Mes vacances en Corse

- Par l'auteur HDS Maryaline -
Récit érotique écrit par Maryaline [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Mes vacances en Corse Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2012 dans la catégorie Plus on est
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Mes vacances en Corse
Vacances Corse 1

Je suis arrivée quelque peu fatigué samedi soir à Annecy chez des amis.
Je reste chez eux jusqu'à Jeudi avant de prendre le bateau pour Ajaccio.
Ils m'ont accueillis à bras ouverts et ont invités un couple de leurs amis dont un joli mec célibataire.
Mes amis Alain et Michèle sont un couple de la trentaine très coquin et il faut dire que nous nous sommes bien amusés déjà ensemble.
Leurs amis Bernard et Jacqueline, lui plus vieux semble-t-il, portent la quarantaine largement.
Quant au célibataire Alex, c’est beau grand et élégant mec qui me fait craquer au premier regard.
Quoi qu'il en soit, ils me donnent ma chambre et me disent de me mettre à l'aise et de prendre une douche avant de les rejoindre au salon pour l'apéro.
Je déballe donc mes affaires et je vais prendre ma douche sans prendre la précaution de fermer la porte de la salle de bain.
Je chantonne sous la douche tout en me savonnant et je me détends de ma longue route.
Je n’avais pas remarqué qu’Alex m'observait sans bruit.
Me retournant, je sursaute en le voyant et essaye de dissimuler maladroitement mon intimité.
Lui, tout sourire de me voir ainsi gênée:
- Ne te soucis pas de moi continue de te savonner. Je peux même t'aider.
Sans attendre ma réponse, joignant le geste à la parole, il se met nu, entre dans la douche et se collant à moi, il se met à me savonner en insistant évidemment aux bons endroits.
Je reste figée ne sachant comment réagir.
Les caresses sont agréables et je suis troublée.
Je ne sais, si je dois m'offusquer ou me laisser faire quitte à passer pour une fille facile.
Le sentir dure dans mon dos me fait défaillir.
Presque instinctivement, je lui saisis sa queue bien dure et épaisse et commence à le masturber.
Il en profite pour rentrer ses doigts dans mon minou trempé me faisant lâcher un soupir.
Je n'y tiens plus, je me retourne, m'agenouille et entreprend une fellation gourmande qu'il accompagne en me tenant la tête.
Là il se met à me traiter de bonne suceuse, de salope et autres noms qui me font un effet d'enfer.
Nous étions totalement pris dans nos ébats et ne nous étions pas aperçus que les autres intrigués par notre absence prolongée nous observaient avec bonheur.
Il se lâcha rapidement dans ma bouche et je le nettoyais avec délectation mais sans avoir jouie.
Là j'entendis des rires:
- He bien je vois que vous avez fait connaissance. Tu ne perds pas de temps Maryaline"
Alain voulu me sécher et me dis:
- Ne te rhabille pas, je pense que cette tenue te conviendra mieux pour la fin de la soirée.
Arrivée dans le salon, nous entamâmes une gigantesque partouze.
Je fût prise partout les trous.
Je suçais des clitos, des bites ; une orgie totale vraiment extra où j'ai jouie comme une damnée.
Après une bonne douche réparatrice,
Je suis allée me coucher et me suis endormie comme une masse en me disant que mes cinq jours à Annecy commençaient fort.

