Mes débuts en baise - histoire érotique

C’était quand j’avais 17 ans qu’une copine plutôt sexy, m’ embrassée sur la bouche : c’était la première fois que je recevais une langue dans ma bouche. J’ai senti cette humidité que je connaissais bien juste avant de me branler. Elle devait le sentir puisque de suite après elle posait une main sur mon genoux. Je la laissais faire. Elle arrivait sur mon sexe, elle trouvait ce qu’elle cherchait: le clitoris. Je mouillais fortement. Elle le caressait longuement sans tenir compte de mes jouissances. Et elle voulait que je la caresse aussi. J’étais maladroite : j’arrivais à sentir son sexe quand elle jouissait. Nous avons continué longtemps, surtout en 69.
Un jour elle a voulu que je soit dépucelée. J’acceptais et elle choisissait le garçon digne de moi. Elle me faisait rencontrer un gars de 18 ans qui s’est attaché à me rendre femme. Il m’a peloté un bon moment : il m’a faite mouiller. Avant de me dépuceler il a voulu sucer ma chatte. Il le faisait presque aussi bien que mon amie. Enfin il m’a mise bien installée sur le dos, les jambes ouvertes. Il se couchait presque sur moi : il prenait sa bite dans la main pour la poser sur l’entrée de mon vagin. Il entrait lentement dans ma chatte. Il s’arrêtait quand il arrivait contre mon hymen. Je lui demandais d’aller plus loin. Il entrait maintenant complètement. J’ai eu mal : je ne le lui disais rien. Pourtant quand il entamait ses vas et viens je commençais à sentir un étrange bien être m’envahir. Peu après je sentais le plaisir monter de plus en plus : je jouissais pour la première fois avec une bite. Je jouissais encore quand il déchargeait. Depuis je ne compte plus mes amants.
J’avais un peu plus de 19 ans quand il me demandait de venir avec lui et des copains pour une baise que je n’oublierais jamais. Je me demandais ce qu’était cette baise avec des copains. C’était un samedi soir, quand ses parents étaient absents. Il était entouré de 2 copains, mon rôle : les faire jouir comme je le faisais jouir. J’aurais du fuir et pourtant je suis restée. Ils se sont mis tous les trois à me déshabiller. Je les laissais faire. Je commençais à être plus qu’excitée. Il me tardait même que nous commencions.
C’est mon amant qui m’offrait à ses amis. Un m’embrassait sur la bouche : sa langue dans ma bouche. L’autre s’attachait à me caresser les seins. Il réussissait à faire ressortir mes tétons. mon amant en titre regardait la scène : je voyais sa main aller et venir sur sa bite : c‘était la première fois que je le voyais se masturber. Enfin celui qui me caressait venait entre mes jambes pour me sucer. Il le faisait assez bien en tout cas pour que je jouisse. Comme il me tenait il me la mise dans mon sexe. Il m’a fait encore jouir. Je sentais son sperme jaillir en moi. Il se retirait quand le deuxième venait prendre sa place. Il me faisait jouir lui aussi. J’avais le sperme de deux hommes dans ma moule.
Je pensais que si c’était seulement ça me partager, c’était vite dit. Je me trompais : ils bandaient tous maintenant. Tous voulaient à la fois jouir une autre fois, même mon amant. C’est lui qui donnait le signal ; il demandait à un copain de se coucher sur le tapis, à moi il me disait de me mettre sur lui en faisant entre sa queue dans ma chatte. J’aimais et j’aime toujours cette position. J’enjambais ce corps, prenait la bite dans ma main pour la bien guider sur ma moule. Je me l’enfilais et commençais à aller et venir, quand sur mon dos est venu le deuxième. Il a vite mouillé mon anus avec sa salive. Quand il est entré j’ai eu mal. Presque de suite après qu’il m’ai enculée je commençais à avoir un plaisir étrange de sentir deux queues en moi. Je goûtais surtout le moment où les deux bites se croisaient. Je commencais à jouir. Mon amant, lui, venait me donnait sa queue à sucer. Je savais bien le faire jouir ainsi. Je n’oubliais pas que j’avais maintenant trois bites à satisfaire. Je m’arrangeais pour qu’ils jouissent tous en même temps. Quand je sentais leur sperme venir en moi, je jouissais encore une dernière fois. Je devenais une ardente adepte de la double pénétration et depuis je pratique dès que c’est possible.
Je retrouvais ma première fille et lui racontais ce que j’étais devenue : un véritable sac à foutre. Je lui racontais en détail tout ce que je faisais : excitée elle voulait une baise avec moi. J’avais envie d’elle. Nous nous sommes retrouvées nues bien collées contre l’autre. Je retrouvais ce plaisir d’avoir contre ma poitrine les seins d’une autre. Je retrouvais le chemin de ses fesses et de son anus où j’entrais trois doigts. Elle m’en faisait autant. Nous retrouvions aussi les 69 et nos langues léchaient les grandes et petites lèvres pour finie par les clitoris.Nous étions ensemble tout l’après midi, dans son appartement. Vers la fin elle sortait un gode similaire à une vraie bite avec le gland et les veines. Cette vue me donnait envie qu’elle me le mette. Mon souhait devenait réalité : elle me baisait comme un homme. Quand j’ai joui elle m’a demande de la baiser à son tour. Je lui entrais le gode dans sa moule lentement, très lentement : je voulais voir comment entrait une bite dans un con. Je la faisait jouir.
C’est à mon initiative que j’ai organisé une baise à trois avec ma copine et mon amant. Il était surpris et acceptait de venir baiser devant moi une autre fille qu’il connaissait depuis toujours. J’étais satisfaite aussi de baiser devant un des deux. Le soir venu, nous nous sommes retrouvés chez elle. Sans hésitation, elle l’embrassait sur le bouche. Je passais derrière lui pour chercher sa bite. Je la massais pour qu’elle devienne dure comme du fer. Mon amie ne cherchait qu’à attirer ses mains sur ses fesses.
Nous étions nus, un moment plus tard. La bite était bien plus grosse que d’habitude. Nous voulions être baisées la première. Son choix était ma copine. Il la poussait sur le lit où elle tombait les jambes ouvertes. Sans attendre il la lui mettait dans la chate. Je ne pouvais pas rester sans rien faire : je participais à ma façon, je passais ma main entre les fesses pour arriver à son cul. Mon ami pour la première fois recevait un doigt au derrière. Je ne pensais jamais qu’il accepte cette chose là : et pourtant tout le temps qu’il baisait je faisais aller et venir mon doigts, en cadence avec ses mouvements. Enfin il sortait d’elle dès la jouissance de mon amie.
C’était à mon tour. Je commençais par une fellation : j’y retrouvais le goût de la cyprine. Je ne voulais surtout pas qu’il jouisse. J’arrêtais de le sucer. Je me couchais et il venait sur moi. J’étais très mouillée d’excitation. Je soupirais quand il me la mise. Je posais mes talons sur ses fesses pour participer bien mieux à cette baise. Il était totalement en moi. Ma copine voulait aussi participer. Elle lui mettait également un doigts au cul, puis se ravisant, elle lui mettait le gode bien humidifié par sa cyprine. Elle l’a enculé : au début, il râlait, elle continuait et finalement il a jouit avec le gode dans le cul.