Mes charmants hôtes VII Jeux spéciaux (partie 1)

- Par l'auteur HDS Hellene39 -
Récit érotique écrit par Hellene39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Mes charmants hôtes VII Jeux spéciaux (partie 1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mes charmants hôtes VII Jeux spéciaux (partie 1)
Parfois les jeux SM vont loin, puiser leurs substances dans le plus noir des esprits et devenir un rite un passage presque obligé il en est ainsi de certaines pratiques.

Marion était chargée de m’initier à ces “classiques” qu’une esclave totale comme moi devait avoir pratiqué et devait accepter quand le maitre décidait de cette chose. Marion m’attendait dans le donjon et je devais être ponctuelle, on m’avait dit 9h00 j’avais juste le temps d’arriver, monter les escaliers pousser la porte. Marion était là assise sur le bord du lit, elle eut un grand sourire à mon arrivée.

- Ah ma petite Hélène ponctuelle, hélas car j’aurais pu rajouter une punition.

- Désolée Maitresse de gâcher votre plaisir.

- Approche, embrasse moi on n'a pas encore commencé.

Pour une fois cette nuit je n’étais pas avec le couple, Charles devait s’absenter, partir tôt.

Je m’approchais de Marion, elle avança ses lèvres, j’avais faim de crasses et notre baiser fut intense, nos mains partaient explorer nos corps, caresses, frôlement, nous mettaient rapidement dans l’état d’intense excitation qui naissait chaque fois que Marion et moi nous approchions l’une de l’autre. Elle portait son boléro de cuir luisant ou vert sur ses gros seins, ses anneaux aux tétons accrochaient la lumière. Mes mains glissaient sur les seins si chauds et doux mes doigts, index et majeur passant dans les anneaux je les tirais légèrement vers moi.Marion rejeta la tête en arrière et gémis doucement.

- Oh ouii ma chérie, tire, tire fort étire moi les bouts...

- Comme çà dis-je en étirant ses pointes de seins.

- Ohhhh oui ma petite chienne, tu aimerais avoir des anneaux toi je le sais...

- Oh oui j’aimerais tu sais bien Marion.

- Oui mais je sais que Charles dit que c’est trop risqué avec toi. Il pense que tu est trop comme moi.

- Comment çà comme toi?

- Tu aurais des anneaux comme moi qu’est ce qui te ferait fantasmer dis-moi ? Soit honnête.

- Ah j’ai compris. Et toi ça te fait fantasmer aussi ?

- Bien sûr tu crois que là tu les tiens je lute pour ne pas te demander...de me les arracher, je le vois dans mon esprit et toi tu dois imaginer m’entendre hurler car tu viens de détruire mes seins.

- C’est vrai j’y pense dis-je en étirant encore les pointes et tu aimes comme çà

- Ohhhhhhhhhh oui !!! Tourne-les maintenant.

Je tournais les anneaux, les tétons se vrillaient, Marion haletait, sa main avait glissé sur son sexe et elle se masturbait, pas besoin de regarder le tintement des anneaux de sa chatte qui s’entrechoquaient.

- Hooo c’est bon. Ma chérie, arrête maintenant c’est moi qui vais m’occuper de toi

Je lâchais les anneaux et redevenait, l’esclave que je suis sensée être et non l’amante de Marion. Elle avait la tâche de me faire découvrir les arcanes du SM et m'initier par la démonstration a des pratiques que certains trouvent totalement folles. Je précise comme je l’ai déjà fait a plusieurs endroits que je déconseille à tous de pratiquer ces choses ou de vouloir les reproduire sans avoir une personne initiée pour vous guider. Ne pas penser que comme vous avez lu certains de mes textes vous avez tout compris. Il y aurait trop a dire et les textes seraient indigestes si je devais aborder tous les aspects liés au SM.

- Viens là petite Chienne. A genoux, mains sur la nuque, écarte bien les coudes.

- Oui maitresse dis-je

Je me positionnais comme ordonné, position connue par coeur puisque c’est un peu la base de la position adequate. Marion aveit le martinet à la main et tournait autour de moi. Je n’avais que mes escarpins haut talons et des bas dimup noirs bracelets de cuir au poignets et chevilles et un collier d’esclave autour du cou, fort serré comme j’aime. J’adore me sentir étranglée, un doigt passé entre le collier et ma peau et une légère torsion m’étrangle là vraiment et si le jeu dure un peu longtemps je suffoque et finirais pas perdre connaissance. Marion sait précisément ce que je peux supporter et me maintenir au seuil de l’évanouissement très longtemps.

