mes beaux-parents sont des coquins (1)
Récit érotique écrit par Harry COVERT [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 6 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Harry COVERT ont reçu un total de 25 462 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2007 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 12 782 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
mes beaux-parents sont des coquins (1)
Quelque temps après que ma femme soit parvenue à m’avouer ses aventures sexuelles, et mettant à profit un déplacement à Toulouse, je décide de tout raconter à ses parents pour prendre conseils en vue d’un éventuel divorce.
J’avais peu de relations avec eux, mais j’avais eu de bons contacts avec mon beau-père. Il m’avait toujours parlé d’homme à homme, comme un bon copain qu’il se voulait être envers moi.
Arrivé devant leur belle villa à l’improviste, j’ai aussitôt remarqué deux puissantes voitures allemandes stationnées devant le perron. Ils devaient recevoir des amis, mais je n’avais pas fait 650 kms pour rebrousser chemin afin de ne pas paraître importun. J’ai donc gravi les quelques marches et appuyé sur la sonnette de la porte. Celle-ci ne devait sans doute pas fonctionné, car je n’ai entendu aucun signal sonore. Je tente d’ouvrir la porte et pénètre dans le hall d’accueil. De la musique douce, genre piano-bar, parvient jusqu’à moi en provenance du salon. Je me dirige donc vers celui-ci que j’ouvre prudemment, et là je découvre un spectacle qui me fige.
Trois couples sont entièrement nus, et se livrent à des ébats orgiaques.
Un homme blond, la cinquantaine bien portée, est affalé sur un fauteuil et se fait sucer par une jeune femme rousse à genoux devant lui. Tout à côté, sur un canapé, mon beau-père prend une jeune black en levrette, pendant que ma belle-mère, allongée sur la moquette épaisse, se fait brouter le minou par un jeune type d’une trentaine d’années.
Décontenancé, abasourdi, ne sachant que faire, je referme la porte sur moi laissant à peine un entrebâillement pour observer la suite et réfléchir sur la conduite à tenir.
Ma belle-mère et son partenaire sont bientôt rejoints par l’homme blond qui tend son sexe vers sa bouche. Elle l’engloutit aussitôt pendant que l’autre homme lui positionne les jambes sur ses épaules, la pénètre bien à fond et entreprend de la limer lentement.
Mon beau-père regarde la scène avec amusement, et fait signe à la rousse, laissée seule, de venir se joindre au couple qu’il forme avec la jeune black. Il abandonne sa position et se relève, s’assied dans le canapé, place la rousse assise de dos sur lui, et lui inflige une pénétration rectale qu’elle semble apprécier. La jeune black s’agenouille face à elle, écarte ses cuisses, et de sa langue agile s’occupe de son clito ce qui provoque immédiatement les soupirs et les petits cris de la rousse. Mon beau-père est agrippé aux seins de la jeune femme et l’embrasse goulûment. Voyant le spectacle qui lui est offert, l’homme blond abandonne la bouche de ma belle-mère, s’approche du trio, sexe tendu, et se met à genoux devant le magnifique petit cul de la black. Il le flatte, le caresse, et après avoir sucer son index il l’introduit lentement dans son petit trou en pratiquant des va et viens de plus en plus rapides. Puis son majeur rejoint son index entre les fesses de la jeune femme pour agrandir l’orifice qu’il convoite. Quelques instant plus tard, alors que des halètements, des cris rauques, des gémissements emplissent la pièce, mon beau-père dit à l’homme blond« Vas-y Paul, encule-la, elle n’attend que çà ! » Le prénommé Paul, place alors son sexe entre les fesses de la belle black, et lentement il pousse à fond, arrachant un petit cri à sa partenaire. Le quatuor s’agite en cadence, les hommes sont en sueur et laissent échapper des sonorités animales.
De son coté, ma belle-mère et son partenaire n’ont rien perdu du spectacle. Ils se relèvent, s’approchent du groupe et regardent la scène en échangeant des commentaires salaces. C’est la première fois que je vois ma belle-mère nue, et je suis ébahi de constater qu’elle porte admirablement bien ses 53 ans. Sa poitrine opulente est parfaite, pas un brin de cellulite, plutôt musclée, et une croupe cambrée, ferme, et rebondie surmonte ses deux jambes magnifiques. Ses longs cheveux noirs-ondulé tombent sur ses épaules, encadrant un visage où ses yeux bleus font une tache claire sur sa peau ambrée, trahissant ses origines italiennes. Je l’admire et je découvre être en érection devant la beauté de Francesca.
