masturbation passion de femmes
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2024 dans la catégorie En solitaire
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masturbation passion de femmes
MASTURBATION , PASSION DE FEMMES
Témoignages intimes
Sonia 19 ans
J'avoue que votre question sur ma pratique de la masturbation m'a d'abord surprise. Mais j’y réponds bien volontiers. J’avais 17 ans .J'étais en train de me sécher les cheveux et la douce chaleur de l'appareil que j’avais approché sur mon bas-ventre a commencé à créer une tendre sensation d'engorgement, d'attente et d'humidité sur mon sexe. J'ai d'abord commencé à serrer les jambes très fortement et j'ai senti quelque chose de terriblement agréable. Ensuite, j'ai eu un violent besoin de porter un doigt à mon sexe. J'ai rapidement trouvé mon clitoris et c'est là que le plaisir a commencé à se déchaîner. Si fort, si intense, que je devais mordre un doigt de mon autre main pour le supporter. J'ai atteint l'extase et cela m'a tellement plu que je continue encore souvent aujourd’hui.
Edith 27 ans
La première fois je devais avoir 14 ans. Des copines en ont parlé entre elles avec une certaine fierté, celle de connaître des orgasmes. Je me suis trouvée un peu « attardée » et j’ai décidé d’essayer vraiment. Du coup le soir chez moi j'ai commencé dans mon lit à me toucher et à me caresser longtemps. Je savais déjà que me toucher à cet endroit du corps était agréable mais je n’avais jamais osé insister. Ce soir là j'ai été beaucoup plus franche dans mes caresses et j’ai constaté que m’attarder sur mon clitoris me faisant un superbe effet. Depuis je joue énormément sur mon clito avec mes doigts et en même temps avec un petit vibro à l’intérieur de moi . C’est vraiment « top ».
Virginie 31 ans
Mon premier souvenir précis remonte lorsque j'avais 13 ans. J'étais dans mon lit, un matin et j'ai eu spontanément le désir de glisser ma main entre mes jambes. Je me rappelle avoir trouvé que cela était très doux et que c'était une agréable sensation au réveil pour commencer la journée. Je n'ai pas éprouvé l'envie d'en parler, pas même à mes deux sœurs plus âgées que j’avais déjà vues furtivement se caresser.. J'ai intégré cette pratique nouvelle comme une partie de mon jardin personnel, jardin intime que je conserve toujours précieusement pour mon plaisir secret.
Eléna, 23 ans
La première fois que je me suis vraiment caressée, j’étais toute adolescente, 13 ou 14 ans peut-être. J'e me trouvais dans mon lit et j’avais un peu de mal à m’endormir. Par réflexe j’ai porté mes mains sur mon sexe. Ce n'était pas vraiment une poussée d'excitation sexuelle mais plutôt la curiosité de mieux explorer cet endroit particulier de mon corps. J’ai trouvé cela très agréable ce qui m'a amenée à poursuivre cette expérience. Et c'est progressivement que j'ai commencé à éprouver un réel plaisir tout en restant parfois un peu perplexe. Que faire cette merveilleuse découverte ? Et un jour une très forte explosion a éclaté au fond de mon ventre. Un enchantement ! Je ne savais pas que c'était un orgasme et d‘ailleurs j'en ignorais le mot. Depuis, je n'ai jamais cessé de me caresser le plus souvent le matin mais aussi de plus en plus dans la journée, également en soirée avant de m'endormir. Le mot masturbation m'était alors inconnu.
Marjana 33 ans
Heu... Il doit y avoir 3 ans ,j’ai un peu de mal avec les dates.. Et oui, je fais parti des "retardataires de la masturbation", non pas que ça ne m'intéressais pas, mais je ne ressentais rien ! En même temps, j'ai découvert l'orgasme véritable il y a environ 2 ans. C’est grâce à un copain qui m'a offert mon premier petit joujou spécial clito, que j'ai découvert que je pouvais y arriver seule. Et depuis je ne peux pas me passer de ce jouet magique, mais
j'espère bientôt y parvenir sans accessoire. Je pense que je suis sur la bonne voie, je maitrise de mieux en mieux ma façon de me donner du plaisir en solitaire.
Linda, 35 ans
J’ai commencé à15 ans, j'en ai 33 . Je crois que c’est venu naturellement. Comment je fais aujourd’hui? Je me touche généralement assisse sur ma chaise de bureau, les jambes écartées appuyées sur les accoudoirs. J'utilise ma main gauche pour me toucher, l'autre pour faire défiler ce que je lis a l'écran. Soit je me déshabille complètement, soit je garde une culotte ,si j'en porte une. Comme je mouille beaucoup et très vite, je commence par lire des choses qui m'excitent jusqu'à ce que je sente à travers ma culotte que je suis trempée, Ensuite de ma main gauche, je soulève le tissus et je glisse ma main en dessous. J'écarte mes lèvres avec deux doigts et avec mon majeur je me caresse doucement le clito, en arrêtant souvent pour faire durer les plaisir. Il m'arrive même d'arrêter complètement jusqu'à ce que je craque et que je recommence. Je fantasme souvent qu’un homme ou une femme que je connais m’observe en train de me caresser ou encore me donne des ordres que je dois exécuter. Je suis principalement clitoridienne, donc je ne me pénètre que pour lubrifier mes doigts Je me caresse lentement jusqu'à ne plus pouvoir me retenir et ensuite je me caresse rapidement et fortement avec plusieurs doigt jusqu'à exploser. Je le fais plusieurs fois de suite jusqu'à n'en plus pouvoir. J’espère cher Monsieur que ça vous aidera à comprendre le plaisir féminin.
Chloé et Farida 22 et 23 ans
Depuis toutes jeunes, nous découvrons ensemble et faisons toutes deux l’expérience de tout ce qui peut nous apporter la plus grande des jouissances sexuelles. C’est ainsi que notre premier orgasme, nous l’avons connu dès l’âge de 13 ans en nous caressant et en nous léchant mutuellement. C’était une découverte superbe que de sentir notre bas-ventre exploser. Depuis nous n’avons eu de cesse que de rechercher de nouvelles jouissances. Nous nous entraînions à nous masturber l’une devant l’autre, l’une l’autre, à introduire nos doigts dans nos chattes toujours plus profondément, à inviter d’autres copines pour varier nos plaisirs et aussi pour les initier. Ainsi nous avons pris goût à accueillir la langue des filles sur notre sexe depuis que nous avons 15 ans. A les lécher aussi, à malaxer leurs seins naissant, pincer leurs petits tétons, à utiliser des godes, des vibromasseurs de différentes variétés, de grosseur et de puissance, à introduire nos mains dans leurs vagins étroits autant que l’on pouvait. Elles criaient, pleuraient, riaient, aimaient beaucoup et nous aussi. On y passait des journées et des nuits et nos orgasmes s’enchaînaient, on ne pouvait plus s’en passer. Je me souviens que lorsque je n’étais pas chez moi, je m’arrangeais toujours pour me masturber dans la rue, au collège, à la cantine, dans les bus, au cinéma. Pour cela, je mettais une culotte très fine pour faciliter mes propres caresses et une jupe ou bien une robe assez large pour accéder à ma chatte le plus souvent possible. Ou alors je mettais un jean dont j’avais renforcé la couture de l’entrejambe et ainsi toute la journée le tissu frottait contre mon clitoris. C’était délicieux. Croyez-moi je ne me prive jamais de ce plaisir même plusieurs fois pas jour.
Sylvie 33 ans
A 11/12 ans. C’'est venu naturellement, je m'endormais la main entre les cuises comme souvent. J'ai dû appuyer et contracter plus fort que d’habitude et pour la première fois j'ai joui ! puis me suis endormie. Par la suite j'ai continué tous les soirs ! Je ne peux plus m’en passer même si par ailleurs j’ai des rapports qui me conviennent avec des hommes (surtout mon chéri) et aussi avec des femmes parfois.
Aurélie 33 ans
Je crois que je ne me suis jamais masturbée. Comme toutes les fillettes, je me touchais mais rien de plus. Vers 16 ans je me croyais anormale de ne pas jouir sous mes mains et mes copines se moquaient de moi. Je me suis confiée à une amie de ma mère de qui je me sentais très proche. C’est elle qui m’a initiée. J’avais 18 ans. Elle m’a tout appris en me montrant concrètement comment il fallait s’y prendre. Je lui en suis très reconnaissante. J’ai continué seule et peu à peu le plaisir est devenu très fort jusqu’à ne plus m’en passer, même plusieurs fois par jour. Aujourd’hui je me suis bien calmée. Mon mari fait l’affaire, mais quand il est absent je recommence de plus belle.
