiez entrain de visionner la cassette que j'ai passé à votre mari j'espère ne pas déranger.
-Non non de toute façon elle était pratiquement à la fin.
-Vous avez aimé?
-Disons que........ oui pas mal surtout que nous connaissons le couple.
-Zut embêtant je vous demanderai de la discrétion;c'est un couple d'amis avec qui nous pratiquons de l'échangisme.
-Assied toi Martial, mais la femme que Batiste sodomisait, était ce la femme du Black?
-Non non c'est la mienne-Je ne savais pas que tu étais marié.
Il s'assit en face de mon épouse ,d'ordinaire elle se tient toujours assise au bord du canapé en serrant les jambes;la ,elle se positionna un peu plus en arrière, les jambes entre ouvertes donnant à Martial une vue plongeante sur sa petite culotte blanche; qui devait être toute jaune de sa mouille et je remarquais qu'un bouton de plus du bas de sa robe était dégrafé; ça n'allait pas être difficile de la convaincre, je suis sur que tout son corps réclamait cette bite impressionnante.
-Que veux tu boire ?
-Dans le paquet je vous ai amené des pâtisseries, un café serait pas mal.
-Je vais faire le café,-elle se leva pris le paquet alla vers le placard pour prendre un plat se faisant à la place de plier les genoux pour se baisser elle se plia en deux, étant de dos sa robe remonta sur se fesses dévoilant deux jambes bien que courte élégamment belles;Martial n'en perdit pas une miette la robe remonta jusqu’au haut de ses cuisses laissant apparaître la naissance de ses deux lobes fessier et la bosse de sa moule d’où la ficelle de son slip allait se perdre dans la raie culière;il me glissa dans un souffle-Ben mon salop elle est bonne je suis entrain de bandé et ça fait mal avec un pantalon serré je te dis pas.
Une petite pointe de jalousie me submergea que je refoulais rapidement en pensant aux cornes que je portais déjà,et qu'a la suite de cette journée je pourrais nous lancer dans le partage de couple et ainsi profiter de femmes, sans argent débourser; je sais j'étais un salop mais vu les circonstances autant en tirer des avantages.
Je lui dis tout bas -Je vais avec elle à la cuisine la préparer.
Il me dit tout bas aussi pour ne pas quelle entende.
-OK mets la suite du film avec le son assez haut pour qu'on entende les râles de Martine que j'encule, ça va l'exciter je pense ,on verra.
Je partais rejoindre ma conjointe sous prétexte de l'aider, elle était devant l'évier préparant la cafetière je me positionnais derrière elle, et tout en lui embrassant le cou et lui suçant son oreille qui la faisait fondre je lui malaxais à pleines mains ses deux magnifique fesses, je remontais au niveau de la taille et commençais à lui baisser le slip-Arrête tu es fou ,ton copain t'en fais quoi?
-Je veux qu'il t'enfile qu'il te fasse gueuler avec sa grosse bite.
-Tu es complètement fou jamais ça rentre je suis trop petite trop étroite.
-Mais je vais te préparer comme avec le gode ,c'est vrai elle est plus grosse mais elle doit être moins dure c'est pas du latex, tu vas être remplie ma petite chienne, tu vois la Martine, elle l'avale dans son cul comme une lettre à la poste.
-J'ai honte, et toi ça ne te fera rien de me voir prendre mon pied avec un autre.
-Ça fais dix ans que tu me trompes, et puis dorénavant tu vas me cocufier mais sous mes yeux.
-Mais on n'a pas de capote à la maison et ça m'étonnerait qu'il en ait sur lui
-De toute façon il n'a pas de capote à sa taille et de savoir qu'il va te remplir le ventre de sperme me fait bander touche ma bite comme elle est dure.
-t'es un salop dis donc, c'était un coup monté, la cassette ,t'es au courant qu'il n'y a pas de capote à sa taille, et ben je vais me faire baiser sous te yeux puisque tu y tiens.
