masturbation au soleil
Récit érotique écrit par Sidonie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2007 dans la catégorie Dans la zone rouge
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masturbation au soleil
<font color="#FF0000">ATTENTION, âmes sensibles s'abstenir. Ce texte à caractère scatologique peut s'avérer choquant pour certaines personnes</font>
Le souvenir qui me fait jouir à tous les coups c'est quand j'étais en vacances avec mes parents en corse,
J'avais 19 ans et deja ca m'ennuyait ferme de passer mes vacances avec eux, mais on allait tous les jours au meme
endroit sur un torrent. J'ai pris l'habitude de remonter la rivière après manger et d'aller me carresser au soleil dans le
maquis, j'ai finallement bien aimé d'aller là tous les jours,
Une fois je me donnais du plaisir nue tranquillou, je me touchais depuis au moins une heure quand j'ai entendu des bruits de
pas, j'étais morte de trouille, c'était une femme en tong elle ne m'a pas vu, elle a relevé sa jupe elle s'est agenouillée a
ecarté ses cuisses, un jet dru d'urine et un étron énorme.
Je le voyais en gros plan de l'autre coté du buisson, ca sentait fort, elle s'est relevée a hesité en cherchant de quoi
s'essuyer, il n'y avait rien qui ne piquait pas elle a alors léché ses doigts, s'est frottée entre les fesses avec puis a ramené
sa main dans sa bouche pour nettoyer, elle a recommencé plusieurs fois puis elle reparti.
J'avais le coeur a cent a l'heure, je serrai fort mes cuisses sur mes mains, je me rendais compte que je m'étais masturbée
tout le temps, inconsciement, j'avais jamais été aussi excitée, l'odeur, l'envie de faire des bétises des trucs interdits, à
quatre pattes mécaniquement, j'ai contourné le buisson, je me suis approchée à quelques centimetres de cet enorme tabou, l'odeur
m'affolait, je me touchais comme une folle, ce moment au milieu du maquis, sous ce soleil de plomb, j'ai adoré ce moment
où ma langue c'est tendu pour efleurer, puis le lecher comme le long d'un sexe, puis croquer dedans en gémissant, avaler
le premier morceau, m'ecraser le visage dedans, recommencer à macher, me dire que c'etait beaucoup moins pire que ce
que j'avais imaginé, et tellement jouissif, j'ai feulée debout le visage maculé, j'avais dépassé le tabou bourgeois, je me
sentait libre comme jamais, j'ai dansé jusqu'a la riviere et sur le chemin j'ai fait pipi sans m'arreter de marcher, je me suis
debarbouillée de mes pechés, et je suis retournée vierge à mes parents
Le souvenir qui me fait jouir à tous les coups c'est quand j'étais en vacances avec mes parents en corse,
J'avais 19 ans et deja ca m'ennuyait ferme de passer mes vacances avec eux, mais on allait tous les jours au meme
endroit sur un torrent. J'ai pris l'habitude de remonter la rivière après manger et d'aller me carresser au soleil dans le
maquis, j'ai finallement bien aimé d'aller là tous les jours,
Une fois je me donnais du plaisir nue tranquillou, je me touchais depuis au moins une heure quand j'ai entendu des bruits de
pas, j'étais morte de trouille, c'était une femme en tong elle ne m'a pas vu, elle a relevé sa jupe elle s'est agenouillée a
ecarté ses cuisses, un jet dru d'urine et un étron énorme.
Je le voyais en gros plan de l'autre coté du buisson, ca sentait fort, elle s'est relevée a hesité en cherchant de quoi
s'essuyer, il n'y avait rien qui ne piquait pas elle a alors léché ses doigts, s'est frottée entre les fesses avec puis a ramené
sa main dans sa bouche pour nettoyer, elle a recommencé plusieurs fois puis elle reparti.
J'avais le coeur a cent a l'heure, je serrai fort mes cuisses sur mes mains, je me rendais compte que je m'étais masturbée
tout le temps, inconsciement, j'avais jamais été aussi excitée, l'odeur, l'envie de faire des bétises des trucs interdits, à
quatre pattes mécaniquement, j'ai contourné le buisson, je me suis approchée à quelques centimetres de cet enorme tabou, l'odeur
m'affolait, je me touchais comme une folle, ce moment au milieu du maquis, sous ce soleil de plomb, j'ai adoré ce moment
où ma langue c'est tendu pour efleurer, puis le lecher comme le long d'un sexe, puis croquer dedans en gémissant, avaler
le premier morceau, m'ecraser le visage dedans, recommencer à macher, me dire que c'etait beaucoup moins pire que ce
que j'avais imaginé, et tellement jouissif, j'ai feulée debout le visage maculé, j'avais dépassé le tabou bourgeois, je me
sentait libre comme jamais, j'ai dansé jusqu'a la riviere et sur le chemin j'ai fait pipi sans m'arreter de marcher, je me suis
debarbouillée de mes pechés, et je suis retournée vierge à mes parents
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