Vacances Corse 2

Après le petit déjeuné, Alain a prévu une ballade dans le vieux Annecy.
Cette vieille ville pleine de charme avec ce lac magique et ces montagnes qui le surplombent m’enchante.
Michèle et Jacqueline se trainent à la maison et Alex dort encore.
C’est avec Alain et Bernard que je pars en balade.
Avant de partir, Alain me glisse à l’oreille :
« J’espère que tu n’a rien mis sous ta robe ! »
Je rougie et je lui bredouille :
« Heu j’ai un string et un soutif »
Il me regarde d’un air faussement contrarié accompagné d’une tape aux fesses :
« Enlève-moi çà tout de suite coquine ! »
Sans mot dire je m’exécute devant lui et Bernard qui n’en perd pas une miette.
Nous voilà parti moi nue sous ma robe légère avec ces deux mecs aux hormones en ébullitions de ce temps radieux et chaud.
Nous déambulons dans les ruelles de la vieille ville et de temps à autres Bernard ou Alain glisse une main furtive sous ma robe.
Tout ceci me met en émoi et je mouille comme pas possible.
Dans une minuscule ruelle, alors que nous passons près d’une porte cochère ouverte, Alain me pousse et promptement me retrousse sort sa queue et m’embroche sans un mot.
Bernard nous regarde tout en faisant le gué.
Je suis si excitée que cette situation originale et ses coups de boutoirs me font jouir.
Alain se lâche rapidement dans ma chatte me laissant les jambes flageolante par cet assaut.
Toujours sans un mot Bernard prend place en m’appuyant sur les épaules, il me met à genoux en me présentant sa queue devant la bouche.
Alain a pris le relais au gué.
Je me mets à le sucer avec tout l’art que je peux y mettre. J’arrive ainsi à le faire jouir et c’est un bonheur en l’entendant geindre de plaisir de sentir de long jet chaud m’inonder la gorge. J’avale tout avec bonheur et lui nettoyé çà queue.
Les jambes encore en coton, nous reprenons notre promenade.
Je suis gênée car je sens le sperme d’Alain couler de ma chatte.
J’ai le goût du sperme de Bernard dans la bouche.
Alain nous propose :
« Si on se payait une bière ? En plus notre jeune salope pourra se rincer la gorge et se sécher la chatte »
A ces mots crus, je rougie.
Mais J’étais bien contente de cette initiative surtout que le sperme commence à me couler sur les cuisses.
Après cette pause nous rentrons rejoindre les filles qui nous attendent pour le repas du midi.

Vacances Corse 3

Mes frasques à Annecy continue avec cette bande de vicieux.
Après ne bonne raclette préparée par les filles, nous sommes allée faire un tour de bateau sur le lac. Un lieu vraiment enchanteur et propice à l'évasion et aux fantasmes.
Arrivés au milieu du lac, malgré une eau encore fraîche, nous nous sommes baignés.
En fait elle était assez froide et nous ne sommes pas restés longtemps dans l'eau.
Frigorifiés nous sommes remontés sur le bateau et nous nous sommes frictionné mutuellement avec les serviettes.
Ce qui devait arriver arrivant évidemment avec de tels pervers.
Les maillots sont vîtes tombés et les mains et les langues ont remplacé les serviettes.
Bernard me dit:
"Je t'ai pas encore pris le cul ma petite cochonne"
Il me met à 4 pattes et commence tout en me titillant le clito à me cracher sur le petit trou et à me faire un merveilleux unilingues.
Pendant ce temps Jacqueline suçait Alain.
Michèle qui se caressait la chatte me la présenta devant la bouche.
Je ne pût m'empêcher de la dévorer goulument, mordillant sont clito dressé, fourrant ma langue dans son con gluant de mouille.
J'étais tellement excite et prise par mon gouinage de chatte que je me suis pas rendue compte que la grosse queue de Bernard commençait à forcer mon cul.
C'est quand il a poussé pour me pénétrer que j'ai poussé un cri. Même bien préparée il était gros le salop.
"Tient prend çà dans ton cul de salope! Tu la sens bien ma grosse queue putain ?"
Ces mots bien qu'injurieux me faisaient défaillir.
"Ouiiii Bernard oui je la sens bien"
Michèle se plaça en 69 et me fît un cuni magistral alors que Bernard me labourait le cul maintenant avec ardeur.
Je plongeais bouche et langue dans la chatte de Michèle.
Alain prenait devant mes yeux Jacqueline en levrette.
Sur le bateau ce n'était que gémissement de plaisir et cris d'extase.
Alain se lâcha le premier sur le dos de Jacqueline. Mais comme elle n'avait pas encore jouie, il se mit à lui bouffer la chatte.
Au moment où elle hurlât son orgasme, Bernard se retirât de mon cul et se vidât dans la bouche Michèle qui eut en même temps sa jouissance entraînant la mienne d'un hurlement de chienne blessée.
Nous nous sommes tous écroulés avec des sourires béats de contentement.
Après nous être nettoyé et rhabillé nous sommes rentrés et avons pris une douche commune en nous savonnant mutuellement mais juste sensuellement.
Nous avons terminé cette soirée au restaurant sur la libellule sur le lac.
Plus qu'une journée à Annecy avant réenfourcher la moto pour descendre à Toulon prendre le bateau pour la Corse où d'autres aventures m'attendent certainement sur l'ile de beauté.