Fabienne, 41 ans
Je ne me souviens plus quand j’ai commencé à me masturber. J’ai l’impression que c’est depuis toujours. Mais puisque vous me le demandez je peu vous dire comment je fais aujourd’hui. Je vais d'abord chercher ma mouille à l'entrée de mon vagin. J'écarte bien mes cuisses et je caresse mes grandes lèvres. Je passe ensuite, selon mes réactions, mon doigt entre les nymphes, chacune des petites lèvres, je les déplie avec douceur pour bien les écarter. Je reprends un peu de ma mouille et je décalotte mon clito. Je le tapote avec mon index. Enfin c'est deux doigts sur le capuchon de mon clitoris que j'utiliser pour le faire bien rouler et m'exciter un maximum. J'alterne avec deux doigts dans mon vagin jusqu'à que vienne mon orgasme. Je crois que ma technique est vraiment au point et il m’arrive même de l’expliquer à des jeunes filles qui me le demandent. J’ai lu le témoignage d’Aurélie, avec son autorisation, et je la comprends donc très bien. Mais excusez-moi, ce n’est peut-être pas la technique de la masturbation qui vous intéresse dans votre enquête.
Mylène, 23 ans
J'ai 23 ans j'ai commencé à 14 ans . Je me masturbe tous les jours.
Bien que je vis en couple, je trouve que cette pratique alimente ma libido pour bien faire l’amour avec mon copain. Ma position préférée pour le faire est assise ou allongée sur le dos . Je commence d’abord à fantasmer devant un bon film érotique ou alors en m'imaginant qu'on me prend brusquement alors que je ne m’y attends pas.. Je me souviens que la première fois j’étais en train de faire mes devoirs assise à mon petit bureau de jeune fille et je me suis alors surprise avec la main dans mon string. C’était une sensation toute nouvelle et vraiment délicieuse. Aujourd’hui , j’aime me mettre un gode en même temps que je me caresse ou aussi me voir nue. Mes séances solitaires peuvent durer de quelques minutes à une bonne demi-heure. Le dimanche, par exemple je peux y consacrer la journée sans me lasser. .Ah oui tout le monde le sait que je me branle, ce n’est pas quelque chose que je cache si on me pose la question . J’en parle très facilement mais là encore je fais le tri parmi mes interlocuteurs, tout le monde n'a pas a connaitre les détails de ma façon de me faire jouir seule. Je ne me fais jamais surprendre en train de me branler mais j’aimerais que cela m’arrive un jour. J’aimerais aussi me masturber avec une copine. Je précise que je me suis presque complètement rasée. Je trouve que ça augmente énormément la sensibilité du toucher.
Sophie, 20 ans
Je ne peux pas répondre à votre question. Je crois qu’en réalité je ne me suis jamais masturbée. Très tôt je me suis intéressée aux hommes, à leur corps. J’étais fascinée par leur sexe. A 15 ans j’ai vraiment voulu y goûter .La première fois c’était avec mon professeur de musique. Il était venu chez moi pour me donner des cours de piano. Je le trouvais très attirant et en plus on s’aimait bien. On était tous les deux, assis côte à côte et j’ai mis ma main sur son sexe. Je sentais qu’il bandait. C’était la première fois que je touchais le sexe d’un homme et que je découvrais ce qu’était une érection. Cela m’a beaucoup troublée. Toute rouge, je lui ai demandé qu’il me fasse l’amour. Il a refusé avec douceur en me promettant de me dépuceler dès mes 18 ans. Et il a tenu parole. Mais ce soir là j’ai beaucoup pleuré. Après cet événement je ne me suis jamais touchée, je voulais attendre l’année promise. Aujourd’hui je suis très reconnaissante à mon professeur de m’avoir initiée aux joies de l’amour physique. Depuis, j’ai diversifié mes pratiques et mes partenaires hommes et aussi femmes. Je me sens bien dans mon corps et dans ma tête.
Doriana, 39 ans
Vous voulez vraiment savoir comment je me branle ? ce n’est pas compliqué. J' écarte mes lèvres et je caresse doucement mon clitoris qui peu à peu émerge, puis au fil de mes caresses je le sens gonfler ... j'adore ! mais le sommet de mon plaisir c’est quand je le maltraite un peu, je le pince entre mes doigts, je le fais rouler ... et là je vous jure, je me tortille comme un ver, je serre les cuisses, je me force à les écarter. Parfois je gicle et jouis ...alors là c'est vraiment du bonheur, et d'autres fois je jouis seulement, c'est également très bon ... mais j'adore vraiment quand j'arrive à me faire gicler. Finalement je ne vous ai pas dis à quel âge j’ai commencé. Je ne sais plus.
Marina, 44 ans,
Je m’en souviens très bien. Je devais avoir une douzaine d’années. Cette année là, je suis devenue femme avec mes premières règles et j’en étais très fière. J’étais en vacances avec mes parents au bord de la mer et, je ne sais ce qui m’a pris, mais je me suis caressée lors de ma fameuse nuit C’était en plein mois d’août, il faisait très chaud, je portais seulement une petite culotte très fine et j’avais ma poitrine dénudée.. J’ai eu une soudaine envie de me masser le ventre, ce que je continue à faire maintenant avant de m’endormir, mais cette nuit là j’ai commencé à le malaxer doucement avec mes deux mains, puis ma main gauche est descendue le long intérieur de ma cuisse droite pendant que mon autre main câlinait toujours le ventre … je commençais à vraiment avoir chaud.. Mes seins étaient remplis de désirs même si à douze ans, ceux ci n’étaient pas encore pleinement développés … Je repris mon jeu, cette fois, la main gauche caressant mes seins et la main droite caressant mon ventre … je faisais attention à ne pas trop faire de bruit ce qui m’excitait énormément. J’eu une très envie de découvrir ce monde jusqu’alors inconnu et j’ai descendu ma main droite doucement en direction de ma culotte, en caressant le tissu tout en faisant des vas et viens avec la paume sur mon petit bouton que je sentais durcir.… Ma main gauche avait abandonné mes seins pour s’occuper de mon ventre … mes doigts titillaient l’entrée de mon sexe à travers le tissu… je devinais que ma culotte devenait humide. Cette sensation de plaisir était pour moi toute nouvelle … je portais la main jusqu'à mon nez pour y sentir l’odeur . J’eu un temps d’hésitation avant de replonger de nouveau la main dans l’univers de mon désir . Je me suis installée sur le ventre mis un gros coussin entre mes jambes. Le tissu très doux qui frottait contre mon sexe m’excitait terriblement. Je me mis à faire des contorsions avec le tissu … c’était délicieux … je m’empalais de plus belle sur le tissu tellement j’aimais ça … soudain, je sentis un spasme monter en moi, quelque chose n’inexplicable était en train de se produire dans mon bouton totalement érigé. Je positionnais rapidement la paume de ma main droite, tout en pressant bien l’entrée de mon bouton ce fut tellement bon … C’était mon premier orgasme…Par la suite j'ai continué tous les soirs et bien sûr, je continue encore aujourd’hui.
Jessy, 29 ans
Je crois que je me suis depuis toujours caressé le sexe et un jour, j’avais peut-être 13 ans, une très forte explosion a éclaté au fond de mon ventre. Un enchantement ! Je ne savais pas que c'était un orgasme . Depuis, je n'ai jamais cessé de me caresser le plus souvent le matin mais aussi, de plus en plus, en soirée avant de m'endormir. Le mot masturbation m'était alors inconnu. C'est à 14 ans avec des copines que j'ai commencé à comprendre. Nous étions un groupe de sept filles qui avions grandi ensemble. Très proches nous découvrions beaucoup de choses de la vie ensemble. On avait l'habitude d'organiser des soirées entre copines où nous imaginions divers jeux souvent à connotation quelque peu coquine parmi lesquelles les caresses collectives et les concours de masturbation tenaient une grande place.
Myriam, 45 ans
J'ai commencé très jeune . J’ai découvert la masturbation seule . En touchant cet endroit précis du corps, je me suis rendue compte que cela me procurait une sensation agréable tout à fait nouvelle. J’ai donc continué. Aujourd’hui j'ai 45 ans. Et je me fais du bien à haute dose peut-être deux à trois fois par jour. Bien que je sois en couple ma fréquence reste tr§s élevée. Je considère même que pour moi la masturbation est un complément du plaisir à deux , pas un substitut. Je pratique au lit, allongée sur le ventre ou sous la douche, dans ma baignoire aussi et même discrètement pendant mes heures de travail. Finalement je trouve cette pratique totalement naturelle, très épanouissante, au moins pour une femme.
Cécile, 31 ans
Je vis en couple depuis près de 2 ans. La tendance à me caresser est en baisse puisque j'ai mon chéri à ma disposition. En général je reste habillée . Le plus souvent, assise, inclinée en arrière, en stimulation clitoridienne uniquement. Seule ou accompagnée? Toujours seule Je n’ai pas de technique particulière. La connaissance de mon corps c’est mon secret Dans l'ordre: au lit, devant mon ordinateur, sur le canapé... tout dépend de l’endroit où je me trouve quand l'envie me prend. En général, c'est très rapide! Moins de 5 minutes.