Tout en parlant sa culotte était arrivée à mi-cuisse je me baissais et lui enlevait complètement et je dégrafais un bouton supplémentaire comme ça quand elle s’essayerait Martial aura une vision complète sur son pubis couvert de poils noirson entendait maintenant Martine; la voisine de mes parents gueuler, à chaque fois que celui qui l'enculait , et l'autre qui lui baisait sa chatte devait toucher le fond ,en plus de l'entendre gueuleron entendait le claquement sec en alternance contre son ventre et contre ses fesses un rentrait pendant que l'autre se retirait.
Ma femme partie avec le café et les tasses, pendant que je terminait de préparer les pâtisseries sur le plat qu'elle avait prévue;Quand elle passa la porte du salon j'entendis; un OH putain, j'allais voir, ma femme s'était arrêter devant le spectacle de Martial la braguette déboutonnée, ses couilles de la grosseur d'une pomme posées par dessus le pantalon et sa bite qui arrivait bien 5cm au dessus du nombril d'un diamètre de 5à6cm, un vrai démonte pneu entrain de se masturber lentement.
-Elle te plaît hein, t'as envie de la goûter je n'ai pas pu me retenir je bandais tellement qu'elle me faisait mal, serrée dans mon pantalon tu ne m'en veux pas Fatima.
-Disons que vous êtes gonflé quand même, et mon mari?
-Si je suis ici après qu'il t'ait chauffée cette après midi, et que je lui aies passé la cassette ce n'est pas un hasard, viens prends la dans tes mains tu verras comme elle est dure.
Elle s'approcha la prit dans ces deux mains, même ainsi ça ne suffisait pas, 3ou4cm ressortait de chaque côté ,de la grosseur elle n'arrivait pas en faire le tour.elle commença à le branler lentement, en regardant une fois la bite qu'elle avait dans les mains et une fois l'écran ou Martial continuait a astiquer la Martine, le noir ayant dé-couillé le sperme sortait de la chatte de la dame et lui coulait le long des cuisses. Moi j'assistais à cette scène de OUF avec un trique d'enfer.
Sur l'écran un long râle Martial venait de s'enfoncer complètement dans le cul de la dame, le mari cameraman venait de fixer l’objectif sur le membre enfoncé complètement dans le cul de sa femme les couilles collées aux cuisses de la voisine on voyait clairement les spasmes du membre qui se vidait dans le boyau de l'amante, il resta enfoncé ainsi un long moment avant de se retirer, sa bite n'en finissait pas de ressortir, quand enfin le gland apparu, cela fit un bruit de lavabo que l'on débouche; l'anus resta grand ouvert complètement dilaté; Martial souriait écartant les fesses pour que son mari puisse le prendre en gros plan.
Ce final tira mon épouse de sa semi-conscience avec son Priape dans les mains.
-On boit le café avant qu'il refroidisse?
Elle se releva abandonnant le membre de mon ami qui avait commencer à palpiter sous les caresses, et vint m'embrasser longuement, j'en profitais pour relever sa robe découvrant son petit cul pour Martial qui ne résista pas, et vint lui caresser ses deux lobes charnus, et lui enfiler ses doigts dans la chatte trempée, elle reçut cette caresse qui lui fouillait l'intimité d'un petit cri étouffé par ma bouche, suivit d'un ronronnement de satisfaction.
Sans autre préambule elle s'écarta-Le café et les pâtisseries avant les gâteries Messieurs.
Elle se pencha de nouveau devant Martial pour servir le café, qui en profita de nouveau pour glisser deux doigts dans sa chatte et lui chatouiller le fion ;contrairement à ce que j'aurais cru la jalousie ne me submergea, pas mais un sentiment de fierté m'envahit de voir ma femme ainsi désirée par un autre.
-Promis je te la donne tout à l'heure, mais pas mon cul ,ça me ferait trop mal; mais mon mari doit me préparer avant qu'il ne t'offre sa femme,il me prépare tellement bien avant te m'enfiler avec le gode que je ne laisserai ce soin de la préparation à personne.