Vacances Corse 4

Après une nuit sur le bateau me voilà en terre Corse.
Je débarque à Bastia sous un beau soleil et c’est avec bon entrain que je me dirige vers Corté puis le col de Vizavonne.
Avant de rejoindre Christian qui m’attend pour manger le midi.
Je fais une pause au chalet dans le col de Vizavonne dégustant un chocolat face aux montagnes.
Je reprends la route et arrive chez Christian.
Il habite une maison isolée en montagne avec une piscine et en panorama le golf d’Ajaccio.
Mes amis sont des libertins naturistes. Christian m’accueille donc nu, bronzé intégral.
C’est un bel homme musclé sans trop et avec un truc wahooo les filles je ne vous dis que çà !!!!
Il m’embrasse à pleine bouche et d’emblée sa langue fouille ma bouche.
Instantanément je me mets à mouiller.
« Bonjour ma chérie comment vas-tu ? Tu as fait bon voyage ? Tu n’es pas trop fatiguée ?
Mets toi à l’aise, détend toi dans la piscine, je reviens avec un cap corse comme tu aimes. »
Je me mets nue et rentre dans l’eau le soleil caressant doucement ma peau.
Christian revient avec les verres et s’assoie au bord de la piscine.
Je m’approche pour prendre mon verre et mon visage se retrouve à la hauteur de sa magnifique queue bronzée.
« Tu es toujours aussi craquante Maryaline. Solange est impatiente de te revoir aussi »
Légèrement rougissante :
« Moi aussi je suis impatiente de la revoir. Mais j’ai déjà sous les yeux une barre bien appétissante »
En terminant ma phrase je le prends en main et me met à le sucer.
En levant les yeux, je le voie me regarder avec un sourire bienveillant.
« Tu suces toujours aussi bien chérie »
Quel bonheur de sentir sa queue grossir et palpiter dans ma bouche sous ma fellation.
A deux doigts de partir, il me dit :
« Attend ma chérie »
Il se retire de ma bouche, se met dans l’eau.
Je prends appuie sur le bord de la piscine en me cambrant. Je sens ma chatte bien ouverte et c’est en poussant un soupir de plaisir que je sens sa queue me pénétrer doucement et commencer un doux vas et viens.
Il me prend les seins et titille mes tétins, les pinçant gentiment.
Ce qui a pour but de me faire fondre.
Il sent que je vais jouir et ressort pour faire glisser son gland sur mon bourgeon bien dur.
Puis replonge plus fermement dans ma chatte en me baisant avec plus d’ardeur presque violement tout en masturbant mon clito.
Je me mets à me pâmer de jouissance, hurlant mon plaisir.
Là, il se retire brusquement et me retournant d’un geste preste, Il crache son venin sur mon ventre et mes seins en long jets onctueux et chaud dans un râle libérateur.
« Que c’était bon Chricri »
« Tu es vraiment toujours aussi bonne ma petite salope »
Nous reprenons nos verres et trinquons en riant.
Nous sirotant note cap corse mon corps couvert de la semence de mon amant.
« Tu viens Dimanche, un barbecue est organisé pour l’anniv’ de Mégane. »
« Oui bien sur ! » Dis-je enjouée.
Après mangé, il m’accompagnât à mon gîte.