Je ne sais pas trop combien de fois, peut-être 6 ou 7 fois de suite dans les cas de surexcitation sexuelle. Sans être un sujet tabou, ce n'est pas un thème que j'aborde avec ma famille ou mes amis. Maintenant, s'ils me posaient la question, je pense que je répondrais sans gêne un peu comme avec vous. Je me concentre simplement sur mon plaisir. Depuis un mois et parce que je suis un peu paresseuse , je ne m'épile qu'un peu mais, en général, je prends un grand soin de mon pubis le plus lisse possible. Je comprends tout à fait qu’une bonne l'épilation favorise la masturbation. C’est plus excitant. Le simple toucher est tellement plus agréable et puis, je me sens bien plus réactive.
Marlène, 39 ans
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Ce qui contribue également à me conserver dans ce doux état de sensualité physique, c’est la façon dont j’enserre mes seins avec mes avant-bras alors que je continue de jouer avec le clavier de mon ordinateur ou d’utiliser mon téléphone potable. Je peux ainsi plus aisément laisser discrètement l’ongle bien long d’un doigt effleurer un téton qui réagit aussitôt et se dresse, comme s’il voulait percer le tissu déjà tendu de mon chemisier. J’adore sentir ma poitrine se gonfler, s’épanouir par une demande non assouvie de caresses. Parfois je parviens à enfoncer mon pouce dans l’auréole de mon bout qui frémit sous la tendre pression, et je fais manoeuvrer le doigt coquin pour un furtif massage. Je me cambre légèrement afin que mon sein s’offre aisément au doigt provocateur. La sensation se fait plus forte, plus aiguë. Un léger courant se met alors à envahir ma poitrine qui envoie ses messages affolés vers mon ventre qui les reçoit et s’en nourrit pour accroître encore mon désir latent. Lorsque je mets une fine culotte fendue devant, je peux même de temps en temps accéder à mon vagin et y faire pénétrer furtivement un ou deux doigts pour peu que ma robe ou ma jupe se boutonne par devant. Un délice. Bien sûr, il peut m’arriver aussi de ne pas mettre de culotte du tout. C’est tout de même rare. Je suis audacieuse mais prudente. Parfois, me laissant ainsi aller à mes délicieuses caresses, s’échappe un petit cri, vite étouffé.
Et au téléphone, je me pose d’une fesse à l’autre, en écrasant dans ce subtil va-et-vient mon clitoris érigé au rythme des paroles échangées. Je suis claire dans ma tête, à l’aise dans ma peau, bien dans mon sexe. Mon corps ondule avec lenteur, je flotte dans une plaisante euphorie. Je me sens alors pleinement femme.
Fabiola 18 ans
C’est vraiment très simple : J'aime le massage sur le clitoris et je le pratique avec un tissu très doux , ma culotte fine ou bien un foulard de préférence en soie. C’'est un plaisir très intense et je mouille beaucoup.. J'ai découvert la caresse clitoridienne jeune ado avec une peluche Je n'est jamais eu besoin d'objet en plastique , god ou vibro. Au naturel j’y arrive très bien. Je préfère être seule pour me masturber. Je n’ai jamais eu l’occasion d’en parler sauf un fois avec mon père il y a quelques années qui s’est montré très compréhensif , ce qui m’a énormément aidé à m’assumer sexuellement jusqu’à aujourd’hui et je lui en suis très reconnaissante. Et maintenant je suis à l’aise pour en parler avec vous, donc avec un autre homme que je ne connais pas de surcroît.
Houria, 33 ans
Votre question a un sens pour moi car très tôt j’ai connu une très forte poussée de libido . Mails il se trouve que je suis bi, sociable et libre. J’ai beaucoup d’amis et d’amies de cœur et de corps. Je peux dire sans prétention que je fais l’amour tous les soirs et parfois si l’occasion m’en est donnée dans la journée. Ma libido est toujours aussi active mais je n’éprouve pas le besoin de me masturber. Donc vraiment ce n’est plus une question pour moi et je m’en excuse.
Jennifer, 27 ans
Je vais finir par croire que je suis "anormale" ou que je m’y prends particulièrement mal, car je n’arrive vraiment pas à éprouver une jouissance me permettant d’atteindre un semblant d’orgasme avec cette pratique pourtant généralisée chez les femmes.
Quant à en parler, c’est vrai qu’il y a un sacré tabou sur le sujet. Pour ma part, il n’y a qu’une amie avec laquelle j’aborde les sujets intimes, c’est d’ailleurs pour cela que je peux la considérée comme telle. Pouvoir parler non seulement de nos expériences mais aussi de nos déboires avec un/une proche qui saura écouter, aider sans juger, c’est précieux.
Hélène 37 ans (témoignage écrit)
La masturbation est ma grande passion. Il m'arrive régulièrement d'avoir envie de consacrer une journée entière au plaisir solitaire. Alors je me mets en scène. Je choisi mon plus beau soutien-gorge et surtout une jupe large pour la remonter à loisir lorsque les circonstances s'offrent à moi. Le simple fait penser que je ne porte rien dessous me fait mouiller comme une folle. Lorsque je conduis ma voiture, je ne résiste pas au fait de soulever ma jupe, écarter mes cuisses et toucher mes lèvres brûlantes. J’imagine que les gens peuvent me voir et cela m’excite énormément. Je parcours de mes doigts mes grandes et petites lèvres sans relâche, mon clito, mon vagin, un doigt, deux doigts, trois... et là une chaleur délicieuse commence à m'envahir. A moi de choisir, poursuivre et jouir ou bien faire une pause pour continuer de mouiller et conserver suspendue mon excitation. Si parfois je me lance à titiller mes tétons, alors je ne peux résister à la jouissance extrême. Je gémis, j’aime me regarder jouir si je le peux et je me trouve belle avec ma la chatte inondée. Pour ce qui se passe dans ma tête ? cela dépend. Le plus souvent je fantasme d'avoir un rapport avec une autre femme, parfois avec des hommes que je connais ou même que j'ai simplement croisés. Mais ma pensée préférée reste celle de faire mouiller une partenaire, lui servir de guide à travers ses voyages érotiques grâce à mes conseils pour une masturbation sublime.
Nathalie 39 ans
Mon premier souvenir de masturbation, je devais avoir 16 ans . Je n’étais pas excitée sexuellement mais avais envie de savoir qu’est-ce que cela ferait si je me touchais.
Alors je l’ai fait .Au début cela me faisait un peu mal, je n’étais pas très sûre si cela me plaisait, puis au bout d’un temps j’ai commencé à éprouver un plaisir tellement intense que je ne savais pas vraiment quoi faire avec cette pratique nouvelle. J’ai tout simplement continué à me toucher et j’ai eu un orgasme comme aucun autre par la suite. C’était comme un allumage fulgurant. Après cette fois, je n’ai jamais eu un orgasme pareil. Oui, des plaisirs indescriptibles mais jamais comme la première fois. Je ne sais pas pourquoi.
Catherine 41 ans
Au début c’était pour me débarrasser de toute cette sexualité qui bouillonnait en moi. Je suis même bien plus sexuelle que la plus part des gens que je connais. Je pourrais baiser toute la journée et tout le temps. C’est ce à quoi je pense la plus part du temps et souvent mes blagues ont une connotation sexuelle Bref. Je suis sexe en personne . C’est peut-être une forme d’addiction, mais je n’en souffre pas du tout. J’ai découvert une façon de vivre qui me permet de me développer en tant que personne mais aussi au niveau du plaisir que j’éprouve lors des rapports avec d’autres. D’ailleurs, depuis peu de temps, j’ai presque totalement abandonné la masturbation. Peut-être que mes préoccupations sont plus spirituelles. Simplement marcher au grand air , admirer un beau paysage me donne autant sinon plus de plaisir que de me masturber.
Avant j’utilisais aussi des vibromasseurs pour accompagner le tout mais maintenant je ne veux même pas en avoir. Disons que ma sexualité en général est devenue plus douce mais certainement aussi bien plus profonde. C’est difficile à expliquer .
Svetla, 39 ans
Pour moi, la masturbation me permet de d’apaiser mon corps et de me débarrasser de tensions qui ne s’évacuent pas toujours par le méditation ou par le yoga. De plus elle me permet d’avoir un regard sur comment se comporte mon corps et dans quelle santé physique je suis. Depuis quelques mois je travaille beaucoup sur mes hanches et mon périnée ce qui favorise une masturbation plus élargie, plus pleine. C’est, sur le plan personnel, un moment pour moi. Un moment pour voir à quoi je pense et si je suis toujours partante pour la vie. Alors me masturber me permet de comprendre au niveau physique si mon corps est toujours actif mais aussi si mon esprit arrive encore à imaginer, je dirais même à fantasmer sur un plan érotique. Je suis curieuse de savoir ce que les autres femmes ont répondu et à quel point elles ont été précises. Je n’ai pas de problèmes pour en parler mais souvent je me retrouve confrontée à la question: va-t-on me comprendre ?
