Mère de famille découvre la passion 2
Récit érotique écrit par MurmureMasqué [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mère de famille découvre la passion 2
Voici la suite du premier épisode où je raconte mes débuts avec Sophie, mère de famille et professeur de français dans un collège. Après nos jeux de séductions et son orgasme sous mes mains dans le petit bureau de la bibliothèque, il est temps de s'isoler des collègues et passer aux choses sérieuses...
Le récit précédent et cette deuxième partie étaient initialement un seul et même texte, mais je pense l'avoir coupé au mauvais endroit. Je vous conseille vivement de relire la première partie pour mieux apprécier mon histoire.
Partie 2:
En retournant vers Sophie je la retrouve encore troublée, les pommettes rouges et le regard plein d'envie.
Je la prends par la main, pour m'occuper d'elle dans un coin tranquille. En sortant de la pièce je prends une porte juste avant les toilettes. On marche le long d'une pièce sécurisée où des serveurs tournent à plein régime, le boucan est infernal. Au bout, on prend une porte qui mène à un éscalier déscendant. L'escalier nous envoie à un grand espace frais, on est en quelques sortes aux fondations de la bibliothèque. Il y a des gravats sur le sol et des piliers qui nous entourent.
Au bas de l'escalier, juste avant d'accéder au grand espace, il y a une petite place de béton sans gravats. Ici, je la plaque contre le mur et lui bouffe la bouche. La scène est bestiale. Je lui dévore les formes avec mes mains ainsi qu'avec ma langue. Brutalement je lui retire les bretelles de sa robe pour avoir accés à sa poitrine opulente. A chaque coup de langue elle me répond. La timide a laissé place à une femelle survoltée. Elle a faim. Sa poitrine liberée, j'alterne entre toutes les parties de son corps. Tantôt je suis sur ses seins tantôt je lui fouille la bouche avec ma langue. Elle aussi est complètement affamée, elle me tire vers elle, me tient la tête quand je suis dans sa poitrine ou que nous nous embrassons. Ce ne sont plus des gémissements qu'elle laisse échapper mais des râles rauques de fauves. Débarassé de sa culotte que j'ai jeté au loin et sa robe retroussée, je la replaque contre le mur froid en beton.
Après cette instant pleine de fougue, je calme le jeu. De ma main gauche, je la tiens fermement contre le mur au niveau de la gorge comme pour l'étouffer, le reste de mon corps la plaque entièrement contre le mur pour m'imposer. Je la domine d'une tête et plonge mon regard dans le siens à quelques centimètres. Elle a le souffle fort, ma main toujours autour de son cou, elle me fixe de regard le menton levé comme pour me défier.
On se souffle mutuelement sur le visage, comme deux bêtes avides l'une de l'autre. Elle continue de me défier sans la moindre parole, mais à travers ses yeux je l'entend me dire: "Alors jeune étalon, vas y. Montre ce que tu sais faire".
J'esquisse un léger sourir sans la quitter des yeux. Cette instant est magique, peut-être le plus intense de la journée. On continue à se toiser. Je lui mets un coups de langue sur sa bouche en continant de la défier. Ma main droite vient lui ajuster lentement et tendrement une mèche derrière son oreille, puis, cette même main se faufille brièvement entre ses jambes, le long de ses cuisses humides. Elle coupe cette fois ci le contact visuel en fermant les yeux tout en sursautant de plaisir au contact de mes doigts entre ses jambes. Je continue les effleurements sur ses cuisses du bout de mes doigts. Elle réouvre les yeux mi-clos. Maintenant son regard est mielleux. Elle semble dire du regard: "tu sais m'apprivoiser, je t'en supplie... prends moi..."
J'entrecroise d'un mouvement tendre et lent ma main droite dans sa main gauche que je ramène plaquée juste à côté de sa tête. Elle de son côté a refermé les yeux pour profiter de la moindre de mes caresses. Ma main gauche toujours autour de son cou lui fais tourner la tête lentement sur le côté. Je lui lèche lentement mais fermement le cou de la clavicule au lobe de son oreille. Elle frémit et sa respiration devient saccadée. Ma main droite libère la sienne pour se poser sur sa chatte. Encore une fois elle tressaillie. D'un geste lent et délicat je lui masse tendrement sa chatte completèment baveuse.
Pendant ce temps, je lui susure lentement à l'oreille: "Voilà Sophie... doucement... voilà ma cherie, tu es à moi...relache toi" Tout en la maintenant par le cou avec la main gauche et en lui massant l'entre jambe de l'autre, je la sens flancher, elle se déhanche discrètement sous mes caresses. Ce mélange de tendresse et de fermeté luii fait beaucoup d'effet.
Ses jambes tremblent et ne la tiennent presque plus. Je continue lentement: "Voilà c'est ça ma cherie...lache toi... abandonne toi Sophie... tu vas jouir abondemment".
Elle ne tiens plus, ses jambes la lachent, donc je lui lache le cou aussi pour ne pas l'etouffer. Ma main passe maintenant derrière elle pour lui saisir fermement les cheuveux, l'autre continue de lents mouvements de rotations sur sa vulve. Elle gémit de plus en plus fort. Elle si timide, me supplie maintenant de continuer de faire d'elle ma chose. Je continue lentement, à mon rythme. Je la sens se tordre et vois ses yeux se révulser. Malgrès que ses jambes ne la tiennent plus, dans son orgasme, elle a la force de donner de puissants coup du bassin qui me font recculer à chaque mouvement.
Je l'allonge sur le sol pour qu'elle reprenne ses esprits. Elle est dans les vapes, presque évanouie. Je m'installe à ses côtés, sa tête repose sur mon bras gauche, ma tête, juste au dessus de la sienne l'admire. Elle est fascinante. Les yeux fermés elle respire par la bouche, elle est dans son monde. J'ai l'impression de ne pas existé. Je lui caresse lentement le visage et lui réajuste encore une fois une mèche derriere l'oreille. elle continue à avoir de légers soubresauts et ses jambes sont encore tremblantes. Très calin, je m'amuse à lui mettre des petits coup de langue dans le cou et sur la joue comme un chaton. Je lui mets des petits baisers un peu partout sur le corps.
Elle revient à elle le visage tout rouge, les cheveux ébouriffés mais l'air comblée. Je l'embrasse à pleine bouche, elle passe ses bras autour de mon cou. Je commence à peine à lui caresser la poitrine que sa respiration s'accélère. J'ai l'impression de l'avoir rendu à fleure de peau. La moindre caresse, le moindre effleurement la transporte au bord de la jouissance.
