Maud 1ère partie - histoire érotique

Pour les lecteurs de l’immeuble 3, je (Marine) vis le grand amour avec son moniteur d’auto-école. Nous vivons ensemble dans la petite maison d’Éric.
Mais l’histoire que je vous raconte aujourd’hui est celle de Maud, une amie d’enfance de mon copain. Je vais vous la raconter comme elle l’a fait.

D’abord, une petite description. Maud est une jolie fille de 17 ans. Elle fait 1m65 pour 54 kg, a des yeux bleus clairs et le teint mate qu’elle tient de son père. Elle a une belle poitrine qui fait un beau 85C et une cambrure de rein qui met en valeur ses fesses. Elle est très complice avec ses parents, un peu moins avec son grand frère même s’ils s’endentent plutôt bien.

Comme presque chaque année, son frère organise une soirée dans le sous-sol de ses parents. Les parents laissent la maison à ses enfants et Maud profite de ces soirées pour danser et boire un peu. Cette année-là, Maud a bu un peu plus que d’habitude et est draguer par le beau gosse de la soirée. Vincent a la réputation d’être un tombeur et beau parleur. Maud se laisse séduire par le jeune homme qui a une idée en tête. Le fait que ce soit la sœur de son pote ne l’arrête pas. La drague a fait son effet sur Maud qui accepte d’aller dans sa chambre avec lui. Inhiber par l’alcool, elle se sentait prête à lui céder d’autant qu’elle se sentait un peu niaise par rapport à ses copines qui avaient toute déjà coucher. Une fois dans la chambre, elle se laisse allonger sur son lit. Tout en embrassant Maud, Vincent libère sa poitrine qu’il caresse avant de sucer ses tétons qui pointent. Sa main se faufile sous la jupe et atteint le sexe de Maud. Il caresse le clitoris et aventure un doigt dans le vagin humide de la jeune fille. Elle le laisse lui retirer sa culotte. Il apprend que c’est sa première fois et reste très doux. Il lui lèche le clitoris et écarte ses lèvres pour y faire pénétrer sa langue. Elle prend du plaisir à cette caresse qu’elle ne connaissait pas. Il remonte l’embrasser et lui dirige sa main vers son pantalon qu’il a défait sans qu’elle s’en rende compte. Elle est impressionnée d’avoir en main ce gros membre qu’elle caresse. Pendant ce temps, il la déshabille complètement. Puis, il se détache, se déshabille à son tour et se munit d’une capote. Il s’allonge sur elle et lui demande si elle est sûr de vouloir. Elle répond d’un mouvement de tête et d’un sourire. Les yeux de Maud le font craquer et il se présente à l’entrée de son vagin. Il lui dit qu’elle risque d’avoir un peu mal mais qu’après se sera bon. Effectivement lorsqu’il perfore l’hymen, elle pousse un petit cri. Mais la douleur est brève et dès qu’il commence ses va-et-vient, elle éprouve du plaisir. Elle est heureuse et l’étouffe de baisers. Après quelques minutes, il se cale au fond de son vagin et jouit dans son préservatif. Maud est heureuse de n’être plus vierge même si elle sait que Vincent ne restera pas avec elle.

Quelques jours plus tard, elle décide de tout avouer à sa mère et fut surprise de sa réaction. Voici la discussion.
- Maman, samedi soir pendant la soirée, j’ai couché avec Vincent.
- Ah, le beau gosse. Vous vous êtes protégé au moins.
- Mais maman, je te dis que je ne suis plus vierge et c’est tout ce que tu trouves à dire.
- Ma chérie, as-tu au moins pris du plaisir.
- Je ne comprends pas ta réaction mais oui, j’ai pris du plaisir.
- Bon, c’est le principal. C’est important la première fois. Tu sais avec ton père, on savait que cela arriverait bientôt et on espérait juste que ça allait bien se passer.
Je vais te raconter ma première fois. Je passais la nuit chez une copine de classe. Nous avons diner avec son père, divorcé. Puis, nous sommes allées dans sa chambre pour parler entre filles. Mais rapidement, son copain est arrivé. Je me suis retrouvé à finir la nuit sur le canapé du salon. Je n’arrivais pas à dormir et je regardais la télé. Son père est descendu dans la salle de bain prendre une douche. Il n’avait même pas regardé dans ma direction. En sortant, il vit que je ne dormais pas et enrouler dans une serviette, il est venu s’assoir à côté de moi. Il me dit que d’entendre sa fille avec son copain le rendait furax mais que son ex-femme lui avait demander d’accepter la situation. Il s’excusa pour sa fille et qu’il était désolé que je sois exclu. Au bout d’un moment, j’ai vu que sa serviette cachait quelque chose qui prenait du volume. Ma nuisette un peu transparente devait être la cause de son état. Je me suis redressé et j’étais très proche de lui avec des yeux pleins d’envie. Avant de me tendre ses lèvres, il a juste dit que je pourrais être sa fille. Nous nous sommes embrassés la suite a été très vite. Ça a été ma première fois et j’ai pris aussi beaucoup de plaisir. Tu vois, ma chérie, il n’y avait pas d’amour mais j’en garde un merveilleux souvenir.

