Mes colocs – Partie 1

- Par l'auteur HDS Envie de femme -
Auteur homme.
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Récit libertin : Mes colocs – Partie 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mes colocs – Partie 1
Moi, c’est Youssef.
Je viens du Maroc, j’ai 40 ans, et ça fait maintenant treize ans que je vis en France.
J’habite à Paris, dans le 18e arrondissement. Je travaille dans une université parisienne comme agent d’entretien depuis cinq ans — bref, je fais le ménage, tout simplement.
Je mesure un mètre quatre-vingt-dix pour quatre-vingt-quinze kilos, brun, avec une barbe légère et bien taillée.
Je suis en couple depuis presque un an avec une jolie infirmière, et on vit ensemble depuis deux mois.

Je vais vous raconter mes histoires avec les Parisiennes.

À mon arrivée ici, j’ai vécu en colocation avec deux étudiantes d’une vingtaine d’années et un jeune architecte fraîchement diplômé.
Au début, ça ne se passait pas très bien. Les filles avaient pas mal de préjugés sur les Maghrébins, et je le sentais dans leurs regards, dans leurs silences.
Elles parlaient souvent entre elles, en chuchotant, et dès que je passais dans le salon, hop — silence radio. Pas méchantes au fond, mais clairement sur la défensive.

Moi, j’étais juste venu bosser, économiser, et surtout m’en sortir. J’avais quitté le Maroc avec mes rêves, mes galères, et ma fierté. Alors j’ai pris sur moi. Je disais bonjour, je souriais, je rendais service quand il fallait — la poubelle, un coup d’éponge, une ampoule changée. Rien de fou, mais petit à petit, les regards ont changé.

Et puis un soir, tout a basculé.
C’était un vendredi pluvieux, Paris comme elle sait faire : gris, fatigué, trempé.
L’une des filles — Camille, je crois — avait organisé un dîner. Le jeune architecte, toujours tiré à quatre épingles, avait sorti une bouteille de vin hors de prix.
Moi, j’étais rentré du boulot, lessivé, prêt à filer dans ma chambre. Mais elle m’a dit :
— “Youssef, reste un peu, viens manger avec nous.”

Le dîner se passe bien. Pour une fois, on ne parle pas d’architecture, de master, ni de “stages dans le 16e”.
Camille me pose des questions, un peu timides au début.
— “Et… tu viens d’où exactement au Maroc ?”
— “De Nador.”
— “Ah ouais, je connais pas du tout… c’est où ?”
Je souris. Classique.
— “Tout au nord, près de la mer. Là où les gens disent bonjour même aux chèvres.”

Elle éclate de rire. Premier vrai rire de la soirée. Et là, j’me dis : tiens, on y est peut-être enfin.

À la fin du repas, ils ont sorti une vieille enceinte Bluetooth, lancé de la musique. Moi, j’ai reconnu un vieux morceau de Khaled, et sans trop réfléchir, j’ai fredonné les paroles.
Et là, surprise : la deuxième coloc, Clara, s’est mise à danser.
Une danse maladroite, pleine de bonne volonté, mais sans aucun sens du rythme.
— “Je suis nulle hein ?” qu’elle me lance en rigolant.
— “Non, t’es juste… trop parisienne pour le raï.”

Rires général. Le genre de moment simple, vrai, sans jugements.
Ce soir-là, j’ai compris un truc : les gens changent quand ils te connaissent vraiment.

Le lendemain matin, Camille m’a laissé un mot sur la table :

 “Merci pour hier, Youssef. C’était cool. On se refait ça ? — C.”



J’ai gardé ce petit mot longtemps, tu sais. Pas parce que j’étais amoureux, mais parce que c’était la première fois que je me suis senti à ma place depuis que j’étais arrivé ici.

Les jours qui ont suivi, l’ambiance dans la coloc avait changé.
Camille venait souvent me parler, toujours avec ce sourire un peu nerveux, celui qui dit “je sais pas trop pourquoi je viens te parler, mais j’en ai envie.”
Elle s’asseyait parfois à côté de moi sur le canapé, les genoux presque contre les miens, et ça papotait de tout et de rien : la fac, les voisins, les restos du quartier… et un peu de moi aussi.