Aude 26 ans
J’ai d’abord commencé à me masturber en présence de mon ami lors de rapports. Il me montrait comment me donner du plaisir en me faisant découvrir mes points sensibles. Et puis au fur et à mesure j’ai commencé à le faire seule. D’abord avec des vibromasseurs, l’excitation venant plus vite je n’avais pas besoin de me demander si j’arriverai à m’exciter. A partir de là je trouve que les choses sont allées très vite, je suis passée de zéro masturbation à masturbation quasi quotidienne en prenant du plaisir et surtout sans culpabilité.
Avec le temps j’utilise de moins en moins d’objets. Je commence par stimuler mon clitoris de bas en haut, j appuie fortement dessus et je tourne. Une fois que je sens que mon sexe est bien mouillé, je m’y plonge avec un doigt généralement. Je fais des mouvements de bas en haut puis circulaire, j’essaie d’aller le plus profondément possible mais mes doigts ne sont pas très longs. J’aime être sur le dos avec les jambes écartées lorsque je me masturbe, je me doigte généralement avec la main droite, la gauche touche soit mon clitoris soit ma poitrine. Il m’arrive aussi de me masturber sur le canapé devant la télé mais dans ce cas ce sont plus des caresses clitoridiennes. Je n’ai pas spécialement de fantasme, d’images particulières qui me viennent quand je me masturbe. Je pense que c’est encore trop tôt, que cette expérience est encore trop récente. Je me concentre plus sur ce que je ressens, ce qui me fait du bien, ce que j’aime. Généralement je pense à mon homme cela m’aide à m’exciter. Mon rapport à la masturbation a changé en très peu de temps, de tabou s’est transformé en une pratique naturelle qui en devient presque un besoin. Cela me soulage m’aide à m’assumer, à avoir plus confiance en moi. Je me sens mieux avec moi-même, avec les autres, je me trouve plus coquine, plus ouverte. Pour moi c’est une nouvelle vie qui commence, j’ai l’impression de me découvrir tous les jours un peu plus. Je suis moins râleuse, moins insatisfaite. J’aime me masturber le matin au réveil, ça me met en forme pour la journée.
Leila, 22 ans
C’est une question sympathique . Cela nous éclairera-t-il sur les besoins sexuels des femmes. Je trouve qu’il est nécessaire de parler de notre sexualité à nous, celle des femmes et de la masturbation en particulier. C’est un plaisir sans nom qui ne remplace pas l’acte sexuel à deux, c’est autre chose. Il serait tellement important que les hommes ne se sentent pas incapables parce que nous aimons jouer avec notre corps, le connaitre … Ce n’est pas un échappatoire, l’auto plaisir, c’est un acte sexuel à par entière …un acte d’amour…Il va sans dire que je le pratique souvent.
Céline 55 ans
J’ai commencé jeune. En revanche, maintenant je suis plus dans la recherche de variations des plaisirs, des jeux érotiques de toutes sortes.iés que dans la recherche des plaisirs.. Je pense que c’est lié à une maturité, une confiance en soi, qui s’accentue avec l’âge. Sur le plan physique je ressens toujours beaucoup de plaisir, et une relaxation de mon corps incomparable. Je me sens détendue après avoir joui, en harmonie avec moi-même. Mon corps me demande cette caresse et je l’écoute. Du coup, je suis heureuse de sentir ce plaisir, et mon esprit se sent aussi excité que mon corps. La masturbation me conduit toujours à l’orgasme. Quand je commence à me caresser c’est pour obtenir cette jouissance, cette détente. Cela dépend vraiment de la situation. Quand c’est un acte spontané, le matin au réveil par exemple pour me faire du bien, cela peut durer plusieurs minutes. Parfois, l’envie me vient suite à une stimulation extérieure , une situation excitante, une pensée, une vision et dans ce cas, si l’excitation en moi est déjà montée, je mets à peine uneminute pour accéder à l’ orgasme.
Jeanne 33 ans
J’aime énormément me masturber seule et je ne peux pas m’en passer, mais c’est aussi très présent avec mon partenaire. Dans ce cas, il se peut que parfois je me caresse devant lui, pour mon plaisir et le sien, sans qu’il participe, sinon, je me caresse systématiquement pendant notre rapport quand ce n’est pas lui qui le fait. J’ai toujours besoin que cette zone soit sollicitée. D’ailleurs, quand je me masturbe seule je pense souvent à des positions que j’aime particulièrement dans l’amour ou des caresses comme celle où mon partenaire me caresse avec sa langue. Je me caresse avec les doigts le plus souvent et parfois avec un vibromasseur. Mes jambes sont toujours très écartées, genoux pliés si je suis allongée, presque accroupie où très cambrée si je suis debout. Si je suis habillée, je glisse ma main dans ma culotte simplement. En ce qui concerne le vibromasseur, c’est surtout lorsque j’ai envie de consacrer plus de temps que d’habitude à la masturbation, que je l’utilise. Dans ce cas, j’ai tendance à prendre mon temps pour commencer par de légers contacts puis je l’appuie plus fortement et je le promène de haut en bas. Lorsque je sens mon point sensible réagir de plus en plus je me calme un peu pour recommencer et faire monter encore plus le plaisir jusqu’à ce que je ne tienne plus. Mes orgasmes sont souvent plus intenses avec le vibromasseur, car j’y consacre plus de temps. Enfin je voudrais dire qu’une femme qui se masturbe connaît à mon avis mieux son corps et peut vraiment s’épanouir dans les relations avec son partenaire. Elle connaît ses propres réactions, les accepte, ne se censure pas et du coup peut avoir une image positive d’elle-même. Et lorsque l’on a une image positive de soi on l’envoie aussi aux autres et particulièrement à son partenaire.
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Modalités de déroulement de l’enquête
Notre enquête a été réalisée au moyen d’entretiens ouverts au sein d’une revue féminine francophone. A la question simple : « à quel âge avez-vous débuté votre masturbation, comment et dans quelle circonstance ? et aujourd’hui quelle en est votre pratique, » , les réponses ont été laissées très libres c'est-à-dire non directives. Sur l’ensemble des femmes et jeunes filles sollicitées, 62% ont souhaité rester seule au cours de l’entretien, 12% ont préférée être à deux pour répondre, 6% ont préféré un questionnaire leur permettant de répondre par écrit et donc 20 % ont refusé d’entretien. A la question préalable de savoir avec qui elles seraient plus à l’aise au cours de l’entretien 93% »ont répondu un homme .Les temps d’entretien ont été très variables : de 10 minutes à plus d’une heure. Les personnes interrogées sont des abonnées du magazine ce qui rend l’échantillon socialement et intellectuellement très homogène, dans une tranche d’âge majoritairement entre 18 et 35 ans. Il aurait été intéressant de réunir des femmes et des jeunes filles provenant de cultures et de milieux socio-professionnel plus variés avec une plus grade fourchette d’âges. Peut-être une autre fois ?
Témo septembre- décembre 2023
Témoignages intimes
Sonia 19 ans
J'avoue que votre question sur ma pratique de la masturbation m'a d'abord surprise. Mais j’y réponds bien volontiers. J’avais 17 ans .J'étais en train de me sécher les cheveux et la douce chaleur de l'appareil que j’avais approché sur mon bas-ventre a commencé à créer une tendre sensation d'engorgement, d'attente et d'humidité sur mon sexe. J'ai d'abord commencé à serrer les jambes très fortement et j'ai senti quelque chose de terriblement agréable. Ensuite, j'ai eu un violent besoin de porter un doigt à mon sexe. J'ai rapidement trouvé mon clitoris et c'est là que le plaisir a commencé à se déchaîner. Si fort, si intense, que je devais mordre un doigt de mon autre main pour le supporter. J'ai atteint l'extase et cela m'a tellement plu que je continue encore souvent aujourd’hui.
Edith 27 ans
La première fois je devais avoir 14 ans. Des copines en ont parlé entre elles avec une certaine fierté, celle de connaître des orgasmes. Je me suis trouvée un peu « attardée » et j’ai décidé d’essayer vraiment. Du coup le soir chez moi j'ai commencé dans mon lit à me toucher et à me caresser longtemps. Je savais déjà que me toucher à cet endroit du corps était agréable mais je n’avais jamais osé insister. Ce soir là j'ai été beaucoup plus franche dans mes caresses et j’ai constaté que m’attarder sur mon clitoris me faisant un superbe effet. Depuis je joue énormément sur mon clito avec mes doigts et en même temps avec un petit vibro à l’intérieur de moi . C’est vraiment « top ».
Virginie 31 ans
Mon premier souvenir précis remonte lorsque j'avais 13 ans. J'étais dans mon lit, un matin et j'ai eu spontanément le désir de glisser ma main entre mes jambes. Je me rappelle avoir trouvé que cela était très doux et que c'était une agréable sensation au réveil pour commencer la journée. Je n'ai pas éprouvé l'envie d'en parler, pas même à mes deux sœurs plus âgées que j’avais déjà vues furtivement se caresser.. J'ai intégré cette pratique nouvelle comme une partie de mon jardin personnel, jardin intime que je conserve toujours précieusement pour mon plaisir secret.