Elle revint s’asseoir devant Martial cette fois ci complètement relâchée assise au fond du canapé les cuisses largement ouvertes son pubis noir brillant d'humidité les poils en désordres collant à sa peau tellement elle était trempée.Mais avant de s'asseoir elle n'oublia pas de retirer de de sous le canapé le drap de protection qu'elle avait caché à l'arrivé de Martial , ce qui laissait présager un rapide passage à l'acte.

-Chéri avant de t'asseoir mais nous la cassette ou tu me prépares et tu m'enfiles avec le godemichet ça donnera des idées à ton ami ,et prends la caméra, j'aimerai que nous gardions un souvenir de cette après midi; Martial j'ai vu que toi aussi tu n'étais pas mauvais caméra en main tu nous filmera pendant qu'il me prépare Quelle salope c'est elle qui prenait les choses en mains à présent et qui dirigeait les débats, et le coup du souvenir j'étais sur qu'elle allait passer le film à son amant quelle voyait le samedi; mais c'est une idée, je ferais de même avec Annick.
Martial avait enlevé son jean son sexe était droit comme un I et l'on voyait ses couilles gonflées à bloc elles ne pendaient plus le sac qui les contenaient ressemblait à un petit melon sa chemise ouverte laissait voir un torse poilu un ventre musclé il était prêt pour la saillie ,il ne cessait de regarder ma femme les cuisses largement ouvertes et son sexe qui réclamait cette saillie, le clitoris pointant entre ses lèvres paraissait tuméfié tellement il était rouge gonflé de sang et une grande tâche humide sur le drap ne laissait aucun doute sur sa lubrification vaginal.
Avant d'aller m'asseoir je me déshabillait complètement mon sexe bander a m'en faire mal devant tant de luxure de mon épouse ; nous bûmes le café avalant les pâtisseries tranquillement pour des personnes excités comme nous l'étions,regardant la chatte de Fatima dilatée par cette bite de latex la pénétrant, et parfois ressortant pour ce positionner sur le clito en mode vibromasseur, nous astiquant notre colonne de chair et elle regardant ses deux mâles mourir d'envie de se vider en elle.
Ni tenant plus je déboutonnait complètement le devant de sa robe laissant apparaître pour la première à Martial ses deux petites poires qui pointaient vers le ciel.Il se leva et en pris un dans sa bouche qu'il avala dans un énorme bruit de succion ,et moi j'avalais l'autre ,aussitôt de long râles accompagnèrent la possession de sa poitrine par nos deux bouches,elle nous branlait une queue dans chaque main . J'avais calé la caméra qui nous filmaient sans discontinuer j'avais prévu une cassette de quatre heure .
Martial tout en continuant de lui avaler le sein droit enleva ses chaussures, cessa sa succion ,monta sur le canapé, et d'une main tenant l'objet du désir de ma femme, et de l'autre lui prenant la tête lui enfourna sa bite dans la bouche complètement distendue, elle prit avec une délectation non dissimulée l'énorme gland et se mit à le sucer, Martial tenta de pousser plus avant son membre mais devant le hoquet que cela provoqua il se contenta du gland et de 3à4cm de sa queue, ses couilles venant me frapper le visage je décidais de laisser tomber le sein gauche et de descendre coller ma bouche sur sa grotte.
Je commençais par lécher de chaque cotés de ses grandes lèvres à la jonction des cuisses et du ventre,instinctivement elle releva haut ses jambes ,ce qui me permit de lécher l'arrière de ses cuisses, de descendre sur ses fesses la faisant onduler légèrement du cul, ma langue vint lécher la raie culière et remonta dans la fente vaginale sans la pénétrer pour venir lui sucer le bouton qui maintenant était violacé tant son désir était intense, son ventre autour de sa chatte était d'un rouge vif tant le sang circulait rapidement son cœur devait pomper à cent à l'heure.