Vacances Corse 6

Barbeuc party
Pas de chance, il pleut des cordes. Oui oui çà arrive aussi en Corse.
Mais rien n‘arrête l’opiniâtreté Corse.
Donc à 12h00 me voilà chez Chricri et Solange.
Solange est une grande blonde aux yeux bileux avec des seins lourds magnifiques.
Elle porte sa cinquantaine avec un charme extraordinaire.
Nous allons être une petite dizaine.
Mégane le portrait craché de sa mère mais à 20 ans.
Lucie sa copine 19 ans brune Petits seins, mignonne comme tout.
Maria typée tunisienne plantureuse et chaude.
Les mecs, olive’, Seb, Max, Manu et Claude rien à jeter, tous célib’, je n’avais que l’embarra du choix.
A cause du temps nous sommes tous habillés ; légèrement certes mais habillés.
Nous entamons les « festivités » par un cap corse frappé. Puis 2, 3, 4 et …
L’alcool aidant, les langues se délient et les mains aussi. Et les vêtements volent.
Je ne peux m’empêcher d’entreprendre Lucie qui n’est pas trop réceptrice à mes avances.
« J’suis pas gouine » me dis-t-elle sèchement
Je me retourne sentant de mains me fouiller la chatte et le cul pour voir le magnifique manu bandant comme un cerf.
J’aperçois Olive qui entreprend Lucie avec ferveur et je me dis ; toi ma salope j’vais te gouiner quand tu seras bien trop excité avec lui.
Dans mes élucubrations je sens Manu qui s’enfonce dans ma chatte trempée et je pousse un cri de surprise et de plénitude.
Seb profite que j’ai la bouche ouverte pour enfourner sa queue.
Maria se glisse entre nous et me lèche le clito, alors que présentant ses fesses, Seb lui bouffe la chatte.
Seb se vide en long jet dans ma bouche.
Il se retire pour mieux s’occuper de Maria qui suce maintenant Manu qui a quitté ma chatte.
Je me retourne vais à 4 patte vers Lucie bien occupé à sucer Olive’ pendant que Max s’occupe de sa chatte.
Dans la pièce ce n’est que cris, soupir et expressions de jouissance et de plaisirs.
Je ne sais même pas ce que font les autres trop attardée à gouiner Lucie qui ne sait plus qui s’occupe d’elle.
Je lui suce le clito et suce la queue de max que je replonge dans la chatte de Lucie.
Un mec vient me pénétrer la chatte, je ne sais même plus qui.
Max est très dur et je sens sa queue palpité prête à jouir.
Je le sors de la chatte de Lucie et il explose dans un cri de bête sur sa chatte que je m’empresse de lécher.
Olive’ quitte la bouche de Lucie et fourre sa queue prête à lâcher le venin dans son petit minou accueillant.
Celui qui me baisait se lâche aussi et m’asperge le ventre.
Je suis épuisée mai comblée.
Tout notre petit groupe a bien jouie et comme il continue de pleuvoir dehors, nous en profitons pour nous doucher sous le torrent de pluie puis nous plongeons tous dans la piscine.
Chacun se promet de se voir dans la semaine.
J’ai hâte.

