Martine
Récit érotique écrit par Janiko [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Martine
Cette histoire m'est arrivée alors que j'avais tout juste 20 ans.
J'avais beaucoup d'aventures à cette époque, étant plutôt bien membré avec une réputation de bon amant, les filles de mon bahut se passaient le mot et j'étais souvent sollicité pour des parties de jambes en l'air, parfois même dans l'enceinte du bahut, j'avais même eu une relation avec une prof qui avait duré quelque temps, mais ceci est une autre histoire.
Toujours est-il que j'avais de gros besoins sexuels qu'il était assez facile d'assouvir. Seulement voilà, après avoir choppé une grosse crève, j'avais dû rester chez moi pendant plus d'une semaine. La fièvre étant vite tombée, je tournais en rond à la maison ne sachant que faire. Les branlettes ne m'ayant jamais vraiment satisfait, j'étais comme un lion en cage et j'aurais pu me taper n'importe qui sans hésitations.
Ma belle-mère ne travaillant pas, je n'avais donc la possibilité ni de sortir, ni d'inviter une copine pour m'amuser un peu. Martine était une femme de 45 ans, environ 1m60, toute en rondeurs, avec un visage plutôt jolie bien qu'assez banal. C'était l'archétype parfait de la ménagère de moins de 50 ans, son seul vrai atout physique était sa poitrine particulièrement volumineuse, je dirais un 110 f ou g, elle avait des seins absolument énormes. De plus elle était plutôt chiante, toujours à donner son avis sur tout, me sollicitant constamment pour l'aider à la maison et surtout elle me demandait de l'appeler maman, ce dont j'avais particulièrement horreur.
Ce matin-là, après avoir pris mon petit déjeuner, je regardais tranquillement la télé au salon quand j'entendis sa voix venant du sous-sol, m'appelant en criant. Je me suis donc lever en soupirant, m'attendant encore à quelques remontrances. Je n'étais vraiment pas prêt à voir ce que j'ai vu.
Arrivé dans la buanderie d'où provenait sa voix, je ne pus m'empêcher d'éclater de rire en la voyant. Elle était à quatre pattes, la tête coincée dans la machine à laver à vociférer de venir l'aider. Je l'aurais bien laissée là quelques heures, mais bon, j'aurais dû en subir les conséquences plus tard avec mon père. Je ne manquai tout de même pas de m'amuser de la situation et lui dit :
"- Bah alors Martine, tu fais quoi dans la machine à laver ?
- Arrêtes de te moquer et viens m'aider plutôt, j'ai coincé le pendentif de ma chaîne et je suis complètement bloquée. Passes ta main par-dessus mon épaule et essayes de la décrocher."
Ce que je fis de suite bien qu'un petit peu à contrecœur. Néanmoins, sa position m'empêchait d'atteindre totalement sa chaîne et après plusieurs essais infructueux dans différentes positions, le seul accès possible fût de me mettre à califourchon sur elle et de tenter de débloquer son bijou en passant mon bras par le dessous. J'étais donc en train d'essayer de fouiller entre ses énormes seins, mon bassin frottant contre son dos. Il ne fallut pas longtemps pour me provoquer une belle érection, ce qu'elle ne manqua pas de remarquer :
"-Dis-moi, c'est ton sexe que je sens dans mon dos ?"
Ne sachant que répondre, elle renchaînât d'un ton moqueur pour me rabaisser comme à son habitude :
"-De toute façon, les jeunes de votre âge, vous ne savez pas satisfaire les femmes, vous êtes bon qu'à vous branler en cachette. Alors arrête de fantasmer et sort moi de là!"
Un mélange de colère et d'excitation s'empara de moi, je ne pouvais pas laisser passer ça :
"-Ne me chauffe pas Martine! Sinon je te jure que je vais me venger !
-Pfft ! Avec ton petit sexe, je parie que tu n'arriverais même pas à donner du plaisir à une femme !"
C'était la parole de trop, et je savais comment lui faire payer. Jusqu'à lors, même les femmes plus âgées avec qui j'avais couché m'avais toujours refusé la sodomie, le justifiant par le fait que j'avais un sexe bien trop gros. Sans vouloir me vanter, ma queue doit mesurer dans les 23 cm pour un diamètre d'au moins 6 cm. C'était donc Martine qui allait en faire les frais...
Je me suis précipité à l'étage et me suis saisi de la bouteille d'huile d'olive qui se trouvait dans la cuisine.
