Martine soumise : 2eme seance chapitre 1
Récit érotique écrit par Pierre_rene [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-10-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Martine soumise : 2eme seance chapitre 1
Comme je l’avais annoncé à l’issue de mon deuxième récit, une nouvelle soirée avait été prévue début juillet. Cette soirée a eu lieu le 10 juillet et je vais maintenant vous la raconter le plus en détail possible.
Nous étions en février lors de notre première soirée et nous avions convenu que c’était Jean qui devait organiser cette soirée et nous proposer un scénario.
Comme Martine avait regretté la présence de préservatifs nous avions convenu que celui qui nous présenterait un résultat récent de test VIH se verrait alors dispensé de mettre une capote lors de notre soirée suivante.
Dès mi-mars, Jean nous envoya par mail le scénario qu’il proposait.
Il proposait de nous recevoir chez lui ou plutôt dans son garage (il est concessionnaire automobile).
Il me demandait d’abord de ne plus raser Martine jusqu’à notre prochaine soirée, préférant les toisons touffues et naturelles (c’est dans cet état qu’il avait vu Martine lors de notre rencontre au camp de naturistes)
Il me dit ensuite disposer d’un petit sulky, modèle réduit de celui utilisé lors de courses de trotteurs et qu’il avait imaginé y atteler Martine et organiser un genre de concours où chacun de nous conduirait le sulky dans le hall d’exposition de son garage. Il précisa que le scénario serait bien sûr affiné si nous répondions positivement à ce projet
Je me demandais bien d’où il tenait cet engin mais je trouvais surtout l’idée très intéressante et originale.
Evidemment je fis lire ce scénario à Martine qui resta un moment silencieuse, s’imaginant surement déjà attelée à cette petite carriole et ce qui pourrait s’en suivre.
Après quelques instants de réflexion, Martine me dit qu’elle trouvait l’idée intéressante et accepta donc de jouer la pouliche au service de ses quatre drivers.
Il faut dire que notre première soirée chaude avait laissé des traces dans nos relations conjugales. La fréquence de nos rapports s’était accélérée et nous faisons l’amour pratiquement tous les jours comme au meilleur temps du début de notre vie commune.
Nos pratiques anales sont devenues plus courantes et Martine arrive souvent à l’orgasme dans ce type de relation
Pour autant, Martine me parle souvent de la soirée ou elle s’est offerte à quatre males en rut et du plaisir qu’elle avait ressenti à se faire humilier et même brutaliser. Elle attendait avec impatience de renouveler l’expérience. C’est pour cela qu’elle n’a pas hésité longtemps avant d’accepter le scénario de Jean
Sans attendre, je téléphonais à Jean pour lui faire part de notre accord. Il me dit alors qu’il allait contacter les deux autres complices pour se mettre d’accord sur la date qui pourrait être fixée au 10 juillet au soir, cette date étant celle qui convenait le mieux à Martine, fonction de son cycle menstruel.
Jean me précisa qu’il allait s’occuper de tous les accessoires qui lui sembleraient nécessaires pour équiper l’attelage et qu’il allait murir le scénario pour nous le dévoiler à tous le jour même, y compris à Martine
Le jour venu, nous nous retrouvâmes tous vers 19h30 au garage de Jean. Celui-ci était fermé et toutes les portes et baies vitrées occultées par des rideaux métalliques qui rendaient le hall d’exposition parfaitement discret.
Nous étions tous en tenue décontractée et martine avait revêtu une très légère robe portée sur des sous-vêtements noirs légers et sexys
Jean avait préparé un lunch de très bonne qualité que nous avons arrosé généreusement de champagne. Martine apprécia beaucoup ce champagne, peut-être trop, en vue de se mettre en condition pour ce qui l’attendait.
Vers 21 heures, après avoir discuté de divers sujets comme peuvent en parler un groupe d’amis autour d’un lunch et de nombreuses bouteilles, Martine devint le seul sujet de conversation, comme s’il fallait maintenant passer aux choses sérieuses. Jean amena le sulky, ce qui permit à chacun d’imaginer ce qui allait se passer. Il s’agissait effectivement d’un modèle réduit du sulky utilisé pour les courses de trotteurs, avec de petites roues, de longues branches incurvées et d’un siège posé sur l’axe des roues, à 20 cm du sol.
Martine avala une dernière coupe de champagne et demanda à Jean de lui indiquer le cabinet de toilette. Elle avait compris que l’instant était arrivé de passer aux choses sérieuses et qu’il était temps de pratiquer une toilette intime en profondeur.
Le cabinet de toilette était destiné aux collaborateurs du garage et équipé d’un lavabo, cabine de douche et WC. Martine s’y dirigea avec sa trousse de toilette dans laquelle je savais qu’elle avait glissé une poire à lavements. Jean lui demanda d’attendre quelques instants, il ouvrit un sac et y retira une paire de bottes cuissardes et des gants en cuir, il tendit l’ensemble à Martine et lui demanda de les mettre à l’issue de sa toilette et de revenir vers nous, nue et à quatre pattes.
A compter de cet instant, Martine avait cessé d’être ma femme et était redevenue l’objet sexuel consentant, livré à quatre males bien décidés à profiter à nouveau de ce corps de femelle ainsi mis à leur disposition
Jean profita de l’absence de Martine pour nous présenter tous les accessoires qu’il avait rassemblés dans son sac.