Sa tête toujours dans le creux de mon bras, je passe ma main droite sur son entre jambe, elle frémit. Je plonge ma tête dans sa poitrine et me mets à gober ses mamelles à pleine bouche. Je suis sur elle maintenant, je lui dévore littéralement les seins. Je bave sur ses deux globes de chairs, je les mordille. Elle se tortille sur le sol tout en gémissant. Je la sens déjà capable de jouir... Sans qu'elle ne s'y attende, je lui pince soudainement ses deux tétons dressés comme deux piquets. Elle hurle tellement fort que j'ai peur d'être trouvé. Mais je continu à la bouffer, lui mets un long coup de langue des seins jusqu'au cou, puis, sur elle, je lui devore la bouche. Apres son hurlement, elle est à nouveau traversée par de puissants spasmes, le souffle coupé. Tout en l'embrassant, sur elle, je la plaque contre le sol pour contenir ses puissantes contractions, elle, me cris dans la bouche.
Pendant, cet espèce de rodéo sauvage de plaisir, je décolle ma bouche de la sienne et lui agrippe les cheveux en collant mon front contre elle pour l'immobiliser. Je lui chuchote: "Voilà ma cherie, joui vas y... je suis là... je suis là..."
Après quelques derniers soubresauts, elle garde les yeux fermés, la respiration forte, comme si elle sortait d'un marathon. La Sophie que j'ai rencontré n'existe plus à cet instant. C'est une femme allongée sur le sol froid du sous-sol d'une bibliothèque, ses jambes et ses gros seins qui pointent à l'air. Elle a la robe retroussée au niveau du ventre, le visage marqué et les cheveux en pagaille. Cette image dénote completement avec l'enseignante modèle et soignée.
Elle retrouve bizarrement trés vite ses esprits. Comme si elle se rendait compte du problème que pouvait provoquer notre absence prolongée. Elle ne sait pas que j'ai assuré le coup avec la bibliothécaire et qu'on a tout notre temps devant nous.
Elle se redresse, le souffle toujours rapide et tend les bras. Je la soulève, debout devant elle, le torse bombé. Je la fixe joueur, comme pour la taquiner: "alors ? Tu as vu ce que je peux faire d'une sage mère de famille ? Ton corps m'appartient maintenant..."
Elle réajuste sa robe, encore troublée, se tourne vers l'escalier pour mettre ses pieds dans les petits talons qu'elle avait abandonné dans notre élan. Me tournant le dos à moitier et posant le pied sur la première marche elle me dit: "On doit monter, ils risquent de se poser des question si..." Je ne la laisse pas finir sa phrase, je la pousse sur l'escalier, son cul est ainsi à ma disposition. Trois grosses claques s'abattent sur son fessier bien en chair. Je la redresse, la tirant par les cheveux et la plaquant contre moi. Elle sent la barre que j'ai entre les jambes collée dans le dos. Le rapport à l'air violent mais j'ai gardé un ton joueur. Sa tête toujours tirée vers moi, je malaxe de ma main gauche on sein droit, rangé dans la robe. Ma bouche collée à son oreille: "Tu crois pouvoir t'en tirer comme ça ?" Dans un soupire les yeux fermé elle répond: "C est trop bon mais elles vont..." Ma main libère son sein pour s'agiter sur sa chatte par dessus la robe. Je la coupe: "elles ne vont rien faire du tout Sophie... et toi non plus..." je continue à m'agiter sur sa chatte, "...tu ne vas rien faire d'autre Sophie que continuer à jouir entre mes mains..." Sa tête s'abandonne sur mon épaule, elle gémit de mes paroles. Je lui dis un peu plus fort: "Maintenant tu vas goûter à ma queue... tu vas adorer te laisser à tes plus bas instincts... te faire saillir" Elle ose en soupirant des petits "oui" pendant mes paroles salaces. Mes doigts qui s'agitent sur sa chatte lui procurent une sensation particulièrement délicieuse puisqu'elle ne porte rien sous sa robe. Je la pousse à nouveau sur l'escalier. Elle se cambre et je lui relève la robe. Son cul est magnifique.
Je libère enfin mon gourdin épais pour poser le bout à l'entrée de son vagin. Impatiente, elle tente de pousser pour me sentir en elle. Une énorme claque lui arrache un cri de surprise. Je veux me jouer maintenant de son excitation. Je saisi ma hampe pour la glisser diaboliquement le long de sa chatte. J'ai rarement eu une partenaire aussi humide. Je la titille lentement alors que ses lèvres bavent de plus en plus. Ses gémissement aigus sont comme des plaintes. A chaque fois qu'elle essaye de pousser ses fesses contre moi pour que je la pénètre, une grosse claque sur la fesse lui rappelle mon autorité. Cela l'excite particulièrement. Des gouttes de plaisir perlent le long de ses cuisses. Elle ose, un long moment après la faire languir, entre deux gémissements, un: "pitié vas y... ouh... prends moi... vas y".
Je la redresse une nouvelle fois fermement par les cheveux: "Voilà Sophie... c'est bien... Donne moi envie... Demande moi de te faire du bien... demande moi de te faire jouir..." Elle ne répond que par des gémissements. Je la relache apres avoir liberé ses seins qu'elle avait pris soins de ranger.
Je continue à la torturer de bout de mon mât, elle n'est plus trés loin d'un nouvel orgasme, son bassin se met à se déhancher sans qu'elle ne le contrôle. Je claque parfois ses grosses fesses fermement quand elle ne s'y attend pas. Ca y est, elle se lache, elle n'en peut plus...
Elle crie maintenant: "Vas y prends moi ! Prends ta chienne ! défonce moi ! Je suis à toi Sami par pitié défonce moi !"
A cet instant je ne souhaite qu'être en elle. Pourtant, je patiente encore un peu pour la rendre folle. Et c'est presque ce qui arrive... Elle se déhanche sur le bout de mon sex tout en gémissant de manière obscène, avec des paroles incompréhensibles.
Je décide, quand elle s'y attend le moins, quand elle pense que je ne fais que m'amuser, de la prendre. Je me plante en elle d'un coup sec jusqu'à la garde !
Elle pousse un cri puissant. Un mélange de surprise, de douleur et de plaisir. Elle ne doit pas avoir beaucoup de relation, j'ai l'impession de l'honorer pour la première fois. Elle est au bord de l'orgasme, ses jambes tremblent comme des feuilles, ça en est presque comique. Mais je reste planté fermement en elle sans bouger, triomphant. Figé en elle, alors qu'elle ne souhaite que mes vas et vient, je prends soins de délicatement passer mes mains dans sa chevelure, pour me saisir de la totalité de sa tignasse que je tiens fermement. Mon mouvement doux mais ferme l'oblige à redresser sa tête bien droite comme si je tirais les rennes d'une jument. Sa tête tirée vers le haut, le reste de son corps à quatre pattes continue à se trémousser d'excitation. Elle est terriblement bandante. Elle m'en veut. Je lui lache les cheveux, me penche sur elle pour l'enlacer tendrement.Je prends mon temps.