Eléna, 23 ans
La première fois que je me suis vraiment caressée, j’étais toute adolescente, 13 ou 14 ans peut-être. J'e me trouvais dans mon lit et j’avais un peu de mal à m’endormir. Par réflexe j’ai porté mes mains sur mon sexe. Ce n'était pas vraiment une poussée d'excitation sexuelle mais plutôt la curiosité de mieux explorer cet endroit particulier de mon corps. J’ai trouvé cela très agréable ce qui m'a amenée à poursuivre cette expérience. Et c'est progressivement que j'ai commencé à éprouver un réel plaisir tout en restant parfois un peu perplexe. Que faire cette merveilleuse découverte ? Et un jour une très forte explosion a éclaté au fond de mon ventre. Un enchantement ! Je ne savais pas que c'était un orgasme et d‘ailleurs j'en ignorais le mot. Depuis, je n'ai jamais cessé de me caresser le plus souvent le matin mais aussi de plus en plus dans la journée, également en soirée avant de m'endormir. Le mot masturbation m'était alors inconnu.
Marjana 33 ans
Heu... Il doit y avoir 3 ans ,j’ai un peu de mal avec les dates.. Et oui, je fais parti des "retardataires de la masturbation", non pas que ça ne m'intéressais pas, mais je ne ressentais rien ! En même temps, j'ai découvert l'orgasme véritable il y a environ 2 ans. C’est grâce à un copain qui m'a offert mon premier petit joujou spécial clito, que j'ai découvert que je pouvais y arriver seule. Et depuis je ne peux pas me passer de ce jouet magique, mais
j'espère bientôt y parvenir sans accessoire. Je pense que je suis sur la bonne voie, je maitrise de mieux en mieux ma façon de me donner du plaisir en solitaire.
Linda, 35 ans
J’ai commencé à15 ans, j'en ai 33 . Je crois que c’est venu naturellement. Comment je fais aujourd’hui? Je me touche généralement assisse sur ma chaise de bureau, les jambes écartées appuyées sur les accoudoirs. J'utilise ma main gauche pour me toucher, l'autre pour faire défiler ce que je lis a l'écran. Soit je me déshabille complètement, soit je garde une culotte ,si j'en porte une. Comme je mouille beaucoup et très vite, je commence par lire des choses qui m'excitent jusqu'à ce que je sente à travers ma culotte que je suis trempée, Ensuite de ma main gauche, je soulève le tissus et je glisse ma main en dessous. J'écarte mes lèvres avec deux doigts et avec mon majeur je me caresse doucement le clito, en arrêtant souvent pour faire durer les plaisir. Il m'arrive même d'arrêter complètement jusqu'à ce que je craque et que je recommence. Je fantasme souvent qu’un homme ou une femme que je connais m’observe en train de me caresser ou encore me donne des ordres que je dois exécuter. Je suis principalement clitoridienne, donc je ne me pénètre que pour lubrifier mes doigts Je me caresse lentement jusqu'à ne plus pouvoir me retenir et ensuite je me caresse rapidement et fortement avec plusieurs doigt jusqu'à exploser. Je le fais plusieurs fois de suite jusqu'à n'en plus pouvoir. J’espère cher Monsieur que ça vous aidera à comprendre le plaisir féminin.
Chloé et Farida 22 et 23 ans
Depuis toutes jeunes, nous découvrons ensemble et faisons toutes deux l’expérience de tout ce qui peut nous apporter la plus grande des jouissances sexuelles. C’est ainsi que notre premier orgasme, nous l’avons connu dès l’âge de 13 ans en nous caressant et en nous léchant mutuellement. C’était une découverte superbe que de sentir notre bas-ventre exploser. Depuis nous n’avons eu de cesse que de rechercher de nouvelles jouissances. Nous nous entraînions à nous masturber l’une devant l’autre, l’une l’autre, à introduire nos doigts dans nos chattes toujours plus profondément, à inviter d’autres copines pour varier nos plaisirs et aussi pour les initier. Ainsi nous avons pris goût à accueillir la langue des filles sur notre sexe depuis que nous avons 15 ans. A les lécher aussi, à malaxer leurs seins naissant, pincer leurs petits tétons, à utiliser des godes, des vibromasseurs de différentes variétés, de grosseur et de puissance, à introduire nos mains dans leurs vagins étroits autant que l’on pouvait. Elles criaient, pleuraient, riaient, aimaient beaucoup et nous aussi. On y passait des journées et des nuits et nos orgasmes s’enchaînaient, on ne pouvait plus s’en passer. Je me souviens que lorsque je n’étais pas chez moi, je m’arrangeais toujours pour me masturber dans la rue, au collège, à la cantine, dans les bus, au cinéma. Pour cela, je mettais une culotte très fine pour faciliter mes propres caresses et une jupe ou bien une robe assez large pour accéder à ma chatte le plus souvent possible. Ou alors je mettais un jean dont j’avais renforcé la couture de l’entrejambe et ainsi toute la journée le tissu frottait contre mon clitoris. C’était délicieux. Croyez-moi je ne me prive jamais de ce plaisir même plusieurs fois pas jour.
Sylvie 33 ans
A 11/12 ans. C’'est venu naturellement, je m'endormais la main entre les cuises comme souvent. J'ai dû appuyer et contracter plus fort que d’habitude et pour la première fois j'ai joui ! puis me suis endormie. Par la suite j'ai continué tous les soirs ! Je ne peux plus m’en passer même si par ailleurs j’ai des rapports qui me conviennent avec des hommes (surtout mon chéri) et aussi avec des femmes parfois.
Aurélie 33 ans
Je crois que je ne me suis jamais masturbée. Comme toutes les fillettes, je me touchais mais rien de plus. Vers 16 ans je me croyais anormale de ne pas jouir sous mes mains et mes copines se moquaient de moi. Je me suis confiée à une amie de ma mère de qui je me sentais très proche. C’est elle qui m’a initiée. J’avais 18 ans. Elle m’a tout appris en me montrant concrètement comment il fallait s’y prendre. Je lui en suis très reconnaissante. J’ai continué seule et peu à peu le plaisir est devenu très fort jusqu’à ne plus m’en passer, même plusieurs fois par jour. Aujourd’hui je me suis bien calmée. Mon mari fait l’affaire, mais quand il est absent je recommence de plus belle.
Fabienne, 41 ans
Je ne me souviens plus quand j’ai commencé à me masturber. J’ai l’impression que c’est depuis toujours. Mais puisque vous me le demandez je peu vous dire comment je fais aujourd’hui. Je vais d'abord chercher ma mouille à l'entrée de mon vagin. J'écarte bien mes cuisses et je caresse mes grandes lèvres. Je passe ensuite, selon mes réactions, mon doigt entre les nymphes, chacune des petites lèvres, je les déplie avec douceur pour bien les écarter. Je reprends un peu de ma mouille et je décalotte mon clito. Je le tapote avec mon index. Enfin c'est deux doigts sur le capuchon de mon clitoris que j'utiliser pour le faire bien rouler et m'exciter un maximum. J'alterne avec deux doigts dans mon vagin jusqu'à que vienne mon orgasme. Je crois que ma technique est vraiment au point et il m’arrive même de l’expliquer à des jeunes filles qui me le demandent. J’ai lu le témoignage d’Aurélie, avec son autorisation, et je la comprends donc très bien. Mais excusez-moi, ce n’est peut-être pas la technique de la masturbation qui vous intéresse dans votre enquête.
Mylène, 23 ans
J'ai 23 ans j'ai commencé à 14 ans . Je me masturbe tous les jours.
Bien que je vis en couple, je trouve que cette pratique alimente ma libido pour bien faire l’amour avec mon copain. Ma position préférée pour le faire est assise ou allongée sur le dos . Je commence d’abord à fantasmer devant un bon film érotique ou alors en m'imaginant qu'on me prend brusquement alors que je ne m’y attends pas.. Je me souviens que la première fois j’étais en train de faire mes devoirs assise à mon petit bureau de jeune fille et je me suis alors surprise avec la main dans mon string. C’était une sensation toute nouvelle et vraiment délicieuse. Aujourd’hui , j’aime me mettre un gode en même temps que je me caresse ou aussi me voir nue. Mes séances solitaires peuvent durer de quelques minutes à une bonne demi-heure. Le dimanche, par exemple je peux y consacrer la journée sans me lasser. .Ah oui tout le monde le sait que je me branle, ce n’est pas quelque chose que je cache si on me pose la question . J’en parle très facilement mais là encore je fais le tri parmi mes interlocuteurs, tout le monde n'a pas a connaitre les détails de ma façon de me faire jouir seule. Je ne me fais jamais surprendre en train de me branler mais j’aimerais que cela m’arrive un jour. J’aimerais aussi me masturber avec une copine. Je précise que je me suis presque complètement rasée. Je trouve que ça augmente énormément la sensibilité du toucher.