Le lendemain soir, le père de Maud est rentré dans sa chambre. Il lui ajuste dit de faire attention, que les garçons ne cherchaient qu’à l’accrocher à leur tableau de chasse, qu’elle ne devait pas céder facilement et que s’il le garçon l’aimait, il saurait attendre. Elle prit note des conseils de son père et se rendit compte qu’il avait raison. Deux garçons l’avaient largué voyant qu’elle ne couchait pas facilement.

Puis elle rencontra un garçon un plus patient qui accepta d’attendre que Maud soit prête. Au bout de quelques temps, elle accepta de répondre à sa demande de lui faire une fellation. Elle apprit à lui donner du plaisir par cette pratique et elle aimait ça au point de ne pas rechigner à l’amener à la jouissance et même à avaler sa semence. Elle appréciait de dominer la jouissance du jeune homme. Puis un jour, elle céda sous ses caresses. Elle avait accepté qu’il la touche à des endroits plus sensibles. Elle frissonna lorsqu’il avait passé sa main sous la culotte. Ses attouchements lui avaient arraché un gémissement qui en disait long sur le plaisir de Maud. Le plaisir se transforma en désir et lui demanda s’il avait un préservatif. Ila étaient nus sur le lit et il alla chercher l’objet dans son pantalon. Elle le suça et lui mit la capote puis s’allongea sur le dos et écarta les jambes lorsque le jeune homme s’y installa. Il la pénétra lentement et voyant l’excitation de Maud, accéléra ses va-et-vient. Maud était expressive en gémissant de plus en plus fort et lui disait de continuer et qu’elle aimait ça. Maintenant il la baisait avec frénésie. Elle jouit bruyamment lorsqu’elle le sentit éjaculer dans son préservatif. L’attente avait décuplé leur plaisir. Elle avait tellement aimé ça que dès qu’ils étaient tous les deux, elle était demandeuse. Un jour, en pleine séance de cinéma, ils s’étaient éclipsé dans les toilettes et elle s’était faite sauté debout dans les toilettes. Ils avaient fait le test VIH et maintenant ils le faisaient sans capote. Le plaisir de Maud en était encore plus fort. Cette idylle dura une année jusqu’au jour où, son amour sûrement amoindri, il dérapa.
Maud avait rendez-vous dans le studio que prêtait un copain aux deux amoureux. Sauf que ce jour-là, le copain était là. Il était plus âgé qu’eux et avait insisté pour être là. Maud était habillée d’une jolie robe légère. Elle s’était faite belle pour plaire à son homme. Elle fut surprise de voir que son copain n’était pas seul et pensait que l’homme allait partir rapidement. Au lieu de ça, il roula un pétard et leur proposa. Sous l’insistance de son copain, elle fuma quelques lattes. L’homme profita qu’elle était sous l’emprise de cette substance pour la peloter. Maud riait et se laissait faire. L’homme lui sortit les seins de leurs cachettes et les suça. Maud lui tenait la tête et appréciait. La main de l’homme se faufila sous la robe et trouva un sexe humide de désir. Il se dégrafa et pencha Maud pour qu’elle le suce. Son copain tenta de la caresser mais se fit remballer par Maud. Maud qui reprenait un peu ses esprits continua de sucer l’homme. Il voulait aller plus loin maintenant et la redressa. Maud le regarda dans les yeux et lui dit.
- Puisque c’est ce qu’il veut, baise moi.
Elle retira sa robe, sa culotte et nue s’allongea sur le lit. Il mit une capote et la rejoignit.
- Je vais te faire grimper, petite salope.
Ces mots excitèrent Maud qui accepta avec satisfaction la pénétration. Il la baisa sauvagement et Maud gémissait et même criait son plaisir. Sous les coups de l’homme, elle jouit plusieurs fois. Lorsqu’elle sentit l’homme prêt à éjaculer, elle se retira, ôta la capote et le suça jusqu’à qu’il jouisse dans sa bouche. Elle garda la semence dans sa bouche. Regarda son copain, avala en lui montrant bien et ajouta que c’était la dernière fois qu’ils se verraient.

