Mes premières amours (partie 1) - histoire érotique

Ma petite vie
Je m’appelle Maud et j’ai 18 ans. Je suis brune avec des cheveux mi-longs. Je suis fille unique, mes parents se sont connus et mariés tardivement. Je vis très heureuse car ils me traitent comme leur petite reine. Mes parents sont issus de deux familles nombreuses : de ce fait, j’ai plusieurs cousines et aussi quelques cousins.

A côté de ces personnes importantes pour moi au sein de ma famille, j’ai aussi quelques amis dont certains depuis des années et mon enfance. Tous les citer serait assez fastidieux, alors je ne vais citer que les plus proches et ceux qui sortent un peu du lot par leurs personnalités.
• Annie, jeune fille de 18 ans, au lycée aussi mais dans une autre classe. Je l’ai connue il y a quelques mois quand j’ai été chez le proviseur (à cause de mes jupes). Elle avait été aussi convoquée à cause de ses retards multiples. Nous avons discuté et somme devenues amies.
• Franck, un ami d’enfance, depuis l’école primaire. Il a 18 ans, il est devenu mon confident au fil des années. C’est mon meilleur ami. Il ne va plus au lycée, son père l’a pris en apprentissage dans son entreprise de peinture. Il adore ça, peindre les intérieurs chez les gens et les conseiller sur les nouvelles tendances déco. Son père en est fier et pense à l’associer à son entreprise dès la fin de son apprentissage dans 2 ans.
• Julie, ma meilleure amie depuis mon entrée au collège. Nous avons les mêmes goûts et les mêmes centres d’intérêts. Je peux tout lui confier. Nous passons de bonnes soirées chez elle ou chez moi à nous raconter nos vies en détail. Elle sait tout de moi et moi tout d’elle. Elle aura 18 ans cet été.
• Marie, une amie, âgée de 17 ans. Elle est amie avec Annie et a rejoint notre petit groupe il y a quelques semaines lors d’une soirée chez Annie. Marie est attirée par Annie mais ne le lui a pas encore dit, elle a peur de sa réaction. Elle espère pouvoir lui en parler après le bac, avant de partir en vacances avec ses parents. Elle est plus attirée par les filles que les garçons. D’ailleurs Franck s’est pris un vent en essayant de la draguer lors de notre petite fête. Il n’a pas bien compris pourquoi. Il a fallu que je lui explique les choses le lendemain en lui demandant de rester très discret vis-à-vis d’Annie.
• Mathieu, mon petit ami, 18 ans. Il habite près de chez moi, à quelques pâtés de maisons. Il est drôle, déluré, un peu fou parfois. Bref, c’est un bon garçon. Il plaît bien à mes parents aussi. Nous sortons ensemble depuis plusieurs mois et nous flirtons gentiment.

Je vais au lycée dans la ville où j’habite. Je suis une bonne élève car plus tard, je voudrais faire des études de médecine pour devenir chirurgienne. Ou alors, je voudrai avoir un métier et pouvoir m’engager dans une association humanitaire, partir en Afrique aider les personnes qui en ont besoin. Mes parents me poussent à réaliser ce rêve et ils sont derrière moi pour que je puisse réussir.
Le lycée a une très bonne renommée car beaucoup d’élèves peuvent intégrer de grandes écoles ou des prépas à l’issue du passage du bac. Les profs sont beaucoup pédagogues et disponibles que dans d’autres lycées de la région. Les parents d’élèves sont aussi assez actifs au sein du conseil d’établissement et leurs avis sont écoutés et parfois même mis en œuvre par eux-mêmes. Je sais que j’ai beaucoup de chance d’avoir des parents qui peuvent m’offrir des cours dans ce lycée. Pour les en remercier, je fais tout pour avoir de bonnes notes et réussir.
Mes matières préférées sont la biologie et les sciences. J’ai aussi une passion pour les auteurs de belles poésies. Parfois, j’essaie d’en écrire dans mon journal. Je ne veux pas en parler à mes amis ou ma famille car c’est mon petit secret.