Elle s’approche alors de son mari, lui prend la tête, et lui donne un baiser brûlant en mélangeant leurs langues, pendant que de sa main gauche elle titille un téton de la rousse qui se fait enculer, le faisant rouler entre ses doigts.
Son partenaire la prend alors par les épaules, la courbe pour lui fait placer la tête sur le dossier du canapé où se trouve son mari, juste à côté de lui. Elle offre alors une position très suggestive, jambes tendues, fesses cambrées, le haut du corps à l’horizontale. Ses seins pendent librement et sont aussitôt pris en mains par le jeune homme placé derrière elle. Se redressant et la prenant par les hanches, il fouille de son sexe entre ses fesses à la recherche du petit trou convoité, et brutalement il s’y enfonce, arrachant un hurlement à Francesca. Mon beau-père tourne de nouveau la tête pour rejoindre la bouche de sa femme dans un baiser fougueux, pendant que le jeune homme s’installe confortablement dans ce cul splendide par des coups de reins rapides.
Mon érection me fait mal tant elle est violente. Dans un geste maladroit vers ma braguette, je heurte un petit vase posé sur un guéridon. Il tombe et se fracasse au sol. Le bruit stop net les ébats des couples, et six paires d’yeux fixent la porte et découvrent ma présence. Mon beau-père se lève alors et vient vers moi après avoir enfilé un peignoir.
-« Bruno ! Que fais-tu là ? » dit-il en refermant la porte du salon derrière luiJe bégaye, me trouble, et tente de lui expliquer sommairement le but de ma visite, mais l’homme est rusé et a vite compris que j’avais tout vu.
-« Tu as tout vu n’est-ce pas ? »Je suis bien forcé d’avouer tout en lui présentant mes excuses.
-« Ce n’est pas si grave que çà, tu es un homme en qui j’ai confiance, et je sais que tu garderas çà pour toi. Vois-tu, Francesca et moi nous pratiquons cela depuis quelques mois, et à notre âge c’est une façon de redonner du piment à notre couple. J’espère que tu n’es pas choqué ? le sexe en groupe vois-tu, nous permet de renforcer nos sentiments l’un envers l’autre en éliminant toute jalousie »J’acquiesce timidement et lui réponds que je ne me permets pas de les juger.
-« Viens, entre boire un verre que je te présente à nos amis » et il me pousse fermement dans le salon malgré mes négations.
Tout le monde est en peignoir, et les présentations sont faites après que ma belle-mère m’est gratifiée de deux bises sonores dans un éclat de rire nerveux.
J’avais peu de relations avec eux, mais j’avais eu de bons contacts avec mon beau-père. Il m’avait toujours parlé d’homme à homme, comme un bon copain qu’il se voulait être envers moi.
Arrivé devant leur belle villa à l’improviste, j’ai aussitôt remarqué deux puissantes voitures allemandes stationnées devant le perron. Ils devaient recevoir des amis, mais je n’avais pas fait 650 kms pour rebrousser chemin afin de ne pas paraître importun. J’ai donc gravi les quelques marches et appuyé sur la sonnette de la porte. Celle-ci ne devait sans doute pas fonctionné, car je n’ai entendu aucun signal sonore. Je tente d’ouvrir la porte et pénètre dans le hall d’accueil. De la musique douce, genre piano-bar, parvient jusqu’à moi en provenance du salon. Je me dirige donc vers celui-ci que j’ouvre prudemment, et là je découvre un spectacle qui me fige.
Trois couples sont entièrement nus, et se livrent à des ébats orgiaques.
Un homme blond, la cinquantaine bien portée, est affalé sur un fauteuil et se fait sucer par une jeune femme rousse à genoux devant lui. Tout à côté, sur un canapé, mon beau-père prend une jeune black en levrette, pendant que ma belle-mère, allongée sur la moquette épaisse, se fait brouter le minou par un jeune type d’une trentaine d’années.
Décontenancé, abasourdi, ne sachant que faire, je referme la porte sur moi laissant à peine un entrebâillement pour observer la suite et réfléchir sur la conduite à tenir.
Ma belle-mère et son partenaire sont bientôt rejoints par l’homme blond qui tend son sexe vers sa bouche. Elle l’engloutit aussitôt pendant que l’autre homme lui positionne les jambes sur ses épaules, la pénètre bien à fond et entreprend de la limer lentement.