J'avais horreur de l'huile d'olive et ma belle-mère en mettait abondamment dans tous ses plats donc l'idée de m'en servir pour lui farcir l'oignon m'avais beaucoup amusé.
De retour dans la buanderie, j'ai ôté mon jogging pour libérer ma queue, lui ai remonté sa robe sur son dos et baissé sa culotte malgré ses protestations. J'ai ensuite versé une bonne lampée d'huile et ai écarté ses grosses fesses afin de commencer à lui préparer le petit trou. Elle était impeccablement épilée, seul un petit triangle de fourrure avait été taillé avec soin sur son pubis. Sa moule dodue avait la forme d'un abricot dont dépassait légèrement ses petites lèvres roses pales, mais ce n'était pas sa chatte de mégère qui m'intéressait, mais son petit anus. Il m'a semblé magnifique sur l'instant, cette petite rondelle de chair rose plus sombre que sa peau dont partait en son centre de minuscules petits plis formait un cercle parfait.
Aidé par l'huile qui avait dégouliné dans son sillon fessier, j'ai introduit mon majeur sans ménagement dans son trou du cul. Il est rentré comme dans du beurre, très vite suivit par mon index et mon annulaire. Je l'ai ainsi doigter sans aucune retenue, les menaces et insultes qu'elle vociférait à mon égard m'encourageant à continuer au lieu de m'en dissuader. Une fois que sa pastille me sembla assez assouplie, je me suis enduit la bite d'huile et tout en écartant ses deux globes fessiers dodus, j'ai présenté mon gland à l'entrée de son petit trou plissé en lui demandant :
"-Alors ? T'es prête pour ma petite bite ?"
Et sans même attendre sa réponse, j'ai enfoncé d'un coup sec 10 cm de ma bite dans son cul. Elle hurla et tenta de se dérober, mais ses épaules butaient contre l'ouverture de la machine à laver, elle n'avait aucune échappatoire.
Je suis resté comme ça planté sans bouger dans son cul pendant de longues secondes le temps que son étroit conduit s'habitue à mon diamètre et qu'elle s'arrête de gueuler comme une truie. C'était si serré que j'en avais mal à la queue. Quand ses hurlements de douleur finirent par se changer en gémissements plaintifs, je lui ai glissé au plus près de l'oreille comme pour lui dire un secret :
"-Je me doute que tu n'as rien senti, mais t'inquiètes pas, j'ai même pas encore rentré la moitié."
Sa seule réponse fut des sanglots et des halètements étouffés par le tambour de la machine. Je me suis alors saisis de ses poignées d'amour charnues et ai commencé à effectuer de lents va-et-vient que j'ai amplifiés au fur et à mesure que ses pleurs et gémissements de douleur devenaient des gémissements de plaisir. J'écartai par moments ses deux globes fessiers volumineux pour contempler ma grosse bite coulisser dans sa rondelle, faisant juste sortir la corolle de mon gland gonflé d'excitation pour m'y enfoncer de nouveau, savourant le massage que me procurait l'étroitesse de ses sphincters. Je n'avais encore même pas rentré toute ma queue qu'elle couinait de plus en plus fort en lâchant par moments des mots incompréhensibles.
Au bout d'une dizaine de minutes, avant même que je commence réellement la baiser j'ai senti ses sphincters se contracter et soudainement elle fut prise de violents spasmes et se mit à gueuler :
-Aaaahhhh! Putainnnnn! Je jouuuuuiiiiiiis! Ahhhhhhh! Mon cuuuuuul! Ahhhhhh Bordeeeeeel!"
Son orgasme fut si violent qu'elle faillit me faire jouir rien qu'avec les contractions de son trou du cul. Je lui ai laissé reprendre ses esprits quelques minutes, profitant également de ce moment pour faire redescendre un peu mon excitation et remettre une lampée d'huile dans sa raie, puis je vins de nouveau lui glisser ces mots à travers l'ouverture de la machine :
"-Et ben t'es vraiment une grosse salope pour jouir du cul comme ça ! J'espère que tu en veux encore parce qu'on va pouvoir passer aux choses sérieuses maintenant, je vais te défoncer le fion !
-Nooonnn! S'il te plaît arrêtes ! J'en peux plus je vais mour..."
Avant qu'elle n'est eue terminé sa phrase, je l'ai saisi fermement par les hanches et d'un coup de rein puissant lui ai enfoncé mon pieu jusqu'à la garde, mon gland butant au fond de son rectum, lui arrachant un énième cri de douleur mêlé de plaisir. J'ai recommençé ainsi plusieurs fois, me retirant à chaque fois lentement afin de reprendre mon élan pour l'enculer de nouveau brusquement, tel un marteau-pilon, mes hanches s'abattant sur ses fesses en secouant ses chairs.