Un premier coup de martinet arrive sur mon dos me faisant bondir, un peu surprise par le minutage et la force du coup. Ceux qui lisent mes texrtes savent que je fais attention a ne pas avoir de marques pour ne pas alerter mon mari sur mes activités SM en attendant qu’il daigne participer. Mais a l’époque, marques et bleus voir même blessure n’était pas exclue, donc la force des coups est sans doute de 5 a 10 fois plus intense.

Là les lanières ont labouré la peau entre mes omoplates. La brulure est intense la chaleur diffuse dans tout mon dos. Puis un second coup, sur mes fesses qui semblent cuire de façon instantanée. Jetant un coup d’œil dans l’un des miroirs je vois que les lanières ont dessiné un entrelac de longues marques rouges, qui vont se boursoufler si elle frappe encore là. Ma nature fait le travail, cette vision de mon cul et dos rougis, m’excite réellement. Mes hanches ne peuvent rester en place et j’ondule attendant un autre coup.

- Ah tu aimes çà petite salope, dit Marion qui remarque mon attitude.

- Oui Maitresse dis-je avec un regard de défi.

Cela ne manque pas , elle est face a moi et un puissant coup de gauche à droite cisaille ma poitrine suffisamment forte pour que je crie et couvre mes seins avec mes bras.

- Offre toi Salope !! Tes bras..

J’écarte mes bras et met mes mains sur ma nuque bombant le torse. Une nouvelle fois le coup me cingle, je hurle mes deux tétons touchés de plein fouet se mettent a gonfler.

- Oh .. Tu as bien pris cette fois di Marion, passant sa main sur mes seins meurtris. Oh les larmes aux yeux !! Je suis sure que tu mouilles.

Joignant le geste à la parole elle se penche glisses ses doigts dans ma fente, d’où ils ressortent luisants et gras. Elle pose ses doigts sur mes lèvres et je lèche avidement ma mouille sur les doigts de ma Maitresse.



- Allez sur le lit vite salope. Dit Marion. Sur le dos, écarte bien les cuisses.

- Oui maitresse.

Je m’installe sur le lit, bien offerte, ouverte, j’écarte mes lévres pour laisser libre accès à mon vagin. Je suis trempée, excitée. Je me retiens pour ne pas branler mon clito tout dur déja.

- On va s’occuper de ton 4eme trou ma petite chienne, dit Marion.. Ensuite tu auras une surprise

J’avais un peu de mal a comprendre ce que me disait Marion, réfléchissant je me demandais bien ce qu’elle voulait dire. Marion ouvrit un tiroir d'une commode pu elle rangeait les jouets, en extirpa une pochette noire assez épaisse. Et un flacon de gel. Elle revint près de moi.

- Alors petite chienne, on a déjà utilisé ta bouche, ton sexe et ton cul. Il reste encore un trou jamais utilisé non ?

- Je ne sais pas Maitresse. Dis-je

- Tu ne sais pas ? Et çà là dit-elle posant le bout du doigt sur le petit trou qui pisse. On peut l’utiliser tu sais. Mais il faut l’ouvrir un peu, le dilater.

Je frissonnais car je n’avais jamais encore imaginé un usage, le taquiner avec le bout de la langue, un peu avec le doigt oui çà je savais mais le pénétrer vu la taille me semblait assez fou. Marion ouvrit la pochette qui contenait un tas de tiges brillantes en acier, classé par ordre de grosseur. La plus grosse avait la taille d’un pouce d’homme. La plus petite celle d’un crayon de carnet. Arrondie au bout et un peu tordue ces tiges me semblaient menaçantes.

- Marion, tu ne va pas m’enfiler çà dans le petit trou quand même?

- Une double gifle sur l’intérieur de mes cuisses me rappelait à l’ordre.

- Pardon Maitresse, vous allez enfiler çà dedans ?

- Oh oui petite salope, et tu va aimer et en redemander. Ecarte moi tout çà ouvre moi ta chatte petite putain.