Puis quelques aventures et années plus tard, elle connut son mari.
Elle a 22 ans et comme promis, elle offrit son cul à son mari lors de la nuit de noce. Elle accepta la douleur et pour cette première fois n’éprouva pas de plaisir seul celui d’avoir satisfait son mari. Elle éprouva de la jouissance lors de la deuxième fois où elle accepta une nouvelle sodomie. Plus elle pratiquait, plus elle aimait. Son mari et elle avait une vie sexuelle débridée et elle était plus demandeuse que Yoann, son mari.
Cela fait 3 ans que Maud est marié à Yoann. Bien sûr il y a des hauts et des bas mais dans l’ensemble elle est heureuse. Les quelques problèmes du couple viennent principalement de la dévotion de Yoann à son travail. Cependant depuis quelques temps, lorsque ça se passe moins bien dans son couple, elle ressent différemment le regard des hommes sur elle. Elle pense aussi au jour où elle s’est offerte à un inconnue et au plaisir qu’elle en a ressenti. Lors d’une soirée au travail de Yoann, elle s’est surprise à regarder un collègue de son mari. Elle avait un peu bu et éprouvait le besoin de prendre l’air. Elle s’éclipsa vers le jardin et marcha un peu. Elle était surprise de penser à la soirée où elle avait perdu son pucelage. Elle avait un peu bu aussi ce jour-là. Elle sursauta lorsque le fameux collègue de son mari lui adressa la parole. Elle le laissa la draguer par de belles paroles mais revint dans la salle avant qu’il tente quoique ce soit. La soirée se passa sans autre événement. Mais ça avait un peu troublé Maud et elle y pensa toute la nuit rêvant même une aventure avec cet homme. Le lendemain, elle trouva dans son sac une carte du collègue avec ce petit mot au dos.
- J’ai une proposition honnête à vous faire appelez-moi.
Après y avoir réfléchi toute la journée, elle décida de l’appeler le lendemain.
- Bonjour, c’est Maud, vous m’avez laissé un message sur votre carte de visite.
- Ah oui, bonjour Maud. Voilà, j’ai un client qui cherche une assistante et j’ai pensé à vous.
- C’est gentil, mais j’ai déjà un travail et je m’y sens bien.
- Le salaire est alléchant et vous ne risquait rien à le voir et discuter du poste avec lui.
- Pourquoi pas, c’est vrai que je ne risque rien- Donnez-moi vos disponibilités et j’organise le rendez-vous- Très bien, puis-je en parler à Yoann.
- Attendez le rendez-vous- D’accord je vous envoie un mail avec mes dispos.
- Très bien bonne soirée MaudElle envoyant de son bureau le mail au collègue de son mari. Elle fut à peine surprise de recevoir cette réponse- Parfait, je vois avec mon client et vous tiens au courant. J’ose à peine vous demandez ça, Maud mais serait-il possible que je vous offre un verre quand vous le souhaitez.
Elle réfléchit quelques heures avant de répondre. La dispute avec Yoann n’était pas une excuse et était surprise d’accepter aussi vite. L’inconnue et la situation elle-même l’excitait.
- Mercredi à 13h à la brasserie du pont sur la route de l’aéroport et vous m’offrez le déjeuner.
- J’y serais- Je n’en doute pas, bonne soirée.
Le jour du rendez-vous, elle prit un RTT et passa la matinée à se préparer. Un bon bain, une épilation pour que sa peau soit lisse et douce et un brushing. Elle enfila un tanga bleu et un soutien-gorge assorti. Une robe bleue d’été assez courte. Elle se rendit à la brasserie avec un quart d’heure de retard. Il la trouva particulièrement belle et rien que de la voir, il eut un début d’érection. Elle lui serra la main et s’assit en face de lui. Au fur et à mesure du repas, la tension du début disparaissait et elle riait et laissait l’homme la draguer. Il avait de l’humour et avait touché Maud. Il paya l’addition et la raccompagna à sa voiture quand Maud osa- Je prendrais bien un verre quelque part.