Elle gueulait comme une bête blessée, n'ayant d'autre choix que de subir les assauts de mon sexe dur comme l'acier qui lui façonnait le conduit anal.
J'ai augmenté petit à petit le rythme pour enfin finir par lui ravager le cul frénétiquement comme je n'avais encore même jamais osé baiser une chatte.
Mes couilles pleines battaient sa vulve trempée d'excitation à chaque va-et-vient et mon pubis claquait ses grosses fesses charnues, faisant onduler ses rondeurs comme le ferait les clapotis d'un bateau sur une mare.
Je l'ai défoncée ainsi comme un diable, me cramponnant tantôt à ses hanches, tantôt à sa robe, sans oublié de lui asséner quelques grosses claques sur les fesses, lui ordonnant de se cambrer au maximum en la traitant par la même occasion de grosse chienne ou de vielle salope.
Son deuxième orgasme ne tarda pas à venir et fut encore plus fulgurant que le premier si bien qu'elle inonda le sol de cyprine tout en beuglant son plaisir.
Je n'avais encore jamais vu jouir une femme à ce point, qui plus est par le trou du cul comme était en train de le faire cette vieille catin. Je lui pilonnais la rondelle sans aucune pitié ni retenue et ça lui faisait prendre son pied! Je la défonçais tellement fort que ses énormes seins ont même fini par sortir de son soutien-gorge et pendaient au sol, se balançant au rythme de mes coups de butoir. Sans sortir mon sexe, je me suis ensuite placé à califourchon sur elle, mes mains posées en appui sur ses reins pour la forcer à se cambrer davantage, tout en écartant ses fesses de manière à pouvoir la pénétrer le plus profondément possible. Je l'ai chevauché comme un cowboy dressant un poney sauvage, lui ramonant l'arrière-train à une allure folle.
Mes couilles étaient devenues douloureuses à force de claquer violemment son cul, j'étais en nage, comme en transe, il était temps d'en finir. Je me suis allongé sur son dos, ait agrippé ses seins et tout en pinçant ses tétons, j'ai continué à la défoncer comme un animal. Ma jouissance devenait de plus en plus proche et ses mamelons roulant entre mes doigts la faisait gueuler de plus belle.
Elle eut son troisième orgasme et cette fois-ci, les contractions de son anus m'ont achevé, après avoir transpercé son rectum dans un dernier coup de rein, j'ai gueulé mon plaisir en cœur avec elle, déversant ma semence chaude et gluante en de longues saccades interminables dans ses intestins, la remplissant littéralement. Je me suis ensuite affalé sur elle, complètement terrassé, épuisé et vidé dans tous les sens du terme.
Reprenant lentement mes esprits, j'ai déculer doucement en écartant ses fesses, le retrait de mon sexe provoqua un bruit de succion et lui arracha un dernier gémissement. De son anus grand ouvert s'écoula aussitôt mon foutre, qui après avoir dégouliné le long de sa vulve trempée, alla rejoindre la flaque de mouille sur le sol en carrelage de la buanderie.
Je suis resté quelques instants à contempler son petit trou complètement béant, comme un artiste le ferais après avoir achevé un tableau. J'ai regardé sa rondelle grande ouverte et légèrement boursouflée avoir ses dernières contractions, évacuant en filet le reste de sperme de son conduit anal, puis j'ai essuyé mon sexe sur le bas de sa robe.
Au moment où j'allais sortir de la pièce, elle c'est assise dans la flaque de nos liquides corporels, visiblement épuisée mais libre de sa prison que fut la machine à laver. Elle m'a interpellé d'une voix saccadée par l'effort, bien qu'inhabituellement douce :
"- Merci de m'avoir décoincée, mais n'en parle à personne s'il te plaît, c'est assez gênant comme ça.
-C'était un plaisir, si tu as encore besoin de mes services n'hésites pas."
Lui ai-je répondu tout en lui faisant un clin d'œil.
Ma belle-mère est devenue par la suite mon amante, ou plutôt ma bonne chienne soumise, et m'a avoué qu'elle avait volontairement provoquée cette situation en espérant qu'il se passe quelque chose, bien qu'elle fût loin de s'imaginer à quel point j'allais être un salaud ce jour-là ! Ce fut pour elle une véritable révélation et nos aventures ne firent que commencer!