Il commença par sortir un loup noir qui avait la particularité de ne pas être percé des deux trous pour les yeux. Puis il nous sortit une large ceinture de cuir doublée de velours équipée de deux pattes de fixation et de deux boucles. Outre sa largeur, cette ceinture avait la particularité de disposer d’anneaux métalliques. Assorti à la ceinture, jean nous montra alors un collier de cuir lui aussi équipé d’anneaux de plus petit diamètre. Jusque-là chacun avait compris sans difficulté l’usage de ces accessoires, pour les suivants, Jean cru bon d’apporter quelques explications :
Pour driver la pouliche depuis le siège du sulky il fallait des rennes, d’où cette longue sangle de cuir de 1 cm de large pour plus de 2 mètres de long avec à chaque extrémité un petit mousqueton. Jean sortit alors deux pinces crocodiles en métal, nous expliquant qu’il avait réfléchi au meilleur endroit pour fixer les rennes. Il avait d’abord pensé à les fixer, comme pour une jument, à un mors placé en bouche. Mais il y avait renoncé de peur de gêner la respiration. Il avait envisagé ensuite driver la pouliche par les seins et, pour se faire, de fixer les rennes par les mousquetons aux anneaux fixés sur les tétons mais il avait trouvé que cela risquait de déchirer le téton en cas de trop forte traction sur les rennes, compte tenu de la faible section de ces anneaux d’or. Sans renoncer à driver par les seins, ce que je trouvais personnellement très excitant, il avait alors choisi l’option de poser des pinces crocodiles qui, sans entamer la chair pinçaient suffisamment pour assurer une prise solide. Il avait personnellement testé ces pinces et en avait conclus qu’à part une douleur certaine à la pose, ensuite cela devenait très supportable.
Jean sortit ensuite une cravache d’environ 80cm de long, terminée par une bande de cuir d’environ 5 cm de large pour 20 de long mais repliée pour faire en fait une longueur utile de 10 cm. Il nous fit la démonstration que cette bande de cuir ainsi doublée claquait assez fortement lorsqu’on l’appliquait sur la peau sans laisser d’autre trace qu’une légère rougeur (plus de bruit que de douleur)
Nous observions tous trois les accessoires que Jean avait préparés et qui nous promettaient beaucoup de satisfaction pour ce qui allait suivre. Nous pensions alors que l’équipement était complet mais Jean nous en réservait un dernier qu’il sortit comme un trésor de son sac.
A première vue il s’agissait d’un martinet sauf que le manche était assez court et qu’il comportait beaucoup plus de lanières qu’un martinet normal. Jean nous expliqua alors le véritable rôle de cet accessoire ; Bien sûr que l’on peut s’en servir comme martinet nous dit-il mais surtout, il s’agit d’une queue qui si elle est posée apportera un peu plus de réalisme et de peps à la pouliche.
Pour cet accessoire, contrairement aux précédents, il me regarda pour obtenir mon avis.
J’examinai de plus près cet accessoire. Les lanières étaient en cuir, comme un martinet classique, ce qui doit être douloureux en cas d’usage appuyé, mais ce n’était pas l’usage que prévoyait Jean. Le manche d’une bonne douzaine de cm était en matière lisse, genre bakélite, son diamètre variait entre 2 et 3 cm régulièrement cannelé, l’extrémité se terminait en demi-sphère, à l’autre bout, là où étaient fixées les lanières, le diamètre passait à environ 4cm sur une largeur de 5 mm et un petit anneau y était fixé.
Aucun doute sur l’endroit où devait se fixer cette queue
Avant de donner mon avis (que j’avais favorable) je demandais aux deux autres ce qu’ils en pensaient. Ils trouvaient l’idée bonne mais se demandaient si Martine accepterait cet accessoire très humiliant. Nous nous mîmes d’accord pour ne pas prévenir Martine, mais nous lui demanderions de nous signaler son désaccord, dès que l’on dépassait ses limites, dans tout le déroulement de la soirée en criant STOP trois fois.
Il fallut plus de 20 mn pour voir réapparaitre Martine, comme Jean le lui avait ordonné, prouvant ainsi sa totale soumission. A quatre pattes, les mains protégées par les gants et surtout les jambes, des pieds à mi-cuisses, recouvertes des cuissardes noires isolant les genoux du sol carrelé. A part ces accessoires, complètement nue, les seins pendant sous le torse, Martine se déplaçait lentement en ondulant de la croupe, suffisamment cambrée pour ne rien cacher de la chatte encadrée de ses poils noirs qui remontaient jusque l’anus et qui surprirent Pierre et Marc (qui n’étaient pas au courant de la demande de Jean), se souvenant, eux, d’une vulve rasée de près, hormis le triangle pubien, découverte lors de notre précédente soirée.
Je trouvais cet accoutrement ultra excitant, et je ne devais pas être le seul, alors qu’aucun accessoire n’était encore posé. Jean demanda à Martine de s’arrêter, ce qu’elle fit immédiatement en rapprochant les genoux. Il lui posa immédiatement le loup sur le visage et le collier autour du cou.
