Mémoire d'une jeune nippone

- Par l'auteur HDS Hebi -
Récit érotique écrit par Hebi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Mémoire d'une jeune nippone Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2013 dans la catégorie Fétichisme
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Mémoire d'une jeune nippone
Ma maîtresse était une geisha fortuné de 17 printemps quand elle m’acheta pour quelque pièces de bronze dans un marché de Kyoto. Elle était entretenue par un riche marchant d’arme originaire de la région d’Okinawa. Quand j’eu à mon tour 17 ans , ma maîtresse avait beaucoup d’admirateur quand elle déambulait dans les cartiers les plus somptueux de la ville et je remarquais très vite que les gens , homme comme femme me trouvaient séduisante et pourvue d’un esprit fin et vif. Je passais mon adolescence dans l’opulence. Nous habitions un très joli temple tout près d’une rivière entouré par des magnifiques cerisiers fleuris aux parfums et aux couleurs enivrantes. Pour nous servir , deux servantes nommées Sahori et Inaku aidaient ma propriétaire qui s’occupait de la surveillance de la demeure. Comme ma maîtresse ne se cachait pas devant moi , j’assistais tous les jours à des ébats d’une intense volupté qui ne faisaient qu’en moi renforcer l’ardeur de ma nature. Je les vis souvent s’entre-masturber entre elles avec de superbes pénis en pierre de jade. Lorsque ma gardienne passait la nuit avec un homme , j’allais coucher avec les servantes qui me faisaient goutter à des plaisirs sans nom.
Un jour , que ma maîtresse couchait avec un célèbre notaire de Tokyo du nom de Abizo Akamura , elle me fit appeler pour m’allonger entre eux. Le notaire se mit à me caresser et à me palper le plus naturellement du monde , je lui rendis de douces caresses. Frottant de ma petite main le sexe humide de ma propriétaire et l’imposent membres d’Abizo. J’avalais goulûment le sabre du notaire , m’offrant au bout de quelques minutes le précieux liquide. Il fut si émerveillé et me trouva si gourmande qu’il m’offrit mille pièces de bronze pour la prise de ma vertue.
Enfin le jour tant désiré arriva. Pour ce jour si spéciale nous avions ouvert la porte coulissante qui séparait la chambre de maîtresse à celle de la salle à thé , de sorte que cela ne forme plus qu’une seule et même pièce. La table basse avait été dresser au milieu de la pièce ainsi préparé et recouverte d’un délicat voile de soie blanche. J’avais tout simplement passé un léger kimono sur mes épaules cachant ma nudité.
Quand midi sonna , Akamura vêtu de son plus beau vêtement , sabre à la ceinture comme pour arriver en conquérant entrait chez nous par la porte principale du temple. Le déjeuner fut servi par les servantes qui pour l’occasion étaient entièrement nues à l’exception de jolies chaînettes d’argent qui partaient de leurs petits orteils et entouraient leurs chevilles. Le repas fut servit par Inaku tandis que Sahori servait les alcools aux fur et àa mesure , et a chaque passage , le vicieux notaire caressait les fesses des servantes. Au dessert je fis tomber mon kimono de la base de mes épaules jusqu’à mes pieds , et je commençais à me toucher. le saké ayant accentué son désir , Abizo à coté de moi devint rouge écarlate à la vue de mes seins qui pointaient de plaisir. Ma maîtresse à genoux devant lui , dépliait furtivement ses jambes et les glissa sous la table. Puis elle titillait son bambou à l’intérieur de son épais kimono à l’aide de ses pieds , une érection se fit aussitôt sentir puis elle refermait ses pieds étaux autour de sa verge. le notaire au comble de l’excitation aventurait sa main sur mon entre jambe , et frottait les parois de mon vagin avec le tranchant de la main . Mon sexe à présent s’humidifier de plus en plus et me chatouiller d’un coup par des spasme a intervalle irrégulier dans tout mon corps , j’était toute mouillé et folle de désir. Je m’avançais à quatre pattes tel une panthère sur la table , lentement de manière a se que se geste soit le plus sensuel possible et me stoppait. Ma maîtresse relâchait l’emprise de ses pieds sur son sexe comme un serpent qui relâche doucement sa proie après l’avoir étouffer. Abizo se jetait sur moi d’une fougue démesurée et pénétrait ma virginité de son créateur , entamant ainsi une longue série de va et vient. il se retira et enfonça mon anus pour y déposer sa semence. Le doux et chaud liquide coula de mes fesses , et dans un soupire je les remercies , m’écroulant ensuite de fatigue sur la table.


Et la se termine ma première journée d’amour qui restera gravé dans mon coeur aussi longtemps que durera ma vie. fin

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Certes, votre orthographe en français est approximative, mais Dieu que le japonais est
difficile! Je suis prêt à corriger vos textes si cela vous intéresse.
En revanche, votre récit est d'une troublante sensualité, pleine d'une sensibilité
typiquement orientale. En cela, j'ai passé un excellent moment d'excitation à la
lecture de votre histoire.
Merci, je serai ravi que vous poursuiviez votre récit.

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Hélas, point la geisha n'a appris l'orthographe...

Histoire Erotique
Tapez grammaire et orthographe sur google, ça aide.



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