Les cours que j’aime le moins sont les maths car j’ai des difficultés, l’histoire et la géo car il y a trop de choses à apprendre et retenir.
Mes parents ont contacté le lycée pour demander à mes profs si un autre élève pourrait m’aider dans ces matières au moins pour passer le bac et ne pas avoir de trop mauvaises notes. Mes profs leur ont conseillé de me faire prendre des cours de rattrapage avec un étudiant de la fac plutôt qu’un autre élève car cela va prendre du temps. Ils ont accepté cette proposition et ont recherché un(e) étudiant(e). Dans notre quartier, ils ont prospecté et trouvé une étudiante pour me donner des cours du soir, 1 fois par semaine, à la maison après les cours au lycée les mardis soirs. Grâce à elle, mes notes sont remontées en quelques semaines.
Parmi ce que j’aime aussi au lycée, ce sont les cours de natation. Le lycée a sa propre piscine jouxtant les salles de cours habituelles et le gymnase. Il y a un accès direct du gymnase vers la piscine par une porte dont seuls les profs de sport du lycée ont les clés. Notre prof nous fait faire des courses, des exercices de sauvetage, des jeux sympas. Et puis c’est l’occasion de voir les garçons de la classe en maillot de bain (les caleçons de bain sont interdits par le règlement de la piscine). Parfois, nous croisons les autres classes et je peux y apercevoir Mathieu quelques minutes. La piscine, c’est aussi l’occasion pour les garçons de nous voir en maillot et de fantasmer aussi sur nos seins, nos sexes épilés ou non etc. Cela nous fait bien rigoler entre filles, d’autant que nous faisons pareil avec les garçons pour leurs muscles, leur sexe, leurs pilosités, etc. Dans les vestiaires, nous y allons de bon cœur sauf quand il s’agit du petit copain de l’une de nous : solidarité oblige, aucun commentaire sur le garçon en présence de la fille concernée pour ne pas la rendre jalouse ou lui faire de peine. Mais alors en son absence, ça y va fort. Nos profs de sport nous ont tous notés pour le bac et à partir d’aujourd’hui, nous profiterons de la piscine pour des temps de détente. A piscine sera accessible les soirs après les cours de 17h00 à 20h00 maximum. Le gardien du lycée en assurera l’ouverture et la fermeture. Cela sera possible jusqu’à la semaine suivant la fin de toutes les épreuves écrites et orales. Avec notre groupe, nous avons réservé un créneau d’un soir après les résultats des écrits. Les profs nous laissent l’accès à la piscine sous notre propre responsabilité tant qu’il n’y aura pas de dégradations et de problème de planning entre les différentes classes et les élèves. Ils font cela pour nous responsabiliser.
En dehors du lycée, et des cours de rattrapage, je prends des cours de dessin. Il parait que je suis très douée. Pour la fin du mois de juin, je dois présenter une œuvre personnelle de mon choix avec pour seule règle d’être créative et d’impressionner mon prof de dessin.
Avec mes amis, nous avons pris l’habitude de nous retrouver après les cours dans un bar où nous avons maintenant nos habitudes. Le patron est assez sympa et nous raconte de bonnes anecdotes, quelques ragots auxquels nous attachons peu d’importance. Dans ce bar, le cadre est original et les vendredis soirs, il accueille de jeunes groupes de musique pour leur donner l’occasion d’avoir un public. Cela a été dur au début car les gens du quartier n’étaient pas habitués à de telles pratiques. Mais ils ont changé d’avis et sont devenus plutôt pour ces soirées quand ils se sont rendu compte que les petits voyous s’étaient calmés et mis à la musique. Ils ont ainsi trouvé le moyen d’attirer l’attention des adultes sur ce qui les passionnent, les intéressent sans leur faire peur. D’ailleurs dans un de ces groupes, il y a un de nos amis qui y joue de la guitare. C’est Nicolas, le frère de Benjamin, le petit copain de Julie. Alors après les concerts de son groupe, il vient à notre table et discute longtemps avec nous. Nicolas est bien plus âgé que nous tous, il a 23 ans et va à la fac d’anglais. Il veut devenir interprète auprès de l’ONU à Genève ou à New-York. Lors de notre dernière virée dans ce bar, notre petit groupe lui a demandé s’il voulait bien nous aider à réviser notre anglais pour le bac. Il a accepté d’aider ceux qui en ont besoin. Nicolas propose de se retrouver chez ses parents dans quinze jours, le samedi tout l’après-midi. Il nous le confirmera via Benjamin et Julie dès que ses parents auront donné leur accord. Pour le moment, il nous invite à nous lever et à venir danser sur la petite piste aménager du bistrot pendant que son groupe retourne jouer d’autres morceaux. Le patron du bar a accepté de leur laisser une soirée complète au lieu de juste un quart d’heure car leur groupe se débrouille bien et plaît à beaucoup de clients dans la salle.