Je pris alors la parole pour demander à Martine si elle acceptait de continuer le jeu puis en cours du jeu si elle décidait d’abandonner il lui suffisait de répéter trois fois STOP. Elle me répondit d’accord
D’autre part je lui annonçais, et cela devait lui plaire, que les trois compères m’avaient apporté un certificat de test négatif au virus HIV ce qui permettait toute liberté.
A partir de ce moment je considérais que Martine cessait d’être ma femme pour devenir temporairement un objet de plaisir à se partager. Elle était seule à juger jusque ou elle pouvait aller
Jean reprit la main en accrochant une extrémité des rennes à un anneau du collier, comme une longue laisse puis tira légèrement vers l’avant. Devant le manque de réactivité de celle que nous appellerions dorénavant entre nous « la pouliche », il frappa légèrement l’autre extrémité de la laisse sur la croupe. Le message passa et elle se mit en marche sans un cri.
Jean se mis alors au centre d’un cercle d’environ 5 m de diamètre qu’il fit parcourir plusieurs fois à la pouliche l’encourageant régulièrement d’un coup de laisse sur les fesses. Il me semblait que Martine ralentissait de temps en temps, en espérant un petit coup d’encouragement. J’étais convaincu qu’elle en prenait un réel plaisir
Cela m’interpellait quand même d’assister ainsi, en y prenant moi-même un plaisir certain, à ce spectacle d’un homme tirant au bout d’une laisse ma femme réduite à l’état d’une chienne plus que d’une pouliche d’ailleurs, compte tenu de la taille, comme exposée à un concours de beauté devant un jury de connaisseurs qui ne perdaient pas une miette du spectacle offert. Moi-même j’avais l’impression de découvrir ce corps dans tous ses détails, alors que quand même….
Jean tira alors légèrement la laisse vers l’arrière et Martine comprit qu’il fallait s’arrêter.
Il était temps de poser les autres accessoires. Jean posa d’abord la ceinture. Elle s’inséra parfaitement entre le bas des côtes et le haut des hanches, les deux boucles bien serrées au niveau de la colonne vertébrale ne laissant aucun jeu
Vint ensuite la pose des pinces et là j’étais très curieux de voir la réaction de Martine. Accroupi près de la pouliche, il tira sur le téton du sein gauche en passant un doigt dans l’anneau, étirant l’aréole sur laquelle il accrocha la pince. Seul un aÏe discret accompagna la fermeture de la pince qui aplatit l’aréole entre ses dents laissant en-dessous le téton, ressemblant maintenant à une framboise, orné de son anneau. Jean refit la même action sur l’autre sein, avec le même résultat.
Il passa ensuite chaque extrémité des rennes, de l’arrière vers l’avant dans un anneau de la ceinture, de chaque coté, sous les flancs de la pouliche puis accrocha chaque mousqueton à la pince de chaque sein. Il passa ensuite à l’arrière de la croupe et saisissant les rennes de chaque main testa le montage en tirant successivement de la main gauche, puis de la main droite puis des deux à la fois. Les rennes coulissaient parfaitement dans les anneaux, ressortant à l’arrière de la croupe en caressant, de chaque côté, le haut de la cuisse. Elles avaient l’effet escompté, à savoir tirer alternativement chaque sein vers l’arrière puis les deux à la fois. Il nous expliqua en même temps la manière de driver la pouliche :Tirer sur le renne gauche pour tourner à gauche, à droite pour tourner à droite, tirer longuement sur les deux pour stopper et tirer simultanément par coups brefs pour ralentir et reculer après l’arrêt quant à l’accélérateur : la cravache. Ces instructions étaient également destinées à Martine qui avait tout accepté et savait maintenant comment se diriger avec la seule action des rennes sur ses seins
Vint ensuite le dernier accessoire : Jean annonça « maintenant la pose de la queue » suffisamment haut pour que Martine l’entende mais sans que cela n’entraine aucune réaction de sa part ayant parfaitement compris pourtant, à quel endroit il allait la fixer .
Nous primes tous ce manque de réaction pour une acceptation et Jean demanda alors quelqu'un pour l’aider. Le plus rapide fut, à mon grand étonnement Marc. Décidément il avait pris beaucoup d’assurance depuis la fois précédente et comprit que ce corps féminin était entièrement à sa disposition le temps de la soirée. Je pense que Marc devait être en admiration pour Martine et que là c’était l’occasion rêvée de l’avilir et d’accéder sans retenue à son corps sous toutes les coutures, ayant un peu raté cette occasion la fois précédente par excès de timidité.
Jean sortit la queue et en enduit l’extrémité du manche d’une bonne couche de lubrifiant. Il demanda à Marc d’appuyer sur les omoplates de Martine qui comprit le message et écrasa les seins sur le carrelage pour présenter une croupe complètement épanouie dans cette position totalement indécente mais ma femme avait décidément perdu toute notion de pudeur. L’anus se présentait entouré de sa couronne de poils noirs et soyeux qui descendaient ensuite sur et autour des grandes lèvres. Afin de faciliter la pénétration du manche, Jean demanda à Marc d’écarter le plus possible les fesses ce que Marc, à califourchon sur le dos de Martine, se fit un plaisir de réaliser laissant cette fois l’anus légèrement ouvert allant jusqu’à écarter également largement les lèvres luisantes du sexe montrant en pleine lumière le détail anatomique de la vulve, à 20cm de son visage.