Vacances Corse 7

Open bar
Hier soir, mes amis Cricri et Soso sont passés pour l’apéro.
Autour d’un cap corse frappé, nous avons reparlé de la journée barbecue.
De se remémorer cette chaude journée, nous on mit dans un état d’excitation, huuuuum .
Soso me dit :
« Dimanche je ne me suis trop occupée de toi. En plus tu étais bien occupée entre les copains et Lucie. »
Tout en me parlant, elle s’est mise à me caresser et je lui rendais la pareil devant les yeux émerveillés de Cricri qui n’en perdait pas une goutte et nous encourageait même.
Pas besoin de ses encouragements pour nous mettre nue et nous frotter pubis contre pubis en gémissant de plaisir.
« Gouinez vous bien les salopes » Nous lance Cricri »
Aussitôt dit aussitôt fait.
Nous voilà en train de nous bouffer nos chattes juteuses.
Soso me fouille la chatte trempée et me travaille le petit trou et je cris :
« Oui continue ho que ouiiiii c’est bon haaaa »
En fait prise dans mon délire avec Soso, celle-ci me préparait le cul pour son mec.
Je sentis une poussée ferme mais déterminée sur ma rondelle et la pénétration lente et profonde du membre de Cricri me fît pousser une sorte de feulement de chienne blessée.
Soso me mordit gentiment le clito ho que c’était bon.
Cricri une foi au fond de mon cul resta un instant immobile. Je me sentais remplie et Soso intensifiât sa caresse buccale alors que Cricri me tripotait rudement les seins.
Il commençât alors son lent va et viens.
Je croyais que j’allais défaillir quand il quittât mon cul pour ma chatte.
Puis il s’amusât à changer de trou. Un coup dans ma chatte, un coup dans mes fesses, un coup dans la bouche de Soso qui continuait à s’occuper de mon clito.
J’eu à ce régime un orgasme violent entrainant celui de Soso.
Ni tenant plus, Cricri après un va et viens dans mon cul, me poussât presque brutalement pour prendre la place dans la bouche de sa femme et dans un cri de bête fauve se lâche dans sa bouche, sur son visage et ses seins lourds et superbe.
Soso le reprit dans sa bouche pour le nettoyer.
Moi je m’empressais de lécher Soso pour lui nettoyer les seins et le visage tout en profitant de la bonne crème de mon ami.
« Que vous êtes bonne toutes les deux. Vous faites une paire de sacré chaudes salopes »
Nous primes çà pour un compliment et lui répondirent sur le ton de l’humour :
« C’est pour votre bon plaisir mon bon Maître. Surtout on aime ta queue mon salop »
Et nous sommes tous parti à rire.
Nous répriment un verre de cap corse et nous mirent à deviser sur l’arrivée d’amis motards du continent et des ballades que nous envisagerions.

Vacances Corse 8

Le viol

Je roulais dans Ajaccio en rentrant des sanguinaires quand un jeune salopard en scooter me coupe la route.
Je le klaxonne pour marquer mon mécontentement et il me répond par un doigt :
« Vas te faire enculée salope ! »
Vu la réaction de cette racaille, je file doux et rentre à la marine.
Dés en arrivant je me mets nue et file sous la douche.
Totalement détendu, je m’adore en me savonnant à des caresses bien appuyées qui me font gémir de plaisir.
Je n’avais pas fermé la porte de ma marine et bien mal m’en avait pris.
Le cailra m’avait suivi et était en train de m’observer sous la douche.
Quand je le vis, je poussais un cri en tentant de cacher mon intimité :
« Salopard casse toi ou je hurle »
Il se mit à rigoler :
« Tu peux toujours hurler salope personne ne t’entendra ici. Te gênes pas pour moi la pinsoute ! Continue à te branler »
Comme je ne bougeais pas terrorisée, Il défit sa ceinture et m’en assenât un grand coup sur les cuisses qui me fît hurler de douleur.
« Allez salope branles toi ! »
Et vlan un deuxième coup tombait sur mes épaules.
« Aiiiiie non arrêtez, ne me faite pas de mal »
Vlan ! Un troisième sur les seins.
Sous les coups je pleurais et me mis à me caresser devant mon tortionnaire en espérant ne plus recevoir de coup.
Mais c’était sans compter que se tordu prenait un malin plaisir à me faire mal.
« Oui comme çà putain de blondasse, je vais te rougir la peau à coup de ceinture chiennasse »
« Tu fais moins la fière putasse »
Il s’approchât de moi, sortir sa queue raide et me prenant par les cheveux, il me mit à genoux et forçât ma bouche.
Il s’enfonçât à fond me secouait la tête en me baisant la bouche.
Je pleurais et avais envie de vomir.
Tout en me baisant la bouche, il continuait à m’insulter.
« Tu dois avoir le trou du cul serré putain ! Je vais te l’élargir »
Il me retournât et sans précaution m’enculât me faisant hurler de douleur :
« Nooooooooooon haaaaaaaaaaaaaa pas çààààà noooooooooon pitié arrêtez »
Rien n’y fit et il me pilonnait brutalement.
Dans un dernier mouvement il restât bien au fond de mon cul et poussat un cri horrible se lâchant dans le profond de mes entrailles.
Il se retirat et je m’écroulais sanglotante au fond du bac de douche.
« La prochaine fois tu f’ras gaffe sur la route putain »
Avant de partir, Il me redonnât plusieurs coups de ceinture que j’essayais d’esquiver recroquevillée au fond de la douche.
Enfin il partit et je restais prostrée douloureuse, sanglotante dans la douche.
Au bout d’un certain temps je me relevais encore fébrile et me demandant si ce n’était pas un mauvais cauchemar.
En me regardant dans la glace les traces de ceinture qui sillonnaient mon corps attestaient de la réalité.
J’espérais seulement que les traces allaient rapidement s’estomper.
Je m’enduis de crème pour calmer la brulure.
Le lendemain les traces commençait à disparaitre.