Puis vint le moment qu'elle devait attendre avec impatience, ma langue pénétra dans son con ,en la fouillant ainsi ,elle me faisait avaler sa mouille à grande gorgée , je me mis à aspirer et soufflé dans son vagin pour préparer le passage du Priape de Martial;elle comprit que le moment était venu comme avec le gode; que mon désir était de la voir embroché sur un sexe énorme mais qui cette fois ne serais pas la bite en latex mais le sexe d'un autre homme .elle ne mouillait plus c'était de longs jets de cyprine qui arrivait au fond de ma gorge.
Elle repoussa hors de sa bouche Martial et dans un râle -Vas y maintenant possède moi ,je veux ta bite Il descendit, tenant toujours sa queue d'une main me repoussa de l'autre,il était devenu un animal reproducteur écartant un possible concurrent ,maintenant c'était sa femelle et son instinct de reproduction avait pris le dessus.
Il prit ma femme par les hanches la tirant en avant, l'obligeant à avoir le cul dans le vide, abaissa sa bite qu'il avait lâchée pour la tirer par les hanches ,sa bite devait faire plus de 25cm il la pointa à l'entrée du vagin, mais au lieu de la pénétrer se mit à caresser les lèvres et le clito ,tirant de nouveau râles de plaisir de sa femelle qui donnait de grands coup en avant avec son bassin pour tenter d'engloutir cette queue mais lui s'écartait à chaque fois tout en continuant ses caresses avec le gland sur le clito.
Moi je m'étais écarté, reprenant la caméra en main j'assistais à travers l'objectif à ce jeu du chat et de la souris puis sans aucun avertissement il se planta dans son ventre 12 à15cm rentrèrent d'une seule poussée se qui tira un OOOOOOOH de satisfaction de mon épouse et lui fit fermer les yeux,il se cabra ,il était entrain de se vider; ses couilles frémissaient.
-MERDE il à jouit-Te fais pas de soucis c'est maintenant que ça devient bon pour toi tu sera lubrifiée pour un moment.
Et il reprit la possession du ventre de mon épouse mais cette fois très lentement guettant les signes de douleurs s'arrêtant au moindre doute puis reprenant doucement sa lente progression.
Ma femme avait les yeux fermés le souffle court par moment des soubresauts venaient secouer tout son corps elle n'arrêtait pas de jouir.
Il ne s'arrêta que quand ces couilles vinrent toucher le cul de sa femelle car maintenant elle ne m'appartenait plus elle était tout à lui je n’existait plus. Je restais sans voix devant cette copulation hors norme de cette petite femme collées à un taureau en rut.
-PUTAIN je la lui aies toute rentrée, elle est profonde tu m'étonnes qu'elle aime ça.
-Écarte tes cuisses Martial et reste au fond que je film qu'elle en ait un souvenir.
Il ouvrit ses jambes ses couilles recouvraient tout il remonta un peu, et d'une main souleva le melon qui servait de sac à ses organes reproducteurs, et la un spectacle dantesque apparu dans l'objectif et à mes yeux ,entre la chatte et les cuisses il n'y avait plus aucun espace ses grandes lèvres rentraient complètement dans les cuisses tellement elle était dilaté .
-PUTAIN mon salop tu l'as tellement ouverte elle ne va plus sentir la mienne ,vas y mollo ne me la démonte pas .
-Laisse chéri c'est trop bon je suis pleine, que j'ai l'impression de la sentir dans mon estomac -Vas y Martial tu peux commencer à bouger mes chairs s'y son habituée baise moi à fond AH cette bite ce sera un sacré souvenir.
IL commença son travail de piston, faisant ressortir ce qu'il avait éjaculé au moment de sa pénétration, la chatte débordait de foutre et de mouille , Je ne pense pas que le drap allait suffire ,il allait falloir détacher le canapé .