Sophie, 20 ans
Je ne peux pas répondre à votre question. Je crois qu’en réalité je ne me suis jamais masturbée. Très tôt je me suis intéressée aux hommes, à leur corps. J’étais fascinée par leur sexe. A 15 ans j’ai vraiment voulu y goûter .La première fois c’était avec mon professeur de musique. Il était venu chez moi pour me donner des cours de piano. Je le trouvais très attirant et en plus on s’aimait bien. On était tous les deux, assis côte à côte et j’ai mis ma main sur son sexe. Je sentais qu’il bandait. C’était la première fois que je touchais le sexe d’un homme et que je découvrais ce qu’était une érection. Cela m’a beaucoup troublée. Toute rouge, je lui ai demandé qu’il me fasse l’amour. Il a refusé avec douceur en me promettant de me dépuceler dès mes 18 ans. Et il a tenu parole. Mais ce soir là j’ai beaucoup pleuré. Après cet événement je ne me suis jamais touchée, je voulais attendre l’année promise. Aujourd’hui je suis très reconnaissante à mon professeur de m’avoir initiée aux joies de l’amour physique. Depuis, j’ai diversifié mes pratiques et mes partenaires hommes et aussi femmes. Je me sens bien dans mon corps et dans ma tête.
Doriana, 39 ans
Vous voulez vraiment savoir comment je me branle ? ce n’est pas compliqué. J' écarte mes lèvres et je caresse doucement mon clitoris qui peu à peu émerge, puis au fil de mes caresses je le sens gonfler ... j'adore ! mais le sommet de mon plaisir c’est quand je le maltraite un peu, je le pince entre mes doigts, je le fais rouler ... et là je vous jure, je me tortille comme un ver, je serre les cuisses, je me force à les écarter. Parfois je gicle et jouis ...alors là c'est vraiment du bonheur, et d'autres fois je jouis seulement, c'est également très bon ... mais j'adore vraiment quand j'arrive à me faire gicler. Finalement je ne vous ai pas dis à quel âge j’ai commencé. Je ne sais plus.
Marina, 44 ans,
Je m’en souviens très bien. Je devais avoir une douzaine d’années. Cette année là, je suis devenue femme avec mes premières règles et j’en étais très fière. J’étais en vacances avec mes parents au bord de la mer et, je ne sais ce qui m’a pris, mais je me suis caressée lors de ma fameuse nuit C’était en plein mois d’août, il faisait très chaud, je portais seulement une petite culotte très fine et j’avais ma poitrine dénudée.. J’ai eu une soudaine envie de me masser le ventre, ce que je continue à faire maintenant avant de m’endormir, mais cette nuit là j’ai commencé à le malaxer doucement avec mes deux mains, puis ma main gauche est descendue le long intérieur de ma cuisse droite pendant que mon autre main câlinait toujours le ventre … je commençais à vraiment avoir chaud.. Mes seins étaient remplis de désirs même si à douze ans, ceux ci n’étaient pas encore pleinement développés … Je repris mon jeu, cette fois, la main gauche caressant mes seins et la main droite caressant mon ventre … je faisais attention à ne pas trop faire de bruit ce qui m’excitait énormément. J’eu une très envie de découvrir ce monde jusqu’alors inconnu et j’ai descendu ma main droite doucement en direction de ma culotte, en caressant le tissu tout en faisant des vas et viens avec la paume sur mon petit bouton que je sentais durcir.… Ma main gauche avait abandonné mes seins pour s’occuper de mon ventre … mes doigts titillaient l’entrée de mon sexe à travers le tissu… je devinais que ma culotte devenait humide. Cette sensation de plaisir était pour moi toute nouvelle … je portais la main jusqu'à mon nez pour y sentir l’odeur . J’eu un temps d’hésitation avant de replonger de nouveau la main dans l’univers de mon désir . Je me suis installée sur le ventre mis un gros coussin entre mes jambes. Le tissu très doux qui frottait contre mon sexe m’excitait terriblement. Je me mis à faire des contorsions avec le tissu … c’était délicieux … je m’empalais de plus belle sur le tissu tellement j’aimais ça … soudain, je sentis un spasme monter en moi, quelque chose n’inexplicable était en train de se produire dans mon bouton totalement érigé. Je positionnais rapidement la paume de ma main droite, tout en pressant bien l’entrée de mon bouton ce fut tellement bon … C’était mon premier orgasme…Par la suite j'ai continué tous les soirs et bien sûr, je continue encore aujourd’hui.
Jessy, 29 ans
Je crois que je me suis depuis toujours caressé le sexe et un jour, j’avais peut-être 13 ans, une très forte explosion a éclaté au fond de mon ventre. Un enchantement ! Je ne savais pas que c'était un orgasme . Depuis, je n'ai jamais cessé de me caresser le plus souvent le matin mais aussi, de plus en plus, en soirée avant de m'endormir. Le mot masturbation m'était alors inconnu. C'est à 14 ans avec des copines que j'ai commencé à comprendre. Nous étions un groupe de sept filles qui avions grandi ensemble. Très proches nous découvrions beaucoup de choses de la vie ensemble. On avait l'habitude d'organiser des soirées entre copines où nous imaginions divers jeux souvent à connotation quelque peu coquine parmi lesquelles les caresses collectives et les concours de masturbation tenaient une grande place.
Myriam, 45 ans
J'ai commencé très jeune . J’ai découvert la masturbation seule . En touchant cet endroit précis du corps, je me suis rendue compte que cela me procurait une sensation agréable tout à fait nouvelle. J’ai donc continué. Aujourd’hui j'ai 45 ans. Et je me fais du bien à haute dose peut-être deux à trois fois par jour. Bien que je sois en couple ma fréquence reste tr§s élevée. Je considère même que pour moi la masturbation est un complément du plaisir à deux , pas un substitut. Je pratique au lit, allongée sur le ventre ou sous la douche, dans ma baignoire aussi et même discrètement pendant mes heures de travail. Finalement je trouve cette pratique totalement naturelle, très épanouissante, au moins pour une femme.
Cécile, 31 ans
Je vis en couple depuis près de 2 ans. La tendance à me caresser est en baisse puisque j'ai mon chéri à ma disposition. En général je reste habillée . Le plus souvent, assise, inclinée en arrière, en stimulation clitoridienne uniquement. Seule ou accompagnée? Toujours seule Je n’ai pas de technique particulière. La connaissance de mon corps c’est mon secret Dans l'ordre: au lit, devant mon ordinateur, sur le canapé... tout dépend de l’endroit où je me trouve quand l'envie me prend. En général, c'est très rapide! Moins de 5 minutes.
Je ne sais pas trop combien de fois, peut-être 6 ou 7 fois de suite dans les cas de surexcitation sexuelle. Sans être un sujet tabou, ce n'est pas un thème que j'aborde avec ma famille ou mes amis. Maintenant, s'ils me posaient la question, je pense que je répondrais sans gêne un peu comme avec vous. Je me concentre simplement sur mon plaisir. Depuis un mois et parce que je suis un peu paresseuse , je ne m'épile qu'un peu mais, en général, je prends un grand soin de mon pubis le plus lisse possible. Je comprends tout à fait qu’une bonne l'épilation favorise la masturbation. C’est plus excitant. Le simple toucher est tellement plus agréable et puis, je me sens bien plus réactive.
Marlène, 39 ans
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Ce qui contribue également à me conserver dans ce doux état de sensualité physique, c’est la façon dont j’enserre mes seins avec mes avant-bras alors que je continue de jouer avec le clavier de mon ordinateur ou d’utiliser mon téléphone potable. Je peux ainsi plus aisément laisser discrètement l’ongle bien long d’un doigt effleurer un téton qui réagit aussitôt et se dresse, comme s’il voulait percer le tissu déjà tendu de mon chemisier. J’adore sentir ma poitrine se gonfler, s’épanouir par une demande non assouvie de caresses. Parfois je parviens à enfoncer mon pouce dans l’auréole de mon bout qui frémit sous la tendre pression, et je fais manoeuvrer le doigt coquin pour un furtif massage. Je me cambre légèrement afin que mon sein s’offre aisément au doigt provocateur. La sensation se fait plus forte, plus aiguë. Un léger courant se met alors à envahir ma poitrine qui envoie ses messages affolés vers mon ventre qui les reçoit et s’en nourrit pour accroître encore mon désir latent. Lorsque je mets une fine culotte fendue devant, je peux même de temps en temps accéder à mon vagin et y faire pénétrer furtivement un ou deux doigts pour peu que ma robe ou ma jupe se boutonne par devant. Un délice. Bien sûr, il peut m’arriver aussi de ne pas mettre de culotte du tout. C’est tout de même rare. Je suis audacieuse mais prudente. Parfois, me laissant ainsi aller à mes délicieuses caresses, s’échappe un petit cri, vite étouffé.
Et au téléphone, je me pose d’une fesse à l’autre, en écrasant dans ce subtil va-et-vient mon clitoris érigé au rythme des paroles échangées. Je suis claire dans ma tête, à l’aise dans ma peau, bien dans mon sexe. Mon corps ondule avec lenteur, je flotte dans une plaisante euphorie. Je me sens alors pleinement femme.