Vacances Corse 9

Les bergers

Cricri m’a donné une bonne adresse en montagne d’un berger qui élève cochons Corse et chèvres.
Il fait sa charcutaille et tient une auberge où l’on mange ses produits.
Bref que du bonheur.
Je mis rend donc.
C’est un petit village typique Corse accroché à la montagne.
Je suis accueillie par Batista et ses amis qui avaient été avisés de ma venue par Cricri.
Se sont des montagnards, rudes à la voix tonitruante très impressionnant.
« Ha la voilà la petite pinsoute dont Cricri nous a tant parlé ! Bienvenue à l’auberge petite. »
Et ils m’empoignent fermement les épaules en me faisant une bise bruyante sur chaque joue qui m’arrache la peau avec leurs pied de barbe qui ressemble à de la toile émeri.
Je suis très intimidée et il le voit bien.
« Allez vient dans le 4X4, je vais te faire visiter mon élevage de cochons Corse.
Après je te montrerais mon atelier où je fabrique ma cochonnaille.
Tu verras j’ai de magnifiques saucissons.
« Tu en dégusteras. »
Me dit-il en rigolant bizarrement.
Nous voilà arrivé à l’élevage où nous attend un jeune ouvrier. Quand je le vois, je craque.
Il est bronzé avec un regard d’ange magnifique. Je suis troublée.
« C’est Roméo, mon ouvrier »
Batista me regarde car je ne lui ai pas répondu.
« He  petite ! T’as perdue ta voix ? Ha Ha Ha !!! Oui je vois. Il est pas mal Roméo hein ?
Il t’a tapé dans l’œil. Ha Ha Ha ! »
Je dois être rouge écarlate quand il me présente.
« Roméo, je te présente la petite pinsoute que Christian nous a parlé au téléphone.
On va lui faire visiter et gouter nos spécialités locales à cette petite. Ha Ha Ha !!! »
Roméo sourit et m’embrasse. Sa peau est douce et sent un mélange d’herbe de Provence et de ferme.
Je bredouille un « Bonbonjour »
Il répond à son patron :
« Oui monsieur, on va bien s’occuper d’elle »
Je n’y prends pas vraiment attention mais leurs discourt me semble ambigües.
La visite commence.
Les cochons en fait sont en totale liberté et ils m’expliquent comment tout fonctionne.
La visite est très intéressante.
« Bien petite maintenant je vais montrer mon saucissons »
Là je sursaute.
« Mais non idiote les saucissons que je fais ! Ha Ha Ha !! »
Le jeune explose de rire aussi et je me sens toute gourde.
« Maintenant nous on n’est pas contre non plus ! Ha Ha Ha !! C’est toi qui voit petite si tu veux gouter à toute nos spécialités »
Les réflexions devenaient franchement salaces et je ne préférais pas y répondre.
Nous montâmes dans le 4X4.
A 3 devant nous étions serrés et je me retrouvais coincée entre les deux gaillards.
Au bénéfice d’un virage plus raide, Roméo posa sa main sur le haut de ma cuisse presque à toucher mon minou.
Je fermais les yeux et connaissant ma nature, je sentais ma chatte s’ouvrir.
N’ayant pas de culotte j’avais une trouille qu’en mouillant je tache mon short.
A l’occasion d’un autre virage, Sa main glissa et ses doigts se retrouvèrent au contact de ma chatte trempée et accueillante.
Je sursautais presque quand il dit à Batista :
« La petite, tu sais elle a pas de culotte et elle mouille comme une salope ! Elle va être à point pour gouter nos produits à l’atelier »
« Ha Ha Ha Ha !!! »
Le salop de Cricri qu’avait-il due leurs raconter ?
Arrivés à l’atelier, très pro Batista me fît un exposé sur la fabrication des saucissons et autres cochonnailles locales.
Roméo quant à lui, s’occupait de mes spécialités.
Il s’était placé derrière moi et me pelotait sans vergogne.
Il m’enleva mon top. Je me retrouvais les seins à l’air devant Batista qui continuait son exposé comme si rien ne se passait.
Je me retrouvais vite à poil et Roméo m’explorait avec vigueur.
« Elle est bonne patron la petite »
Batista de dire :
« Regarde se saucisson comme il est doux et bien ferme. Goute-moi çà »
Et le voilà en train de me le fourrer dans la bouche.
« Alors tu l’aimes mon saucisson ? »
Abasourdie et très excitée je répondis oui de la tête.