Mon torse contre son dos, elle, à quatre pattes, je lui petris trés lentement sa poitrine généreuse. Les dents serrés, entre quelques gémissements elle me lance: "vas y, vasy". Je m'amuse de son impatience. Elle tente d'elle même des coup en arrière du bassin mais je l'imobilise. Dans le creux de l'oreille, après lui avoir longuement lécher le cou, je lui murmure tendrement:
"Je suis en toi Sophie, tu es à moi ma cherie..." Elle me coupe frustrée et aigu;"ouuiiii... prends moi...prends moi maintenant je t'en supplie" je lui lèche lentement la nuque toujours en lui palpant les mamelles: "doucement bébé... la jouissance arrive..."
Continuant à la sentir s'agiter sous mon corps sa chatte n'a pas cesser de dégouliner alors que je suis toujours en elle.
Je decide de mettre fin à ce supplice. Elle jouira la où elle s'y attend le moins. Toujous planter en elle sur son dos, ses globes de chair dans les mains, j'attrape sa nuque de mes dents comme le ferrait un fauve pour l'immobiliser. Par surprise, je lui pince fort ses pointes dréssées qui lui servent de tétons. Elle hurle ! Je commence à la baiser calmement mais avec de puissants coups, secs et fermes. En une dixaine de coups de boutoir, elle se décompose se tordant de plaisir sous mon corps.
Je reste impassible. Je continue de la perforer. Elle jouira autant qu'elle veut, je continuerai de la défoncer. Je sens ses vives contractions abdominales, elle hurle par moment ou a le souffle coupé. Elle gémit la machoir serrée. Je continue imperturbable, d'un rythme régulier mes coups secs et viriles. Ma main gauche la plaque contre l'escalier au niveau du dos, je suis littéralement appuyé sur elle. Maintenant, de l'autre main, je lui tire les cheveux pendant qu'elle continue ses folles réactions.
Après de longues secondes sans l'entendre, elle reprends connaissance. Je suis toujours en train de la labourer sauvagement, la scène est vraiment animale. Cette dame respectée est plaquée sur le sol, labourée bestialement par un jeune fauve.
J'accelère un peu la cadence, toujours avec des coups secs et puissants. Le contacte de son gros fessier contre mon bassin à chaque pénétration est divin. Je la gobe de tout mon corps. Elle se remet à émettre des sons aigus les yeux fermés. On ne sait sur l'expression de son visage, si elle se plaint de ce traitement ou si elle en raffole.
Toujours comme un marteau-piqueur, quand elle cesse brèvement d'être bruyante, on entend ses fesses claquer et discrètement de légers grognements de ma part. Comme si je la punissais. Par surprise, je me permets parfois de grosses gifles sur ces belles fesses.
Le rythme est un peu plus soutenu maintenant et je la tiens des deux mains au niveau de cou par derrière tout en la besognant avec vigueur. Elle est vraiment sensible, elle jouit toutes les minutes, crispée, convulsée. Elle tente parfois de griffer l'escalier, ce qui me fait discètement sourire. Je me dis qu'elle va se souvenir de moi toute sa vie. Ses réactions me laissent penser qu'elle n'a pas eu de relation depuis longtemps, c'est beaucoup trop facile...
Je passe maintenant à la vitesse supperieure avec de discrets grognements. C'est bestiale ! Ses râles sont vraiment indécents ! Je la traite de tous les noms. Tout le long je m'entends dire: "Tu faisais la timide ? Sale chienne ! ... Voilà comment je te casse le cul ! ... Elle se fait déboiter la prof de français ! ... tu étais discrète, continue à couiner grosse chienne ! ... Elle est bruyante la mère de famille maintenant !
Elle ne fait que répondre par des cris rauques, des beuglements... Je la pilonne maintenant comme un malade.
A peu près une minute plus tard de ce traitement, je la sens revenir et moi aussi. Je lui grogne: "Dis moi que t'es ma chienne, pétasse !"
Elle poursuit ses cris sauvage... "Dis le sale pute !"... Toujours rien. Je stope soudainement mon matraquage, elle met de puissants coups arrières pour continuer.
Elle: "VAS Y, VAS Y, OUI JE SUIS TA PUTE JE SUIS TA PUTE JE SUIS TA SALE CHIENNE CONTINU JE T EN SUPPLIE BAISE MOI !!!"
Je reprends mais là, vraiment, je la temponne avec force ! Les coups sont violents avec de gros élans !
Ca y est elle joui une nième fois. Je continue encore deux ou trois coup de burin, puis je m'affale sur son dos l'enllaçant de touts part. Mon bras droit s'enroule autour de son coup comme un boa. Elle est immobilisée comme un catcheur. L'autre bras sous ses seins pince son téton droit, elle crie, elle baragouine des choses incompréhensibles. En grognant, je continue quelques puissant coups de reins, puis l'innonde litteralement. Je me répends en elle tout en la serrant de toutes mes forces, en lui mordant la nuque. Elle pousse des cris stridents.
Je ne débande pas, elle ne me connais pas encore, il m'en faut beaucoup plus mais ça doit faire longtemps que nous sommes dans le sous sol. Elle a déjà du mal à tenir debout, je ne la sens pas capable de supporter encore mes assauts.
Elle, est avachie sur l'escalier le cul à l'air est souillé. Elle est comme évanouie. Seul ses jambes tremblantes trahissent son éveil.
Je la retourne délicatement sur le dos. Elle me fait maintenant face, étalée sur l'escalier, completement salie, ébouriffée. Je pose mon gourdin plein de nos mélanges sur sa grosse poitrine et entame des va-et-vient dans sa merveilleuse poitrine.
Cinq minutes ont dues passer quand elle ouvre les yeux, me voyant m'activer entre ses seins.
Je fais exprès de buter sur son menton comme pour l'inviter à m'accueillir dans sa bouche. Elle ne s'en rend même pas compte. Elle est dans la lune, dans son monde, le regard mouillé et comblé. Elle me fixe amoureuse sans me quitter des yeux avec un sourire ravi, comme si j'étais la chose la plus précieuse à ses yeux.
Je n'aime pas ça. Je ne compte pas m'éterniser avec elle, même si nos ébats sont divins. Je n'aurais pas du lui montrer trop de tendresse et me contenter de la défoncer. Bref, je gérerai ça plus tard, il ne faut pas que je tarde.