Ce spectacle surréaliste n’entrainant aucune protestation de la propriétaire des lieux, Jean présenta alors le manche de la queue à l’entrée de l’anus qui eut d’abord le réflexe de se resserrer mais une bonne claque sur une fesse le rendit à la raison et le bout arrondi du manche s’introduisit dans difficulté. Puis, tout doucement, Jean accentua la pression et le manche avança, cannelure après cannelure avec accompagnant chacune d’elle, un léger soupir de la part de l’intéressée. Ceci prouvait que depuis la soirée précédente, beaucoup de progrès avait été accompli en matière de pénétration anale.
Le manche finit en butée contre l’anus, avalé complètement par le rectum. Pour éviter qu’il ne ressorte accidentellement, Jean attacha une cordelette dans l’anneau de la collerette qui seule ressortait de l’anus et attacha l’autre extrémité à un anneau de la ceinture, situé au niveau de la colonne vertébrale. Cette cordelette bien tendue empêcherait assurément au manche de s’échapper.
Jean nous offrit alors une présentation de la pouliche ainsi harnachée. Il reprit les rennes, passa à l’arrière de la croupe ainsi garnie de sa queue et refit faire un tour du même cercle que tout à l’heure mais cette fois en drivant la pouliche comme il se devait, en fonction des consignes qu’il nous avait données. Encouragée à démarrer par un coup de cravache claquant bien que peu appuyé, puis conduite à tourner régulièrement par de petites tractions sur le sein gauche et enfin commandée à s’arrêter par une traction continue des rennes sur les deux seins à la fois.
Durant cette démonstration nous voyions l’effet du manche dans le rectum par le balancement régulier de gauche à droite des lanières constituant la queue. Vous pouvez imaginer ce spectacle inouï que je n’avais encore jamais vu dans aucun film porno. Un seul inconvénient signalé par tous, les lanières descendaient trop vite après le manche ce qui nous cachait pratiquement complètement la foufoune ce qui était frustrant surtout que jean l’avait voulue poilue. C’était dommage de la cacher. Je proposais d’enrouler la base des lanières, en les resserrant, avec une bande de scotch large et de tirer par une autre cordelette jusque la ceinture pour remonter l’ensemble des lanières et ainsi libérer la vue sur la chatte, ce qui fut fait.
La pouliche ne manifestait toujours aucune réticence, elle supportait tout sans broncher.
Je suggérais alors que notre petite pouliche nous aide à nous détendre (détendre en fait ce que nous avions dans le slip car je pense que l’on devait être tous les quatre dans la même situation, compte tenu du spectacle) avant de passer au sulky
Condition préalable : je demandais à tous de passer à leur tour au cabinet de toilette afin de respecter l’hygiène. Cela fut fait et chacun revint, moi compris en caleçon ou boxer, tenue plus adéquate pour ce qui allait suivre.
Nous primes chacun une chaise dans l’ordre Pierre, Moi, Marc et enfin Jean qui vint s’asseoir après avoir amené la pouliche devant les genoux de Pierre. Celui-ci écarta les genoux et sortit son braquemart dont la taille nous surprit moins que la fois passée. Il attira la pouliche par le collier, le nez devant son gland. Elle ouvrit la bouche et immédiatement reconnut la bite de Pierre mais, sans rechigner avala le gland puis une bonne partie de la hampe, à s’en décrocher la mâchoire. Après à peine une dizaine d’aller-retour, pierre explosa sans même chercher à se retirer, tant la tension était forte, Martine recula la tête mais elle prit quelques giclées dans la bouche, le reste sur le visage. Elle ne recracha rien et c’est Pierre qui lui essuya le visage avec les mains, puis, toujours par le collier la poussa vers moi.
Je la positionnais à mon tour entre mes genoux et lui présentai mon gland devant ses lèvres.
Après l’expérience précédente, elle n’eut aucune difficulté à buter ses lèvres sur mes poils pubiens bien qu’ayant un léger haut-le-cœur quand mon gland eut atteint le fond de sa gorge. Elle se mit à pomper avec beaucoup d’ardeur, au point qu’il ne fallut pas longtemps avant que je sente monter la sève. Je la saisis alors par la nuque, la retenant pour l’obliger à tout avaler.
Ce fut ensuite le tour de Marc. Lui si pudique la précédente soirée, il sortit son pénis sans hésitation, entoura le visage de ses deux mains et colla son sexe sur les lèvres qui s’ouvrirent immédiatement pour le faire disparaître complètement dans la bouche. Marc avait remarqué avec quelle rapidité nous avions éjaculé Pierre et moi. Il voulu savourer l’instant en gardant la maitrise de l’action. Tenant toujours la tête de Martine entre ses mains, c’est lui qui pilotait le rythme qu’il voulu plus lent. C’est donc à l’issue d’une fellation digne de ce nom qu’il finit par éjaculer dans la bouche de Martine qui ne se recula même pas.
Jean fut le dernier à profiter de la détente procurée par notre pouliche qui le pompa consciencieusement jusqu’à obtenir, la aussi assez rapidement une éjaculation qu’elle ne chercha même pas à recracher
Décidément les rapports de Martine avec la fellation avaient beaucoup évolué depuis la dernière soirée.