Ils m’allongèrent sur une table basse et Batista me rentrât le saucisson de bonne taille dans la chatte me faisant pousser un soupir de plaisir.
Ils sortirent leurs queues et me les présentèrent devant la bouche.
Il est évident que dans l’état où j’étais, je ne me fis pas prier et je me mis à sucer goulument et mes deux bergers.
« Cricri ne nous avait pas menti sur la marchandise »
Roméo enleva le saucisson de ma chatte et y pris place me baisant avec vigueur pendant que je continuais à sucer Batista.
Puis ils échangèrent leurs places.
Je suçais, me faisais baiser me faisant traiter de grosse salope, vide couilles et autres nom qui sonnaient à mes oreilles comme de durs compliments et je gémissais de plaisirs.
Leurs autres copains regardaient la scène se masturbant et attendant leur tour.
Batista me pilonnait rudement de sa grosse queue bien dure en me malaxant de son gros pousse de berger mon clito et je sentais l’orgasme monter en moi.
Roméo lui utilisait ma bouche comme une chatte, me tenant la tête d’une main et torturant un sein de l’autre.
A un moment il me pinçât le téton ce qui me fît crier et déclenchât un orgasme fulgurant.
Je contractai mon vagin et Batista bien au fond de moi hurlât un grognement rauque en se vidant.
Cette déferlante de jouissance fît de l’effet sur Roméo qui faillit m’étouffer en gardant ma tête enfoncée sur sa jolie queue qui lâchait de long jets chaud au fond de ma gorge.
Bastita était resté dans ma chatte :
" Tu es une superbe bonne salope la petite wahooo »
Je me dégageais de Roméo pour reprendre mon souffle.
En toussant et en essayant de déglutir :
« Merci vous m’avez bien faite jouir aussi. J’adore vos produits locaux »
Nous éclatâmes tous de rire.
Batista sortît de ma chatte et me présentât sa queue toute molle enduite de ma cyprine et de son sperme.
« Faut que tu me nettoie bien çà maintenant »
« Oui bien sûr » dis-je
Et je le suçai et le léchât pour la mettre toute propre.
« Bon les potes elle est à vous maintenant qu’elle est bien graissée »
Ni une ni deux ils me sautèrent carrément dessus et
Enfournèrent leurs sans ménagement me secouant virilement.
J’étais leur chose.
Ils se lâchèrent tous en même temps lâchant sur moi de long jet de sperme chaud.
Ma chate et mon cul débordaient de semence masculine.
« Elle est aussi crade que t’es cochon ! Faut la passer au jet la salope »
Et les porcs me nettoyèrent à grande eau sans écouter mes plaintes.
Comme je remuais trop il m’attachèrent en riant de ma condition.
Le jet d’eau était comme des milliers d’aiguilles sur mon corps.
L’un me jetât un sceau d’eau à la figure.
J’en étouffais presque.
Ils me séchèrent avec plus de douceur.
J’étais effondrée.
Mais curieusement je ressentais une sorte de plénitude.
Ensuite, très gentiment ils me rhabillèrent.
« Bien maintenant la petite, tu as bien mérité un vrai repas Corse pour te requinquer de tes émotions »
Nous prime 3 ou 4 cap corse, puis du rosé et du rouge corse en mangeant.
La tête me tournait.
J’étais un peu pompette.
Ils me finirent avec plusieurs verres de myrthe.
Une sonnerie de téléphone me réveillât le lendemain.
C’était Cricri.
« Alors ma chérie c’était bien hier ? »
Le cerveau encore embrumé je lui dis sur un ton à double sens:
« Oui géniales tes spécialités Corses. Merci »
Il se mît à rire et me souhaitât une bonne journée.
Je raccrochais et vie que j’étais nue sur mon lit.
La bouche pâteuse, couverte de sperme séché sur le visage, les seins et le minou et que ces salopards c’étaient amusé à m’écrire des cochonneries sur le corps.
Les salopards, ils avaient due bien profiter de moi tellement j’étais saoule.
Je filais sous la douche et jeu bien du mal à enlever ces inscriptions.
Ma peau en était rouge de me frotter.
J’avais une honte terrible en repensant à ces évènements.
Je passerais vraiment pour une salope et maintenant ils voudraient me traiter comme tel et m’utiliser à leur bon vouloir.
Heureusement j’allais repartir dans 2 jours.