- Je connais un pub à la sortie de la ville- Je vois où c’est, on se retrouve là-bas.
Ils étaient assis au bar sur de hauts tabourets. Il était tourné vers elle et pouvait admirer les jambes assez dévoilées par la position de Maud. Elle le voyait faire et riait toujours autant en se laissant draguer. Il osa poser une main sur son genou et Maud le regarda avec ses yeux de braise et fit aucun geste de refus. Yeux dans les yeux, il commença à caresser son genou et remonta vers sa cuisse dénudée.
- Thomas, je suis mariée avec ton collègue. Elle employa le tutoiement maintenant.
- Je sais j’en suis assez jaloux. Tout en continuant de caresser sa cuisse- Ce serait une bêtise et je suis fidèle- C’est toi qui le dit- Je suis fidèle et oui, ce serait une bêtise. Elle employa un ton un peu sec mais laissa sa main progresser sur sa cuisse.
Il tenta le tout pour le tout.
- J’habite à deux pas et j’ai un superbe armagnac.
Maud resta songeuse et ne répondit pas. La main sur sa cuisse lui faisait de l’effet. Elle savait en venant que ce moment allait arriver. Elle but d’une traite son gin fizz et se leva. Elle le regarda dans les yeux- On y va ?
Elle allait commettre l’irréparable mais était séduite. Ils partirent main dans la main jusqu’à l’appartement de Thomas. Arrivé dans l’appartement, ils s’embrassèrent dans l’entrée. Il fit glisser la fermeture éclair derrière la robe et l’a fit tomber jusqu’aux hanches. Il caressa ses seins à travers le soutien-gorge. Elle ne resta pas inactive et une main vint dégrafer son pantalon. Il l’attira vers le canapé du salon. Elle le poussa et à genou, fini de lui retirer son pantalon et son boxer. Elle commença à le sucer avec son savoir-faire. Il appréciait que cette jeune fille se lâche à ce point. Il avait 41 ans et se taper la femme de son collègue de 25 ans. Pendant qu’elle le suçait, il dégrafa son soutien-gorge. Il la fit s’assoir sur le canapé à côté de lui. Il se jeta sur les seins et tant dit que sa bouche pinçait, mordillait les tétons, une main s’insinua sous la robe et se faufila sous le tanga.
- Si je trompe mon mari, c’est dans le lit conjugal.
- Ok, suis-moiIls se déshabillèrent et s’allongèrent sur le lit. Elle l’embrassa et pivota pour se retrouver sur le dos, offerte. Il s’installa sur elle et embrassa le front, la bouche, les seins, le nombril puis atteint le sexe. Il suça son clitoris, écarta ses lèvres et y enfouit sa langue. Elle jouit une première fois de cette caresse. Puis il remonta, la regarda dans les yeux et s’enfonça en elle. Maud gémissait bruyamment et jouit de nouveau. Il la besogna plusieurs minutes avant de la prendre de côté dos à elle. Dans cette position, il lui malaxait les seins et Maud jouit de nouveau. Puis il l’installa à quatre pattes au bord du lit. Lui debout, la prenait en levrette. La possession était plus profonde et plus rythmé. En même temps, il caresser la corolle qui s’offrait à sa vue.
- Tu veux me prendre les fesses- Je peux ?
- Oui, j’aime ça aussiIl lui prépara la pénétration avec ses doigts humidifiés de la mouille de Maud. Elle lui attrapa le sexe et le présenta à son anus. Il poussa lentement et une fois le gland passé, Maud se recula de telle sorte qu’il entre d’un trait. Il n’avait jamais sodomisé une fille et de le faire avec cette jeune femme l’excitait d’autant plus. Tout comme elle, il y prit énormément de plaisir et se laissa aller en elle. Elle eut cette fois un véritable orgasme. Elle avait été tellement excités par leur baiser torride qu’elle n’avait même pas pensé à lui demander de se protéger.