Fabiola 18 ans
C’est vraiment très simple : J'aime le massage sur le clitoris et je le pratique avec un tissu très doux , ma culotte fine ou bien un foulard de préférence en soie. C’'est un plaisir très intense et je mouille beaucoup.. J'ai découvert la caresse clitoridienne jeune ado avec une peluche Je n'est jamais eu besoin d'objet en plastique , god ou vibro. Au naturel j’y arrive très bien. Je préfère être seule pour me masturber. Je n’ai jamais eu l’occasion d’en parler sauf un fois avec mon père il y a quelques années qui s’est montré très compréhensif , ce qui m’a énormément aidé à m’assumer sexuellement jusqu’à aujourd’hui et je lui en suis très reconnaissante. Et maintenant je suis à l’aise pour en parler avec vous, donc avec un autre homme que je ne connais pas de surcroît.
Houria, 33 ans
Votre question a un sens pour moi car très tôt j’ai connu une très forte poussée de libido . Mails il se trouve que je suis bi, sociable et libre. J’ai beaucoup d’amis et d’amies de cœur et de corps. Je peux dire sans prétention que je fais l’amour tous les soirs et parfois si l’occasion m’en est donnée dans la journée. Ma libido est toujours aussi active mais je n’éprouve pas le besoin de me masturber. Donc vraiment ce n’est plus une question pour moi et je m’en excuse.
Jennifer, 27 ans
Je vais finir par croire que je suis "anormale" ou que je m’y prends particulièrement mal, car je n’arrive vraiment pas à éprouver une jouissance me permettant d’atteindre un semblant d’orgasme avec cette pratique pourtant généralisée chez les femmes.
Quant à en parler, c’est vrai qu’il y a un sacré tabou sur le sujet. Pour ma part, il n’y a qu’une amie avec laquelle j’aborde les sujets intimes, c’est d’ailleurs pour cela que je peux la considérée comme telle. Pouvoir parler non seulement de nos expériences mais aussi de nos déboires avec un/une proche qui saura écouter, aider sans juger, c’est précieux.
Hélène 37 ans (témoignage écrit)
La masturbation est ma grande passion. Il m'arrive régulièrement d'avoir envie de consacrer une journée entière au plaisir solitaire. Alors je me mets en scène. Je choisi mon plus beau soutien-gorge et surtout une jupe large pour la remonter à loisir lorsque les circonstances s'offrent à moi. Le simple fait penser que je ne porte rien dessous me fait mouiller comme une folle. Lorsque je conduis ma voiture, je ne résiste pas au fait de soulever ma jupe, écarter mes cuisses et toucher mes lèvres brûlantes. J’imagine que les gens peuvent me voir et cela m’excite énormément. Je parcours de mes doigts mes grandes et petites lèvres sans relâche, mon clito, mon vagin, un doigt, deux doigts, trois... et là une chaleur délicieuse commence à m'envahir. A moi de choisir, poursuivre et jouir ou bien faire une pause pour continuer de mouiller et conserver suspendue mon excitation. Si parfois je me lance à titiller mes tétons, alors je ne peux résister à la jouissance extrême. Je gémis, j’aime me regarder jouir si je le peux et je me trouve belle avec ma la chatte inondée. Pour ce qui se passe dans ma tête ? cela dépend. Le plus souvent je fantasme d'avoir un rapport avec une autre femme, parfois avec des hommes que je connais ou même que j'ai simplement croisés. Mais ma pensée préférée reste celle de faire mouiller une partenaire, lui servir de guide à travers ses voyages érotiques grâce à mes conseils pour une masturbation sublime.
Nathalie 39 ans
Mon premier souvenir de masturbation, je devais avoir 16 ans . Je n’étais pas excitée sexuellement mais avais envie de savoir qu’est-ce que cela ferait si je me touchais.
Alors je l’ai fait .Au début cela me faisait un peu mal, je n’étais pas très sûre si cela me plaisait, puis au bout d’un temps j’ai commencé à éprouver un plaisir tellement intense que je ne savais pas vraiment quoi faire avec cette pratique nouvelle. J’ai tout simplement continué à me toucher et j’ai eu un orgasme comme aucun autre par la suite. C’était comme un allumage fulgurant. Après cette fois, je n’ai jamais eu un orgasme pareil. Oui, des plaisirs indescriptibles mais jamais comme la première fois. Je ne sais pas pourquoi.
Catherine 41 ans
Au début c’était pour me débarrasser de toute cette sexualité qui bouillonnait en moi. Je suis même bien plus sexuelle que la plus part des gens que je connais. Je pourrais baiser toute la journée et tout le temps. C’est ce à quoi je pense la plus part du temps et souvent mes blagues ont une connotation sexuelle Bref. Je suis sexe en personne . C’est peut-être une forme d’addiction, mais je n’en souffre pas du tout. J’ai découvert une façon de vivre qui me permet de me développer en tant que personne mais aussi au niveau du plaisir que j’éprouve lors des rapports avec d’autres. D’ailleurs, depuis peu de temps, j’ai presque totalement abandonné la masturbation. Peut-être que mes préoccupations sont plus spirituelles. Simplement marcher au grand air , admirer un beau paysage me donne autant sinon plus de plaisir que de me masturber.
Avant j’utilisais aussi des vibromasseurs pour accompagner le tout mais maintenant je ne veux même pas en avoir. Disons que ma sexualité en général est devenue plus douce mais certainement aussi bien plus profonde. C’est difficile à expliquer .
Svetla, 39 ans
Pour moi, la masturbation me permet de d’apaiser mon corps et de me débarrasser de tensions qui ne s’évacuent pas toujours par le méditation ou par le yoga. De plus elle me permet d’avoir un regard sur comment se comporte mon corps et dans quelle santé physique je suis. Depuis quelques mois je travaille beaucoup sur mes hanches et mon périnée ce qui favorise une masturbation plus élargie, plus pleine. C’est, sur le plan personnel, un moment pour moi. Un moment pour voir à quoi je pense et si je suis toujours partante pour la vie. Alors me masturber me permet de comprendre au niveau physique si mon corps est toujours actif mais aussi si mon esprit arrive encore à imaginer, je dirais même à fantasmer sur un plan érotique. Je suis curieuse de savoir ce que les autres femmes ont répondu et à quel point elles ont été précises. Je n’ai pas de problèmes pour en parler mais souvent je me retrouve confrontée à la question: va-t-on me comprendre ?
Aude 26 ans
J’ai d’abord commencé à me masturber en présence de mon ami lors de rapports. Il me montrait comment me donner du plaisir en me faisant découvrir mes points sensibles. Et puis au fur et à mesure j’ai commencé à le faire seule. D’abord avec des vibromasseurs, l’excitation venant plus vite je n’avais pas besoin de me demander si j’arriverai à m’exciter. A partir de là je trouve que les choses sont allées très vite, je suis passée de zéro masturbation à masturbation quasi quotidienne en prenant du plaisir et surtout sans culpabilité.
Avec le temps j’utilise de moins en moins d’objets. Je commence par stimuler mon clitoris de bas en haut, j appuie fortement dessus et je tourne. Une fois que je sens que mon sexe est bien mouillé, je m’y plonge avec un doigt généralement. Je fais des mouvements de bas en haut puis circulaire, j’essaie d’aller le plus profondément possible mais mes doigts ne sont pas très longs. J’aime être sur le dos avec les jambes écartées lorsque je me masturbe, je me doigte généralement avec la main droite, la gauche touche soit mon clitoris soit ma poitrine. Il m’arrive aussi de me masturber sur le canapé devant la télé mais dans ce cas ce sont plus des caresses clitoridiennes. Je n’ai pas spécialement de fantasme, d’images particulières qui me viennent quand je me masturbe. Je pense que c’est encore trop tôt, que cette expérience est encore trop récente. Je me concentre plus sur ce que je ressens, ce qui me fait du bien, ce que j’aime. Généralement je pense à mon homme cela m’aide à m’exciter. Mon rapport à la masturbation a changé en très peu de temps, de tabou s’est transformé en une pratique naturelle qui en devient presque un besoin. Cela me soulage m’aide à m’assumer, à avoir plus confiance en moi. Je me sens mieux avec moi-même, avec les autres, je me trouve plus coquine, plus ouverte. Pour moi c’est une nouvelle vie qui commence, j’ai l’impression de me découvrir tous les jours un peu plus. Je suis moins râleuse, moins insatisfaite. J’aime me masturber le matin au réveil, ça me met en forme pour la journée.
Leila, 22 ans
C’est une question sympathique . Cela nous éclairera-t-il sur les besoins sexuels des femmes. Je trouve qu’il est nécessaire de parler de notre sexualité à nous, celle des femmes et de la masturbation en particulier. C’est un plaisir sans nom qui ne remplace pas l’acte sexuel à deux, c’est autre chose. Il serait tellement important que les hommes ne se sentent pas incapables parce que nous aimons jouer avec notre corps, le connaitre … Ce n’est pas un échappatoire, l’auto plaisir, c’est un acte sexuel à par entière …un acte d’amour…Il va sans dire que je le pratique souvent.