Je m’écarquillais le sexe avec mes doigts. Malgré ma peur, peur réelle cette fois car jamais on n’avait touché à cet orifice.

- Maitresse, çà fait mal?

- Si tu te contracte, si tu n’acceptes pas, oui çà peut être douloureux car je n’arrêterais pas. Une salope comme toi devrait aimer, mais si tu te rebelle je t’attache et là je serais sans pitié. Alors tu veux être attachée ou tu subis volontairement.

- Vous pouvez faire ce que vous voulez Maitresse je suis a vous.

- Bien. Regarde cette tige fait 6mm de diamètre c’est la plus petite que j’ai. Je vais la rentrer et aller jusqu’à ta vessie, sans y entrer pour le moment.

- Si loin Maitresse ?

- Oui tu verras apprès je pourrais mettre mon doigt entier dedans.

Marion enduisait la tige avec le gel, une bonne couche bien étalée, du bout du doigt elle mit une noisette de gel sur mon urètre.

- Maitresse et si je fais pipi?

- Ne te retiens pas laisse toi aller tu peux tout inonder.

Elle posa, la tige glacée malgré qu’elle l’ai eu en main, sur le petit trou au haut de mon sexe. Elle poussa doucement, la forme ronde permit à la tige de pénétrer. Elle entra de quelques cm , pas de vraie douleur, une gêne une sensation inconnue, ce bout de métal rigide dans ce petit trou me faisais peur j’avoues, peur d’un mauvais mouvement qui m’aurait causé des dégâts. Marion poussait doucement la tige, la sensation toujours étrange semblait devenir plus agréable, la tige sembla buter Marion poussa légèrement et sans doute ouvrit le sphincter de la vessie car je sentis l’humidité dévaler le conduit et je lâchais un petit jet.

- Ah je sais quelle longueur de sonde maximum tu prends. Alors chienne tu trouve çà comment ?

- Bizarre Maitresse mais ça fait pas mal.

- Attends qu’on passe à plus gros et que tu sois dilatée, mais il faudra du temps avant qu’on puisse mettre un gode.

- Un gode? !!!!! Maitresse ?

- Oui petite salope, je finirais par te goder ce trou !! Comme çà...

Sur ces mots elle fit aller et venir la tige en moi. Étrangement, je ressentais le même plaisir, enfin un plaisir qui ressemblait à celui d’un gode dans mon vagin. Marion avait également le doigt posé sur mon clito et les mouvements de ses mains le stimulait.

- Ohhhhh Maitresse .. c’est bon ...

- Ahhh tu vois tu vas aimer çà petite pute... dés qu’on te touche la chatte tu aimes dis moi qui tu est?

- Je suis votre chienne, votre salope, votre esclave Maitresse hoooo ce booon!!

Elle me godait l’urètre quelques minutes, et je sentais que je mouillais abondamment. Elle poussait parfois un peu fort et me faisais gicler un peu. Elle retira finalement la sonde et en choisis une autre dans sa pochette, elle l’enduisit de gel copieusement. Ses doigts fouillèrent mon vagin trempé un petit moment, sur cette zone finement ridée au plafond de mon sexe, là où les pressions les caresses me font tant d’effet. Le point G? Sans doute. En tout cas j’aimes beaucoup.

-Tu mouilles comme une petite chienne que tu es esclave regarde mes doigts ... suce les fit elle en me les mettant sur les lèvres.

- Oui Maitresse j’aimes le gout de mon sexe.

- Bon allez 8 mm la tige cette fois, c’est rien la taille d’une cigarette !!

- C’est gros, Maitresse !!

- Mais non tu vas me prendre çà facilement !!

Ma peur venait de monter d’un cran, je voyais la taille d’une cigarette je n’imaginais pas que ça puisse entrer. Pourtant la tête ronde réussit à ouvrir le petit conduit. Mais je sentais cette fois la distension de ce canal c’était légèrement douloureux, je commençais à trembler. Marion me giflait le sein en me demandant d’arrêter ce tremblement. Elle continuait à pousser la tige, plus elle avançait plus cela devenait douloureux. Elle la retira, remis du gel et posant le bec a l’entrée de l’urètre elle le pressa envoyant une giclée copieuse dans ce petit trou. La sensation du gel qui se déversait était agréable et excitante. Puis elle remit la tige qui glissais mieux maintenant et qui finit par aller buter contre la vessie. Marion commençât alors des allez retour tout en caressant mon clito tout gonflé. Je me mis à gémir, je ne savais pas si c’était la caresse du clito ou le lent va et vient dans mon urètre. Marion accéléra même le mouvement ce qui me fit me tordre et un peu lâcher mes lèvres. Un arppel à l’ordre quelques gifles sur mes seins et mon ventre me firent comprendre que je devais me remettre en position.