Mon beau-père regarde la scène avec amusement, et fait signe à la rousse, laissée seule, de venir se joindre au couple qu’il forme avec la jeune black. Il abandonne sa position et se relève, s’assied dans le canapé, place la rousse assise de dos sur lui, et lui inflige une pénétration rectale qu’elle semble apprécier. La jeune black s’agenouille face à elle, écarte ses cuisses, et de sa langue agile s’occupe de son clito ce qui provoque immédiatement les soupirs et les petits cris de la rousse. Mon beau-père est agrippé aux seins de la jeune femme et l’embrasse goulûment. Voyant le spectacle qui lui est offert, l’homme blond abandonne la bouche de ma belle-mère, s’approche du trio, sexe tendu, et se met à genoux devant le magnifique petit cul de la black. Il le flatte, le caresse, et après avoir sucer son index il l’introduit lentement dans son petit trou en pratiquant des va et viens de plus en plus rapides. Puis son majeur rejoint son index entre les fesses de la jeune femme pour agrandir l’orifice qu’il convoite. Quelques instant plus tard, alors que des halètements, des cris rauques, des gémissements emplissent la pièce, mon beau-père dit à l’homme blond« Vas-y Paul, encule-la, elle n’attend que çà ! » Le prénommé Paul, place alors son sexe entre les fesses de la belle black, et lentement il pousse à fond, arrachant un petit cri à sa partenaire. Le quatuor s’agite en cadence, les hommes sont en sueur et laissent échapper des sonorités animales.
De son coté, ma belle-mère et son partenaire n’ont rien perdu du spectacle. Ils se relèvent, s’approchent du groupe et regardent la scène en échangeant des commentaires salaces. C’est la première fois que je vois ma belle-mère nue, et je suis ébahi de constater qu’elle porte admirablement bien ses 53 ans. Sa poitrine opulente est parfaite, pas un brin de cellulite, plutôt musclée, et une croupe cambrée, ferme, et rebondie surmonte ses deux jambes magnifiques. Ses longs cheveux noirs-ondulé tombent sur ses épaules, encadrant un visage où ses yeux bleus font une tache claire sur sa peau ambrée, trahissant ses origines italiennes. Je l’admire et je découvre être en érection devant la beauté de Francesca.
Elle s’approche alors de son mari, lui prend la tête, et lui donne un baiser brûlant en mélangeant leurs langues, pendant que de sa main gauche elle titille un téton de la rousse qui se fait enculer, le faisant rouler entre ses doigts.
Son partenaire la prend alors par les épaules, la courbe pour lui fait placer la tête sur le dossier du canapé où se trouve son mari, juste à côté de lui. Elle offre alors une position très suggestive, jambes tendues, fesses cambrées, le haut du corps à l’horizontale. Ses seins pendent librement et sont aussitôt pris en mains par le jeune homme placé derrière elle. Se redressant et la prenant par les hanches, il fouille de son sexe entre ses fesses à la recherche du petit trou convoité, et brutalement il s’y enfonce, arrachant un hurlement à Francesca. Mon beau-père tourne de nouveau la tête pour rejoindre la bouche de sa femme dans un baiser fougueux, pendant que le jeune homme s’installe confortablement dans ce cul splendide par des coups de reins rapides.
Mon érection me fait mal tant elle est violente. Dans un geste maladroit vers ma braguette, je heurte un petit vase posé sur un guéridon. Il tombe et se fracasse au sol. Le bruit stop net les ébats des couples, et six paires d’yeux fixent la porte et découvrent ma présence. Mon beau-père se lève alors et vient vers moi après avoir enfilé un peignoir.
-« Bruno ! Que fais-tu là ? » dit-il en refermant la porte du salon derrière luiJe bégaye, me trouble, et tente de lui expliquer sommairement le but de ma visite, mais l’homme est rusé et a vite compris que j’avais tout vu.
-« Tu as tout vu n’est-ce pas ? »Je suis bien forcé d’avouer tout en lui présentant mes excuses.
-« Ce n’est pas si grave que çà, tu es un homme en qui j’ai confiance, et je sais que tu garderas çà pour toi. Vois-tu, Francesca et moi nous pratiquons cela depuis quelques mois, et à notre âge c’est une façon de redonner du piment à notre couple. J’espère que tu n’es pas choqué ? le sexe en groupe vois-tu, nous permet de renforcer nos sentiments l’un envers l’autre en éliminant toute jalousie »J’acquiesce timidement et lui réponds que je ne me permets pas de les juger.
-« Viens, entre boire un verre que je te présente à nos amis » et il me pousse fermement dans le salon malgré mes négations.
Tout le monde est en peignoir, et les présentations sont faites après que ma belle-mère m’est gratifiée de deux bises sonores dans un éclat de rire nerveux.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Harry COVERT
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...