Je compte me lacher sur ses seins pour ensuite lui baiser la bouche. J'accelere mes allers-retours sur son opulente poitrine et fini par me déverser pour la deuxième fois, cette fois-ci, sur sa poitrine et sur sa bouche. De puissantes et longues giclées se répendent sur elle. Elle n'as pas arreté de me fixer, l'air gaga.
Elle n'est plus coquette du tout, mais je m'excite de la voir ainsi. Je n'ai toujours pas débandé et m'essuie le manche sur sa robe retroussée. De toutes façons elle est déjà complètement salie.
Je saisi sa tête des deux mains et j'insère mon gros mât dans sa bouche baveuse. Mon sexe est trés épais, j'ai l'impression de l'étouffer. La situation est obscène. Je lui baise la bouche et il n'y a que des bruits de suçons, de déglutitions.
De temps en temps, quand elle n'en peu plus, je sors pour qu'elle reprenne ses esprits, puis par surprise m'enfonce en elle. Je ne rentre pas totalement en elle mais je l'accoutumerai une autre fois. Mes gorges profondes lui font recracher des quantités faramineuses de bave. Elle est complétement souillée.
Après une dizaine de minutes à lui ramoner la bouche et à la traiter de tout les noms, je décide de me décharger en elle. J'aggrippe ses cheveux de ma main droite pour accélérer la cadence dans sa bouche. Ma main gauche lui met de temps en temps une petite claque sur la joue en l'insultant. Je lui dis: "Je vais me déverser en toi Sophie et tu vas avaler !"
Je lui saisi fermement la tête des deux mains pour me décharger en elle et m'immobilise pour bien savourer l'instant.
Je ressors encore en forme, mais moins dur qu'avant. Elle est avachie, éreintée, mais je la trouve magnifique. Je m'assois à côté d'elle. C'est le retour au calme. Après un silence, je la sors de ses pensées en lui disant: "J'ai encore envie de te toi Sophie, mais les autres vont se mettre à te chercher..." Elle: "Mais... Je peux pas remonter comme ça..."
C'est vrai qu'elle n'est vraiment plus présentable et attirerait les soupçons voir même les moqueries. Je lui propose d'aller lui acheter une robe au centre ville, elle me répond: "Non, c'est trop compliqué, va plutôt m'en chercher une dans mon appart, mon fils est chez son père pour la fin des vacances." Je m'étonne de la voir me faire ainsi confiance, on ne se connait quasiment pas finalement mais elle a raison, lui acheter une robe mettrait encore beaucoup de temps.
Après m'avoir expliqué comment me rendre chez elle et où sont ses clés à l'étage, je prends mes jambes à mon cou pour lui ramener une autre robe le plus rapidement possible. Arrivé en haut, j'ouvre discrètement la porte pour entrer dans le couloir. Tout à l'air normal. Je traverse le bureau et sors par la salle des cartons pour ne pas me faire repérer car je ne suis pas censé être là.
En revenant de chez elle, je n'arrête pas de repenser à cet aprem complètement folle. Je me dis que, chez elle, j'aurais du en profiter pour chercher ses dessous coquins. Avec son string d'aujourd'hui (l'a t elle retrouvé dans le sous sol ?) elle devait certainement avoir d'autres pièces interessante. J'ai encore envie de la prendre dans ce sous sol. Arrivé à pas de chat, je déscends tout doucement dans sa direction. Elle est assise et regarde au loin, pensive. Elle n'a pas l'air de regretter, au contraire, mais elle doit se dire que ce qu'on a vécu est complètement fou.
Je me mets tout de suite à lui palper les seins. Elle, surpise, me fait comprendre qu'elle n'en peut plus. J'insiste et glisse rapidement ma main sur sa vulve meurtri. Elle sursaute, mais pas de plaisir cette fois-ci. En effet le traitement de cet après midi lui a endolori la zone.
Je n'insiste pas, je ne peux pas prendre de plaisir en sachant qu'elle n'en prend aucun.
Elle constate ma déception et glisse sa main sur mon entre-jambe. Je suis déjà au garde à vous. Elle s'exclame: "Mais tu ne t'arrête jamais toi ? Je peux pas te laisser comme ça après tout le bien que tu m'as fais" Elle se penche pour me gober. Je suis assis sur l'escalier, en détente. Elle est assise à mes côtés mais penchée sur moi. Elle s'applique vraiment sur ma hampe maintenant très dure. Elle y met vraiment du sien, et à ma grande surprise elle est vraiment douée.
Après cinq minutes de ce délicieux traitement, elle active littéralement sa tête sur ma queue. Les bruits sont obscènes. Je me vide dans ça bouche, et joueuse, elle me fixe l'air coquine tout en m'avalant. Je lui caresse les cheuveux, c'est divin. "Alors ça t'a plus ?" me dit-elle espiègle. Elle n'est vraiment plus la même du tout, elle taquine du bou de son nez ma grosse queue mi dur maintenant.
Je lui rappelle qu'elle va devoir remonter en lui tendant la robe blanche (ramenenée de sa garde robe) posée plus haut sur l'escalier. Elle enlève sa robe bleue complètement sale. Elle me tourne le dos et s'essuie le visage avec celle-ci. Je ne peux pas m'empecher de claquer ses fesses d'une main ferme. Elle se met à rire.
On a finalement réussi à s'extirper du sous sol un après l'autre sans se faire repérer. Il faut dire que les bibliothécaire ici ont l'habitude de se tourner les pouces. Sur le trajet je pense déjà à la semaine prochaine avec Sophie...
La suite plus tard, si l'histoire est suffisament commentée. Je ne suis pas littéraire et l'écriture de mes ébats me prend du temps. Soyez franc dans vos retours, je ne suis vraiment pas susceptible.
A trés bientôt, je l'espère.
PS: Si vous avez aimé cette histoire, et que vous êtes une femme, vous pouvez me contacter sur ma boite:
mystersam32@proton.me
Peut-être que vous serrez l'héroine de ma prochaine histoire...
Le récit précédent et cette deuxième partie étaient initialement un seul et même texte, mais je pense l'avoir coupé au mauvais endroit. Je vous conseille vivement de relire la première partie pour mieux apprécier mon histoire.
Partie 2:
En retournant vers Sophie je la retrouve encore troublée, les pommettes rouges et le regard plein d'envie.
Je la prends par la main, pour m'occuper d'elle dans un coin tranquille. En sortant de la pièce je prends une porte juste avant les toilettes. On marche le long d'une pièce sécurisée où des serveurs tournent à plein régime, le boucan est infernal. Au bout, on prend une porte qui mène à un éscalier déscendant. L'escalier nous envoie à un grand espace frais, on est en quelques sortes aux fondations de la bibliothèque. Il y a des gravats sur le sol et des piliers qui nous entourent.