- Tu te tortilles comme un ver ma salope, tu aimes çà hein...

- Oui Maitresse ..; bon !!

- Et tu mouilles comme une folle écoute çà !

Elle enfouit 3 doigts dans ma chatte les agitant sans douceur ce qui fit redoubler mes gémissements et mes ondulations du bassin.

- Putain !! C'est bon Maitresse !!! Ohhhh oui!!!!

- On se calme tu ne dois pas jouir !!! Interdit sinon ça ira mal. Je te fouette avec le cable !!

- Oh non Maitresse !!

Le câble, c’est le pire que je connaisse pour la flagellation. Du fil électrique tout bête. Cela vous marque au sang, la peau se fend, se boursouffle. J’ai eu pas mal de syncopes avec le câble mais sans jouir, la douleur est trop forte l’orgasme ne vient pas un vrai supplice. La première fois que Marion m’a poussée à bout avec çà j’ai cru être en train de rendre l’âme. Mais pas d’orgasme.

Je réprimais l’orgasme que je sentais monter a cette menace et Marion me travailla le sexe longuement avec cette tige, elle touchait le moins possible mon clito, cette fois le plaisir venait de la pénétration. Je donnais des coups de reins pour aller au-devant de la tige. Ce morceau d’acier me baisait le petit trou a pipi et je commençais à aimer. Je m’acheminais vers l’orgasme quand Marion vit pénétrer la tige dans ma vessie laissa un moment et la retira vivement en m’ordonnant de pousser... Prise dans cette folie je m’exécutais et quand elle retira la tige vivement. Je poussais un hurlement tandis que ma vessie se vidait d’un trait c’était la première fois il y en eut bien d’autres ensuite. Je giclais avec une puissance incroyable et a plusieurs mètres au-delà du lit. Avec ce désir de jouir, jouissance qui ne venait pas ajoutant la frustration à la dinguerie de ce moment. Je vis vaguement que Marion elle, se masturbait frénétiquement en me regardant me vider. . Je tremblais comme une feuille sous l’effet de la soudaineté de ce qui se passait de la cruelle frustration de n’avoir pas jouis. Mais ce n’étais pas la fin de cette étrange initiation.

- Je suis là Marion dit une voix que je reconnu comme celle d’Arlène

Une amie de Charles et Marion, une Dominatrice également qui “travaillait” avec eux occasionnellement.

- Tu arrives, bien elle vient de se vider, on va la dilater sans problème. Elle réagis bien elle aime en fait.

- C’est super. Et là tu le fais tu as besoin de moi ?

- Oui Charles veut que je la scelle, et il va l’ouvrir lui-même. Tu vois comment.

- Ah il y a longtemps que je n’ai pas vu çà dis-moi !

- C’est tout Charles aller remettre au jour de vieilles pratiques.

Je récupère lentement de cette infernale pénétration dans un orifice si peu adapté. Je suis surprise de ma réaction et du plaisir qui est né après le rejet de l’idée même de prendre du plaisir de cette façon. Mais, la réalité des sensations est là, j’ai bien ressenti un plaisir qui montais quand j’étais prise par cette tige d’acier. Décidément Charles et Marion me font découvrir des choses impensables.
Là Marion vient de dire “sceller” je ne comprends pas le sens de ces termes, mais mes deux “tortionnaires” semblent savoir, et en sont surprises. C’est tremblante que j’attends la suite.