Un soir, j’étais en train de plier le linge sur la table basse — ouais, le grand romantisme — quand elle est sortie de la douche.
Cheveux encore mouillés, serviette autour du cou, short large et T-shirt qui sentait le savon.
Elle m’a lancé :
— “Tu t’en sors bien, dis donc. T’es plus organisé que nous, c’est pas normal !”
Je lui ai répondu en riant :
— “Quand t’as grandi dans une maison avec quatre sœurs, t’apprends à plier ton linge vite si tu veux pas te faire plier toi-même.”

Elle s’est approchée, un peu trop près pour que ce soit innocent.
— “Tu m’apprendras ?”
J’ai levé les yeux vers elle. Elle me regardait avec ce mélange de malice et d’hésitation.
Un petit silence. Juste assez long pour sentir que quelque chose flottait dans l’air.

Et puis elle a pris une chemise que j’avais repassée, l’a portée à son nez, et a dit :
— “T’as une odeur… rassurante.”
Je te jure, j’ai senti mon cœur faire un bruit que même un aspirateur industriel n’aurait pas couvert.

Elle a posé la chemise, et ses doigts ont effleuré ma main, comme par erreur. Mais ce genre d’erreur, tu sais très bien qu’elle n’en est pas une.
Juste au moment où Camille effleurait ma main, bam — la porte s’ouvre.
Clara débarque, un pot de yaourt à la main et un masque de soin vert fluo sur le visage.
— “Oh pardon, j’interromps ?”
Silence. Moi, planté avec ma chemise. Camille, rouge comme une tomate confite.

Clara plisse les yeux, nous regarde, et lâche :
— “Ah ouais, je vois… nouvelle lessive, nouvelle ambiance.”
Elle s’assoit tranquillement sur le canapé, jambe croisée, et me lance avec un sourire :
— “Tu fais des cours de repassage particuliers, Youssef ? Parce que ma pile à moi commence à devenir une montagne.”

Je réponds en rigolant, un peu nerveux :
— “Je facture à la chemise.”
— “Ah ben parfait, j’paierai en nature.”
Silence gêné numéro deux.
Camille toussote, Clara rigole. Moi, j’ai chaud, mais pas à cause du chauffage.

Elles se mettent toutes les deux à plaisanter, me tournant en dérision, chacune essayant d’avoir le dernier mot.
Et j’me dis là, en les regardant : Youssef, t’as nettoyé des couloirs, des classes, des toilettes… mais là, t’es en train de glisser sur du carrelage social bien plus dangereux.
Clara et Camille s’étaient mises à rire toutes les deux, un rire léger, complice.
Je faisais semblant de rester concentré sur ma pile de linge, mais c’était peine perdue.
Leurs voix se croisaient, se répondaient, et moi, au milieu, j’avais l’impression d’être le sujet d’une expérience sociale.

Camille, assise à ma droite, jouait avec une mèche de cheveux, un geste lent, distrait, mais diablement hypnotisant.
Clara, elle, s’était rapprochée en douceur, posant son coude sur le dossier du canapé derrière moi.
— “T’sais, Youssef… on disait tout à l’heure avec Camille que t’étais différent des mecs qu’on croise d’habitude.”
— “Différent comment ?”
— “Déjà, tu nous écoutes. Et tu fais pas semblant.”

Camille hocha la tête, un peu plus sérieuse.
— “Ouais. Et t’as ce truc… je sais pas, calme, rassurant.”

Je souris. À l’intérieur, par contre, j’étais tout sauf calme.
Elles me regardaient toutes les deux, et je savais plus où poser mes yeux.

Clara finit par se lever, attrapa son pot de yaourt vide et lança en riant :
— “Bon… moi je vous laisse méditer sur tout ça. Faites pas de bêtises, hein.”
Camille la regarda partir, puis se tourna vers moi avec un sourire malicieux.
— “T’inquiète… on fera juste un peu de bazar.”