N'hésitez pas à commenter et à me demander une suite.
J'avais beaucoup d'aventures à cette époque, étant plutôt bien membré avec une réputation de bon amant, les filles de mon bahut se passaient le mot et j'étais souvent sollicité pour des parties de jambes en l'air, parfois même dans l'enceinte du bahut, j'avais même eu une relation avec une prof qui avait duré quelque temps, mais ceci est une autre histoire.
Toujours est-il que j'avais de gros besoins sexuels qu'il était assez facile d'assouvir. Seulement voilà, après avoir choppé une grosse crève, j'avais dû rester chez moi pendant plus d'une semaine. La fièvre étant vite tombée, je tournais en rond à la maison ne sachant que faire. Les branlettes ne m'ayant jamais vraiment satisfait, j'étais comme un lion en cage et j'aurais pu me taper n'importe qui sans hésitations.
Ma belle-mère ne travaillant pas, je n'avais donc la possibilité ni de sortir, ni d'inviter une copine pour m'amuser un peu. Martine était une femme de 45 ans, environ 1m60, toute en rondeurs, avec un visage plutôt jolie bien qu'assez banal. C'était l'archétype parfait de la ménagère de moins de 50 ans, son seul vrai atout physique était sa poitrine particulièrement volumineuse, je dirais un 110 f ou g, elle avait des seins absolument énormes. De plus elle était plutôt chiante, toujours à donner son avis sur tout, me sollicitant constamment pour l'aider à la maison et surtout elle me demandait de l'appeler maman, ce dont j'avais particulièrement horreur.
Ce matin-là, après avoir pris mon petit déjeuner, je regardais tranquillement la télé au salon quand j'entendis sa voix venant du sous-sol, m'appelant en criant. Je me suis donc lever en soupirant, m'attendant encore à quelques remontrances. Je n'étais vraiment pas prêt à voir ce que j'ai vu.
Arrivé dans la buanderie d'où provenait sa voix, je ne pus m'empêcher d'éclater de rire en la voyant. Elle était à quatre pattes, la tête coincée dans la machine à laver à vociférer de venir l'aider. Je l'aurais bien laissée là quelques heures, mais bon, j'aurais dû en subir les conséquences plus tard avec mon père. Je ne manquai tout de même pas de m'amuser de la situation et lui dit :
"- Bah alors Martine, tu fais quoi dans la machine à laver ?
- Arrêtes de te moquer et viens m'aider plutôt, j'ai coincé le pendentif de ma chaîne et je suis complètement bloquée. Passes ta main par-dessus mon épaule et essayes de la décrocher."
Ce que je fis de suite bien qu'un petit peu à contrecœur. Néanmoins, sa position m'empêchait d'atteindre totalement sa chaîne et après plusieurs essais infructueux dans différentes positions, le seul accès possible fût de me mettre à califourchon sur elle et de tenter de débloquer son bijou en passant mon bras par le dessous. J'étais donc en train d'essayer de fouiller entre ses énormes seins, mon bassin frottant contre son dos. Il ne fallut pas longtemps pour me provoquer une belle érection, ce qu'elle ne manqua pas de remarquer :
"-Dis-moi, c'est ton sexe que je sens dans mon dos ?"
Ne sachant que répondre, elle renchaînât d'un ton moqueur pour me rabaisser comme à son habitude :
"-De toute façon, les jeunes de votre âge, vous ne savez pas satisfaire les femmes, vous êtes bon qu'à vous branler en cachette. Alors arrête de fantasmer et sort moi de là!"
Un mélange de colère et d'excitation s'empara de moi, je ne pouvais pas laisser passer ça :
"-Ne me chauffe pas Martine! Sinon je te jure que je vais me venger !
-Pfft ! Avec ton petit sexe, je parie que tu n'arriverais même pas à donner du plaisir à une femme !"
C'était la parole de trop, et je savais comment lui faire payer. Jusqu'à lors, même les femmes plus âgées avec qui j'avais couché m'avais toujours refusé la sodomie, le justifiant par le fait que j'avais un sexe bien trop gros. Sans vouloir me vanter, ma queue doit mesurer dans les 23 cm pour un diamètre d'au moins 6 cm. C'était donc Martine qui allait en faire les frais...
Je me suis précipité à l'étage et me suis saisi de la bouteille d'huile d'olive qui se trouvait dans la cuisine.
J'avais horreur de l'huile d'olive et ma belle-mère en mettait abondamment dans tous ses plats donc l'idée de m'en servir pour lui farcir l'oignon m'avais beaucoup amusé.