Marion et Arlène, viennent assurer mes poignets dans des bracelets de cuir serrés reliés à une chaine tendue, de sous moi semblant faire partie de ce lit une ceinture de cuir large vient assurer ma taille, mes chevilles sont accrochées a des mousquetons et mes jambes écartées au maximum, alors que mes genoux sont aussi tirés vers l’extérieur. Je ne peux être plus vulnérable et offerte. Marion allume une lampe puissante dont la lumière est dirigée vers mon sexe grand ouvert et ruisselant, mon clito est tendu et gorgé de sang. Si j’étais un homme je dirais que le bande, je suis une femme et en fait je bande également.

Arlène monte sur ce lit et s’agenouille près de moi, elle tient un martinet dont les lanières sont nouées tous les 5cm la dizaine de lanières qui compose cet instrument sont autant de petites cordes a nœuds. J'imagine fort bien l’impact des nœuds sur ma peau. Je n’ai jamais gouté à cet instrument de torture et je crains que ce soit terrible.

Marion est installée entre mes jambes et elle a sorti une boite qui contient je le vois maintenant une sorte de nécessaire de couture. Des aiguilles droites mais surtout des aiguilles de cordonniers courbées. Je ne me pose pas longtemps la question à quoi cela va-t-il servir. Je le sais déjà, le mot “scellée” tourbillonne dans ma tête. Une angoisse et une sueur glacée s’empare de moi ..

- Ohhh Maitresse vous allez.... je suis incapable de finir ma phrase.

- Oui tu a compris petite chienne, je vais te fermer, te recoudre c’est bien çà Charles se chargera de t’ouvrir quand il rentrera.

Ma gorge est nouée, j’ai une sorte de sanglot, la peur est vraiment intense. Me recoudre le sexe, j’en avais entendu parler je l’avais vu une fois ou deux dans des vidéos allemandes. Je me mis a trembler mais pas d’excitation, vraiment de peur.

- Tu sais que tu peux dire non petite salope, mais tout s’arrêtera, tout vraiment plus d’éducation, plus d’esclave c’est le deal tu peux arrêter mais c’est définitif. Décide-toi vite car dans 2 minutes je commence à piquer.

Je suis au pied du mur... Charles m’avait prévenue qu'a un moment je devrais faire ce choix, aller plus loin, découvrir des choses de plus en plus difficiles ou rester sur le bord du chemin et avoir subi des tas de choses pour rien. Echouer lamentablement, alors que c’est moi qui ai cherché la position dans laquelle je suis.

- Ta décision dit Marion calmement.

- J’acceptes Maitresse cousez moi

- Certaine ? Tu vas souffrir quand je vais te coudre mais tu vas souffrir quand il va t’ouvrir crois moi.

- Oui Maitresse je veux être cousue Je suis prête.

Mes mots me disent prête mais le suis-je vraiment, les aiguilles je connais, je supporte mais ce ne sont pas les mêmes et le fil et devoir supporter la fermeture de mon sexe. Je suis dans l’inconnu. Mon cœur bat à 200 à l’heure, ma respiration est rapide et saccadée. Je jette un regard à Arlène qui est là attendant le début et qui semble avoir un regard mauvais, elle attend de me voir crier, hurler renoncer.

- Bien petite chienne, je vais commencer. Arlène est là pour s’occuper de tes seins, et éviter que tu te focalise sur la douleur de ton sexe. Les coups sur tes seins vont te distraire.

- Oui Maitresse

- Arlène tu commence quand je te le dis.

- Ok dit Arlène et je ne lui fais pas de cadeau c’est çà ?

- Oui tu la cognes bien fort pour la distraire.

Je tremble cette fois de façon incontrôlable, Marion prépare le fil de suture, il est fin, l’aiguille courbe est plus épaisse que je ne le pensais. Je vais la sentir passer !! Marion place l’aiguille dans une pince, avec ses doigts elle ne pourrait pas avoir asse de force.

Marion prend le repli de chair de ma grande lèvre, un peu en dessous de la hauteur de mon clito. Mon tremblement empire quand la pointe approche de ma peau, Marion me regarde alors qu’elle pique dans ma chair, le cri de douleur, bon sang que çà fait mal, une aiguille médicale fait 10 fois moins mal que cette aiguille de cordonnier. La peau se tend exagérément sur l’autre face de ma lévre , c’est obscène, je gémis tout le long de la pénétration est pousse un long cri quand enfin la peau cède. Marion declipse sa pince et la pale de l'autre côté de ma lèvre pour tirer l’aiguille, elle ne peut le faire avec ses doigts, la douleur de l’acier qui me perce est intense.