Au bas de l'escalier, juste avant d'accéder au grand espace, il y a une petite place de béton sans gravats. Ici, je la plaque contre le mur et lui bouffe la bouche. La scène est bestiale. Je lui dévore les formes avec mes mains ainsi qu'avec ma langue. Brutalement je lui retire les bretelles de sa robe pour avoir accés à sa poitrine opulente. A chaque coup de langue elle me répond. La timide a laissé place à une femelle survoltée. Elle a faim. Sa poitrine liberée, j'alterne entre toutes les parties de son corps. Tantôt je suis sur ses seins tantôt je lui fouille la bouche avec ma langue. Elle aussi est complètement affamée, elle me tire vers elle, me tient la tête quand je suis dans sa poitrine ou que nous nous embrassons. Ce ne sont plus des gémissements qu'elle laisse échapper mais des râles rauques de fauves. Débarassé de sa culotte que j'ai jeté au loin et sa robe retroussée, je la replaque contre le mur froid en beton.
Après cette instant pleine de fougue, je calme le jeu. De ma main gauche, je la tiens fermement contre le mur au niveau de la gorge comme pour l'étouffer, le reste de mon corps la plaque entièrement contre le mur pour m'imposer. Je la domine d'une tête et plonge mon regard dans le siens à quelques centimètres. Elle a le souffle fort, ma main toujours autour de son cou, elle me fixe de regard le menton levé comme pour me défier.
On se souffle mutuelement sur le visage, comme deux bêtes avides l'une de l'autre. Elle continue de me défier sans la moindre parole, mais à travers ses yeux je l'entend me dire: "Alors jeune étalon, vas y. Montre ce que tu sais faire".
J'esquisse un léger sourir sans la quitter des yeux. Cette instant est magique, peut-être le plus intense de la journée. On continue à se toiser. Je lui mets un coups de langue sur sa bouche en continant de la défier. Ma main droite vient lui ajuster lentement et tendrement une mèche derrière son oreille, puis, cette même main se faufille brièvement entre ses jambes, le long de ses cuisses humides. Elle coupe cette fois ci le contact visuel en fermant les yeux tout en sursautant de plaisir au contact de mes doigts entre ses jambes. Je continue les effleurements sur ses cuisses du bout de mes doigts. Elle réouvre les yeux mi-clos. Maintenant son regard est mielleux. Elle semble dire du regard: "tu sais m'apprivoiser, je t'en supplie... prends moi..."
J'entrecroise d'un mouvement tendre et lent ma main droite dans sa main gauche que je ramène plaquée juste à côté de sa tête. Elle de son côté a refermé les yeux pour profiter de la moindre de mes caresses. Ma main gauche toujours autour de son cou lui fais tourner la tête lentement sur le côté. Je lui lèche lentement mais fermement le cou de la clavicule au lobe de son oreille. Elle frémit et sa respiration devient saccadée. Ma main droite libère la sienne pour se poser sur sa chatte. Encore une fois elle tressaillie. D'un geste lent et délicat je lui masse tendrement sa chatte completèment baveuse.
Pendant ce temps, je lui susure lentement à l'oreille: "Voilà Sophie... doucement... voilà ma cherie, tu es à moi...relache toi" Tout en la maintenant par le cou avec la main gauche et en lui massant l'entre jambe de l'autre, je la sens flancher, elle se déhanche discrètement sous mes caresses. Ce mélange de tendresse et de fermeté luii fait beaucoup d'effet.
Ses jambes tremblent et ne la tiennent presque plus. Je continue lentement: "Voilà c'est ça ma cherie...lache toi... abandonne toi Sophie... tu vas jouir abondemment".
Elle ne tiens plus, ses jambes la lachent, donc je lui lache le cou aussi pour ne pas l'etouffer. Ma main passe maintenant derrière elle pour lui saisir fermement les cheuveux, l'autre continue de lents mouvements de rotations sur sa vulve. Elle gémit de plus en plus fort. Elle si timide, me supplie maintenant de continuer de faire d'elle ma chose. Je continue lentement, à mon rythme. Je la sens se tordre et vois ses yeux se révulser. Malgrès que ses jambes ne la tiennent plus, dans son orgasme, elle a la force de donner de puissants coup du bassin qui me font recculer à chaque mouvement.
Je l'allonge sur le sol pour qu'elle reprenne ses esprits. Elle est dans les vapes, presque évanouie. Je m'installe à ses côtés, sa tête repose sur mon bras gauche, ma tête, juste au dessus de la sienne l'admire. Elle est fascinante. Les yeux fermés elle respire par la bouche, elle est dans son monde. J'ai l'impression de ne pas existé. Je lui caresse lentement le visage et lui réajuste encore une fois une mèche derriere l'oreille. elle continue à avoir de légers soubresauts et ses jambes sont encore tremblantes. Très calin, je m'amuse à lui mettre des petits coup de langue dans le cou et sur la joue comme un chaton. Je lui mets des petits baisers un peu partout sur le corps.
Elle revient à elle le visage tout rouge, les cheveux ébouriffés mais l'air comblée. Je l'embrasse à pleine bouche, elle passe ses bras autour de mon cou. Je commence à peine à lui caresser la poitrine que sa respiration s'accélère. J'ai l'impression de l'avoir rendu à fleure de peau. La moindre caresse, le moindre effleurement la transporte au bord de la jouissance.
Sa tête toujours dans le creux de mon bras, je passe ma main droite sur son entre jambe, elle frémit. Je plonge ma tête dans sa poitrine et me mets à gober ses mamelles à pleine bouche. Je suis sur elle maintenant, je lui dévore littéralement les seins. Je bave sur ses deux globes de chairs, je les mordille. Elle se tortille sur le sol tout en gémissant. Je la sens déjà capable de jouir... Sans qu'elle ne s'y attende, je lui pince soudainement ses deux tétons dressés comme deux piquets. Elle hurle tellement fort que j'ai peur d'être trouvé. Mais je continu à la bouffer, lui mets un long coup de langue des seins jusqu'au cou, puis, sur elle, je lui devore la bouche. Apres son hurlement, elle est à nouveau traversée par de puissants spasmes, le souffle coupé. Tout en l'embrassant, sur elle, je la plaque contre le sol pour contenir ses puissantes contractions, elle, me cris dans la bouche.
Pendant, cet espèce de rodéo sauvage de plaisir, je décolle ma bouche de la sienne et lui agrippe les cheveux en collant mon front contre elle pour l'immobiliser. Je lui chuchote: "Voilà ma cherie, joui vas y... je suis là... je suis là..."