De retour dans la buanderie, j'ai ôté mon jogging pour libérer ma queue, lui ai remonté sa robe sur son dos et baissé sa culotte malgré ses protestations. J'ai ensuite versé une bonne lampée d'huile et ai écarté ses grosses fesses afin de commencer à lui préparer le petit trou. Elle était impeccablement épilée, seul un petit triangle de fourrure avait été taillé avec soin sur son pubis. Sa moule dodue avait la forme d'un abricot dont dépassait légèrement ses petites lèvres roses pales, mais ce n'était pas sa chatte de mégère qui m'intéressait, mais son petit anus. Il m'a semblé magnifique sur l'instant, cette petite rondelle de chair rose plus sombre que sa peau dont partait en son centre de minuscules petits plis formait un cercle parfait.
Aidé par l'huile qui avait dégouliné dans son sillon fessier, j'ai introduit mon majeur sans ménagement dans son trou du cul. Il est rentré comme dans du beurre, très vite suivit par mon index et mon annulaire. Je l'ai ainsi doigter sans aucune retenue, les menaces et insultes qu'elle vociférait à mon égard m'encourageant à continuer au lieu de m'en dissuader. Une fois que sa pastille me sembla assez assouplie, je me suis enduit la bite d'huile et tout en écartant ses deux globes fessiers dodus, j'ai présenté mon gland à l'entrée de son petit trou plissé en lui demandant :
"-Alors ? T'es prête pour ma petite bite ?"
Et sans même attendre sa réponse, j'ai enfoncé d'un coup sec 10 cm de ma bite dans son cul. Elle hurla et tenta de se dérober, mais ses épaules butaient contre l'ouverture de la machine à laver, elle n'avait aucune échappatoire.
Je suis resté comme ça planté sans bouger dans son cul pendant de longues secondes le temps que son étroit conduit s'habitue à mon diamètre et qu'elle s'arrête de gueuler comme une truie. C'était si serré que j'en avais mal à la queue. Quand ses hurlements de douleur finirent par se changer en gémissements plaintifs, je lui ai glissé au plus près de l'oreille comme pour lui dire un secret :
"-Je me doute que tu n'as rien senti, mais t'inquiètes pas, j'ai même pas encore rentré la moitié."
Sa seule réponse fut des sanglots et des halètements étouffés par le tambour de la machine. Je me suis alors saisis de ses poignées d'amour charnues et ai commencé à effectuer de lents va-et-vient que j'ai amplifiés au fur et à mesure que ses pleurs et gémissements de douleur devenaient des gémissements de plaisir. J'écartai par moments ses deux globes fessiers volumineux pour contempler ma grosse bite coulisser dans sa rondelle, faisant juste sortir la corolle de mon gland gonflé d'excitation pour m'y enfoncer de nouveau, savourant le massage que me procurait l'étroitesse de ses sphincters. Je n'avais encore même pas rentré toute ma queue qu'elle couinait de plus en plus fort en lâchant par moments des mots incompréhensibles.
Au bout d'une dizaine de minutes, avant même que je commence réellement la baiser j'ai senti ses sphincters se contracter et soudainement elle fut prise de violents spasmes et se mit à gueuler :
-Aaaahhhh! Putainnnnn! Je jouuuuuiiiiiiis! Ahhhhhhh! Mon cuuuuuul! Ahhhhhh Bordeeeeeel!"
Son orgasme fut si violent qu'elle faillit me faire jouir rien qu'avec les contractions de son trou du cul. Je lui ai laissé reprendre ses esprits quelques minutes, profitant également de ce moment pour faire redescendre un peu mon excitation et remettre une lampée d'huile dans sa raie, puis je vins de nouveau lui glisser ces mots à travers l'ouverture de la machine :
"-Et ben t'es vraiment une grosse salope pour jouir du cul comme ça ! J'espère que tu en veux encore parce qu'on va pouvoir passer aux choses sérieuses maintenant, je vais te défoncer le fion !
-Nooonnn! S'il te plaît arrêtes ! J'en peux plus je vais mour..."
Avant qu'elle n'est eue terminé sa phrase, je l'ai saisi fermement par les hanches et d'un coup de rein puissant lui ai enfoncé mon pieu jusqu'à la garde, mon gland butant au fond de son rectum, lui arrachant un énième cri de douleur mêlé de plaisir. J'ai recommençé ainsi plusieurs fois, me retirant à chaque fois lentement afin de reprendre mon élan pour l'enculer de nouveau brusquement, tel un marteau-pilon, mes hanches s'abattant sur ses fesses en secouant ses chairs.