Tout le monde étant détendu, Il était maintenant temps d’atteler la pouliche au sulky.
La suite bientôt : martine épisode 4
Nous étions en février lors de notre première soirée et nous avions convenu que c’était Jean qui devait organiser cette soirée et nous proposer un scénario.
Comme Martine avait regretté la présence de préservatifs nous avions convenu que celui qui nous présenterait un résultat récent de test VIH se verrait alors dispensé de mettre une capote lors de notre soirée suivante.
Dès mi-mars, Jean nous envoya par mail le scénario qu’il proposait.
Il proposait de nous recevoir chez lui ou plutôt dans son garage (il est concessionnaire automobile).
Il me demandait d’abord de ne plus raser Martine jusqu’à notre prochaine soirée, préférant les toisons touffues et naturelles (c’est dans cet état qu’il avait vu Martine lors de notre rencontre au camp de naturistes)
Il me dit ensuite disposer d’un petit sulky, modèle réduit de celui utilisé lors de courses de trotteurs et qu’il avait imaginé y atteler Martine et organiser un genre de concours où chacun de nous conduirait le sulky dans le hall d’exposition de son garage. Il précisa que le scénario serait bien sûr affiné si nous répondions positivement à ce projet
Je me demandais bien d’où il tenait cet engin mais je trouvais surtout l’idée très intéressante et originale.
Evidemment je fis lire ce scénario à Martine qui resta un moment silencieuse, s’imaginant surement déjà attelée à cette petite carriole et ce qui pourrait s’en suivre.
Après quelques instants de réflexion, Martine me dit qu’elle trouvait l’idée intéressante et accepta donc de jouer la pouliche au service de ses quatre drivers.
Il faut dire que notre première soirée chaude avait laissé des traces dans nos relations conjugales. La fréquence de nos rapports s’était accélérée et nous faisons l’amour pratiquement tous les jours comme au meilleur temps du début de notre vie commune.
Nos pratiques anales sont devenues plus courantes et Martine arrive souvent à l’orgasme dans ce type de relation
Pour autant, Martine me parle souvent de la soirée ou elle s’est offerte à quatre males en rut et du plaisir qu’elle avait ressenti à se faire humilier et même brutaliser. Elle attendait avec impatience de renouveler l’expérience. C’est pour cela qu’elle n’a pas hésité longtemps avant d’accepter le scénario de Jean
Sans attendre, je téléphonais à Jean pour lui faire part de notre accord. Il me dit alors qu’il allait contacter les deux autres complices pour se mettre d’accord sur la date qui pourrait être fixée au 10 juillet au soir, cette date étant celle qui convenait le mieux à Martine, fonction de son cycle menstruel.
Jean me précisa qu’il allait s’occuper de tous les accessoires qui lui sembleraient nécessaires pour équiper l’attelage et qu’il allait murir le scénario pour nous le dévoiler à tous le jour même, y compris à Martine
Le jour venu, nous nous retrouvâmes tous vers 19h30 au garage de Jean. Celui-ci était fermé et toutes les portes et baies vitrées occultées par des rideaux métalliques qui rendaient le hall d’exposition parfaitement discret.
Nous étions tous en tenue décontractée et martine avait revêtu une très légère robe portée sur des sous-vêtements noirs légers et sexys
Jean avait préparé un lunch de très bonne qualité que nous avons arrosé généreusement de champagne. Martine apprécia beaucoup ce champagne, peut-être trop, en vue de se mettre en condition pour ce qui l’attendait.
Vers 21 heures, après avoir discuté de divers sujets comme peuvent en parler un groupe d’amis autour d’un lunch et de nombreuses bouteilles, Martine devint le seul sujet de conversation, comme s’il fallait maintenant passer aux choses sérieuses. Jean amena le sulky, ce qui permit à chacun d’imaginer ce qui allait se passer. Il s’agissait effectivement d’un modèle réduit du sulky utilisé pour les courses de trotteurs, avec de petites roues, de longues branches incurvées et d’un siège posé sur l’axe des roues, à 20 cm du sol.
Martine avala une dernière coupe de champagne et demanda à Jean de lui indiquer le cabinet de toilette. Elle avait compris que l’instant était arrivé de passer aux choses sérieuses et qu’il était temps de pratiquer une toilette intime en profondeur.
Le cabinet de toilette était destiné aux collaborateurs du garage et équipé d’un lavabo, cabine de douche et WC. Martine s’y dirigea avec sa trousse de toilette dans laquelle je savais qu’elle avait glissé une poire à lavements. Jean lui demanda d’attendre quelques instants, il ouvrit un sac et y retira une paire de bottes cuissardes et des gants en cuir, il tendit l’ensemble à Martine et lui demanda de les mettre à l’issue de sa toilette et de revenir vers nous, nue et à quatre pattes.
A compter de cet instant, Martine avait cessé d’être ma femme et était redevenue l’objet sexuel consentant, livré à quatre males bien décidés à profiter à nouveau de ce corps de femelle ainsi mis à leur disposition
Jean profita de l’absence de Martine pour nous présenter tous les accessoires qu’il avait rassemblés dans son sac.