Vacances Corse 10

Adieux

Avant de prendre le bateau de retour, je passais dire au revoir à mes amis.
« Bonjour ma chérie. Alors çà y est tu nous quitte ? »
« Hé oui, il faut bien rentrer. »
Et Cricri de dire :
« Tu vas bien nous faire un streap avant de partir »
Obéissante et pour faire plaisir à mes amis une dernière foi, je me mis à me déshabiller sensuellement.
Soso même si c’est une coquine me trouvait vraiment trop obéissante aux ordres de son mari.
Une foi nue, il se leva et :
« Suces moi devant Soso »
Elle me regardait furieuse et çà m’amusais.
J’enfournais sa queue en regardant sa femme avec espièglerie.
Je regardais Criri pour voir ses réactions.
Je suçais toujours aussi gourmande de queue.
« T’es vraiment une bonne suceuse. T’as vu chérie comme elle pompe bien ? »
Soso ne répondait pas.
« Tu as envie de participer ? Sois patiente et reste assise à regarder ».
Elle semblait vraiment frustrée et je n’aurais pas voulue qu’elle se vexe.
« Allez ! Ouvre bien les cuisses que je te baise salope. Faut que tu gardes un bon souvenir de la Corse »
Je regardais Soso et provocatrice :
«  Oui fourres moi bien »
La Soso faisait une tronche pas possible alors que son mec me labourait vigoureusement la chatte et que je poussais de petits cris de plaisirs.
Soso se leva et se dirigeant vers nous :
« Vous commencez à me taper sur le système vous deux »
« Te vexe pas mon ange. Regarde ma queue. Il y en a pour deux »
« Allez Soso viens la sucer la queue de ton homme. En plus tu auras le gout de ma mouille avec »
« Huuum que tu suces bien quand tu es jalouse »
Il lui gratifia de jets chauds dans la bouche.
Et moi je l’embrassais à pleine bouche goutant la semence de cricri en même temps.
Encore suffisamment dure, il se mit derrière et me défonçât le cul d’une verge ramollissante.
Même pas le temps de me laver.
J’avais pas vu le temps passer.
J’allais louper l’heure du bateau.
Je me rhabillais en hâte et m’enfuyais encore le gout de sperme dans la bouche.
Ouf quelles vacances.

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Texte coquin : Mes vacances en Corse
Histoire sexe : Une rose rouge
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