Céline 55 ans
J’ai commencé jeune. En revanche, maintenant je suis plus dans la recherche de variations des plaisirs, des jeux érotiques de toutes sortes.iés que dans la recherche des plaisirs.. Je pense que c’est lié à une maturité, une confiance en soi, qui s’accentue avec l’âge. Sur le plan physique je ressens toujours beaucoup de plaisir, et une relaxation de mon corps incomparable. Je me sens détendue après avoir joui, en harmonie avec moi-même. Mon corps me demande cette caresse et je l’écoute. Du coup, je suis heureuse de sentir ce plaisir, et mon esprit se sent aussi excité que mon corps. La masturbation me conduit toujours à l’orgasme. Quand je commence à me caresser c’est pour obtenir cette jouissance, cette détente. Cela dépend vraiment de la situation. Quand c’est un acte spontané, le matin au réveil par exemple pour me faire du bien, cela peut durer plusieurs minutes. Parfois, l’envie me vient suite à une stimulation extérieure , une situation excitante, une pensée, une vision et dans ce cas, si l’excitation en moi est déjà montée, je mets à peine uneminute pour accéder à l’ orgasme.
Jeanne 33 ans
J’aime énormément me masturber seule et je ne peux pas m’en passer, mais c’est aussi très présent avec mon partenaire. Dans ce cas, il se peut que parfois je me caresse devant lui, pour mon plaisir et le sien, sans qu’il participe, sinon, je me caresse systématiquement pendant notre rapport quand ce n’est pas lui qui le fait. J’ai toujours besoin que cette zone soit sollicitée. D’ailleurs, quand je me masturbe seule je pense souvent à des positions que j’aime particulièrement dans l’amour ou des caresses comme celle où mon partenaire me caresse avec sa langue. Je me caresse avec les doigts le plus souvent et parfois avec un vibromasseur. Mes jambes sont toujours très écartées, genoux pliés si je suis allongée, presque accroupie où très cambrée si je suis debout. Si je suis habillée, je glisse ma main dans ma culotte simplement. En ce qui concerne le vibromasseur, c’est surtout lorsque j’ai envie de consacrer plus de temps que d’habitude à la masturbation, que je l’utilise. Dans ce cas, j’ai tendance à prendre mon temps pour commencer par de légers contacts puis je l’appuie plus fortement et je le promène de haut en bas. Lorsque je sens mon point sensible réagir de plus en plus je me calme un peu pour recommencer et faire monter encore plus le plaisir jusqu’à ce que je ne tienne plus. Mes orgasmes sont souvent plus intenses avec le vibromasseur, car j’y consacre plus de temps. Enfin je voudrais dire qu’une femme qui se masturbe connaît à mon avis mieux son corps et peut vraiment s’épanouir dans les relations avec son partenaire. Elle connaît ses propres réactions, les accepte, ne se censure pas et du coup peut avoir une image positive d’elle-même. Et lorsque l’on a une image positive de soi on l’envoie aussi aux autres et particulièrement à son partenaire.
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Modalités de déroulement de l’enquête
Notre enquête a été réalisée au moyen d’entretiens ouverts au sein d’une revue féminine francophone. A la question simple : « à quel âge avez-vous débuté votre masturbation, comment et dans quelle circonstance ? et aujourd’hui quelle en est votre pratique, » , les réponses ont été laissées très libres c'est-à-dire non directives. Sur l’ensemble des femmes et jeunes filles sollicitées, 62% ont souhaité rester seule au cours de l’entretien, 12% ont préférée être à deux pour répondre, 6% ont préféré un questionnaire leur permettant de répondre par écrit et donc 20 % ont refusé d’entretien. A la question préalable de savoir avec qui elles seraient plus à l’aise au cours de l’entretien 93% »ont répondu un homme .Les temps d’entretien ont été très variables : de 10 minutes à plus d’une heure. Les personnes interrogées sont des abonnées du magazine ce qui rend l’échantillon socialement et intellectuellement très homogène, dans une tranche d’âge majoritairement entre 18 et 35 ans. Il aurait été intéressant de réunir des femmes et des jeunes filles provenant de cultures et de milieux socio-professionnel plus variés avec une plus grade fourchette d’âges. Peut-être une autre fois ?
Témo septembre- décembre 2023
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11 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
L'âge de ce petit groupe de 6 femmes s'étale de 22 ans à 41 ans. Deux célibataires et 4 mariées. Pour moi c'est une configuration d'âge et de statut idéal.Elles ont toutes des comportement divers à mon égard mais toujours bienveillant et à leurs manières d'un érotisme délicieux.
Je prends de plus en plus goût aux joyeuses petites soirées de CFNM que allient masturbation, exhibition, sensualité et bonne humeur. Les femmes et jeunes filles du petit groupe d'amatrices sont adorables, très séduisantes et spontanément elles m'offrent d'elles tout ce que j'aime. Elles sont en général 5 ou 6 par soirée. Il parait que d'autres jeunes voudraient se joindre par curiosité, mais je ne souhaite pas me faire jouir devant un public féminin trop grand, cela ferait trop spectacle qui perdrait le plaisir du contact direct.
En effet, la masturbation est une expression sexuelle à part entière chez les femmes comme chez les hommes. Mais je crois que les femmes en parlent plus facilement.
En ce qui me concerne, j'aime me masturber devant plusieurs femmes.Mon amie Karine qui connait mes goûts m'invite parfois chez elles où elle réunit quelques copines. je suis le seul homme. C'est toujours convivial et chaleureux. Parfois les femmes présentes s'y mettent également. Ce sont des soirées joyeuses. Si elles devaient tourner vers des situations perverses je n'y participeras évidemment pas.
En ce qui me concerne, j'aime me masturber devant plusieurs femmes.Mon amie Karine qui connait mes goûts m'invite parfois chez elles où elle réunit quelques copines. je suis le seul homme. C'est toujours convivial et chaleureux. Parfois les femmes présentes s'y mettent également. Ce sont des soirées joyeuses. Si elles devaient tourner vers des situations perverses je n'y participeras évidemment pas.
En effet la masturbation est une expression sexuelle à part entière pour les femmes et pour les hommes. Mais je crois que les femmes en parlent plus facilement.En ce qui me concerne, mon amie Karine m'invite de temps en temps à une soirée avec ses copines. Je suis le seul homme. J'aime me masturber devant elles. C'est toujours un moment très convivial et chaleureux.
Parfois elles font de même. Je crois que ces soirées entre filles sont appelées CFNM. Si cela devait déraper sur des situations perverses je n'y participerais pas évidemment.
Parfois elles font de même. Je crois que ces soirées entre filles sont appelées CFNM. Si cela devait déraper sur des situations perverses je n'y participerais pas évidemment.
C'est un inventaire à a Prévert, mais qui montre bien une chose : la masturbation n'est pas une solution de pis aller à défaut de relations sexuelles avec un partenaire, la masturbation fait partie intégrante de la vie sexuelle d'une femme et est complémentaire à d'autres formes d'excitations. Comme je suis un homme, je peux vous dire qu'il en est de même pour moi, même si je ne peux pas parler au nom de tous mes congénères. Quand j'étais plus jeune, se branler signifiait ne pas avoir trouvé de femme pour faire l'amour et donc, passer pour un minable. Maintenant je sais que se masturber seul ou devant quelqu'un ou regarder quelqu'un se masturber est un plaisir complémentaire qu'il ne faut pas bouder.
Nous travaillons en ce moment à mettre au point avec une revue féminine de Genève, un questionnaire très ciblé: des jeunes filles uniquement de 18 à 20 ans dans différents pays européens . Au dessous de 18 ans ce n'est légalement pas possible et justifié. Le thème n'est pas encore arrêté: virginité - pratiques de la fellation - pratiques de l'exhibition - soumission active/passive - jeux érotiques divers. C'est assez complexe pour rédiger les questions et les traduire en plusieurs langues.
bonjour lectrice
merci de ton offre généreuse. Je te tiendrai au courant
merci de ton offre généreuse. Je te tiendrai au courant
J'espère que cette enquête aura lieu en France pour y répondre avec plaisir et te remercier en t'offrant de jolies pièces de lingerie imprégnées de mon odeur
Si toutes les femmes qui ont participé à l'enquête m'avaient offert leur culotte , string ou soutien gorge, j'aurai pu ouvrir une boutique de lingerie sexy. Pour une prochaine enquête il faudra que je prévois d'inclure une clause obligatoire dans ce sens.
précision: j'ai refusé leurs propositions érotiques mais j'ai accepté les petites culottes portées que certaines m'ont offertes. De bons souvenirs !
J'ai beaucoup aimé mener cette enquête après des femmes québéqoises. En fait elles sont très libres avec leur sexe et elles en discutent aisément. Certaines pour me remercier m'ont proposé des petites douceurs érotiques, mais j'ai dû refuser à regret, pour des raisons d'éthique professionnelles. Il me semble qu"en France l'enquête aurait été plus difficile.