- Arlène vas-y sinon elle ne tiendra pas.

Arléne caresse ma joue et commence à abattre le fouet sur mes seins, la douleur est forte elle déplace mon attention. Arlène frappe lentement, régulièrement. Un peu comme la cadence pour les galériens. La douleur s’accumule dans mes seins qui sont déjà chauds mais deviendront brulants ensuite.

Le fil qui traverse la plaie de ma lèvre brule légèrement aussi. Puis la douleur de la pointe dans l’autre côté dans ma lèvre gauche Marion fait passer son aiguille, un premier point ferme le haut de mon sexe, sous on clito les lèvres se referment. Marion me regarde et dit:

- Tu es exceptionnelle, tu mouilles comme une folle et regarde sent le mouvement de tes reins.

Je tremble certes je cries, je hurles mais mon bassin oscille comme si on me baisait. Le fouet en cadence sur mes seins ajoute à mon excitation. Je suis en train de me rendre compte que j’aimes ce qu’elles me fon subir. Petit a petit j’attends l’aiguille dans ma chair, je prends conscience que je suis une esclave extrême. Un peu de sang coule des points cousus, mon ventre se creuse à chaque coup et je me tords a chaque percement. Cela semble durer le temps s’allonge je soupçonne Marion de faire durer les choses de prendre son temps, mes seins sont rouges vifs striés de marque rouges plus sombre. Je n’ai jamais pris autant de coups et Arlène appuie les coups, a certain endroits mes seins sont boursouflés mes tétons semblent avoir doublé de volume et le droit est un peu coupé et saigne doucement la goute coulant le long de la courbe de mon sein et glissant vers mon flanc..

La tête me tourne je n’entends plus que mes halètements, mes cris et le claquement du cuir sur mes seins. Dans le miroir j’aperçois mon sexe a moitié clos par les 4 points déjà fermés. Ma tête tourne, je n’ai jamais été aussi soumise, esclave cousue au sexe inutile, vont elle me faire jouir, j’en ai envie, j’en ai besoin la lenteur des choses me torture, mon clito est gonflé et gorgé de sang.

A suivre ..

Les avis des lecteurs

Bonsoir Hellene avec deux l,
Je n'étais plus venu sur ce site depuis assez longtemps (ordi piraté, compte perdu, problèmes de santé... bref) et voilà que dès mon retour, je tombe sur un de vos textes qui m'a immédiatement donné envie de lire tous les autres.
Quel bonheur de trouver quelqu'un sur l'exacte même longueur d'onde que soi et de plus, non seulement c'est excellement bien écrit, mais le style est direct, semble sincère dans sa totale mise à nu, les mots sont crus, tout ce que j'aime en fait.
Pouvoir lire les écrits de quelqu'un qui assume pleinement sa passion pour cette divine sensation qui est le savant mélange entre douleur et plaisir est d'un jouissif sans pareil.
J'espère que d'autres nombreux textes arriveront prochainement.
Au plaisir de vous lire à nouveau.
Arnorn

Bonjour hellene39

Je voudrais vous remercier et vous dire comme beaucoup d'entre nous que j'ai beaucoup aimé votre histoire.

J'ai des questions à vous poser qui je pense, vous avez déjà dû y penser.

Histoire Erotique
Une superbe séance très extrême . Très bien racontée, je me suis senti immergé dans un coin de cette pièce avec toi et tes deux tortionnaires.
Hâte de lire cette suite.
Bise
Galaxychris

Histoire Erotique
Texte très dur ; on va très loin dans la souffrance et le plaisir inhérent ; vos descriptions sont incroyables ; j’imagine bien le plaisir qu’on peut y prendre mais ca reste tout de même des pratiques très hard ;

Toujours un plaisir de vous lire ;

Yass

Histoire Erotique
Encore un texte puissant réaliste mélange de douleurs extrêmes et de jouissance toujours bien écrit trop bien car on voit la scène. Ta
soumission acceptée et voulue est complète.Bravo Hélène pour cette franchise La suite sera je pense très difficile pour la soumise. Daniel



Texte coquin : Mes charmants hôtes VII Jeux spéciaux (partie 1)
Histoire sexe : Une rose rouge
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