Il commença par sortir un loup noir qui avait la particularité de ne pas être percé des deux trous pour les yeux. Puis il nous sortit une large ceinture de cuir doublée de velours équipée de deux pattes de fixation et de deux boucles. Outre sa largeur, cette ceinture avait la particularité de disposer d’anneaux métalliques. Assorti à la ceinture, jean nous montra alors un collier de cuir lui aussi équipé d’anneaux de plus petit diamètre. Jusque-là chacun avait compris sans difficulté l’usage de ces accessoires, pour les suivants, Jean cru bon d’apporter quelques explications :
Pour driver la pouliche depuis le siège du sulky il fallait des rennes, d’où cette longue sangle de cuir de 1 cm de large pour plus de 2 mètres de long avec à chaque extrémité un petit mousqueton. Jean sortit alors deux pinces crocodiles en métal, nous expliquant qu’il avait réfléchi au meilleur endroit pour fixer les rennes. Il avait d’abord pensé à les fixer, comme pour une jument, à un mors placé en bouche. Mais il y avait renoncé de peur de gêner la respiration. Il avait envisagé ensuite driver la pouliche par les seins et, pour se faire, de fixer les rennes par les mousquetons aux anneaux fixés sur les tétons mais il avait trouvé que cela risquait de déchirer le téton en cas de trop forte traction sur les rennes, compte tenu de la faible section de ces anneaux d’or. Sans renoncer à driver par les seins, ce que je trouvais personnellement très excitant, il avait alors choisi l’option de poser des pinces crocodiles qui, sans entamer la chair pinçaient suffisamment pour assurer une prise solide. Il avait personnellement testé ces pinces et en avait conclus qu’à part une douleur certaine à la pose, ensuite cela devenait très supportable.
Jean sortit ensuite une cravache d’environ 80cm de long, terminée par une bande de cuir d’environ 5 cm de large pour 20 de long mais repliée pour faire en fait une longueur utile de 10 cm. Il nous fit la démonstration que cette bande de cuir ainsi doublée claquait assez fortement lorsqu’on l’appliquait sur la peau sans laisser d’autre trace qu’une légère rougeur (plus de bruit que de douleur)
Nous observions tous trois les accessoires que Jean avait préparés et qui nous promettaient beaucoup de satisfaction pour ce qui allait suivre. Nous pensions alors que l’équipement était complet mais Jean nous en réservait un dernier qu’il sortit comme un trésor de son sac.
A première vue il s’agissait d’un martinet sauf que le manche était assez court et qu’il comportait beaucoup plus de lanières qu’un martinet normal. Jean nous expliqua alors le véritable rôle de cet accessoire ; Bien sûr que l’on peut s’en servir comme martinet nous dit-il mais surtout, il s’agit d’une queue qui si elle est posée apportera un peu plus de réalisme et de peps à la pouliche.
Pour cet accessoire, contrairement aux précédents, il me regarda pour obtenir mon avis.
J’examinai de plus près cet accessoire. Les lanières étaient en cuir, comme un martinet classique, ce qui doit être douloureux en cas d’usage appuyé, mais ce n’était pas l’usage que prévoyait Jean. Le manche d’une bonne douzaine de cm était en matière lisse, genre bakélite, son diamètre variait entre 2 et 3 cm régulièrement cannelé, l’extrémité se terminait en demi-sphère, à l’autre bout, là où étaient fixées les lanières, le diamètre passait à environ 4cm sur une largeur de 5 mm et un petit anneau y était fixé.
Aucun doute sur l’endroit où devait se fixer cette queue
Avant de donner mon avis (que j’avais favorable) je demandais aux deux autres ce qu’ils en pensaient. Ils trouvaient l’idée bonne mais se demandaient si Martine accepterait cet accessoire très humiliant. Nous nous mîmes d’accord pour ne pas prévenir Martine, mais nous lui demanderions de nous signaler son désaccord, dès que l’on dépassait ses limites, dans tout le déroulement de la soirée en criant STOP trois fois.
Il fallut plus de 20 mn pour voir réapparaitre Martine, comme Jean le lui avait ordonné, prouvant ainsi sa totale soumission. A quatre pattes, les mains protégées par les gants et surtout les jambes, des pieds à mi-cuisses, recouvertes des cuissardes noires isolant les genoux du sol carrelé. A part ces accessoires, complètement nue, les seins pendant sous le torse, Martine se déplaçait lentement en ondulant de la croupe, suffisamment cambrée pour ne rien cacher de la chatte encadrée de ses poils noirs qui remontaient jusque l’anus et qui surprirent Pierre et Marc (qui n’étaient pas au courant de la demande de Jean), se souvenant, eux, d’une vulve rasée de près, hormis le triangle pubien, découverte lors de notre précédente soirée.
Je trouvais cet accoutrement ultra excitant, et je ne devais pas être le seul, alors qu’aucun accessoire n’était encore posé. Jean demanda à Martine de s’arrêter, ce qu’elle fit immédiatement en rapprochant les genoux. Il lui posa immédiatement le loup sur le visage et le collier autour du cou.
Je pris alors la parole pour demander à Martine si elle acceptait de continuer le jeu puis en cours du jeu si elle décidait d’abandonner il lui suffisait de répéter trois fois STOP. Elle me répondit d’accord
D’autre part je lui annonçais, et cela devait lui plaire, que les trois compères m’avaient apporté un certificat de test négatif au virus HIV ce qui permettait toute liberté.