Après quelques derniers soubresauts, elle garde les yeux fermés, la respiration forte, comme si elle sortait d'un marathon. La Sophie que j'ai rencontré n'existe plus à cet instant. C'est une femme allongée sur le sol froid du sous-sol d'une bibliothèque, ses jambes et ses gros seins qui pointent à l'air. Elle a la robe retroussée au niveau du ventre, le visage marqué et les cheveux en pagaille. Cette image dénote completement avec l'enseignante modèle et soignée.
Elle retrouve bizarrement trés vite ses esprits. Comme si elle se rendait compte du problème que pouvait provoquer notre absence prolongée. Elle ne sait pas que j'ai assuré le coup avec la bibliothécaire et qu'on a tout notre temps devant nous.
Elle se redresse, le souffle toujours rapide et tend les bras. Je la soulève, debout devant elle, le torse bombé. Je la fixe joueur, comme pour la taquiner: "alors ? Tu as vu ce que je peux faire d'une sage mère de famille ? Ton corps m'appartient maintenant..."
Elle réajuste sa robe, encore troublée, se tourne vers l'escalier pour mettre ses pieds dans les petits talons qu'elle avait abandonné dans notre élan. Me tournant le dos à moitier et posant le pied sur la première marche elle me dit: "On doit monter, ils risquent de se poser des question si..." Je ne la laisse pas finir sa phrase, je la pousse sur l'escalier, son cul est ainsi à ma disposition. Trois grosses claques s'abattent sur son fessier bien en chair. Je la redresse, la tirant par les cheveux et la plaquant contre moi. Elle sent la barre que j'ai entre les jambes collée dans le dos. Le rapport à l'air violent mais j'ai gardé un ton joueur. Sa tête toujours tirée vers moi, je malaxe de ma main gauche on sein droit, rangé dans la robe. Ma bouche collée à son oreille: "Tu crois pouvoir t'en tirer comme ça ?" Dans un soupire les yeux fermé elle répond: "C est trop bon mais elles vont..." Ma main libère son sein pour s'agiter sur sa chatte par dessus la robe. Je la coupe: "elles ne vont rien faire du tout Sophie... et toi non plus..." je continue à m'agiter sur sa chatte, "...tu ne vas rien faire d'autre Sophie que continuer à jouir entre mes mains..." Sa tête s'abandonne sur mon épaule, elle gémit de mes paroles. Je lui dis un peu plus fort: "Maintenant tu vas goûter à ma queue... tu vas adorer te laisser à tes plus bas instincts... te faire saillir" Elle ose en soupirant des petits "oui" pendant mes paroles salaces. Mes doigts qui s'agitent sur sa chatte lui procurent une sensation particulièrement délicieuse puisqu'elle ne porte rien sous sa robe. Je la pousse à nouveau sur l'escalier. Elle se cambre et je lui relève la robe. Son cul est magnifique.
Je libère enfin mon gourdin épais pour poser le bout à l'entrée de son vagin. Impatiente, elle tente de pousser pour me sentir en elle. Une énorme claque lui arrache un cri de surprise. Je veux me jouer maintenant de son excitation. Je saisi ma hampe pour la glisser diaboliquement le long de sa chatte. J'ai rarement eu une partenaire aussi humide. Je la titille lentement alors que ses lèvres bavent de plus en plus. Ses gémissement aigus sont comme des plaintes. A chaque fois qu'elle essaye de pousser ses fesses contre moi pour que je la pénètre, une grosse claque sur la fesse lui rappelle mon autorité. Cela l'excite particulièrement. Des gouttes de plaisir perlent le long de ses cuisses. Elle ose, un long moment après la faire languir, entre deux gémissements, un: "pitié vas y... ouh... prends moi... vas y".
Je la redresse une nouvelle fois fermement par les cheveux: "Voilà Sophie... c'est bien... Donne moi envie... Demande moi de te faire du bien... demande moi de te faire jouir..." Elle ne répond que par des gémissements. Je la relache apres avoir liberé ses seins qu'elle avait pris soins de ranger.
Je continue à la torturer de bout de mon mât, elle n'est plus trés loin d'un nouvel orgasme, son bassin se met à se déhancher sans qu'elle ne le contrôle. Je claque parfois ses grosses fesses fermement quand elle ne s'y attend pas. Ca y est, elle se lache, elle n'en peut plus...
Elle crie maintenant: "Vas y prends moi ! Prends ta chienne ! défonce moi ! Je suis à toi Sami par pitié défonce moi !"
A cet instant je ne souhaite qu'être en elle. Pourtant, je patiente encore un peu pour la rendre folle. Et c'est presque ce qui arrive... Elle se déhanche sur le bout de mon sex tout en gémissant de manière obscène, avec des paroles incompréhensibles.
Je décide, quand elle s'y attend le moins, quand elle pense que je ne fais que m'amuser, de la prendre. Je me plante en elle d'un coup sec jusqu'à la garde !
Elle pousse un cri puissant. Un mélange de surprise, de douleur et de plaisir. Elle ne doit pas avoir beaucoup de relation, j'ai l'impession de l'honorer pour la première fois. Elle est au bord de l'orgasme, ses jambes tremblent comme des feuilles, ça en est presque comique. Mais je reste planté fermement en elle sans bouger, triomphant. Figé en elle, alors qu'elle ne souhaite que mes vas et vient, je prends soins de délicatement passer mes mains dans sa chevelure, pour me saisir de la totalité de sa tignasse que je tiens fermement. Mon mouvement doux mais ferme l'oblige à redresser sa tête bien droite comme si je tirais les rennes d'une jument. Sa tête tirée vers le haut, le reste de son corps à quatre pattes continue à se trémousser d'excitation. Elle est terriblement bandante. Elle m'en veut. Je lui lache les cheveux, me penche sur elle pour l'enlacer tendrement.Je prends mon temps.
Mon torse contre son dos, elle, à quatre pattes, je lui petris trés lentement sa poitrine généreuse. Les dents serrés, entre quelques gémissements elle me lance: "vas y, vasy". Je m'amuse de son impatience. Elle tente d'elle même des coup en arrière du bassin mais je l'imobilise. Dans le creux de l'oreille, après lui avoir longuement lécher le cou, je lui murmure tendrement:
"Je suis en toi Sophie, tu es à moi ma cherie..." Elle me coupe frustrée et aigu;"ouuiiii... prends moi...prends moi maintenant je t'en supplie" je lui lèche lentement la nuque toujours en lui palpant les mamelles: "doucement bébé... la jouissance arrive..."