Elle gueulait comme une bête blessée, n'ayant d'autre choix que de subir les assauts de mon sexe dur comme l'acier qui lui façonnait le conduit anal.
J'ai augmenté petit à petit le rythme pour enfin finir par lui ravager le cul frénétiquement comme je n'avais encore même jamais osé baiser une chatte.
Mes couilles pleines battaient sa vulve trempée d'excitation à chaque va-et-vient et mon pubis claquait ses grosses fesses charnues, faisant onduler ses rondeurs comme le ferait les clapotis d'un bateau sur une mare.
Je l'ai défoncée ainsi comme un diable, me cramponnant tantôt à ses hanches, tantôt à sa robe, sans oublié de lui asséner quelques grosses claques sur les fesses, lui ordonnant de se cambrer au maximum en la traitant par la même occasion de grosse chienne ou de vielle salope.
Son deuxième orgasme ne tarda pas à venir et fut encore plus fulgurant que le premier si bien qu'elle inonda le sol de cyprine tout en beuglant son plaisir.
Je n'avais encore jamais vu jouir une femme à ce point, qui plus est par le trou du cul comme était en train de le faire cette vieille catin. Je lui pilonnais la rondelle sans aucune pitié ni retenue et ça lui faisait prendre son pied! Je la défonçais tellement fort que ses énormes seins ont même fini par sortir de son soutien-gorge et pendaient au sol, se balançant au rythme de mes coups de butoir. Sans sortir mon sexe, je me suis ensuite placé à califourchon sur elle, mes mains posées en appui sur ses reins pour la forcer à se cambrer davantage, tout en écartant ses fesses de manière à pouvoir la pénétrer le plus profondément possible. Je l'ai chevauché comme un cowboy dressant un poney sauvage, lui ramonant l'arrière-train à une allure folle.
Mes couilles étaient devenues douloureuses à force de claquer violemment son cul, j'étais en nage, comme en transe, il était temps d'en finir. Je me suis allongé sur son dos, ait agrippé ses seins et tout en pinçant ses tétons, j'ai continué à la défoncer comme un animal. Ma jouissance devenait de plus en plus proche et ses mamelons roulant entre mes doigts la faisait gueuler de plus belle.
Elle eut son troisième orgasme et cette fois-ci, les contractions de son anus m'ont achevé, après avoir transpercé son rectum dans un dernier coup de rein, j'ai gueulé mon plaisir en cœur avec elle, déversant ma semence chaude et gluante en de longues saccades interminables dans ses intestins, la remplissant littéralement. Je me suis ensuite affalé sur elle, complètement terrassé, épuisé et vidé dans tous les sens du terme.
Reprenant lentement mes esprits, j'ai déculer doucement en écartant ses fesses, le retrait de mon sexe provoqua un bruit de succion et lui arracha un dernier gémissement. De son anus grand ouvert s'écoula aussitôt mon foutre, qui après avoir dégouliné le long de sa vulve trempée, alla rejoindre la flaque de mouille sur le sol en carrelage de la buanderie.
Je suis resté quelques instants à contempler son petit trou complètement béant, comme un artiste le ferais après avoir achevé un tableau. J'ai regardé sa rondelle grande ouverte et légèrement boursouflée avoir ses dernières contractions, évacuant en filet le reste de sperme de son conduit anal, puis j'ai essuyé mon sexe sur le bas de sa robe.
Au moment où j'allais sortir de la pièce, elle c'est assise dans la flaque de nos liquides corporels, visiblement épuisée mais libre de sa prison que fut la machine à laver. Elle m'a interpellé d'une voix saccadée par l'effort, bien qu'inhabituellement douce :
"- Merci de m'avoir décoincée, mais n'en parle à personne s'il te plaît, c'est assez gênant comme ça.
-C'était un plaisir, si tu as encore besoin de mes services n'hésites pas."
Lui ai-je répondu tout en lui faisant un clin d'œil.
Ma belle-mère est devenue par la suite mon amante, ou plutôt ma bonne chienne soumise, et m'a avoué qu'elle avait volontairement provoquée cette situation en espérant qu'il se passe quelque chose, bien qu'elle fût loin de s'imaginer à quel point j'allais être un salaud ce jour-là ! Ce fut pour elle une véritable révélation et nos aventures ne firent que commencer!
N'hésitez pas à commenter et à me demander une suite.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle histoire merci
Magnifique