A partir de ce moment je considérais que Martine cessait d’être ma femme pour devenir temporairement un objet de plaisir à se partager. Elle était seule à juger jusque ou elle pouvait aller
Jean reprit la main en accrochant une extrémité des rennes à un anneau du collier, comme une longue laisse puis tira légèrement vers l’avant. Devant le manque de réactivité de celle que nous appellerions dorénavant entre nous « la pouliche », il frappa légèrement l’autre extrémité de la laisse sur la croupe. Le message passa et elle se mit en marche sans un cri.
Jean se mis alors au centre d’un cercle d’environ 5 m de diamètre qu’il fit parcourir plusieurs fois à la pouliche l’encourageant régulièrement d’un coup de laisse sur les fesses. Il me semblait que Martine ralentissait de temps en temps, en espérant un petit coup d’encouragement. J’étais convaincu qu’elle en prenait un réel plaisir
Cela m’interpellait quand même d’assister ainsi, en y prenant moi-même un plaisir certain, à ce spectacle d’un homme tirant au bout d’une laisse ma femme réduite à l’état d’une chienne plus que d’une pouliche d’ailleurs, compte tenu de la taille, comme exposée à un concours de beauté devant un jury de connaisseurs qui ne perdaient pas une miette du spectacle offert. Moi-même j’avais l’impression de découvrir ce corps dans tous ses détails, alors que quand même….
Jean tira alors légèrement la laisse vers l’arrière et Martine comprit qu’il fallait s’arrêter.
Il était temps de poser les autres accessoires. Jean posa d’abord la ceinture. Elle s’inséra parfaitement entre le bas des côtes et le haut des hanches, les deux boucles bien serrées au niveau de la colonne vertébrale ne laissant aucun jeu
Vint ensuite la pose des pinces et là j’étais très curieux de voir la réaction de Martine. Accroupi près de la pouliche, il tira sur le téton du sein gauche en passant un doigt dans l’anneau, étirant l’aréole sur laquelle il accrocha la pince. Seul un aÏe discret accompagna la fermeture de la pince qui aplatit l’aréole entre ses dents laissant en-dessous le téton, ressemblant maintenant à une framboise, orné de son anneau. Jean refit la même action sur l’autre sein, avec le même résultat.
Il passa ensuite chaque extrémité des rennes, de l’arrière vers l’avant dans un anneau de la ceinture, de chaque coté, sous les flancs de la pouliche puis accrocha chaque mousqueton à la pince de chaque sein. Il passa ensuite à l’arrière de la croupe et saisissant les rennes de chaque main testa le montage en tirant successivement de la main gauche, puis de la main droite puis des deux à la fois. Les rennes coulissaient parfaitement dans les anneaux, ressortant à l’arrière de la croupe en caressant, de chaque côté, le haut de la cuisse. Elles avaient l’effet escompté, à savoir tirer alternativement chaque sein vers l’arrière puis les deux à la fois. Il nous expliqua en même temps la manière de driver la pouliche :Tirer sur le renne gauche pour tourner à gauche, à droite pour tourner à droite, tirer longuement sur les deux pour stopper et tirer simultanément par coups brefs pour ralentir et reculer après l’arrêt quant à l’accélérateur : la cravache. Ces instructions étaient également destinées à Martine qui avait tout accepté et savait maintenant comment se diriger avec la seule action des rennes sur ses seins
Vint ensuite le dernier accessoire : Jean annonça « maintenant la pose de la queue » suffisamment haut pour que Martine l’entende mais sans que cela n’entraine aucune réaction de sa part ayant parfaitement compris pourtant, à quel endroit il allait la fixer .
Nous primes tous ce manque de réaction pour une acceptation et Jean demanda alors quelqu'un pour l’aider. Le plus rapide fut, à mon grand étonnement Marc. Décidément il avait pris beaucoup d’assurance depuis la fois précédente et comprit que ce corps féminin était entièrement à sa disposition le temps de la soirée. Je pense que Marc devait être en admiration pour Martine et que là c’était l’occasion rêvée de l’avilir et d’accéder sans retenue à son corps sous toutes les coutures, ayant un peu raté cette occasion la fois précédente par excès de timidité.
Jean sortit la queue et en enduit l’extrémité du manche d’une bonne couche de lubrifiant. Il demanda à Marc d’appuyer sur les omoplates de Martine qui comprit le message et écrasa les seins sur le carrelage pour présenter une croupe complètement épanouie dans cette position totalement indécente mais ma femme avait décidément perdu toute notion de pudeur. L’anus se présentait entouré de sa couronne de poils noirs et soyeux qui descendaient ensuite sur et autour des grandes lèvres. Afin de faciliter la pénétration du manche, Jean demanda à Marc d’écarter le plus possible les fesses ce que Marc, à califourchon sur le dos de Martine, se fit un plaisir de réaliser laissant cette fois l’anus légèrement ouvert allant jusqu’à écarter également largement les lèvres luisantes du sexe montrant en pleine lumière le détail anatomique de la vulve, à 20cm de son visage.