Continuant à la sentir s'agiter sous mon corps sa chatte n'a pas cesser de dégouliner alors que je suis toujours en elle.
Je decide de mettre fin à ce supplice. Elle jouira la où elle s'y attend le moins. Toujous planter en elle sur son dos, ses globes de chair dans les mains, j'attrape sa nuque de mes dents comme le ferrait un fauve pour l'immobiliser. Par surprise, je lui pince fort ses pointes dréssées qui lui servent de tétons. Elle hurle ! Je commence à la baiser calmement mais avec de puissants coups, secs et fermes. En une dixaine de coups de boutoir, elle se décompose se tordant de plaisir sous mon corps.
Je reste impassible. Je continue de la perforer. Elle jouira autant qu'elle veut, je continuerai de la défoncer. Je sens ses vives contractions abdominales, elle hurle par moment ou a le souffle coupé. Elle gémit la machoir serrée. Je continue imperturbable, d'un rythme régulier mes coups secs et viriles. Ma main gauche la plaque contre l'escalier au niveau du dos, je suis littéralement appuyé sur elle. Maintenant, de l'autre main, je lui tire les cheveux pendant qu'elle continue ses folles réactions.
Après de longues secondes sans l'entendre, elle reprends connaissance. Je suis toujours en train de la labourer sauvagement, la scène est vraiment animale. Cette dame respectée est plaquée sur le sol, labourée bestialement par un jeune fauve.
J'accelère un peu la cadence, toujours avec des coups secs et puissants. Le contacte de son gros fessier contre mon bassin à chaque pénétration est divin. Je la gobe de tout mon corps. Elle se remet à émettre des sons aigus les yeux fermés. On ne sait sur l'expression de son visage, si elle se plaint de ce traitement ou si elle en raffole.
Toujours comme un marteau-piqueur, quand elle cesse brèvement d'être bruyante, on entend ses fesses claquer et discrètement de légers grognements de ma part. Comme si je la punissais. Par surprise, je me permets parfois de grosses gifles sur ces belles fesses.
Le rythme est un peu plus soutenu maintenant et je la tiens des deux mains au niveau de cou par derrière tout en la besognant avec vigueur. Elle est vraiment sensible, elle jouit toutes les minutes, crispée, convulsée. Elle tente parfois de griffer l'escalier, ce qui me fait discètement sourire. Je me dis qu'elle va se souvenir de moi toute sa vie. Ses réactions me laissent penser qu'elle n'a pas eu de relation depuis longtemps, c'est beaucoup trop facile...
Je passe maintenant à la vitesse supperieure avec de discrets grognements. C'est bestiale ! Ses râles sont vraiment indécents ! Je la traite de tous les noms. Tout le long je m'entends dire: "Tu faisais la timide ? Sale chienne ! ... Voilà comment je te casse le cul ! ... Elle se fait déboiter la prof de français ! ... tu étais discrète, continue à couiner grosse chienne ! ... Elle est bruyante la mère de famille maintenant !
Elle ne fait que répondre par des cris rauques, des beuglements... Je la pilonne maintenant comme un malade.
A peu près une minute plus tard de ce traitement, je la sens revenir et moi aussi. Je lui grogne: "Dis moi que t'es ma chienne, pétasse !"
Elle poursuit ses cris sauvage... "Dis le sale pute !"... Toujours rien. Je stope soudainement mon matraquage, elle met de puissants coups arrières pour continuer.
Elle: "VAS Y, VAS Y, OUI JE SUIS TA PUTE JE SUIS TA PUTE JE SUIS TA SALE CHIENNE CONTINU JE T EN SUPPLIE BAISE MOI !!!"
Je reprends mais là, vraiment, je la temponne avec force ! Les coups sont violents avec de gros élans !
Ca y est elle joui une nième fois. Je continue encore deux ou trois coup de burin, puis je m'affale sur son dos l'enllaçant de touts part. Mon bras droit s'enroule autour de son coup comme un boa. Elle est immobilisée comme un catcheur. L'autre bras sous ses seins pince son téton droit, elle crie, elle baragouine des choses incompréhensibles. En grognant, je continue quelques puissant coups de reins, puis l'innonde litteralement. Je me répends en elle tout en la serrant de toutes mes forces, en lui mordant la nuque. Elle pousse des cris stridents.
Je ne débande pas, elle ne me connais pas encore, il m'en faut beaucoup plus mais ça doit faire longtemps que nous sommes dans le sous sol. Elle a déjà du mal à tenir debout, je ne la sens pas capable de supporter encore mes assauts.
Elle, est avachie sur l'escalier le cul à l'air est souillé. Elle est comme évanouie. Seul ses jambes tremblantes trahissent son éveil.
Je la retourne délicatement sur le dos. Elle me fait maintenant face, étalée sur l'escalier, completement salie, ébouriffée. Je pose mon gourdin plein de nos mélanges sur sa grosse poitrine et entame des va-et-vient dans sa merveilleuse poitrine.
Cinq minutes ont dues passer quand elle ouvre les yeux, me voyant m'activer entre ses seins.
Je fais exprès de buter sur son menton comme pour l'inviter à m'accueillir dans sa bouche. Elle ne s'en rend même pas compte. Elle est dans la lune, dans son monde, le regard mouillé et comblé. Elle me fixe amoureuse sans me quitter des yeux avec un sourire ravi, comme si j'étais la chose la plus précieuse à ses yeux.
Je n'aime pas ça. Je ne compte pas m'éterniser avec elle, même si nos ébats sont divins. Je n'aurais pas du lui montrer trop de tendresse et me contenter de la défoncer. Bref, je gérerai ça plus tard, il ne faut pas que je tarde.
Je compte me lacher sur ses seins pour ensuite lui baiser la bouche. J'accelere mes allers-retours sur son opulente poitrine et fini par me déverser pour la deuxième fois, cette fois-ci, sur sa poitrine et sur sa bouche. De puissantes et longues giclées se répendent sur elle. Elle n'as pas arreté de me fixer, l'air gaga.
Elle n'est plus coquette du tout, mais je m'excite de la voir ainsi. Je n'ai toujours pas débandé et m'essuie le manche sur sa robe retroussée. De toutes façons elle est déjà complètement salie.
Je saisi sa tête des deux mains et j'insère mon gros mât dans sa bouche baveuse. Mon sexe est trés épais, j'ai l'impression de l'étouffer. La situation est obscène. Je lui baise la bouche et il n'y a que des bruits de suçons, de déglutitions.