Elle fit glisser ses doigts sur ma cuisse, lentement, tout en me fixant droit dans les yeux.
— Tu sais, Youssef… tu me plais. T’es pas comme les garçons de la fac.
— Normal, je suis plus âgé.
— Non, non… tu as quelque chose qu’ils n’ont pas.
Elle marqua une pause, un sourire en coin.
— Je t’ai vu sous la douche.
— Quoi ?! Tu m’as espionné sous la douche ? Pourquoi ?
Je restai figé une seconde.
Camille détourna les yeux, un sourire coupable au coin des lèvres.
— Calme-toi, j’ai pas fait exprès… enfin, pas totalement. La porte était entrouverte, et… voilà.

Je la regardai, mi-amusé, mi-perdu.
— T’as un sens particulier du “pas exprès”, toi.
— Peut-être, oui.

Elle riait doucement, nerveusement. Ses joues avaient pris une légère teinte rosée, et son regard revenait toujours vers moi, comme attiré malgré elle.
— En tout cas, reprit-elle, ça a confirmé ce que je pensais.
— Et c’était quoi, exactement ?
Elle haussa les épaules.
— Que t’étais pas comme les autres.

Un silence s’installa. Un long, celui qui précède soit une bêtise, soit un souvenir.
Je sentais son souffle, léger, juste à la limite du mien.

Puis, pour briser la tension, je lâchai :
— Bon, la prochaine fois, préviens, j’mettrai un panneau “visite guidée à 17h”.
Elle éclata de rire, d’un vrai rire, franc.
Et là, sans que je comprenne comment, tout le malaise s’était transformé en quelque chose d’étrangement doux.

— Je vais ranger le linge dans mon armoire, je reviens tout de suite.
Elle eut un sourire en coin.
— Si tu es d’accord, je peux t’accompagner… dans la chambre.

Je restai figé un instant avant de répondre :
—Si tu veux.

Elle se leva avec une souplesse féline et me suivit jusqu’à ma chambre.
Une fois à l’intérieur, elle se laissa tomber sur le lit, puis avança à quatre pattes, lentement, presque en jeu.
Ses gestes étaient mesurés, doux, mais chargés d’une assurance désarmante.
Je sentis quelque chose me traverser, ce mélange de surprise, de trouble et d’envie qu’on n’arrive pas vraiment à expliquer.
Je restai debout, un peu maladroit, ne sachant pas vraiment quoi faire de mes mains ni de mes pensées.
Camille s’était assise au bord du lit, le regard levé vers moi. Elle me prit la main et doucement elle m’attira vers elle. Je ne savais pas si je devais résister ou me laisser aller.

Elle posa une main sur la bosse à mon entrejambes qui s'était formé il y a déjà un petit moment, comment lui résister elle est belle et super canon.

—Camille… tu as un copain… réfléchi avant de faire une bêtise.

—Je ne fais pas de bêtises, j'en ai envie alors chuut.

Elle ouvrir ma ceinture, défait la braguette et déboutonna le bouton de pantalon… elle prit avec mon pantalon le caleçon qu'elle fit descendre…

—Waouw ! Elle est plus énorme que sous la douche.

Elle me fixa droit dans les yeux et me dit avec un petit clin d'œil.

—Je vais me régaler.

Elle prend ma queue en main, le cariasse doucement.

—Elle mesure combien ?

Je la regarde me fixer avec envie, je lui réponds.

—J'en sais rien, je ne l'ai jamais mesuré.

—Mmf elle gonfle encore.

Elle accéléra les va et viens sur ma bite et posa un baiser sur le bout du clan.

—Mmf elle est chaude et dure.

Elle ouvrit la bouche, elle enfonça doucement ma queue et commença des va et bien, tout en me regardant. Sa bouche était chaude. Tout en suçant ma bite elle me la caresse et me malaxe les couilles.

—Tu sais y faire avec ta bouche… putain Camille c'est bon !

—Tu n'as encore rien vu beau gosse.

Elle enfila ma bite dans sa bouche et l'enfonça au fond de sa gorge.

—mmmrff… aah alors tu aimes ça ?

—Oui putain vas-y !

Je la prends par l'arrière de sa tête et lui fout ma queue dans sa bouche et lui l'enfonce profondément dans sa gorge à faire couler de la salive le long de son menton coulant sur ses cuisses.



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J’attends vos retours avec impatience !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Vite la suite. Beaucoup d'innocence et de tendresse.... J'aime.



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