Elle le ceintura de ses jambes autour de ses reins lui permettant de s'enfoncer complètement en elle,ses bras autour de son cou elle ne s’occupait plus de moi elle était complètement dédiée à son mâle en rut, il passa les bras sous elle et la souleva comme un fétu de paille ,il se mit debout ses mains soutenaient ses fesses les jambes de ma femme autour de ses reins,les bras autour du cou il se mit à la baiser debout la faisant montée et descendre sur son énorme vit, à chaque empalement un AAAAH de douleur parce qu'il devait taper contre son bassin et de bonheur de se sentir une femme désirée sortait de sa gorge; je continuais à filmer par en dessous cette accouplement de malade le sperme et la mouille faisant une énorme tâche sur le sol , de temps en temps je prenais l'expression grimaçante de douleur et de bonheur qui se lisait sur le visage de mon épouse.

-Ou est la chambre?
Ma femme était incapable de parler, à demie inconsciente elle n'était plus qu'un objet dans ses bras, jouissant sans discontinuer-Monte, en haut des escaliers à gauche .
Sans se désaccoupler il entrepris de monter les escaliers sans plus s'occuper de ma présence, laissant sur leurs passage la trace visqueuse de leurs accouplement. Je les suivaient tout en filmant .

Arrivé dans la chambre il se désaccoupla tirant un NON de désapprobation de sa partenaire,il la retourna la fit mettre à quatre pattes lui souleva son cul pour la positionner pris son chibre d'une mains et de l'autre lui écarta les fesses il appuya son gland sur sa rosette ce qui provoqua un sursaut de mon épouse qui me soulagea-NON pas par làSans rien dire il baissa de deux doigts sa queue et l'enfourna d'un trait dans le con de ma femme qui l’accueillit sans sourciller jusqu'au moment ou il vint buter contre son bassin, l'accouplement repris de plus belle cela faisait déjà une bonne vingtaines de minutes que cela durait elle ahanait sous les coups de son amant d'un jour lui soulevant des soubresauts sans discontinuer, combien de temps allait elle supporter de jouir comme ça, et lui encore combien de temps sans jouir, deux malades du sexe INCROYABLE;Cela dura encore une dizaine de minutes ,quand ma femme essaya de se dérober,je suppose morte de fatigue il lui mit un grand coup qui lui arracha un cri, la propulsa en avant l'obligeant à s'allonger sur le ventre, lui s'allongeant de tout son long et de tout son poids sur elle, lui faisant sentir qui était le Maître il commença à se vider en elle pour la deuxième fois elle recevant cette nouvelle décharge de foutre ,paraissait aux anges-OOOOH BON DIEU C'EST BONNNNNNNNNNNN OOOOOOOOOOH QUE C'EST BONNNAllongée sur le ventre et lui sur son dos, tout les deux les jambes ouvertes, on ne voyait pas la bite enfoncée dans le con de ma femme, les couilles recouvrant tout, mais le sperme sortait sans discontinuer cela dura une bonne minute avant de voir les spasmes des couilles s'arrêter, il resta allongé sur elle une bonne dizaines de minutes avant qu'il ne se décide de sortir de ce nid chaud et humide, quand il se retira un grand flooop accompagna la sortie de la chatte suivit d'un flot de sperme, Le trou de son vagin restant grand ouvert.
Quel salop heureusement qu'elle ne risquait plus rien côté grossesse sinon avec un ensemencement pareil sur quelle serait tombée enceinte.
Quand il se releva, elle se recroquevilla en fœtus ferma la yeux pour récupérer. J’allais l'embrasser tendrement la couvrant de baiser et lui susurrant à l'oreille mon envie de la posséder à mon tour.
-Attends que je souffle un peu et laisse la se reposer il me la démontée ,après je te la donne à toi aussiEt elle me rendit un long baiser amoureux , je savais que la meilleur bite du monde ne me la prendrais pas ce serait toujours ma femme.

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