Ce spectacle surréaliste n’entrainant aucune protestation de la propriétaire des lieux, Jean présenta alors le manche de la queue à l’entrée de l’anus qui eut d’abord le réflexe de se resserrer mais une bonne claque sur une fesse le rendit à la raison et le bout arrondi du manche s’introduisit dans difficulté. Puis, tout doucement, Jean accentua la pression et le manche avança, cannelure après cannelure avec accompagnant chacune d’elle, un léger soupir de la part de l’intéressée. Ceci prouvait que depuis la soirée précédente, beaucoup de progrès avait été accompli en matière de pénétration anale.
Le manche finit en butée contre l’anus, avalé complètement par le rectum. Pour éviter qu’il ne ressorte accidentellement, Jean attacha une cordelette dans l’anneau de la collerette qui seule ressortait de l’anus et attacha l’autre extrémité à un anneau de la ceinture, situé au niveau de la colonne vertébrale. Cette cordelette bien tendue empêcherait assurément au manche de s’échapper.
Jean nous offrit alors une présentation de la pouliche ainsi harnachée. Il reprit les rennes, passa à l’arrière de la croupe ainsi garnie de sa queue et refit faire un tour du même cercle que tout à l’heure mais cette fois en drivant la pouliche comme il se devait, en fonction des consignes qu’il nous avait données. Encouragée à démarrer par un coup de cravache claquant bien que peu appuyé, puis conduite à tourner régulièrement par de petites tractions sur le sein gauche et enfin commandée à s’arrêter par une traction continue des rennes sur les deux seins à la fois.
Durant cette démonstration nous voyions l’effet du manche dans le rectum par le balancement régulier de gauche à droite des lanières constituant la queue. Vous pouvez imaginer ce spectacle inouï que je n’avais encore jamais vu dans aucun film porno. Un seul inconvénient signalé par tous, les lanières descendaient trop vite après le manche ce qui nous cachait pratiquement complètement la foufoune ce qui était frustrant surtout que jean l’avait voulue poilue. C’était dommage de la cacher. Je proposais d’enrouler la base des lanières, en les resserrant, avec une bande de scotch large et de tirer par une autre cordelette jusque la ceinture pour remonter l’ensemble des lanières et ainsi libérer la vue sur la chatte, ce qui fut fait.
La pouliche ne manifestait toujours aucune réticence, elle supportait tout sans broncher.
Je suggérais alors que notre petite pouliche nous aide à nous détendre (détendre en fait ce que nous avions dans le slip car je pense que l’on devait être tous les quatre dans la même situation, compte tenu du spectacle) avant de passer au sulky
Condition préalable : je demandais à tous de passer à leur tour au cabinet de toilette afin de respecter l’hygiène. Cela fut fait et chacun revint, moi compris en caleçon ou boxer, tenue plus adéquate pour ce qui allait suivre.
Nous primes chacun une chaise dans l’ordre Pierre, Moi, Marc et enfin Jean qui vint s’asseoir après avoir amené la pouliche devant les genoux de Pierre. Celui-ci écarta les genoux et sortit son braquemart dont la taille nous surprit moins que la fois passée. Il attira la pouliche par le collier, le nez devant son gland. Elle ouvrit la bouche et immédiatement reconnut la bite de Pierre mais, sans rechigner avala le gland puis une bonne partie de la hampe, à s’en décrocher la mâchoire. Après à peine une dizaine d’aller-retour, pierre explosa sans même chercher à se retirer, tant la tension était forte, Martine recula la tête mais elle prit quelques giclées dans la bouche, le reste sur le visage. Elle ne recracha rien et c’est Pierre qui lui essuya le visage avec les mains, puis, toujours par le collier la poussa vers moi.
Je la positionnais à mon tour entre mes genoux et lui présentai mon gland devant ses lèvres.
Après l’expérience précédente, elle n’eut aucune difficulté à buter ses lèvres sur mes poils pubiens bien qu’ayant un léger haut-le-cœur quand mon gland eut atteint le fond de sa gorge. Elle se mit à pomper avec beaucoup d’ardeur, au point qu’il ne fallut pas longtemps avant que je sente monter la sève. Je la saisis alors par la nuque, la retenant pour l’obliger à tout avaler.
Ce fut ensuite le tour de Marc. Lui si pudique la précédente soirée, il sortit son pénis sans hésitation, entoura le visage de ses deux mains et colla son sexe sur les lèvres qui s’ouvrirent immédiatement pour le faire disparaître complètement dans la bouche. Marc avait remarqué avec quelle rapidité nous avions éjaculé Pierre et moi. Il voulu savourer l’instant en gardant la maitrise de l’action. Tenant toujours la tête de Martine entre ses mains, c’est lui qui pilotait le rythme qu’il voulu plus lent. C’est donc à l’issue d’une fellation digne de ce nom qu’il finit par éjaculer dans la bouche de Martine qui ne se recula même pas.
Jean fut le dernier à profiter de la détente procurée par notre pouliche qui le pompa consciencieusement jusqu’à obtenir, la aussi assez rapidement une éjaculation qu’elle ne chercha même pas à recracher
Décidément les rapports de Martine avec la fellation avaient beaucoup évolué depuis la dernière soirée.
Tout le monde étant détendu, Il était maintenant temps d’atteler la pouliche au sulky.
La suite bientôt : martine épisode 4
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe histoire. Vite la suite.
Très cool
Rudy
Rudy