De temps en temps, quand elle n'en peu plus, je sors pour qu'elle reprenne ses esprits, puis par surprise m'enfonce en elle. Je ne rentre pas totalement en elle mais je l'accoutumerai une autre fois. Mes gorges profondes lui font recracher des quantités faramineuses de bave. Elle est complétement souillée.
Après une dizaine de minutes à lui ramoner la bouche et à la traiter de tout les noms, je décide de me décharger en elle. J'aggrippe ses cheveux de ma main droite pour accélérer la cadence dans sa bouche. Ma main gauche lui met de temps en temps une petite claque sur la joue en l'insultant. Je lui dis: "Je vais me déverser en toi Sophie et tu vas avaler !"
Je lui saisi fermement la tête des deux mains pour me décharger en elle et m'immobilise pour bien savourer l'instant.
Je ressors encore en forme, mais moins dur qu'avant. Elle est avachie, éreintée, mais je la trouve magnifique. Je m'assois à côté d'elle. C'est le retour au calme. Après un silence, je la sors de ses pensées en lui disant: "J'ai encore envie de te toi Sophie, mais les autres vont se mettre à te chercher..." Elle: "Mais... Je peux pas remonter comme ça..."
C'est vrai qu'elle n'est vraiment plus présentable et attirerait les soupçons voir même les moqueries. Je lui propose d'aller lui acheter une robe au centre ville, elle me répond: "Non, c'est trop compliqué, va plutôt m'en chercher une dans mon appart, mon fils est chez son père pour la fin des vacances." Je m'étonne de la voir me faire ainsi confiance, on ne se connait quasiment pas finalement mais elle a raison, lui acheter une robe mettrait encore beaucoup de temps.
Après m'avoir expliqué comment me rendre chez elle et où sont ses clés à l'étage, je prends mes jambes à mon cou pour lui ramener une autre robe le plus rapidement possible. Arrivé en haut, j'ouvre discrètement la porte pour entrer dans le couloir. Tout à l'air normal. Je traverse le bureau et sors par la salle des cartons pour ne pas me faire repérer car je ne suis pas censé être là.
En revenant de chez elle, je n'arrête pas de repenser à cet aprem complètement folle. Je me dis que, chez elle, j'aurais du en profiter pour chercher ses dessous coquins. Avec son string d'aujourd'hui (l'a t elle retrouvé dans le sous sol ?) elle devait certainement avoir d'autres pièces interessante. J'ai encore envie de la prendre dans ce sous sol. Arrivé à pas de chat, je déscends tout doucement dans sa direction. Elle est assise et regarde au loin, pensive. Elle n'a pas l'air de regretter, au contraire, mais elle doit se dire que ce qu'on a vécu est complètement fou.
Je me mets tout de suite à lui palper les seins. Elle, surpise, me fait comprendre qu'elle n'en peut plus. J'insiste et glisse rapidement ma main sur sa vulve meurtri. Elle sursaute, mais pas de plaisir cette fois-ci. En effet le traitement de cet après midi lui a endolori la zone.
Je n'insiste pas, je ne peux pas prendre de plaisir en sachant qu'elle n'en prend aucun.
Elle constate ma déception et glisse sa main sur mon entre-jambe. Je suis déjà au garde à vous. Elle s'exclame: "Mais tu ne t'arrête jamais toi ? Je peux pas te laisser comme ça après tout le bien que tu m'as fais" Elle se penche pour me gober. Je suis assis sur l'escalier, en détente. Elle est assise à mes côtés mais penchée sur moi. Elle s'applique vraiment sur ma hampe maintenant très dure. Elle y met vraiment du sien, et à ma grande surprise elle est vraiment douée.
Après cinq minutes de ce délicieux traitement, elle active littéralement sa tête sur ma queue. Les bruits sont obscènes. Je me vide dans ça bouche, et joueuse, elle me fixe l'air coquine tout en m'avalant. Je lui caresse les cheuveux, c'est divin. "Alors ça t'a plus ?" me dit-elle espiègle. Elle n'est vraiment plus la même du tout, elle taquine du bou de son nez ma grosse queue mi dur maintenant.
Je lui rappelle qu'elle va devoir remonter en lui tendant la robe blanche (ramenenée de sa garde robe) posée plus haut sur l'escalier. Elle enlève sa robe bleue complètement sale. Elle me tourne le dos et s'essuie le visage avec celle-ci. Je ne peux pas m'empecher de claquer ses fesses d'une main ferme. Elle se met à rire.
On a finalement réussi à s'extirper du sous sol un après l'autre sans se faire repérer. Il faut dire que les bibliothécaire ici ont l'habitude de se tourner les pouces. Sur le trajet je pense déjà à la semaine prochaine avec Sophie...
La suite plus tard, si l'histoire est suffisament commentée. Je ne suis pas littéraire et l'écriture de mes ébats me prend du temps. Soyez franc dans vos retours, je ne suis vraiment pas susceptible.
A trés bientôt, je l'espère.
PS: Si vous avez aimé cette histoire, et que vous êtes une femme, vous pouvez me contacter sur ma boite:
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Peut-être que vous serrez l'héroine de ma prochaine histoire...
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12 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Si les hommes savaient qu'on aime être prise ainsi parfois... la plupart de mes copines mouilleraient en vis lisant. Vous avez une compréhension du plaisir féminin très étonnante.
J'ai adoré ! J'aime être prise comme ça.
Comme je comprends Sophie. Que c'est bon de se faire baiser ainsi!
Belle histoire bravo
A quand la suite
Votre histoire est complètement à côté de la plaque ! Vous êtes dans le fantasme parce que vous ne connaissez rien aux femmes. Je sais faire jouir les femmes mieux qu'un gamin de votre âge. Vous feignez être doux pour finir par vous comporter comme un sauvage et cela témoigne de votre inexperience. Seul des hommes frustrés comme vous ont appréciés votre texte plein de fautes et se font passer pour des femmes pour vous encourager. Stoppez ici, je connais mieux le plaisir féminin que vous et ai fait jouir plus de femmes que vous.
Merci pour ce bel et long écrit. Je l’ai lu plusieurs fois tellement j’ai aimé. Continuez d’écrire et de nous régaler!
Nb: dommage que je ne sois pas à Strasbourg!
Nb: dommage que je ne sois pas à Strasbourg!
A quand la suite?
le texte est inventif et plaisant à lire. attention pas mal de fautes ( accords , grammaire)
je ne suis pas fan de la chosification de la dame au plaisir exclusif de domination du male. samy peut avoir plus de consideration pour la dame
je ne suis pas fan de la chosification de la dame au plaisir exclusif de domination du male. samy peut avoir plus de consideration pour la dame
Je surveille toujours pour la suite!
Hâte de la suite !
Excellente cette histoire.