Mes premiers émois (2)

- Par l'auteur HDS Refresh36 -
Récit érotique écrit par Refresh36 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Mes premiers émois (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2021 dans la catégorie Pour la première fois
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Mes premiers émois (2)
Suite de mes premiers émois avec Anne. Je vous renvoie au (1) avant dire lire la suite :)
A l’époque les textos étaient en illimités à partir de 18h. Anne était assez pudique pour ne pas dire coincé mais je ne sais pourquoi plus parlante et ouverte par sms. Le lendemain, je me souviens d’avoir reçu un texto de sa part.
« Pierre, j’espère ne pas te froisser en te disant cela, j’aimerais que tu m’apprennes à donner du plaisir aux garçons. »Je ne me suis pas fait attendre et répondu de suite « j’aimerais découvrir ton corps, te lécher, de ne cesser de t’embrasser partout. Je serais enchanté te de montrer comment fonctionne un garçon si en échange tu fais pareil avec les filles »« Merci pour ta réponse, je ne voulais pas te le dire, mais j’avais très envie hier de gouter ta bite, de la prendre dans ma bouche. Tu m’as fait un peu peur quand tu m’as dit de me décaler sur le côté. Crois-tu qu’on pourrait ressayer ? Supprimes ces textos stp, je ne veux pas que tes amis tombent sur ces messages.
« Je ne voulais pas te faire peur, j’étais excité et ne voulait que tu te tapes la honte devant tes copines avec ma semence séchée. On se retrouve à 18h30 devant le réfectoire ? On en parle après manger : cela sera plus discret. »« ok merci Pierre. Je t’aime »
Certains internes prenaient leur douche directement à 18h je suis monté 4 à 4 dans la chambre, prendre vite fait une douche. Mes colloques de chambrés n’étant pas là, je me suis accessoirement aussi soulagé en pensant aux aventures qui pourraient arriver ce soir. J’ai vérifié que mon gland + mes noix étaient nickels puis je suis descendu rejoindre Anne.
Elle avait détaché ces cheveux, son blouson était ouvert sur un pull vert pomme avec un beau décolleté sur ces jolis gros seins. Pour le bas, un pantalon noir assez serré sur ces hanches. Je ne pus m’empêcher d’avoir des papillons dans ma bite. Elle commençait déjà à durcir sérieusement dans mon slip. Je me colla puis frotta ma tige contre elle et l’embrassa.
« Salut Anne ! Bien passé ta journée ? »« Oui super j’ai même plutôt réussi mon contrôle de maths. » Elle me souffla à l’oreille « Tu es déjà en forme, arrête je mouille moi aussi ». A l’époque je ne savais pas ce que cela signifiait exactement mais j’avais compris grâce à l’intonation de sa voix.

Après le repas (sans souvenir particulier), nous nous sommes dirigés vers notre coin habituel tout en haut d’un bâtiment dans la cage d’escalier.
Je l’embrassa. Ces lèvres étaient sucrées et avaient le gout de fraise. Elle me mordit sous le coup de l’excitation le bord de mes lèvres. Je m’aventura avec ma langue pour rejoindre la sienne dans sa bouche.
Au bout de 5 bonnes minutes, on s’écarta brièvement pour enlever nos blousons respectifs, puis nous nous collâmes à nouveau pour s’embrasser.
Elle n’arrêtait pas de soupirer, je sentais son cœur à travers sa poitrine collée contre la mienne battre la chamade. Mes mains commencèrent leurs explorations par ces fesses que je sentis fermes à travers le fin tissu et élastique de son pantalon. Je remonta mes mains directement sous son t-shirt et lui toucha ces seins à travers son soutien-gorge. Je me souviens de la douceur de sa peau, ces tétons qui étaient durs et sensibles sous mes doigts.
Ma bite malgré la branlette sous la douche d’y il a quelques heures, me faisait mal comme jamais tellement elle était dure. Anne le devina car de ces doigts agiles, déboucla ma ceinture et fit descendre mon jean. Ma bite et mes couilles dépassait de mon slip. Elle fit tomber mon slip et ma bite jailli contre son pantalon.
Anne arrêta de m’embrasser et s’éloigna d’un pas. Elle prit ma bite dans sa main droite et se mit à genoux en me regardant. Elle avait compris la leçon précédente car elle plaça sa main droite juste en dessous de mon gland et commença à la faire coulisser de haut en bas.
Elle approcha sa bouche lentement sur mon gland. Je vis ces narines gonfler comme si elle humait l’odeur de ma bite et savoir si cela aller être un calvaire.
Je ne sais pas si c’est mes encouragements (« oui va y ») ou mes gémissements (car elle continuait de faire des vas et vient, ma bite n’avait jamais été aussi sensible), mais elle goba d’un coup mon gland violacé.
Le contraste était saisissant. Le couloir était chauffé (il y avait même un radiateur à 2 pas) mais la sensation de mon gland dans sa bouche chaude, étroite et humide m’a littéralement marqué à jamais.
De son côté, Anne me regarda et décala sa main sur la base de ma tige. Son autre main commença à titiller mes couilles. Elle les caressa et les faisait rouler délicatement sous ces doigts.
Elle retira ma bite de sa bouche et me souris « Wahou ! Je te sens palpiter dans la bouche ! » Elle rajouta en me regardant droit dans les yeux « j’adore ta bite » Elle reprit mon gland dans sa bouche et cette fois ci enfourcha progressivement une partie de ma tige dans sa bouche. Elle fit des vas et vient dans un bruit de succion. De la salive coulait le long de ma tige puis ruisselait jusqu’à mes couilles. Cette sensation était elle aussi divine.
Je ne peux m’empêcher de pousser un « ohhhh » puis rajouta « Anne je ne vais pas tenir longtemps. Veux-tu que je te prévienne ? »Elle sortit ma bite de sa bouche et me répondit : « non je veux aller jusqu’au bout. » Fit un bisou sur mon gland et rajouta en me regardant « je veux te gouter entièrement »Cette dernière phrase est arrivée directement à ma bite et la fit durcir alors qu’elle était déjà au bord de l’explosion.
Anne l’enfourna à nouveau et fit 3 ou 4 va et vient avec sa bouche. Je lui tapota en haut ce son crane : Anne, je viiiens » suivi d’un râle comme j’en ai jamais poussé. Je vis la base de ma bite bouger et j’éjacula dans sa bouche. Je vis Anne déglutir mais avala une bonne partie. Elle prit un mouchoir dans son blouson qui était à terre et cracha le reste de mon sperme.
« Merci Anne, c’était.. à nouveau parfait ! Qu’en as-tu pensé ? »« C’était bizarre mais excitant je ne comprends pas pourquoi j’avais peur ! La prochaine fois c’est à toi de t’occuper de moi ! » Elle rajouta en rigolant « Vite nous sommes en retard ! ».

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