La découverte de mon corps
Je me souviens de mes premiers émois comme si c’était hier. En fait, il n’y a pas si longtemps que je découvre mon corps et ses réactions à mes caresses. Je venais d’avoir 14 ans, et commençais à vouloir plaire aux autres. Je commençais à me rendre compte de mes formes de jeune adolescente. Je trouvais ma poitrine un peu petite par rapport à celle des autres filles. Quand nous étions sous les douches, nous nous comparions, nous moquant de l’une ou l’autre d’entre nous. Je suppose que c’est pareil pour les garçons. Parfois, en m’habillant ou avant d’aller au lit le soir, je me regardais dans la glace dans ma chambre. Je me tournais et me retournais. Puis un jour, j’ai commencé à caresser un sein, puis l’autre et j’ai senti que cela ne me laissait pas indifférente. Je sentais une forme de plaisir me subjuguer par ces caresses.
Pendant des mois, je me contentais de me caresser le corps. Prendre une douche était aussi devenu un plaisir : le jet d’eau tiède sur mon corps me remplissait de volupté. Un jour, j’ai remarqué que quand je me rinçais avec le jet d’eau, cela me faisait des petits frissons et en particulier en passant sur mes parties intimes. Depuis ce jour, je cherchais comment je pouvais aller plus loin. L’occasion s’est présentée un samedi soir, mes parents étaient de sortie et j’étais donc seule à la maison pour quelques heures. Après avoir bien fermé la maison comme recommandé par mes parents à leur départ pour leur soirée en amoureux, je montais dans ma chambre. Là, je me déshabillais et enfilais mon peignoir. Je filais ensuite à la salle de bain, je fermais la porte à clé. Notre salle bain est très grande et mes parents y ont installé une grande baignoire ovale dans laquelle je tiens facilement tout allongée. Ils y ont aussi fait installer un système de douche et de panneaux coulissants : ainsi nous pouvons facilement choisir entre prendre un bain ou une douche. La pièce comprend une grande glace murale de 2m de haut dans laquelle on peut se regarder en entier et deux petits miroirs muraux au-dessus de deux lavabos. J’enlève mon peignoir et l’accroche à la patère avant de passer sous la douche. Je suis debout avec le jet d’eau qui m’arrose et me donne des frissons. Ce n’est pas la première fois mais là je prends le temps d’aller lentement. Je commence à me caresser les seins, le ventre. Je sens mes tétons durcir légèrement quand je les masse. Je ressens de nouvelles sensations. Je porte ma main vers mon sexe, je sens quelques poils à cet endroit. Je me caresse, c’est doux et bon. Je continue ces gestes quelques minutes. Je m’arrête troublée par ce que je ressens. C’est un sentiment bizarre qui gagne en intensité. J’arrête l’eau et sors de la douche. J’enfile mon peignoir et file me sécher dans ma chambre. Quand mes parents sont rentrés, j’étais déjà au lit et endormie. Cette nuit-là, mes rêves ont été remplis de mes caresses. Depuis ce jour, je me suis souvent caressée mais sans être allée jusqu’à me masturber. Ce n’est que quelques mois plus tard, que j’ai commencé à me masturber, découvrant ainsi encore plus de plaisir.
(à suivre)